Messieurs Les « 5 Sages » Candidats, E....
Mardi 05 Février, 2019
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En cette journée ensoleillée du Mercredi 19 Août 2015, nous avons perdu quelqu'un de très cher à nos yeux. Pas seulement les membres de la communauté artistique, mais tous ceux qui ont écouté, dansé même avec plus ou moins de bonheur au rythme des percussions sénégalaises, ne serait-ce qu'une fois. Tous ceux qui comprennent l'impact qu'une figure publique positive peut avoir sur le monde et dans les cœurs.
Non, les Tam-tam ne se sont pas tus, ils bruissent encore dans le silence de l’indescriptible deuil national que la perte de leur « major » a plongé tout un pays. Doudou Ndiaye Coumba Rose était bien plus qu'une star de la musique, un génial percussionniste, il était une icône culturelle, un monument planétaire.
Sa mort a été ressentie bien plus fort et plus loin qu'il n'aurait probablement pu l'imaginer, et j'ai le sentiment que c'est cette humilité, en dépit de son talent, de sa célébrité et de sa générosité, qui a fait de lui le père, grand père que nous aimions tous et adorions.
Doudou Ndiaye Coumba Rose ! Tant d’efforts et de sacrifices pour installer le Sénégal au panthéon culturel mondial. Il fallait le faire. Sa riche et longue carrière, avait fait de lui « un trésor humain vivant » par l’Unicef. Son sens aigu du partage de « sa scène » avait également ouvert de nombreuses opportunités sur « l’international » à des artistes comme Youssou Ndour, PBS, les majorettes de Kennedy….
Rendre hommage à cet ambassadeur, ce monument de l’universalité, est pour moi, un grand devoir. Sa triste disparition traduit artistiquement la mutation d’une icône culturelle en mythe !
Inna lil Illahi wa inna ilayhi radjioune.
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