Les ex-travailleurs des agences dissoutes (Fnpj, Anej, Anama et Ajeb) présentent leurs doléances à la veille de la fête du travail du 1er mai. Madia Sène est un des responsables du collectif composé de plus 200 pères et mères de familles qui courent depuis quatre ans derrière leur argent. Il est interrogé par Zik fm.
« Pour nous, ex-travailleurs des agences en charge de l’emploi des jeunes, le 1er mai n’a plus de sens, se plaint-il. Car, c’est quatre années de galère, de désespoir et des lenteurs dans l’exécution des engagements de l’Etat du Sénégal pour la résolution définitive de ce dossier ».
Il ajoute : « Certes on a eu à discuter avec le pouvoir central mais jusque-là, nous notons des lenteurs. Donc, c’est un appel que nous lançons au gouvernement pour qu’il puisse véritablement régler de façon définitive ce dossier ».
Ces ex-agents réclament 950 millions de francs Cfa à l'Etat du Sénégal.
4 Commentaires
Emploidakar
En Avril, 2018 (20:53 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (21:07 PM)Meme avec Yawou dial tu perds les elections .
Mouno diarr fenn senegalais yi .
Apres les legislatives ou tu les as empecher de voter le parrainage ,bou yabo nga parre..
Birima Sobel
En Avril, 2018 (22:32 PM)Anonyme
En Mai, 2018 (07:31 AM)Participer à la Discussion