La cérémonie d’hommage à Nelson Mandela hier au Soccer city stadium de Soweto a mis à nu le paradoxe de certains chefs d’Etat africains. Ces derniers ont célébré l’idéal de liberté de Nelson Mandela alors que dans leurs pays respectifs, ils dénient à leurs concitoyens le droit de s’exprimer librement.
Ils ont incarné le paradoxe africain, hier, au cours de la cérémonie d’hommage à Nelson Mandela. Ils ont joué, dans cette cérémonie exceptionnelle à tous points de vue, leur rôle jusqu’au bout. Ils s’appellent Robert Mugabe du Zimbabwe – il est le doyen des chefs d’Etat africains, même s’il a contribué à la lutte contre l’Apartheid aux côtés de l’Anc – Idriss Deby Itno du Tchad, Yoweri Museveni de l’Ouganda, Denis Sassou Nguesso du Congo, Aly Bongo Ondimba du Gabon, Joseph Kabila de la Rd Congo, notre cher voisin Yahya Jammeh de la Gambie.
Tout ce beau monde était hier à Soweto pour célébrer l’idéal de liberté de Nelson Mandela. Hier, ces chefs d’Etat ont eu une attitude aux antipodes de ce qu’ils prônent dans leurs pays respectifs : célébrer Nelson Mandela, un infatigable combattant de la liberté, alors qu’ils dénient à leur Peuple le droit de s’exprimer librement. Chez ces derniers, la liberté sous le parapluie de la démocratie est un vœu très pieux. Impossible de les faire plier ou changer d’avis sur les notions de démocratie, d’ouverture et de dialogue politiques ou encore d’expression de la liberté par le citoyen.
Chez les uns, on continuera à arborer le manteau de la dictature. On tue et on continuera de tuer chez eux. On continuera aussi de bâillonner la presse. Le Président Yahya Jammeh ne dira pas le contraire avec ses exécutions sommaires et sa chasse aux journalistes qui ne sont pas des adeptes de la pensée unique. Bafouer les droits de leurs compatriotes demeurera un exercice favori, Robert Mugabe en est le pire exemple.
Tout comme la dénégation à leurs compatriotes de tout droit leur permettant d’émettre un quelconque point de vue sur la marche de leur pays. Puisse Mandela les inspirer définitivement afin qu’ils sortent des ténèbres de la dictature pour rejoindre le cercle des dirigeants démocrates très adulés par leur Peuple. Pour y arriver, il leur faudra beaucoup éviter d’oublier ou de tourner la page de l’hommage rendu par toute une planète à Madiba, hier.
Adopter une telle posture est loin d’être attendue de la part de ces dirigeants africains. Et le Président Barack Obama n’a pas eu tort de critiquer ceux qui ne font rien pour leur propre population, lorsqu’il déclare : «Trop de dirigeants se disent solidaires du combat de Madiba pour la liberté, mais ne tolèrent pas la même chose pour leur propre Peuple». L’ovation de la foule qui s’en est suivie devrait un tant soit peu pousser les interpellés à se raviser quant à leur façon d’administrer leurs concitoyens. a
L’idéal de liberté de Mandela célébré par des «dictateurs» du Continent : Le paradoxe africain
Par: Mamadou T. DIATTA - Lequotidien |
11 décembre, 2013 à 13:12:42
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70 Commentaires
Auteur: Mamadou T. DIATTA - Lequotidien
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45 Commentaires
Mugabe
En Décembre, 2013 (13:22 PM)Djiban
En Décembre, 2013 (13:24 PM)Ngi
En Décembre, 2013 (13:26 PM)Bobo
En Décembre, 2013 (13:28 PM)N'importe Quoi !
En Décembre, 2013 (13:36 PM)Tu fais bien de nous rappeler l'obligation de toujours savoir faire les choses nous-mêmes.
Rien n'est éternel et mettre l'ensemble de ses œufs dans le même panier est dangereux.
@ngui Le Valet
En Décembre, 2013 (13:39 PM)@djiban
En Décembre, 2013 (13:54 PM)Qui Derange
En Décembre, 2013 (14:00 PM)Mais helas, le noir tant que sa porte n´est pas toucher il ne se sent pas concerner ,PARESSEUX JUSQUE DEVANT l´EXTERMINATION pauvre !
