Cap-Skirring : mystérieux échouage de dauphins, les habitants inquiets
More than fifteen dead dolphins have been found in recent days on the beaches of the seaside resort of Cap-Skirring , in the commune of Djembering, in Senegal.
This phenomenon, attributed to strong seas and winds, is worrying residents and environmentalists, reports Libération in its edition of Saturday, August 9.
According to the same source, Abdoulaye Diatta, a local resident, wonders about the possible causes: pollution or abnormal behavior of the dolphins?
The former mayor of Djembering, Tombong Guèye, quoted by the newspaper, warns of the ecological consequences, recalling the importance of dolphins in the balance of the local ecosystem.
He called on the authorities to conduct laboratory analyses to determine the exact causes of these deaths, and urged the State and international partners to support the municipality, already threatened by coastal erosion.
Commentaires (11)
Enquête d'urgence Mme la brave Ministre de la pêche qui vient d'une tournée à succès au Sud du Pays. Plus Mr le très dynamique et cool Ministre de l'environnement. Les dauphins sont les portes bonheur des Océans.
Quel partenaire ? C gens qui nous gouverne ont chassé tout le monde
Gouvernement de pilotage a vu
ftg
C'est à prendre au sérieux et élucider.
Les services nationaux doivent autopsier les dauphins morts. Appeler les ONG en renfort.
La cause n'est pas naturelle.
Il faut analyser et trouver les causes de leur mort. Tout le monde aime les dauphins.
attribué à un coup de mer et de vent.......................kesako ? Ché quoi
bambouweb
Un phénomène ancien, récurrent et mondialement observé
L’échouage massif de dauphins à Cap-Skirring, dans la commune de Diembering au Sénégal, n’est pas un événement isolé. Ce type de phénomène est connu depuis des siècles et a été observé dans de nombreuses régions du monde. Mais ce qui est particulièrement préoccupant ici, c’est que ce n’est pas la première fois que Diembèring est confrontée à ce genre de drame écologique.
Des exemples à travers le monde
• Nouvelle-Zélande : Les échouages de globicéphales à Farewell Spit sont fréquents, parfois par centaines.
• États-Unis (Cape Cod) : Les dauphins s’échouent régulièrement dans les baies peu profondes, souvent désorientés.
• Japon (Hokota) : En 2015, près de 150 dauphins ont été retrouvés morts, soulevant des hypothèses sismiques.
Diembering : une zone déjà touchée
Les côtes de Diembering ont déjà été le théâtre d’échouages de dauphins par le passé, ce qui soulève des interrogations persistantes sur les causes :
• Facteurs naturels : coups de mer, vents violents, marées inhabituelles.
• Pollution marine : rejets chimiques, plastiques, hydrocarbures.
• Perturbations acoustiques : sonars, trafic maritime, forages.
Le fait que ce phénomène se répète dans la même zone suggère une vulnérabilité particulière de cet écosystème côtier, ou une combinaison de facteurs locaux aggravants.
Des causes encore floues
Malgré les nombreuses hypothèses, les causes exactes restent méconnues ou controversées :
• Certains scientifiques évoquent des désorientations magnétiques.
• D’autres pointent la pollution ou les maladies infectieuses.
• Les comportements sociaux des dauphins, très grégaires, peuvent aussi jouer un rôle : un individu désorienté peut entraîner tout le groupe vers le rivage.
L’érosion côtière : une menace silencieuse
Comme le souligne l’ancien maire Tombong Guèye, l’érosion côtière est une autre urgence écologique à Diembering :
• Recul du littoral : les plages disparaissent, menaçant les habitats naturels.
• Villages en péril : certaines zones risquent d’être englouties ou rendues inhabitables.
• Perte de biodiversité : les écosystèmes marins et terrestres sont fragilisés.
Conclusion – Une alerte écologique aux multiples visages
L’échouage de plus d’une quinzaine de dauphins sur les plages de Cap-Skirring, dans la commune de Diembèring, n’est pas un événement inédit. Ce phénomène, déjà observé à plusieurs reprises sur cette façade atlantique, interpelle par sa récurrence et son mystère. Les causes restent floues : coup de mer, pollution, désorientation magnétique ou perturbation acoustique ? Les hypothèses abondent, mais aucune ne fait consensus.
Ce drame écologique, qui inquiète autant les riverains que les environnementalistes, révèle une vulnérabilité croissante des écosystèmes marins. Les dauphins, sentinelles de l’océan, sont les premiers à en payer le prix. Et leur disparition massive pourrait annoncer des déséquilibres plus profonds.
