Nommé Premier ministre le 4 novembre 2002, Idrissa Seck a été limogé de son poste le 21 avril 2004 et remplacé par Macky Sall, ancien ministre de l'Intérieur et actuel Président de la République.
“Le président la République vient, en toute responsabilité et en parfait accord avec moi, de prendre une décision, conformément à ses prérogatives constitutionnelles, de mettre fin à mes fonctions de Premier ministre. Le pays souffre du désordre et du manque de tranquillité occasionnés par la perception entretenue d'une dualité au sommet de l'Etat, dualité qui ne saurait en aucune façon exister, car (...) le président est le lieu unique de la décision, parce qu'il est le siège où se concentrent les suffrages des citoyens”, avait-il déclaré devant la presse, après son limogeage.
Le départ de Idrissa Seck a, en effet, eu lieu après plusieurs mois de rumeurs sur des frictions croissantes entre le camp de l’ancien président, Me Abdoulaye Wade, et celui du Premier ministre qu'il était.
Parmi les faits qui avaient précipité le limogeage de Idrissa Seck, il y a ce discours qu’il avait prononcé le mercredi 21 avril 2004 lors de la rencontre de la Direction politique nationale (Dpn) du Pds. Rappelant de mauvais souvenirs, Idrissa Seck disait «Aouzou Billahi mina chaytaani rajiimi, bismillahi rahmaani rahiimi. Je remercie le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade. Mais je voulais seulement lui rappeler que lorsque Ousmane Ngom qui sera dans son prochain gouvernement le trahissait, nous étions lui et moi assis à la piscine en train de réfléchir sur le fonctionnement du parti. Lorsque Cheikh Tidiane Sy l’abandonnait le 16 février, nous étions aussi ensemble”. Des propos rapportés par «L’Observateur» dans son édition n°180 du jeudi 22 avril 2004. Selon toujours le journal, il a suffi que l’ancien premier ministre prononce ses mots pour que Me Wade lâche : « Je ne veux plus travailler avec cet homme». La rencontre de la Dpn, qui n’a duré que 15 minutes, a ainsi pris fin. Idy est limogé le même jour et remplacé par Macky Sall à la tête de la Primature.
Cela avait occasionné la formation d’un nouveau gouvernement le 22 avril 2004 qui comptait 39 membres, soit cinq de plus que celui formé en août 2003.
En disgrâce, Idrissa Seck ne sera plus membre de la Direction Politique Nationale du PDS. Il sera ensuite arrêté, le 14 juillet 2005, par la Division des investigations criminelles (Dic) et déféré au parquet. Inculpé pour atteinte à la sûreté de l’Etat, il sera placé sous mandat de dépôt par le Doyen des juges de l'époque, Seynabou Ndiaye Diakhaté. Il occupait alors la chambre qu'occupe aujourd'hui Karim Wade.
Le 03 août 2004, l'Assemblée nationale vote une mise en accusation par 69 voix contre 35 sur 120 députés et renvoie Idrissa Seck et feu le ministre de l'Habitat, Salif Bâ, devant la Haute Cour de justice, pour malversations financières sur les chantiers de Thiès. Plus tard, Idrissa Seck et Salif Bâ bénéficieront d’un non-lieu pris par la Commission d'instruction de la Haute Cour de justice dirigé à l'époque par feu Cheikh Tidiane Diakhaté, alors Premier président de la Cour d'appel de Dakar. Le 7 février 2006, Idrissa Seck sort de prison et créé quelque temps après son parti, Rewmi.
40 Commentaires
Anonyme
En Avril, 2015 (11:47 AM)Oser
En Avril, 2015 (11:48 AM)Rewmi
En Avril, 2015 (11:54 AM)Ba Mbao
En Avril, 2015 (11:59 AM)Rana
En Avril, 2015 (11:59 AM)Anonyme Abéé
En Avril, 2015 (12:07 PM)Zeub
En Avril, 2015 (12:18 PM)Cool
En Avril, 2015 (12:30 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (12:31 PM)Anonymesen
En Avril, 2015 (12:33 PM)Penda
En Avril, 2015 (12:39 PM)Borom Gualem Gui
En Avril, 2015 (12:50 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (13:17 PM)Doli-doli
En Avril, 2015 (13:27 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (14:09 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (14:15 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (14:39 PM)Jo
En Avril, 2015 (15:10 PM)Le pays était bloqué durant tout le temps qu'il fut PM, comme wade l'a dit, "c'est avec Macky sall que mes projets ont commencé à sortir de terre.