Kebes Paris
En Décembre, 2013 (14:02 PM)Brrr!!!!
En Décembre, 2013 (14:10 PM)Pyuuis Jammeh, pkoi le ttraitez vous de dictateur ? Parce qu'il est diola ?
Dambaleforce
En Décembre, 2013 (14:18 PM)Je suis outré de la récuperation faite par l'Occident sur la mort de MANDELA!
Sachez une chose la FEROCITE OCCIDENTALE est sans limite et leur idéologie est indissociable de l'idée de la suprématie raciale! Ils théorisent m^me en ce sens et viennent donner des leçons. Mais quelle honte
Par contre on est prompts à taper sur nos ftréres fréres qui refusent cette domination! AFRICAINS, reveillez vous, il est temps sinon vous risquez la disparution totale!!!
Et je ne suisc ni pro jammeh ni pro Mugabé!!!!
BY ANY MEANS NECESSARY!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
@dambaleforce
En Décembre, 2013 (14:28 PM)Mugabe
En Décembre, 2013 (14:35 PM)Que Dire De Babylone?
En Décembre, 2013 (14:43 PM)Kenen
En Décembre, 2013 (14:45 PM)Karim
En Décembre, 2013 (14:57 PM)Dictateur?.
En Décembre, 2013 (15:00 PM)Les sud africains eux mêmes ont montré leur admiration pour celui que les autres traitent de dictateur!
Arretez L'hypocrisie !
En Décembre, 2013 (15:02 PM)Paradoxe Cubain
En Décembre, 2013 (15:39 PM)Fitaw_makonen
En Décembre, 2013 (15:52 PM)On ne peut pas demander à Mugabe qui a fait ONZE ans de maquis pour libérer son pays de faire comme Mandela qui après 27 ans de prison (durs certes) s'est pratiquement vu dérouler un tapis rouge pour la présidence! Mandela l’ami des blancs, Mugabe l’ennemi des occidentaux qui n’a pas raté l’occasion de leur crier du haut de la tribune de l’Onu : « Shame on you ! ». « Bras d’Honneur » pour ceux-là qui ne peuvent avoir « d’amitié » que pour ceux qui se soumettent !
Les sud-africains ne s'y sont pas trompés. Oui, ils l'ont applaudi à tout rompre hier! Le vieux révolutionnaire était aux anges! Personnellement cela m'a beaucoup plu de voir le mépris dans lequel les noirs sud-africains tiennent ceux qui se croient plus civilisés que Mugabe!
Yaya Diame
En Décembre, 2013 (17:09 PM)Warou
En Décembre, 2013 (17:14 PM)Borom
En Décembre, 2013 (18:07 PM)ce dont le monde peut temoigner c'est qu'ils sont pas léche_cue et ne sont pas pilotés par aucun lobbying national ou internetional comme le sont certains presidents de la sous _region ouest africane
Modd Seck Taaly
En Décembre, 2013 (18:12 PM)Sous l'angle de l'incontournable découplage qui devra émanciper les Africains de leurs bourreaux et sangsues séculaires (les Occidentaux, en général, mais pas seulement), les Mugabe, Yaya Diamé et autres sont des exemples, dans la lignée des grands résistants africanistes tels que Nkrumah, Lumumba, Sékou Touré, Sankara, etc.. Que ce soit clair : Ce ne sont pas des saints et ne sont superposables du point de vue de la trajectoire ou du degré d'engagement et de lucidité, mais ils ont, dans un cas ou dans un autre, indiqué la voie salutaire et s'y sont engagés, à charge pour leurs élites décomplexées et éclairées de parfaire leur part du travail.
Mugabe « dictateur » ? Par rapport à quels paradigmes et normes bien à nous autres, Africains ?