Mais au-delà de l’urgence animale, une autre menace silencieuse s’installe : l’érosion côtière. À Diembèring, elle grignote les rivages, fragilise les habitats et menace de faire disparaître des villages entiers. L’ancien maire Tombong Guèye tire la sonnette d’alarme : sans soutien de l’État et des partenaires internationaux, la commune risque de sombrer dans l’oubli, emportée par les vagues et l’indifférence.
Face à cette double crise écologique et territoriale une mobilisation scientifique, politique et citoyenne s’impose. Il en va de la survie des espèces, mais aussi de celle des communautés humaines qui vivent en symbiose avec la mer.
De grosses entailles sur les dauphins ! Pas besoin d’autopsie … il faudrait être bête pour ne pas comprendre. C’est le travail des pêcheurs du cap skirring pour se venger des dauphins qui se sont pris dans leurs filets !!!! L’Etat doit prendre ses responsabilités et poursuivre l’ensemble de ces pêcheurs qui n’ont aucun respect
STOP à la barbarie au cap skirring !
Des dauphins pris dans des filets.
Pas secourus.
Mutilés.
Lacérés.
Laissés mourir.
Ce n’est pas de la pêche.
C’est un crime.
Exigeons des lois qui protègent nos océans et punissent les bourreaux.
Les dauphins ne sont pas des nuisibles, ils sont la vie de la mer.
Dauphins massacrés au cap skirring : ça suffit !
Il y a des crimes qui se passent loin des caméras. Des crimes qu’on voudrait invisibles, étouffés par le bruit des vagues et des moteurs de bateaux. Dans les filets de certains pêcheurs, des dauphins se retrouvent piégés, épuisés, terrifiés. Mais au lieu de les libérer, certains « hommes de mer » choisissent de les lacérer, de les saigner, de les laisser mourir dans une agonie atroce.
C’est de la barbarie. Pas un accident. Pas une fatalité. Un choix.
Et chaque coup de couteau porté contre ces animaux intelligents et sensibles est un coup porté contre notre humanité.
Les dauphins ne sont pas des concurrents. Ils ne volent pas nos poissons. Ils font partie de l’équilibre fragile des océans. Les détruire, c’est détruire l’écosystème qui nourrit aussi l’homme. Alors pourquoi ce silence ? Pourquoi cette tolérance ?
Assez des excuses ! Des alternatives existent : filets sélectifs, répulsifs acoustiques, nouvelles méthodes de pêche. Ceux qui s’y refusent préfèrent le sang au respect.
Nous exigeons que les auteurs de ces actes soient poursuivis, condamnés, bannis de la mer. Nous exigeons que l’État protège enfin les dauphins avec la même fermeté que d’autres espèces menacées.
Parce que si nous laissons faire, demain, ce ne sont pas seulement les dauphins qui disparaîtront. Ce sera un peu de notre âme.
Halte à la barbarie contre les dauphins
En pleine mer, loin des regards, se joue un drame silencieux. Dans les filets des pêcheurs, des dauphins se retrouvent piégés, prisonniers d’un piège qui n’était pas destiné à eux. Ces êtres sensibles, capables de créer des liens sociaux complexes, de jouer, de communiquer et même de porter secours à d’autres espèces, se retrouvent à la merci d’hommes qui, au lieu de les libérer, choisissent parfois de les lacérer à coups de couteau pour « protéger » leurs prises ou gagner du temps.
Ces gestes ne sont pas seulement cruels : ils sont indignes. Ils trahissent l’inhumanité de ceux qui les commettent et révèlent un mépris total pour la vie marine. La mer n’appartient pas aux pêcheurs ; elle est un bien commun, un écosystème fragile où chaque espèce joue un rôle essentiel. S’attaquer aux dauphins, c’est blesser l’océan tout entier.
Il existe des alternatives : des filets sélectifs, des dispositifs répulsifs acoustiques, des techniques de pêche moins destructrices. Les ignorer au profit de la facilité et du profit rapide est une faute morale et écologique.
Nous ne pouvons plus détourner le regard. Les autorités doivent sanctionner sévèrement ces actes, renforcer la surveillance en mer et soutenir les pêcheurs qui s’engagent pour une pêche responsable. Mais surtout, la société toute entière doit affirmer haut et fort : la barbarie n’a pas sa place dans nos océans.
Les dauphins ne sont pas des nuisibles. Ils sont les sentinelles de la santé des mers, les compagnons de nos rêves marins. Les mutiler, c’est mutiler notre humanité.
Où sont les défenseurs de l'environnement et de la protection des espèces ?
Les photos parlent d'elles mêmes.
On voit les blessures béantes que l'on peut imputer à la pêche artisanale ou industrielle.
Au Mexique les pêcheurs et les dauphins travaillent ensemble pour encercler les bands de poissons.
Les poissons qui sautent hors du fillet sont mangés par ces derniers laissant le fruit de la pêche aux pêcheurs.
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