LITTÉRATURE AFRICAINE

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J'ai pleuré et ri avec Henri, ressenti une épaisse peine avec ce Lopès qui m'insuffla une haine si sourde que je me fis un Devoir de violence envers moi-même pour dénoncer ce qui se passait sous Le Cercle des tropiques tellement je devins fan de Touré au point de scruter Les Écailles du ciel de Tierno du tiers monde, avant de revendiquer le droit à La Vie et demie dont on voulait me priver en ces temps-là. Et j'adoptai alors la devise de Sony pour marquer à jamais mon Temps de Tamango sous le rythme du tango de Boris. J'ai inventé transi comme Tansi "un poste de peur en ce vaste monde qui fout le camp", et depuis, au cœur de cette Ville cruelle semblable à Un Piège sans fin oú aucune Mission ne semble terminable, je guette l'arrivée du lointain et bien proche Kaydara, sous Les Soleils des indépendances qui refusent encore de briller, malgré Le sang bien rouge des noirs et les pleurs de souffrances de mon continent, et de mes frères, Ô pays, mon beau peuple !


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