Coopération sociale intra Africaine (code 3) : Dernière politique Africaine de proximité

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  • Article ajouté le : 27 Jeudi, 2012 à 14h08
  • Author: cliff wane

Coopération sociale intra Africaine (code 3) : Dernière politique Africaine de proximité

Coopération sociale intra Africaine (code 3) : Dernière politique Africaine de proximité

La politique est l’une  des sciences qui portent  derrière elles, menterie et trahison quotidiennes. C’est pourquoi, toute déclaration politique n’est pas prise avec considération dans l’immédiat ; or la société structurée et moderne est sous contrôle du jeu politique à désirer.

La coopération sociale intra africaine a une importance non négligeable ; étant donné que tout couple qui se respecte, solutionne ses problèmes clés avant d’envisager toute autre assistance externe. Pour étayer ce raisonnement, il n’a jamais été permis d’engrosser la femme du voisin, au profit de ce dernier.

L’Afrique a sa culture, ses visées, ses priorités et ses conceptions ; ces particularités font de L’Afrique une particularité. Pour renchérir, l’argent et la politique sont consubstantiels ; c'est-à-dire que la coopération intra africaine ne sera que de l’ordre des finances africaines.

En 2007, il a été initié un projet de coopération sociale intra africaine « partenariat social entre le Katanga et le Western Cape » ; malheureusement, ce projet n’a pas atteint son accomplissement complet. Pour renchérir, Lorsque la coopération sociale respecte toute l’architecture appropriée, les implications de celle-ci se voient manifestes et positives. En vue de rendre possible ce grand rêve, susceptible de générer et l’emploi et l’infrastructure adéquate ; la volonté intestine africaine serait la base incontournable à sa matérialisation.

L’Afrique du Sud, économie pilote du continent, peut aider le reste à mieux organiser ses structures en vue d’équilibrer les attributions des décideurs. Ce pays en cadence possède dans ses structures la SALGA, une association  des gouvernements provinciaux Sud Africains. Cette dernière permet aux différentes administrations provinciales d’échanger l’expertise en vue de ventiler la culture de développement à travers tout le pays.

Si un pays pesant un budget annuel, allant au delà de 200 milliards de Dollars américains, opte pour une association interne des provinces en vue d’asseoir un développement équilibré ; le reste ne peut qu’emboiter les pas des grands. L’AIRF réunit les régions francophones du monde en vue de faciliter l’épanouissement des unes et des autres ; à l’instar des réseaux sociaux ayant propulsé plusieurs.

Aucun pays africain ne peut peser le reste du continent, quelle que soit l’excellence de sa sécurité sociale. C’est triste de voir des réfugiés imaginaires de l’Afrique vers l’Afrique, en revanche. Au terme de toutes ces comédies, xénophobie et hostilité sont imputées à certaines nations n’ayant pas digéré les mouvements massifs et ininterrompus des africains issus des régimes moins performants sur le plan économico social. Qui est acteur principal de l’apocalypse sociale africaine : chaos social final ? Le Fondé de pouvoir est le responsable légal de la crise sociale africaine.

Admettons que la RDC choisit la voie de l’association des provinces autonomes appartenant au même pays ; Assurément, cette approche éviterait d’innombrables dégâts ethnico tribaux, en facilitant l’explosion économique à multiples implications. Que peut offrir le Katanga au Maniema et vice versa ? Que faire, en tant que ville ou province autonome ; en vue d’attirer davantage le maximum des bénéfices à l’entité d’appartenance ? Ces interrogations doivent préoccuper les conseillers des Gouverneurs ; ceci appelle à la conscience de ceux qui gouvernent, car un conseiller est appelé de mener la vie d’un héro dans l’ombre (pas de vedette vivant au dépens des artistes musiciens).L a Malaisie, pays d’Asie utile/Sud Est a fait remarquer Kuala Lumpur, à travers son architecture impressionnante des Petronas ; le Qatar, Emirat supposé  être l’Etat Idéal du 21e Siècle, grâce à son économie et à son architecture imposantes.

