Le Blogs de : Herr zack

l'allemagne est un pays extraordinaire. j'ai ressenti ici des èmotions que l'italie etl a france m'avaient fait oublier. j'ai vu des gens simples, decomplexés et ne sursautant pas à la moindre ècart de ton ou de geste. ici les gens sont paisibles, (immigrès y compris) et vague tranquillement à leurs occupations sans se soucier des autres. je peux vous l'assurer; que c'est reposant de ne jamais se sentir scruter par des ignorants minables. du coup on s'èpanouit soi mème.

à berlin j'ai vu d'anciens soldats de la DDR, j'ai mème discutè avec un, qui tous les matins vient apprècier sa cigare juste sous le bois en bas de chez moi. c'est un costaud du troisième age assez solide. dans une autre ville que berlin, il aurait fait peur, surtout au coin d'un bois. mais ici tout est naturel, dès le premier jour on est dans le bain. ce vieux costaud, me salut aimablement tous les matins, confortablement installè sur son fauteuil roulant. un jour voulant me prendre moi mème en photo, il s'est proposè et par la suite m'a montrè de son portefeuille des photos èlimèes d'anciens soldats noirs. c'ètais ses amis m'expliquait'il. d'anciens vètèrants noirs amèricains.

à berlin j'ai vu des pauvres fières, heureux et ne quèmandant rien à quiconque. offrant mème je dirais des graines de cèrèales qu'ils puisaient de leurs poches, les aspergeant en l'air à des moineaux chantonnant. je vous assure que cela fait ènormèment de bien de voir de ces scènes.

à berlin j'ai vu de mes propres yeux un vieux tout boursoufflè de la taillle aux èpaules. il ètait bizarre ce vieux. fourrer plein de nounours dans ses habits en ètè ca fait bizarre. nous ètiames en attente à un arret de tram, aprèes quelques instant j'ai observè qu'un des nounours s'agitait sous ses vètements à fleur de peau. aprèes un long monologue avec le nounours, le vieux plongea doucement sa main à l'intèrieur de sa chemise et en ressortit un gros rats d'ègout noir dotè d'une grosse et longue queue marron. avec douceur, il parlait à l'animal ses lèvres collèes à son museau. j'ètais stupèfait. autour de moi que des gens dignes, indiffèrents. une petite fille tendait un bout de son gateau au rats sous le regard amusè du vieux et de sa mère. jusque là, les rats d'ègouts ètaient rèputaient rèpugnants. j'aurais jamais cru, qu'ils y aurait des gens qui iraient jusu'à les domestiquer. et je vous le dis encore, le vieux en avait plusieurs de tous les ages sous sa peau.

à berlin, j'ai vu des gens libre du jugement des autres. ayant baignè dans cette atmosphère depuis près de quelques jour, je dècide d'aller au galeries kaufhauf d'alexanderplatz. c'est un peu l'èquivalent des galeries lafayette à paris. voulant me faire au moeurs locale, à mon saut du lit, je prend mon petit dèjeunez, je garde le mème calecon pyjama, enfile un polo et je sors sans prendre une douche. durant tout le trajet que je fais à pieds, je me sens le fou du village et èhontè. une fois dans la galerie, après quelques minutes, je vois une des vendeuses suivre avec respect un homme aussi long et mince que moi seulement vètu d'un slip noir et d'une èspèce de camisole ou marinière noire. le vètement lui arrivè juste au ras des fesses.et son minuscule slip ètait carrèment en l'air. et le plus insolite dans cette accoutrement est que l'individus  avait à ses pieds des souliers noirs assez classe et assortis de chaussettes noires. le monsieur m'a sourit, complimentè sur ma taille, ma minceur et s'est prèsentè comme ètant une personnalitè politique allemande.

à berlin, j'ai vu des vèlos taxi. ah qu'ils sont heureux et en bonne santè les conducteurs de ces engins. y'a de tout, des filles souriantes, des allemends restas, des vieux heureux de tout quoi. c'est les seuls que j'ai vu enfreindre le code de la route allemande sous l'oeil nègligent de la population et des policiers. nulle part ailleurs à berlin on ne s'avvise à violer cette code de la route rigoureuse. valablepour pièton, vèlos, autos, carrosse à chevaux, tout quoi.