Ce que l\'homme peut vouloir et que l\'animal ne cherche pas dans son activité

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Ce que l\'homme peut vouloir et que l\'animal ne cherche pas dans son activité

Ainsi le souffle du cheval qui tire la charrette et court sur le même chemin qu’un piéton, est une rencontre, un contact physique et à distance, à la suite duquel le piéton ou même un animal, sort du chemin sans s’arrêter pour éviter une autre forme de choc indésirable dans le temps et dans le développement du mouvement des deux forces. De la même manière et pour les mêmes raisons qui appellent le piéton ou l’instinct qui gouverne l’animal  et le redirige en dehors du champ occupé par le cheval tirant un chariot et sous la direction d’un cocher raisonnable, lorsque le cocher arrive à la hauteur d’une partie de son chemin où il y a un dos d’âne ou une fracture, il modifie le mouvement de son attelage. Le dos d’âne agit comme le trou sur le chemin de Thalès agit et ne sont pas seulement des facteurs ou des conditions de l’action.  Ce qui agit c’est qui produit un effet sur lui-même ou sur une autre réalité du monde, volontairement ou involontairement. Tout agit et tout réagit dans le monde en devenir. Rien n’agit en dehors du Devenir. Tout agit et tout réagit, parce que tout est force et apparaît dans un champ de forces et d’activités extensibles et compressibles causant des pertes et rendant des gains possibles. Et selon Spinoza, les existants qui savent ce que c’est le gain et ce que c’est la perte ne veulent rien perdre dans leurs diverses activités. Qu’est-ce que l’homme espère gagner dans son activité et que l’animal ne cherche pas aussi à gagner et qui ferait ainsi la spécificité de l’homme et de l’activité humaine dans les forces du monde ?
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