Le libre choix, la vérité et ma conscience

Blogs
  • Article ajouté le : 19 Mardi, 2014 à 15h38
  • Author: Matar NDAO

Le libre choix, la vérité et ma conscience

Critiquer un Homme, ce n’est pasdéfendre une vision, ni une idéologie, cela ne restera que des critiques.Paroles mémorables, et toutes humanités sublimes de vérité, de clarté !Par, ces mots à l’emporte-pièce, certaine personne condamne toute pensée qui n’estla leur.

Selon ma vision, qu’elle soitmorale, politique, ou religieuse, la raison invoquée pour justifier lescritiques et les préjugés d’un Homme ne dégage pas la responsabilité de celuiqui a commis ou avoir ordonné cet acte, non plus, ses parents qui leurlaissent agir, sans réagir contre.

Dans un homicide, par exemple ily a toujours un coupable, et aucune idée ne saurait faire excuser un crime.Evoquant l’exemple de l’UCAD, celui a tiré sur Bassirou Faye, comme les agentset Ministres concernés, le recteur sont tous coupables. Les parents de Bassiroude même de ses camarades étudiants peuvent se permettre de pardonner ce crime,mais un crime reste un crime. De la même façon qu’autrui peut se permettre de pardonnerdes préjugés, des critiques non fondés, mais une seule chose est claire, on ne peutrien contre son destin, non moins contre le destin d’un autre.

Une vérité comme une idéologie nes’impose pas, on la laisse se répandre librement, telle est ma façon de voir leschoses, tout simplement. Une doctrine n’est pas plus vraie qu’une vérité ;une vérité plus exacte, parce qu’elle se  démèneavec violence ; ce n’est pas une propagande de brutalité qui la feradévelopper au-delà de ses limites naturelles. Au contraire, une opinion, unedoctrine acquirent moins de crédit en persécutant les Hommes dont, elle heurtele sentiment. Les convictions par contre sont le résultat de l’expériencepersonnelle et ne dépendent que de l’individu auquel, elles appartiennent, onne les réglemente ni ne les commandent.

J’ai choisi la voie de l’expressionlibre, le choix du courage et de la volonté d’agir au profit de mon peuple. Jevous y invite tout en retenant que certains peuvent être soumis à unecontrainte. La contrainte, que je définie ici, en matière spirituelle, n’est passeulement un crime contre le esprit, c’est juste un effet de bocage. Ne forçonspersonne, à engendrer une idéologie, laissons le s’auto-appeler. Ceci, car lacontrainte n’a jamais rendu personne meilleure ! Ceux qui veulent imposeraux gens une croyance ou une idéologie, une vision agissent aussi stupidementque ceux qui voudraient obliger un malade à prendre de la nourriture en le luienfonçant dans la bouche, au moyen d’un bâton. C’est pourquoi dans ma démarche,j’ai toujours laissé à mes proches, aux autres de faire leur libre choix, de m’accompagnerdans cette volonté qui bouillonne en moi, celle de l’action au profit des populations,du courage, de l’honnête en restant soi-même.

Je suis libre de choisir lechemin que ma conscience me dicte, tout en restant moi-même, adepte de lavérité.

Bonne lecture

Mr Matar NDAO

SG MPC/XIPPI

Paris le 17 Août 2014


Cette entrée a été publiée dans Politique. Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien. Alerter

Vous pouvez lire aussi

Commentez cet article

Pseudo *

Votre commentaire :

Pseudo *

Mon commentaire *