« Vaincre La Corruption : Une Voie Dura....
Mardi 06 Février, 2018
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Je suis agréablement surpris de voir que le débat sur la rationalisation des formations ou partis politiques au Senegal est devenu ces derniers jours, comme nous l'annonce la presse, une réelle préoccupation du gouvernement sénégalais après que beaucoup d'encres aient coulé durant ces cinq dernières années. Nous avons été nombreux à fustigier cette effervescence de partis politiques qui à la limite détruisait la démocratie et l'unité nationale plus qu'elle ne les renforçait. Car il est tout simplement impossible pour un pays de moins de 15M de populations d'avoir plus de 200 partis politiques avec chacun un projet de société clair et tangible. La raison étant qu'il ne puisse pas y avoir autant de visions pour un peuple dont l'étroitesse politique, économique, culturelle et géographique permet sans peine de déceler les fondamentaux autour desquels il va falloir élaborer des programmes et projets. Donc point besoin de cette mutlipartition irrationnelle qui en vérité, au delà de sa connotation démocratique, relève d'une faute morale et constitutionnelle car faudra-t-il bien le rappeler il est stipulé au niveau de la constitution sénégalaise que "le peuple sénégalais est UN et indivisible". Or cette kyrielle de partis politiques laissent apprécier que le Senegal est un peuple scindé, divisé en fonction de ses prises de positions politiques et idéologiques. Ce qui, par conséquent, enlèverait à notre devise (un peuple, un but, une foi) toute sa signification. Depuis trois jours le débat se poursuit a travers les médias. Et nous nous en réjouissons en tant que patriotes qui aimons voir tous nous leaders troquer leurs foulards d'égoïstes et d'opportunistes contre ceux d'altruistes, de patriotes et d'humanistes résolument engagés à servir la communauté en s'attelant à trouver des solutions sur-mesure aux souffrances et désidératas des sénégalais. Merci d'avoir engager ce débat. Et SVP n'en faites une question de buzz médiatique. On n'a pas besoin de tout ce palabre cette fois-ci. Le palabre se fait sois le baobab comme disait Yves Ekoi Maizo. Ce que l'on attend de vous, Gouvernement, vu tous les pouvoirs qui vous sont légalement investis, c'est de prendre une décision, c'est d'arbitrer et de donner suite a cette préoccupation nationale. #Le_Combat_Continue...
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