A supposer même que les Occidentaux puissent avoir raison, la solidarité africaine devrait jouer en faveur du digne fils de l’Afrique qu’est Mugabe. Mais c’est de la mauvaise foi systémique, ne s’appuyant que sur la raison du plus fort qui fait « vaincre sans avoir raison » comme disait l’autre. En tout état de cause, dans leur système et logiques, les Etats occidentaux ne sont et ne seront jamais nos « amis », leur « richesse » étant déterminée par notre « pauvreté ». Ils ont bâti/bâtissent leur soi-disant développement sur l’asservissement et l’exploitation darwiniste des autres, sur la Mort, chez eux (croisades, Inquisitions, Guerres de sept ans, de Trente ans, mondiales, régionales etc..) et chez les autres (esclavage, génocides des Amérindiens, Conquistadors, racisme, etc.). Leur prétendu «développement » s’est fait, essentiellement, sur le dos des Africains, depuis les «Explorations» jusqu’à la «mondialisation, aujourd’hui. Et, dans le détail, les « missions », les protectorats, la Communauté, les « Indépendances », nos « guerres civiles », l’« Aide au développement », les Plans d’ajustement structurel, la Dévaluation, les « politiques de bonne gouvernance » (« démocratie », « société civile », « droits de l’homme », etc.), à savoir toutes ces séquences historiques africaines, plus ou moins longues et tragiques, ne sont que des ré-emballages, réadaptations , mises à jour et remakes opportunistes de l’exploitation et de la domination de l’Afrique par les Occidentaux que furent la Traite négrière, la Colonisation et le Travail forcé. Et les pseudo « institutions internationales » ne sont rien d’autres que les instruments dépersonnalisés et multilatéralisés de leur main-mise sur nous.
C’est dire que si, en principe, ils veulent, sur la base de leur … dictature économique et, surtout, de leur mépris culturel à notre égard, nous obliger, nous conseillent ou suggèrent de faire quelque chose ou d’emprunter telle ou telle voie, notre salut bien compris est, a priori, d’en faire l’exact contraire. Mais ils ont en notre sein des vassaux puissamment dotés, des relais et chevaux de Troie au sommet des Etats et des instances de pensée et de décision. Cette cour (et sa basse-cour) d’individus ou groupuscules ne gérant que leurs propres ventres et leurs « téranga » viendront toujours nous faire part de la bonne parole et nous l’appliquer, d’une manière ou d’une autre, à la dictée et aux injonctions des maîtres off-shore, avec aplomb et force contorsions intellectualistes ou idéologiques.
Ce n’est pas le cas de Robert Gabriel Mugabe. Combattant constant et digne, il a, lui, refusé la servilité et la servitude, ayant commencé d’abord par libérer son pays, alors Rhodésie du Sud, par la lutte armée (au détriment des suppôts des Occidentaux), avant d’y mettre en terre l’Apartheid qui y prospérait aussi au même titre que chez Mandela, cela avec, entre autres, une réforme agraire courageuse qui a renversé les proportions racistes de la distribution des terres et la subordination des structures du pays au désidérata des pillards racistes. C’est l’unique motif pour lequel il est voué aux gémonies par la presse occidentale, les lobbies, officines et cénacles ne pouvant lui pardonner ni le crime de lèse-majesté encore moins la perte des dividendes de l’exploitation esclavagiste des richesses naturelles et humaines de son pays. Et c’est de rien ne comprendre à rien de la part d’un fils de l’Afrique authentique que de répéter les termes d’une basse calomnie, obnubilée par une rancune inextinguible, et qui, pour sûr, ne s’assouvira que par un assassinat programmé depuis belle lurette.