 Pourquoi n’est pas réfléchir au sens large ?  C’est-à-dire élever une tour « arachidière » à Dakar, une tour cuprifère à Lusaka, une tour minéralogique/orchidée à Kinshasa, une tour boisée à Libreville, deux tours jumelles à Pointe Noire, port de prestige en Afrique Centrale ; une tour Africaine à SIPOPO/Guinée Equatoriale… Le feu président Libyen réfléchissait grand, à travers ses projets, notamment l’Union Africaine, Serveur Internet Africain, tour Mouammar Kadhafi…  Seuls les consultants locaux/BTP peuvent valoriser leurs entités respectives, par le développement des quartiers huppés et moyens. Ici, il sied de revoir  les conditions de passation des marchés publics, en faveur des PME/consulting locaux. Cette dernière   décision soulagerait les consultants africains, avec comme conséquence immédiate, pléthore d’emplois.Le développement architectural dans  des nouveaux quartiers à Luanda et  à SIPOPO, présente des signes précurseurs de la nouvelle Afrique, en face de son devenir radieux.

Eu égard à ce qui précède, tout décideur devrait avoir une vision inaltérable ; c'est-à-dire faire en sorte que son passage dans une institution soit marquée par une réalisation architecturale. Dans le cas d’espèce, réaliser une architecture particulière à l’instar d’une tour de sept ou vingt sept étages, à vocation d’affaires/économique.

Parce que la démocratie est un luxe pour l’Afrique, tout officiel est requis de réaliser quelque chose de laudatif ; en vue d’éviter toute sanction/poursuite future.  Certainement, la présente approche est empirique car l’Afrique a tendance de punir tous ses anciens dirigeants ; bien que  certains pays aient fait exception.

Dernière politique Africaine de proximité

Le protocole d’accord n’est utile que lorsque la population concernée arrive à tirer profit ; sinon les intérêts égoïstes coifferont comme à l’accoutumé ceux de tous.

1 .Promouvoir la classe moyenne, à travers l’agro industrie : Aucune entité ne peut valoriser son environnement sans pole d’attraction. A cet effet, toute province africaine devrait encourager les coopératives à mettre sur pied des structures durables afin de relever la classe dite moyenne. L’Afrique occidentale a développé la culture inhérente à  des coopératives agricoles/des pêcheurs, celle orientale à des associations/coopératives d’éleveurs, la RDC des coopératives minières…   une coopérative est une force non négligeable dans une économie appelée d’exploser graduellement. Et la meilleure coopération intracommunautaire/intra africaine dans la sphère des coopératives africaines influencera les décideurs des pays concernés ; finalement, la conséquence phare serait de matérialiser un protocole d’accord réel et gagnant gagnant. Bref, le PPP est une stratégie moteur à la réussite de ce grand rêve : « J’ai rêvé, et l’Afrique en profitera certainement ».

Eu égard à ce qui précède, aucune coopération intra africaine n’est admise si l’intérêt est imperceptible. L’Afrique du Sud, dans le souci de créer la classe moyenne s’est lancé dans le BEE, politique ayant effectivement accompli certains de ses objectifs ; quant à son secteur agricole, le pays est celui pilote car son industrie agroalimentaire est tellement vaste (vigne, presse agrumes, presse citron, concentré et autres). Par ailleurs, tout ce qui est fruit/dérivé de l’agro-industrie peut être trouvé dans ses supermarchés sans ambages ; bien que certains produits de l’agro-industrie étrangère sont aussi importés.

L’agro-industrie est très importante, car différentes couches se retrouvent ; du fermier à la transformation, transitant par le transporteur, l’étiquetage et l’entreposage. Bref, toutes ces étapes représentent la création d’emplois à des degrés différents.

D’où l’importance du PPP, dans une société qui cherche à se positionner au 21e Siècle.

Pour plus d’informations ; les coopérations intra africaines ne tiennent pas, parce que certains coins du continent n’attirent pas. Par conséquent, les accords intra africains se succèdent sans succès attendu.

Analyse :

L’Afrique est appelé de fonder sa coopération intracommunautaire sur le social, car ce dernier paralyse la plupart de ses projets. Sans social adéquat, les objectifs pour le développement du millénaire ne seront jamais atteints. Certes, les pays émergents naissent graduellement en Afrique, mais les immigrations illégales et non fondées de l’Afrique vers l’Afrique jugulent l’excellence des économies émergentes.

Il est encourageant de vivre avec ses frères africains, au nom de la solidarité africaine ; mais le respect de toutes les conditions d’immigration fera des pays d’accueil réellement émergents. « L’immigration clandestine/illégale de l’Afrique vers l’Afrique ne peut jamais  développer l’Afrique». A la place, chaque sous région africaine peut permettre à ses citoyens de circuler (Dix jours de  séjour africain) librement ; Mais exiger le permis de résidence  permanente à celui qui voudrait s’y installer est le chemin du développement intégral.