Daouda Pouye Diamniadio
En Avril, 2015 (15:38 PM)Deugue Rek
En Avril, 2015 (15:59 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (16:15 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (16:43 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (17:14 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (17:18 PM)LA TORTUOSITÉ N'A JAMAIS PAYÉ POSITIVEMENT GUEUM YALLA REK MO AM SOLO !
LEÇON À SAVOIR AUSSI PAR MACKY. SINON... DIEU EST JUSTE ET OMNISCIENT !
Eiba
En Avril, 2015 (17:42 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (17:58 PM)Borom Teranga
En Avril, 2015 (18:43 PM)Anonyme
En Avril, 2015 (19:31 PM)Mouride Pdt
En Avril, 2015 (21:34 PM)A Lire Important
En Avril, 2015 (22:49 PM)LETTRE ECRIT PAR IDRISSA SECK POUR TOUS LES SENEGALAIS
Chers compatriotes
J'ai Suivi avec intérêt le débat retrouvailles ou opposition. WADE/IDY, j'ai écouté. Avec une égale attention les arguments des uns et des autres, et remercie tous ceux qui m'ont exprime leurs avis sur la question, directement ou indirectement. Je n'éprouve aucune rancune à l'endroit de WADE, je lui conserve tout le respect qu'inspire son parcours de grand opposant.
L'histoire enseigne cependant que le destin personnel des hommes même d'État est une insignifiance au regard des intérêts supérieurs d'une nation. Lesquels commandent aujourd'hui que soient corrigées les insuffisances notées sur le pouvoir de Wade. Qui pourrait mieux le faire que celui qui en connait l'envers et le revers. Être grand c'est soutenir une grande querelles. Pas une petite où des individus s'entredéchirent, une grande au sujet de la nation. Il m'aurait suffi de dire Oui à tout, de n'exprimer aucun désaccord, ni sur le projet de la Loi Ezzan' ni sur la place de la famille dans l'État, ni sur les délais irréaliste des nombreuses promesses présidentielle, pour conserver pour conserver tous les privilèges attachés à ma position d'alors, de "quasi" président de la République et l'idylle d'un compagnonnage ininterrompu de 30ans se serait poursuivie sans heurts. Mais comment aurais-je pu alors accomplir la mission que je m'étais assignée en Mars 2000? Je rêvais de me tenir à l'échéance 2007,a côté de l'opposant illustre transformé en un homme D'état de grande classe en l'occurrence Maitre Abdoulaye Wade.
@ un homme qui écoute plus qu'il parle:
_qui lorsqu'il consulte, se renseigne plus qu'il n'enseigne
_qui met un point d'honneur à livrer ce qu'il promet parce-que s'étant préalablement assuré de la disponibilité des moyens de faire avant d'annoncer
_qui cerne les vrais besoins de son peuple plus qu'il ne poursuit ses propres centre d'intérêt
_qui récompense la droiture et s'écarte noblement de la tortuosites, oublieux des offenses subies, mais réservant les premiers rangs aux premiers compagnon
_qui apaise, pacifie harmonise, réconcilie et rassemble les différentes composantes de la Nation au lieu d'être la source de leurs divisions, conflits, tensions et peurs
_qui reçoit, besogne faite, la reconnaissance de ses compatriotes plutôt que leur déception et leur blâme
Au regard de l'échec massivement constaté aujourd'hui le devoir me prescrit d'intervenir pour éviter le naufrage. On ne transige pas avec la vérité même pour affirmer une solidarité politique ou familiale et même si l'on doit de se retrouver seul contre tous.
