Les Attentats de Paris, un coup monte ?

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Les Attentats de Paris, un coup monte ?

Le mystère des 3 kamikazes du Stade de France

 

Pourquoi se sont-ils fait sauter à ces endroits-là ? Tout le monde s’interroge. Personne ne comprend. Enquêteurs et experts tentent de savoir pourquoi, alors qu'ils auraient pu provoquer un carnage et une panique mortelle, les trois kamikazes du Stade de France se sont fait sauter vendredi 13 novembre dans des lieux isolés, ne tuant qu'une personne, et encore probablement par accident, là où ils auraient pu faire beaucoup plus de victimes. Rappelons ici la chronologie des faits :

 

21h20 Au niveau de la porte D, le premier djihadiste actionne le détonateur de sa ceinture explosive remplie de TATP (explosif artisanal) et de boulons. Un passant, proche de lui, est tué.

21h30. Nouvelle détonation. Seule victime : le djihadiste, dont le corps coupé en deux gît sur le bitume. La vitrine du restaurant voisin est à peine fendue.

22h. Dans une rue voisine, une dernière explosion ne tue que le porteur de la ceinture piégée, dans l'entrée d'une impasse, comme s'il s'était isolé avant d'appuyer sur le bouton mortel.

 

A la fin de la rencontre. S'ils avaient attendu le coup de sifflet final, quand des milliers de personnes se pressent vers le métro, ils auraient là aussi fait de terribles dégâts, d'autant que Paris aurait déjà été sous le coup des attaques contre les restaurants et le Bataclan.

"C'est incompréhensible", confie dimanche à l'AFP, sous le sceau de l'anonymat, une source policière. "Il est miraculeux qu'il y ait eu si peu de victimes. Concrètement, ce qu'ils ont fait, à part se suicider, ça n'a aucun sens." "Ce n'est pas la bonne heure : si vous voulez faire un carnage, vous faites ça au moment de l'entrée ou de la sortie des spectateurs, ajoute le même policier. Autant ce qui s'est passé dans Paris intra-muros a du sens, autant là ce sont juste des mecs qui se sont suicidés."

Wikistrike va maintenant résoudre en direct l’énigme. La clé de compréhension résidait dans le cas Brahim Abdselam que personne n’a vu… à part nous. Et que nous venons d’élucider quelques lignes plus haut.

 Le premier djihadiste se surprend lui-même à exploser, c’est pourquoi il y aura un mort… Car ce n’est pas lui qui déclenche le minuteur, secondement, les services secrets ne le préviennent pas, donc ces derniers ne pouvaient pas savoir qu’au moment même ou ils actionnaient le minuteur, le djihadiste frôlait une personne.

C’est pourquoi 10 minutes après, pour éviter un autre mort accidentel, ils arrivent à isoler l’autre djihadiste en le guidant, en lui parlant, lequel comme les deux autres devait porter une oreillette.

Et 30 minutes après ils ont dû trouver un vice, raconter n’importe quoi, une histoire à dormie debout au troisième afin que celui-ci s’isole dans une impasse, seul, pour qu’ils le fassent sauter à son tour sans faire de victimes. Les services secrets voulaient les faire sauter sans causer de victimes, voilà pourquoi personne ne comprend leurs actes. Si les terroristes avaient été de vrais kamikazes, ils auraient fait de nombreux morts. Car ils se seraient fait explosés au bon moment et avec bien plus d’explosifs.

 Ce qui prouve de manière certaine qu’ils étaient manipulés par les services secrets, c’est déjà le fait qu’ils aient explosés isolés sans faire de mal à personne, et que secondement, leurs ceintures d’explosifs était de qualité très faible. De plus, quand un kamikaze veut faire un gros coup, il n’utilise jamais une ceinture mais un gilet d’explosifs, bien plus puissant.

La preuve irréfutable est le second djihadiste, dont le corps n’a même pas explosé, mais s’est seulement retrouvé coupé en deux. La vitre à proximité de lui se retrouve fendue, même pas brisée. Preuve que tout était calculé pour faire le moins de victimes possible. C’est un false flag absolu. C’est la preuve que l’Etat français est bien derrière : vouloir créer la terreur avec le moins de victimes possibles pour faire passer le changement de constitution tant désiré. C’est tellement gros qu’il est à peine croyable que personne n’ait deviné la supercherie. C’est pourtant d’une simplicité déconcertante.

3 apprentis kamikazes sans cervelle munis de ceintures d’explosifs moyens faites pour tuer un ou deux pigeons, 3 débiles avec des oreillettes d’où ils reçoivent leur ordre, 3 abrutis munis de GPS incrustés dans leur ceinture d’explosifs qu’on promène et qu’on file, voilà nos 3 marionnettes avec lesquelles les services secrets français ont joué aux jeux vidéo. Le Djihad international est devenu la PlayStation des services secrets français.

