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Reinstatement of customs duty on broken rice: Thierno Bocoum denounces a “charge against the most vulnerable”

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Rétablissement du droit de douane sur le riz brisé : Thierno Bocoum dénonce une “charge contre les plus précaires”

As the government considers reinstating customs duties on broken rice, a staple food for millions of Senegalese households, Thierno Bocoum, president of the AGIR–Les leaders movement, is sounding the alarm. In a post, he criticizes what he calls a structural inconsistency in the current regime's economic policy. "Instead of considering reinstating customs duties on broken rice, the most consumed commodity by the poorest households, the government could have demanded that importers immediately pass on the drop in world prices to the price per kilo, while extending the suspension until the market has stabilized sustainably."

Broken rice, a staple of the popular diet, thus finds itself at the heart of a budgetary arbitrage that, according to Bocoum, unfairly weighs on the most vulnerable classes. “Broken rice, a staple of the popular diet, deserves better than a simple accounting adjustment intended to shore up a budget burdened by operating expenses.”

The president of AGIR doesn't mince his words: for him, this decision reveals a serious contradiction in the authorities' stated priorities. "An economic and social plan begins with social actions. The current regime's plan begins with an announced attack on the most vulnerable."

Bocoum also protests against the maintenance of state privileges while we prepare to reactivate tax mechanisms that directly affect the household basket.

"They are preparing to reinstate popular taxation, but are preserving state privileges. Political funds remain intact, and prestige spending related to office is not being called into question."

In conclusion, he points to a recurring pattern in the management of public finances. “Unfortunately, the reflex to levy money on households as a priority is constantly recurring.”

Auteur: Ndeye Astou Konaté
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Commentaires (12)

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    Consommons local il y a 14 heures

    Il faut consommer local. Bravo une absurdité apors qu'on produit et exporte du riz. Vu où va le monde tt le monde consomme local et evite les produits importés. Ca cree de valeurs sur nos territoirres.

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    Moss Demm il y a 14 heures

    La belle vie sénégalaise est entrain de disparaitre avec ces fainéants de pastef

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    moussa il y a 14 heures

    Merci Pastef

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    Top il y a 13 heures

    CONSOMMER LOCAL Ç EST BIEN .MAIS IL Y A BEAUCOUP DE PRODUITS LOCAUX COUTENT TROP CHERS COMME LE FONIO PRIX AU KILO 2000 F CFA . 4 FOIS PLUS CHER QUE LE RIZ

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    Blankagiga il y a 13 heures

    Thierno Bocoum, dans son empressement à se positionner en défenseur des plus modestes, a choisi la voie de la critique facile et simpliste, ignorant délibérément les réalités complexes de la gouvernance et de la macroéconomie. Son analyse, plus un cri de ralliement populiste qu'une réflexion sérieuse, dépeint le gouvernement comme un ennemi du peuple, prêt à sacrifier les foyers modestes pour ses propres intérêts. Une démagogie qui tourne le dos à la réalité économique Affirmer que le rétablissement des droits de douane est une simple "charge contre les plus précaires" est une démagogie grossière. La suspension de ces droits n'était qu'une mesure d'urgence, une béquille temporaire face à une crise mondiale. Penser qu'un État peut s'en priver indéfiniment est absurde. Les droits de douane sont des recettes essentielles, l'oxygène budgétaire qui permet à l'État de construire des écoles, d'équiper des hôpitaux et de financer les filets sociaux qui, ironiquement, protègent justement les plus vulnérables. Bocoum préfère une solution de facilité qui ne fait qu'endetter l'avenir et fragiliser les fondations de l'État pour une popularité éphémère. Une proposition naïve et irréalisable Sa proposition de "demander aux importateurs de répercuter la baisse des prix" est d'une naïveté déconcertante. Le marché ne fonctionne pas par décret. Tenter d'imposer un prix aux acteurs économiques, c'est risquer la pénurie et l'effondrement des filières d'approvisionnement, avec des conséquences bien plus graves que l'ajustement du prix du riz. Un leader responsable ne propose pas des solutions de conte de fées, mais des stratégies viables qui tiennent compte de la complexité des marchés et des chaînes d'approvisionnement. Bocoum s'illustre ici par son manque de connaissance des mécanismes économiques. La rhétorique sur les "privilèges d'État" est la cerise sur le gâteau d'une critique opportuniste. En opposant les dépenses de fonctionnement aux besoins des ménages, il détourne l'attention de l'enjeu réel : la nécessité de garantir des recettes stables pour un État fonctionnel. Les fonds politiques et les dépenses de prestige peuvent être débattus, mais ils ne sauraient en aucun cas compenser la suspension des droits de douane. Cette association est un raccourci malhonnête pour susciter l'indignation populaire sans offrir de vraie perspective. Le gouvernement, en rétablissant une fiscalité raisonnable et nécessaire, fait preuve de responsabilité, là où M. Bocoum préfère se draper dans le costume du justicier social pour gagner des points politiques. Sénégal sunu reew

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    PANAFRICAIN il y a 13 heures

    Thierno, vas chercher du travail et arreter de nous tympaniser

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    SambaKaraw il y a 13 heures

    Très belle plume @Blankagiga et très belle analyse.

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    Patience il y a 13 heures

    Encore lui...le négatif. Il voit des problèmes partout et ne sait rien de ce qu'il dit.

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    David W il y a 13 heures

    Thierno Bocoum, encore une fois, s’agite dans le vide. Un homme perdu dans le néant politique, qui crie pour exister. Pourquoi faire ? Que peut-il nous apporter ? Pas grand-chose, pour ne pas dire rien par respect. Sa sortie sur le riz brisé ressemble davantage à un exercice de posture qu’à une proposition sérieuse. Il dénonce, il s’indigne, mais il ne construit rien. Sa solution ? Demander aux importateurs de baisser les prix comme par magie. Une naïveté économique qui frôle l’irresponsabilité. Pendant que le gouvernement tente de rétablir une fiscalité essentielle pour maintenir les services publics, Bocoum préfère jouer au justicier social, ignorant les réalités budgétaires. Il oppose les privilèges d’État aux besoins des ménages, comme si l’un pouvait compenser l’autre. Ce raccourci populiste ne fait qu’alimenter l’indignation sans offrir de perspective viable. Toutes les feuilles mortes de l’opposition veulent se regrouper ? Qu’elles fassent donc leur compost, il sera plus facile de les évacuer par les urines de l’histoire. Bocoum, comme beaucoup d’autres, croit qu’un cri bien placé suffit à masquer l’absence de vision. Mais dans un paysage politique où les enjeux sont complexes, les slogans ne suffisent plus. Il est temps que les acteurs politiques cessent de tympaniser le peuple avec des discours creux et commencent à proposer des solutions réalistes.

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    XXX il y a 12 heures

    BOCOUM va chercher du boulot pour éviter la précarité.

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    Powernow il y a 12 heures

    Vraiment ce Thierno Bocoum là...

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    Léo il y a 11 heures

    Il semblerait que ce Thierno là est actionnaire chez Facebook, c'est ce qui explique sa Diarrhée verbale .

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