En définitive, cette nouvelle perspective encouragerait tous les pays africains de parafer des protocoles d’accord vitaux ; étant donné que seule l’insuffisance d’emplois crée la xénophobie intra africaine.

2. L’amélioration des conditions de travail dans les agences sociales nationales(en créer s’il en manque), à travers l’échange d’expériences.

Une agence sociale est une institution à vocation sociale, et susceptible d’influencer positivement les conditions sociales des populations défavorisées.

L’Afrique n’étant pas excellemment structurée, ses agences peuvent jouer le rôle d’institutions d’accompagnement des vastes programmes sociaux(MDGs).

Lorsqu’un Gouvernement Provincial responsable se décide de signer un protocole d’accord réel avec celui frère ; ses structures s’attendent à une amélioration quelconque, c'est-à-dire que signer une convention pour qu’il n’y ait pas de gaspillage réciproquement.

Analyse :

Une agence sociale est un sous ensemble d’une agence de développement ; c’est pourquoi, tous les pays africains ne doivent pas se scléroser sur les vagues évolutionnistes au détriment de la politique sociale. En clair, la coopération intra africaine sociale devrait rafler 25% de l’économie africaine ; car l’africain n’a besoin que du social. (Chaque gouvernement africain devrait affecter 25%  à sa politique sociale)

En effet, sans social acceptable ;  séditions, révolutions inopportunes, parlement débout, chaos, rebellions et instabilités occasionnelles  présideront pour toujours aux destinées malheureuses africaines. En définitive, Toutes ces conséquences s’improvisent parce que l’africain jette le manche après la cognée, naturellement.

3. Sécurité Sociale et éducation Assurées : La sécurité sociale est un point faisant de l’Afrique du Sud un véritable pole d’attraction d’Africains ; notamment dans le domaine de santé. Ici, il convient de souligner que la plupart d’immigrants clandestins, abusivement appelés réfugiés adorent le Sud de l’Afrique grâce à sa sécurité sociale à la hauteur. Les paisibles clandestins avec des papiers des demandeurs d’asile bénéficient des soins gratuits dans des hôpitaux publics, au même titre que les nationaux.

Eu égard à cette réalité indubitable, les gouvernements africains responsables ne doivent pas encourager des telles pratiques (il est anormal de piller chez autrui au nom de la solidarité africaine ; donc toutes les stratégies sont permises pour améliorer la sécurité sociale avec le budget réel que le gouvernement possède, localement );par contre, plaider pour des coopérations intra africaines sociales en vue de ramener la même politique sociale dans leurs pays respectifs serait le chemin idéal.

Analyse :

Le bonheur n’est pas ailleurs, mais dans sa propre communauté. Cette affirmation ne freine pas l’épanouissement des uns à travers la mondialisation/échange d’expériences mais appelle à la conscience gouvernementale. Pourquoi les paisibles citoyens désertent le coin d’origine ? D’une part, les dirigeants doivent créer un bon climat d’affaires ; c'est-à-dire donner la chance à tout le monde de s’épanouir (égalité de chance, sans tenir compte du favoritisme ethnico tribal et ploutocratique). D’autre part, l’élite concernée devra tenir compte de sa capacité de générer les emplois à travers le savoir lui transmis par le corps académique.

La santé et l’éducation ont été également retenues dans les objectifs pour le développement du millénaire ; ce qui fait que ses deux secteurs sont prioritaires. Par conséquent, la coopération intra africaine peut s’attarder sur ces deux secteurs car profitent largement à la grande majorité.

L’échange d’expertise intracommunautaire serait l’idéal dans cette démarche visant à promouvoir l’intérêt supérieur du petit peuple de l’Afrique. En conséquence, les conflits ethnico tribaux vont se dissoudre, sans qu’il y ait une moindre implication d’une communauté hors Afrique. En conclusion, le code 3 amènerait l’Afrique au monde réel que la plupart d’intellectuels africains envisagent intégrer.

Cliff Yumba Mpiana WANE

Senior Business Advisor/Social Policy strategist

Tel: +243815777775

Email: [email protected]

Skype : cliffwane

Cliff Wane Consulting

Lubumbashi, RDC


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le Jeudi 11 Octobre, 2012 à 06:31:18RépondreAlerter

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