Quand le transport urbain plombe la mobilité du citoyen moyen

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Quand le transport urbain plombe la mobilité du citoyen moyen

Dans sa politique de mise en œuvre du PSE, l’Etat du Sénégal ainsi que les collectivités locales ont entrepris des travaux de réhabilitation, de réfection et de construction d’infrastructures telles des routes et des ponts visant à alléger et à abréger la souffrance des populations au cours leurs déplacements.

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Le curage des canaux à ciel ouvert pré hivernal participaient à l’encombrement et aux embouteillages devenus chroniques. N’est-ce pas un idéal que d’attaquer dores et déjà ces genres de travaux !

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Ces multiples travaux d’aménagement de la voirie notamment sur l’ex pont « Sénégal 92 » devenu pont de l’émergence avaient eu pour conséquences une perte de temps et d’énergie en terme de mobilité urbaine synonyme de désagréments.

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Malgré l’ouverture de l’autoroute à péage, la richesse du parc automobile et la réduction sensible du prix du carburant, beaucoup de transporteurs font l’illégalité en haussant expressément les tarifs ou tout simplement en sectionnant les trajets au grand malheur des usagers.

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Voici une parfaite illustration sur l’axe UCAD – P.A via Grand Yoff – Patte d’Oie – Castor et ou HLM – Grand Dakar – PASTEF où les tarifs passent du simple au triple. C’est d’ailleurs la même situation qui prévaut même après réception du nouveau pont dit de l’émergence.

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Pourtant un texte règlementaire organise et fixe les montants des tickets de transport à travers toute la capitale. C’est dire que le problème de suivi se pose toujours au Sénégal.

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A quand la fin du calvaire de nos concitoyens ?

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PSE ou SPE, je suis Sénégalais Pour l’Eternité

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