L'âge légal pour avoir accès aux services de santé reproductive est passé de 18 à 15 ans au Rwanda, après l'approbation d'une loi par le Parlement, une décision saluée mardi par des associations de défense des droits humains.
Sa vie, marquée par la fistule obstétricale, est un parcours parsemé de douleurs physiques intenses, d’abandon conjugal et de précarité économique. Pourtant, Ramata Niang, c’est son nom, au cœur de ces épreuves, a puisé sa force dans l’amour indéfectible de sa famille et l’espoir tenace d’une guérison qui lui redonnera la dignité et la sérénité. Mère de quatre enfants, elle incarne le visage poignant de cette réalité trop souvent oubliée.
À l’occasion de la Journée internationale de la femme, ce 8 mars 2025, la CEDEAO, via son Centre pour le développement du genre (CCDG), a scellé un partenariat avec le ministère sénégalais de la Famille et des Solidarités.
La mortalité maternelle demeure un enjeu majeur de santé publique à travers le monde. Au Sénégal, malgré une baisse notable, les défis persistent.
![[Focus] L’infertilité au masculin : des solutions émergent pour les couples](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//5b6581504fd6e56592e58a2c69786167a5db7734.jpg)
« L’infertilité ne doit plus être vue comme une affaire exclusivement féminine. Une meilleure information et une prise en charge précoce sont essentielles pour optimiser les chances de conception », insiste la docteure Ndèye Awa Diagne, gynécologue-obstétricienne et cheffe de la division de la planification familiale à la Direction de la Santé de la mère et de l’Enfant. Elle recommande aux couples de consulter des spécialistes sans tarder après un an de vie conjugale sans grossesse, afin d’améliorer leurs perspectives de succès. Changer les mentalités et adopter une approche inclusive deviennent des impératifs.
![[Focus] L’infertilité au masculin : des solutions émergent pour les couples](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//a41b3311d931f7504ed69a857bd29596f0542149.jpg)
« L’infertilité ne doit plus être vue comme une affaire exclusivement féminine.
La mortalité maternelle demeure un enjeu majeur de santé publique à travers le monde. Au Sénégal, malgré une baisse notable, les défis persistent.
Les médias ont un pouvoir immense dans la diffusion d'informations qui peuvent sauver des vies.
L'association des journalistes en santé, population et développement (AJSD) a ouvert, ce lundi, un atelier formation et sensibilisation à l'intention des médias pour une grande implication sur le partage des plans stratégiques de la santé reproductive, maternelle, néonatale infantile, des adolescents et des jeunes et de la nutrition (SRMNIA-N) et PANBPF 2024-2028.
La région de Saint-Louis a procédé au lancement officiel de la semaine « Santé de la mère, de l'enfant et de l'adolescent », un événement marquant visant à renforcer la sensibilisation et l'engagement communautaire en matière de santé maternelle et infantile. La cérémonie s'est tenue en présence de l'adjoint au préfet, Abdou Khadre Dieylani Ba, et des autorités sanitaires de la région, qui ont souligné l'importance de la mobilisation collective pour améliorer les indicateurs de santé.
La santé reproductive et sexuelle est un enjeu majeur pour le bien-être des femmes et des jeunes, au Sénégal. Dans cette optique, Affaires mondiales Canada (AMC) finance le projet "Thiendiya", en collaboration avec l’UNFPA et le gouvernement sénégalais.
Kaffrine a lancé officiellement la cinquième édition de la Semaine nationale de la santé de la mère et de l’enfant. Cette cérémonie a été présidée par le gouverneur de la région, Moustapha Diaw, qui a souligné l’importance de cet événement dans l’amélioration des performances des programmes de santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile, de l’adolescent et de la nutrition.
Un comité régional de développement (CRD) consacré à la dissémination du Plan stratégique de la santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile, des adolescents et des jeunes, de la nutrition et du Plan annuel national budgétisé de planification familiale s'est tenu ce mardi 28 janvier à la gouvernance de Kaolack. C'était sous la présidence de l'adjoint au gouverneur chargé du développement Mamadou Habib Camara.
Un Comité régional de développement (CRD) sur le lancement du Plan stratégique de santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile, de l’adolescent et de la nutrition (PS SRMNIAN-N), et du plan national budgétisé de la planification, a réuni hier, autour des autorités administratives et territoriales, des chefs de service, plusieurs acteurs impliqués dans les différents secteurs, de la santé, de l'éducation et de la formation, pour une appropriation du projet.
La région de Kaffrine a accueilli ,ce lundi, un comité régional de développement (Crd) portant sur la dissémination du Plan Stratégique de la Santé Reproductive, Maternelle, Néonatale, Infantile, des Adolescents et des Jeunes et de la Nutrition (SRMNIA-N) 2024-2028, ainsi que sur le plan d’action national budgétisé de Planification Familiale (Panbfp) 2024-2028.
Le digital est aujourd'hui accessible à une grande majorité de la population.
Abdoulaye Ka, coordonnateur du projet Sansas, fait le point sur les réalisations et les impacts de cette initiative phare dédiée à la santé reproductive des jeunes. Lancé par un consortium composé de 5 organisations de la société civile (Solthis, ENDA santé, LARTES, RAES, Equipop) avec des objectifs ambitieux. Sansas a mobilisé plusieurs jeunes à travers des formations et outils pour les transformer en leaders communautaires.
Près de 34 000 filles âgées de 7 à 18 ans ont été victimes de violences basées sur le genre.
Le Sénégal a élaboré et mis en œuvre divers plans et programmes qui ont permis d'enregistrer d'importants progrès dans le domaine de la santé maternelle
La troisième édition du Forum Exclusivement Féminin se tiendra du 24 au 26 octobre 2024 à Saint-Louis.
