Le Blogs de : Herr zack

 La première impression est celle d'une foule insouciante et adoptant l'attitude relâche de personnes ne craignant point de lendemain durs. On est bein à Paris. Les femmes sont belles et endimanchées, les hommes saints et suractifs. Les mines et les teints sont luisants et lustrés tel des loutres bien portant. Les griots et autres laudateurs furent d'humeur agréable et survoltée. Encouragés en cela par des bongo-man, sortis d'on ne sait où. C'était une foire bon enfant sans empoignade aucune. 

Dans la grande salle des banquets du Palais des congrés, Macky Sall adoubé par un Ousmane Tanor Dieng affable et courtois évolua comme un poisson dans l'eau entouré de ses concitoyens. La décontraction et la détente de tous les membres entourant le président assurait du triomphe de l'événement. Mahmoud Saleh buvait du petit lait. Tanor prononca un discourt sincére, authentique et fondé. La foule l'approuva par des ovations spontanées.

Macky, à sa prise de parole, rappela le contexte de deuil national décrété au Sénégal, à la suite de la disparition de Nelson Mandela et ne manqua pas de rappeler que la majorité de ses promesses était tenue. Avec La concrétisation de la CMU, du bourse familiale, de l'éradication de la vignette automobile et de l'augmentaion des centres extérieur de délivrance des passeports et cartes national d'identité de 8 à 28.

Comme il l'a dit, Macky à prouvé qu'il était très préoccupé de combler l'âbime séparant la minorité argenté du commun des Sénégalais. La politique est la science des exigences. Et Macky a vite compris que la politique est surtout une affaire de politesse.