Le Blogs de : alassane kitane

 Mon cher Président de la République du Sénégal,

Je tiens, certes, à vous rappeler, son Excellence, ce que vous savez mieux que moi. Cependant, considérez ceci à sa juste valeur, comme un simple rappel.

Monsieur, le Président de tous les Sénégalais,

Je tiens à vous dire que le Covid19 est dangereux, mais la situation de la santé publique de notre pays est plus catastrophique et nécessite des mesures idoines pour protéger la population. Hippocrate soulignait depuis l'Antiquité que le premier médicament, c'est l’alimentation. La santé publique, la direction de l'environnement doivent visiter les cultures maraîchères qui utilisent des pesticides extrêmement cancérigènes. L'importation et la fabrication des boissons qui contiennent les E.... . Une bonne politique de renforcement du système humanitaire

Collectif est devenu un impératif face aux avancées technologiques qui ne cessent de produire et d'inventer sans prendre en compte le revers de la médaille.

Y a-t-il une bonne politique d'accompagnement pour lutter contre les facteurs qui favorisent le cancer ?

- Les pesticides

- La pollution atmosphérique liée au désordre qui nécessite une bonne politique d'accompagnement urbaine

- Les acariens

- La mauvaise politique sociale, culturelle et familiale qui engendre le stress et l'augmentation de la production d'adrénaline ...

Y a-t-il une structure adéquate qui prend en charge les problèmes sociaux, familiaux, et même psychologiques ?

A-t-on songé à repenser une politique d'accompagnement maternelle qui pourrait prendre en charge les mères célibataires, les mères divorcés, les mères sans revenu fixe ?

Savons-nous que le stress diminue la capacité de production de nos mères, sœurs, épouses, tantes, cousines... ?

A-t-on conscience du taux de chômage accéléré de la population dû à une mauvaise politique éducative ?

Peut-on travailler sans formation adéquate qui répond au besoin économique et culturel de notre pays ?

Les problèmes n'étant pas les mêmes, les solutions par pays doivent être réadaptée pour une meilleure prise en charge des besoins réels impérieux pour notre pays. Ouvrons nos yeux et sachons que sans une économie verte, une culture verte, intelligente et efficiente, nous serons très loin d'un supposé développement. Sans ce prérequis d'une revalorisation de nos valeurs culturelles qui doivent fonder notre pays, d'une prise de conscience collective, le développement ne sera qu'un mythe. Cette urbanisation galopante qui précède comment vivre, le civisme, l'amour de la patrie, de la nation n'est qu'un mirage.

Madame Diama Badiane

Professeure de philosophie