Examens de santé au Sénégal : des professionnels dénoncent des résultats «pires que tous les examens réunis»
The results of state examinations in the health sector are considered catastrophic: only 0.70% of midwife candidates, 4.58% of state nurses and 7.15% of nursing assistants were admitted to the practical phase, reports Les Echos.
Faced with this situation, the same source points out, two organizations in the sector, the National Association of State-certified Nursing Assistants of Senegal (Anaides) and the National Union of Private Health Schools (Uneps), are sounding the alarm and calling for urgent reform.
For Anaides, these results confirm a "recurring trend for nearly a decade." The association describes this situation as a "systemic crisis" that jeopardizes the future of an entire generation of healthcare professionals.
For its part, UNEPS says it is "deeply concerned" by these "incomprehensible" figures. It rejects the idea that these results reflect a failure in training, defending the quality of the teaching provided in its establishments.
The competency-based approach (CBA) in question
Both organizations point the finger at the Competency-Based Approach (CBA), the current assessment system. They believe that an assessment system with such a low success rate should be questioned. UNEPS, in particular, criticizes the application of a 10/20 elimination mark, which it considers contrary to the spirit of the CBA.
Faced with this crisis, Anaides and Uneps are calling on the authorities to hold a "national dialogue" and an "interministerial council" to thoroughly reform the evaluation system and save the health training sector.
Commentaires (6)
Les ecoles privèes de santè doivent etre revues. Certaines n ont pas le niveau requis pour former et pourtant continuent à encaisser l argent des apprenants.
J'ai participé à plusieurs évaluations des programmes de formation des sages-femmes. Le constat a toujours été le même : formation essentiellement théorique ; peu ou pas de stage pratique. Les conséquences de cette carence dans l'enseignement se voient sur terrain. Posez la question aux médecins et vous comprendrez mieux la source du problème. Si l'on pointe du doigt le système d'évaluation, il faut nécessairement revisiter la formation. Wa salaam.
La santé est trop sérieuse pour être confiée à des néophytes. les écoles privées de santé pullulent comme des champions et la formation ne suit pas. heureusement que que les étudiants font un diplôme d'Etat, sinon nos structures de santé seraient infectées par ces culunards de la sante.
C'est de l'arnaque, il ne s'agit pas d'un problème systémique ou de la performance des candidats mais plutôt d'une volonté de vouloir nuire à la carrière des candidats aptes. La reconnaissance des diplômes délivrés par les écoles professionnelles de santé qui disposent d'une accréditation est une urgence.
tous ces mauvais résultats proviennent des écoles bidons qui refusent d'appliquer les référentiels de l'ANAQ SUP Réfléchissons un peu ;c'est la manne financière qui fait courir le MSAS et son DRH et chef de division formation Qu'en est il des licences délivrées par l'ENDSS et les écoles habilitées Meme l' anides dont le président est propriétaire d'école bidon se permet de raler au lieude se conformer à lANAQ
AIDEZ NOUS A ASSAINIR LES GARAGES( PETERSEN ECT... )ET LES MARCHES.LES CHAUFFEURS NE SE SOUCIENT PLUS DE L ETAT DE LINSALUBRITE DES LIEUX
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