Le cas Salah Abdeslam

Soupçonné d'être l'un des huit auteurs des attentats de Paris vendredi, Salah Abdeslam, frère de Brahim Abdeslam, le soi-disant kamikaze du boulevard Voltaire, pour une raison indéterminée, recul ou raté, Salah Abdeslam n'a pas déclenché de ceinture explosive à l'inverse de son frère et des six kamikazes qui ont agi au Stade de France et au Bataclan. Les enquêteurs pensent que Salah et son frère Brahim ont pu former l'équipe qui a tiré à la kalachnikov sur des terrasses et des restaurants, y semant la mort et se déplaçant en Seat.

Salah Abdeslam a été exfiltré en Belgique par ses deux amis Hamza Attou et Mohamed Amri. Ils ont fait en voiture le trajet Molenbeek-Paris-Molenbeek - plus de 600 km et 6 heures de route – dans la nuit du vendredi au samedi matin.

 Les enquêteurs ont trouvé du nitrate d'ammonium aux domiciles de ces deux complices ainsi que des munitions de calibre 5.56 et de 7.62, adapté aux kalachnikovs. Le nitrate d'ammonium est un composant utilisé pour la fabrication d'engrais, mais est hautement dangereux. C'est ce composant chimique qui avait entrainé l'explosion accidentelle de l'usine AZF de Toulouse en 2001, faisant 31 morts.

Le commanditaire des attentats est l'ami d'enfance de Salah Abdeslam, le célèbre Abdelhamid Abaaout, qui a pour kounia (nom de guerre) Abou Omar. Ce dernier travaille pour l’EMNI, il s’agit de la sécurité intérieure de l’Etat Islamique (Daesh). L’EMNI est également chargé d’envoyer des espions  et des kamikazes en Europe. Chaque espion touche 50 000 € par l’EMNI pour faire une attaque en Europe. Et beaucoup plus s’il est prêt à se faire exploser (dans ce cas précis c’est la famille du martyr qui touche l’argent). C’est Abou Omar en personne qui gère les dossiers.

Ainsi, il faut comprendre que Salah Abdeslam est protégé par les plus hautes autorités de Daesh. Mais lui et son frère Brahim qui organisaient les attentats de Paris ne devaient pas mourir, mais accompagner et gérer les martyrs. Ils se sont fait doubler par les services secrets français de peur qu’ils ne parlent. Car il est au courant des accords secrets entre la France et Daesh (voir la conclusion). Pour Brahim cela a fonctionné, mais Salah, lui, sentant le coup fourré, a changé de vêtement, s’est débarrassé du dispositif GPS ainsi que de la ceinture explosive.  Et ensuite s’est enfui vers la Belgique pour rejoindre plus tard la Syrie.

Conclusion

Tous ces faits démontrent sans équivoque que l’Etat français a tout coordonné avec les services secrets, manipulant des islamistes comme des marionnettes, et ce dans leur propre intérêt : changer la constitution, pour faire et imposer un Patriot Act à la française, comme les américains après les attentats du World trade Center. Ils se sont servis de Daesh et de ses agents, comme ils l’ont fait au début pour tenter de renverser Bachar al Assad en Syrie.

N’oublions pas que Daesh est une création artificielle. Ce n’est que l’instrument de la politique de plusieurs États et multinationales. En Syrie, la présence d’officiers français encadrant des groupes armés extrémistes lorsqu’ils perpétraient des crimes contre l’humanité est largement attestée.

En effet, la France n’a pas toujours bombardé Daesh, mais lui a largué des armes durant plus d’un an. Ce point est ignoré de la presse occidentale, mais a été largement discuté un an durant par la presse arabe et perse. La vérité a éclaté au grand jour lorsque cinquante analystes du CentCom ont dénoncé les mensonges des rapports sur la Coalition, qu’une enquête interne a été déclenchée et que, finalement, le général John Allen a été contraint à la démission. Voir notamment : « Stewart, Brennan et Cardillo dénoncent les manipulations du Renseignement au Pentagone » et « Le général Allen présente sa démission (Bloomberg) », Réseau Voltaire, 12 et 23 septembre 2015.

 

David J. Feldmann pour Wikistrike

 


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Campiglia - #1

En Tout Cas Cette Théorie Est Sensé.\n

le Vendredi 20 Novembre, 2015 à 11:48:10RépondreAlerter

Anonyme - #2

En Tout C\'est Louche Qu\'après Chaque Attentat On Trouve Tjr Des Passeport Sur Les Lieu Du Crime.\nc\'est à Croire Que Plus Le Mensonge Est Gros Plus ça Passe

le Jeudi 19 Novembre, 2015 à 00:25:20RépondreAlerter

Anonyme - #3

Li Nga Wah Reuy Na Dé!

le Mercredi 18 Novembre, 2015 à 11:36:13RépondreAlerter

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