Il est essentiel au redressement de notre pays que certains de ses fils servent d'asile à tout ce qu'il ya d noble, de pur, de désintéressement au milieu des tribulations et des laideurs de la politique
Fait a dakar le 4 octobre 2006
IDRISSA SECK
Informateur1
En Avril, 2015 (22:50 PM)c'est un choix divin , et cela se produira par la grâce d'ALLAH le tout puissant
que Dieu nous donne une longue vie et santé à tous et à toutes et que la paix règne sur votre pays
Anonyme
En Avril, 2015 (22:50 PM)LETTRE ECRIT PAR IDRISSA SECK POUR TOUS LES SENEGALAIS
Chers compatriotes
J'ai Suivi avec intérêt le débat retrouvailles ou opposition. WADE/IDY, j'ai écouté. Avec une égale attention les arguments des uns et des autres, et remercie tous ceux qui m'ont exprime leurs avis sur la question, directement ou indirectement. Je n'éprouve aucune rancune à l'endroit de WADE, je lui conserve tout le respect qu'inspire son parcours de grand opposant.
L'histoire enseigne cependant que le destin personnel des hommes même d'État est une insignifiance au regard des intérêts supérieurs d'une nation. Lesquels commandent aujourd'hui que soient corrigées les insuffisances notées sur le pouvoir de Wade. Qui pourrait mieux le faire que celui qui en connait l'envers et le revers. Être grand c'est soutenir une grande querelles. Pas une petite où des individus s'entredéchirent, une grande au sujet de la nation. Il m'aurait suffi de dire Oui à tout, de n'exprimer aucun désaccord, ni sur le projet de la Loi Ezzan' ni sur la place de la famille dans l'État, ni sur les délais irréaliste des nombreuses promesses présidentielle, pour conserver pour conserver tous les privilèges attachés à ma position d'alors, de "quasi" président de la République et l'idylle d'un compagnonnage ininterrompu de 30ans se serait poursuivie sans heurts. Mais comment aurais-je pu alors accomplir la mission que je m'étais assignée en Mars 2000? Je rêvais de me tenir à l'échéance 2007,a côté de l'opposant illustre transformé en un homme D'état de grande classe en l'occurrence Maitre Abdoulaye Wade.
@ un homme qui écoute plus qu'il parle:
_qui lorsqu'il consulte, se renseigne plus qu'il n'enseigne
_qui met un point d'honneur à livrer ce qu'il promet parce-que s'étant préalablement assuré de la disponibilité des moyens de faire avant d'annoncer
_qui cerne les vrais besoins de son peuple plus qu'il ne poursuit ses propres centre d'intérêt
_qui récompense la droiture et s'écarte noblement de la tortuosites, oublieux des offenses subies, mais réservant les premiers rangs aux premiers compagnon
_qui apaise, pacifie harmonise, réconcilie et rassemble les différentes composantes de la Nation au lieu d'être la source de leurs divisions, conflits, tensions et peurs
_qui reçoit, besogne faite, la reconnaissance de ses compatriotes plutôt que leur déception et leur blâme
Au regard de l'échec massivement constaté aujourd'hui le devoir me prescrit d'intervenir pour éviter le naufrage. On ne transige pas avec la vérité même pour affirmer une solidarité politique ou familiale et même si l'on doit de se retrouver seul contre tous.
Il est essentiel au redressement de notre pays que certains de ses fils servent d'asile à tout ce qu'il ya d noble, de pur, de désintéressement au milieu des tribulations et des laideurs de la politique
Fait a dakar le 4 octobre 2006
IDRISSA SECK
Anonyme
En Avril, 2015 (22:54 PM)LETTRE ECRIT PAR IDRISSA SECK POUR TOUS LES SENEGALAIS
Chers compatriotes
J'ai Suivi avec intérêt le débat retrouvailles ou opposition. WADE/IDY, j'ai écouté. Avec une égale attention les arguments des uns et des autres, et remercie tous ceux qui m'ont exprime leurs avis sur la question, directement ou indirectement. Je n'éprouve aucune rancune à l'endroit de WADE, je lui conserve tout le respect qu'inspire son parcours de grand opposant.
