«Je me suis basée sur mon expérience et ma vision de la culture, parce que cela fait plus de 10 ans que je fais partie de la liste restreinte de personnes qui se sont battues pour avoir une société de gestion collective»,a fait savoir la nouvelle présidente du Conseil d’administration de la Sodav, Ngoné Ndour qui dévoile dan sles colonnes de l'Obs, les grands axes de sa feuille de route à la tête de la nouvelle société de gestion des droits d’auteurs et voisins. «J’ai présenté un programme basé sur la modernité. J’ai été élue parce qu’il y a eu beaucoup plus de fraîcheur dans ma présentation et dans la vision que j’ai de la Sodav. Nous avons battu campagne et présenté un programme», renseigne Ngoné Ndour.
Une vision axée sur la modernité
«Le modèle économique qu’offrait l’industrie culturelle est révolu. Nous ne sommes plus dans l’analogie. Je me suis basée sur les nouvelles technologies pour présenter une vision plus moderne de la Sodav, une vision de bonne gouvernance avec une direction forte, des administrateurs engagés et un personnel qualifié», ajoute la gérante de Prince Arts.
Quid d’un éventuel conflit d’intérêt entre sa casquette de Pca et celle d’une gérante d’une maison de production ? «Prince Arts est une maison de production audiovisuelle et d’organisation d’évènements, et elle s’est toujours acquittée de ses droits d’auteurs. Nous continuerons à la faire… il n’y a aucun conflit d’intérêt entre les deux casquettes. Il ne sera pas question d’être juge et partie. Prince Arts ne passera pas entre les mailles du filet. J’y veillerai personnellement. Je serai la première à montrer l’exemple», rassure Ngoné Ndour.
4 Commentaires
Ker
En Octobre, 2016 (13:10 PM)Anonyme
En Octobre, 2016 (00:29 AM)Ndeysaane
En Octobre, 2016 (03:55 AM)Anonyme
En Octobre, 2016 (04:36 AM)Participer à la Discussion