L'histoire enseigne cependant que le destin personnel des hommes même d'État est une insignifiance au regard des intérêts supérieurs d'une nation. Lesquels commandent aujourd'hui que soient corrigées les insuffisances notées sur le pouvoir de Wade. Qui pourrait mieux le faire que celui qui en connait l'envers et le revers. Être grand c'est soutenir une grande querelles. Pas une petite où des individus s'entredéchirent, une grande au sujet de la nation. Il m'aurait suffi de dire Oui à tout, de n'exprimer aucun désaccord, ni sur le projet de la Loi Ezzan' ni sur la place de la famille dans l'État, ni sur les délais irréaliste des nombreuses promesses présidentielle, pour conserver pour conserver tous les privilèges attachés à ma position d'alors, de "quasi" président de la République et l'idylle d'un compagnonnage ininterrompu de 30ans se serait poursuivie sans heurts. Mais comment aurais-je pu alors accomplir la mission que je m'étais assignée en Mars 2000? Je rêvais de me tenir à l'échéance 2007,a côté de l'opposant illustre transformé en un homme D'état de grande classe en l'occurrence Maitre Abdoulaye Wade.
@ un homme qui écoute plus qu'il parle:
_qui lorsqu'il consulte, se renseigne plus qu'il n'enseigne
_qui met un point d'honneur à livrer ce qu'il promet parce-que s'étant préalablement assuré de la disponibilité des moyens de faire avant d'annoncer
_qui cerne les vrais besoins de son peuple plus qu'il ne poursuit ses propres centre d'intérêt
_qui récompense la droiture et s'écarte noblement de la tortuosites, oublieux des offenses subies, mais réservant les premiers rangs aux premiers compagnon
_qui apaise, pacifie harmonise, réconcilie et rassemble les différentes composantes de la Nation au lieu d'être la source de leurs divisions, conflits, tensions et peurs
_qui reçoit, besogne faite, la reconnaissance de ses compatriotes plutôt que leur déception et leur blâme
Anonyme
En Avril, 2015 (23:11 PM)Jamais au plus grand jamais je voterais pour Idy :
Faye 72
En Avril, 2015 (00:14 AM)Enseignants
En Avril, 2015 (00:40 AM)En effet, le discours servi par le Président Macky Sall à Kaffrine le 13 avril 2015 sur la question de la grève du Grand Cadre des Syndicats de l’Enseignement (GCSE) est loin de correspondre à la réalité. Aux questions syndicales Macky Sall a apporté des réponses politiques. En fait, il ne s’agit pas de titulariser des enseignants depuis 1992 mais plutôt de valider les 2 /3 des concernés de leur ancienneté civile. C'est vrai que la vacation a débuté depuis 1992 mais les enseignants parlent de validation au 2/3 de leurs années de vacation, de volontariat et de contractualisation. Encore qu’entre validation et titularisation il y a une nuance.
Malheureusement, le Président ne parle que de titularisation en omettant volontairement le mot au 2/3. En tous les cas, sa sortie nous renseigne sur deux choses : soit il est mal renseigné sur des questions éducatives, soit il a une intention manifeste de brouiller les cartes pour opposer les enseignants aux populations. A mon avis la deuxième alternative me semble plausible d’autant que le gouvernement par le truchement des conseillers du président en matière d’éducation a toujours entretenu un flou artistique sur la vérité de la grève des enseignants.
Le deuxième aspect sur lequel le président a parlé concerne ce qu’il appelle questions nouvelles, notamment la question de l’augmentation des indemnités de logement. Non, Excellence, vous vous êtes trompés. La question nodale des indemnités n’est pas une question nouvelle. Elle est aussi ancienne que la plateforme minimale en 11 points. Vous auriez dû exiger de vos conseillers en éducation la possession du protocole que votre gouvernement a signé en bonne et due forme et qu’il qualifie de réaliste et réalisable. Selon Mansour SY, ancien Ministre de la Fonction publique vous avez instruit votre gouvernement de prendre les engagements qu’il peut respecter. Ainsi, pour ce dernier les accords signés avec les syndicats sont soutenables. Oui nous le croyons fermement.
D’ailleurs, si le président avait pris un peu de recul il se serait posé deux questions seulement : pourquoi a-t- il promulgué la loi à Kaffrine loin de son palais de Roume ? Pourquoi les enseignants tiennent coute que coute à l’application du protocole d’accord ?
Les réponses à ces deux interrogations sautent à l’œil nu. D’abord c’est parce que ce qui devait être fait à temps échu ne l’a pas été. De qui se moque-t-on ? Ensuite les enseignants veulent en finir avec les grèves répétitives dues au non-respect des engagements par les gouvernements qui se sont succédé. En somme, les enseignants veulent que l’éthique et la morale priment sur les calculs politiciens surtout quand il s’agit des questions d’éducation. Loin d’être des politicards mus par l’appât d’une fortune facile et rapide, les enseignants réclament une distribution équitable des deniers publics car ils savent que la gestion sobre et vertueuse est antinomique à la discrimination dans le traitement des agents de l’Etat.
Qu’on se le tienne pour dit c’est seulement l’équité, la justice et la transparence qui ramèneront la stabilité dans le secteur qui a longtemps souffert du manque de clairvoyance et de tâtonnement du gouvernement dans la conduite des politique éducatives. Ainsi, il est grand temps que le gouvernement du Sénégal mesure à sa juste valeur l’importance de l’éducation pour un pays. Au lieu d’y réfléchir profondément le gouvernement de Macky Sall déploie son énergie dans la diabolisation, le dénigrement et le mépris à l’endroit des enseignants. Pourtant, ces derniers sont conscients de la responsabilité qui leur incombe dans l’éducation des filles et fils de ce pays. Ils savent que l’école est leur outil de travail et qu’ils se doivent de le préserver. De qui recevront-ils cette morale ?
Qui plus est, les enseignants sont les vrais parents d’élèves. C’est eux qui sont en contact direct avec ces derniers, c’est eux qui gèrent le stress des élèves, c’est eux qui répondent aux questions des élèves même en dehors des quatre murs de classe, c’est eux qui encadrent des élèves parfois gratuitement. On peut multiplier les exemples. Ces gens-là si on ne les respecte pas c’est parce qu’on est un taré ou qu’on est animé de mauvaise foi.
En définitive, nous invitons le gouvernement à mettre fin au louvoiement, à la langue de bois pour s’engager résolument à apporter des réponses concrètes aux doléances des enseignants. C’est à ce prix seulement que l’école ou le système retrouvera son lustre d’antan. Donc, il faut que le gouvernement, au premier chef le Président Macky Sall aille vite et trop vite même. C’est lui seul qui détient la solution d’autant que son Ministre de l’éducation est disqualifié car ne bénéficiant plus de la confiance des enseignants du fait de son comportement et de ses sorties aussi malheureuses les unes que les autres.
Nous pensons que Le Président Macky Sall doit recevoir le Grand Cadre des Syndicats de l’Enseignement (CGSE) en tête à tête. Oui, rien ne s’y oppose. Aujourd’hui si le Grand Cadre avait décidé de rallier l’APR le Président l’aurait reçu immédiatement dans la mesure où il se pose en défenseur de la transhumance pourtant réprouvée par la morale et l’éthique. Les préoccupations politiques sont –elles plus importantes que les questions d’éducation? Bien sûr que non. Macky Sall a les moyens de répondre favorablement aux doléances des enseignants. Lui qui donne 500.000cfa aux épouses ou époux des ambassadeurs, lui qui octroie des indemnités allant de 1.000000 à 100.000 aux autres corps de la fonction Publique excepté les enseignants, lui qui finance le réseau des femmes de l’APR pour l’émergence économique. Et que sais-je encore ?
Anonyme
En Avril, 2015 (11:26 AM)Sénégalais Pour Toujours
En Avril, 2015 (12:03 PM)Poulo
En Avril, 2015 (13:08 PM)Dsc
En Avril, 2015 (10:12 AM)Aujourd'hui ,si on est objectif on voit que Macky Sall est débordé par la charges présidentielles. Conséquence,il prend des décision hatives et irefléchies comme l'annulation des visas touristiques ou prononce de discours mal venus concernant la transhumance des hommes politiques; qu'un président justifie devant la trahision devant les medias c'est incroyable ,voir inconscient des conséquences des ses propos.
Franchement on attend d'un président qu'il soit intelligent et dynamique avec une bonne vision du monde pour motiver le peuple ;et c'est tout le contraire de Macky. Et quand je me tourne vers l'opposition, je vois que idy.
Alors Why Not ;
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