Non, si honte il y a à être présent aux obsèques de Mandela, ce sont, bien au contraire, les Obama, Hollande, etc. qui auraient dû avoir la délicatesse de ne pas se montrer là-bas, eux dont les Etats sucent l’Afrique et les Africains depuis Mathusalem, eux dont les pays ont produit et entretenu l’Apartheid, à bouts de bras et contre vents et marées, et, après en avoir profité autant que cela a pu durer officiellement, occupent encore les coulisses en Afrique du Sud, eux dont les politiques gouvernementales ont, en définitive, fait cloîtrer Mandela le tiers de sa vie parce qu’il voulait empêcher leur grand Capital et leurs ses lobbies militaro-industriels, pétroliers et du Bâtiment, leurs banques et leurs entreprises d’exploiter et de tuer légalement sur la terre des ses ancêtres. Et nul doute que si, dans l’hypocrisie du « raye-la, diaalé-lah », les dirigeants occidentaux sont allés « rendre hommage à Mandela » (qui, c’est indéniable, a ménagé leurs intérêts),», ils l’ont aussi fait pour les diverses rencontres parallèles inofficielles ou hors-caméras. C’est bien à ces occasions qu’on accorde les violons et véhicule les directives des réseaux et lobbys en tout genre qui leur tiennent lieu de soi-disant démocratie, celle qu’ils ne s’appliquent nulle part dans les « instances internationales » ou chez eux à l’égard des nos parents immigrés, mais qu’ils nous vendent chez nous insidieusement (contenus éducatifs, médias, « ONG », …) ou imposent à nos gouvernants par le chantage, la subversion, la déstabilisation et, s’il le faut, la guerre « civile ». Et, à la limite, un dirigeant africain, courageux et conscient des enjeux et de ses responsabilités, devrait même avoir honte de s’afficher avec ces éternels bourreaux de l’Afrique ou leurs bras armés.
Non ! S’il y avait un seul dirigeant qui y méritait sa place aux funérailles de Mandela, c’est bien Mugabe, lequel, à certains égards même plus que Mandela, mérite un monument partout en Afrique.
Full Stop!!
En Décembre, 2013 (18:13 PM)Pauvre Afrique
En Décembre, 2013 (18:17 PM)Mbok
En Décembre, 2013 (18:33 PM)Qu fait-il de la prison de Guantanmo ou des dizaoines de personnes sont retenues depuis 12 ans sans aucun procès ni jugement ni condamnation et sont torturés quotidiennement? Beaucoup d'entre eux ont été innocentés mais sont encore la bas....
bou gnou ken yabb
Paco
En Décembre, 2013 (18:40 PM)S
En Décembre, 2013 (19:16 PM)Modd Seck Taaly
En Décembre, 2013 (19:27 PM)En tout état de cause, dans leur système et logiques, les Etats occidentaux ne sont et ne seront jamais nos « amis », leur « richesse » étant déterminée par notre « pauvreté ». Ils ont bâti/bâtissent leur soi-disant développement sur l’asservissement et l’exploitation darwiniste des autres, sur la Mort, chez eux (croisades, Inquisitions, Guerres de sept ans, de Trente ans, mondiales, régionales etc..) et chez les autres (esclavage, génocides des Amérindiens, Conquistadors, racisme, etc.). Leur prétendu «développement » s’est fait, essentiellement, sur le dos des Africains, depuis les «Explorations» jusqu’à la «mondialisation, aujourd’hui. Et, dans le détail, les « missions », les protectorats, la Communauté, les « Indépendances », nos « guerres civiles », l’« Aide au développement », les Plans d’ajustement structurel, la Dévaluation, les « politiques de bonne gouvernance » (« démocratie », « société civile », « droits de l’homme », etc.), à savoir toutes ces séquences historiques africaines, plus ou moins longues et tragiques, ne sont que des ré-emballages, réadaptations , mises à jour et remakes opportunistes de l’exploitation et de la domination de l’Afrique par les Occidentaux que furent la Traite négrière, la Colonisation et le Travail forcé. Et les pseudo « institutions internationales » ne sont rien d’autres que les instruments dépersonnalisés et multilatéralisés de leur main-mise sur nous. C’est dire que si, en principe, ils veulent, sur la base de leur … dictature économique et, surtout, de leur mépris culturel à notre égard, nous obliger, nous conseillent ou suggèrent de faire quelque chose ou d’emprunter telle ou telle voie, notre salut bien compris est, a priori, d’en faire l’exact contraire.
Mais ils ont en notre sein des vassaux puissamment dotés, des relais et chevaux de Troie au sommet des Etats et des instances de pensée et de décision. Cette cour (et sa basse-cour) d’individus ou groupuscules ne gérant que leurs propres ventres et leurs « téranga » viendront toujours nous faire part de la bonne parole et nous l’appliquer, d’une manière ou d’une autre, à la dictée et aux injonctions des maîtres off-shore, avec aplomb et force contorsions intellectualistes ou idéologiques.
Ce n’est pas le cas de Robert Gabriel Mugabe.
Asta Wade
En Décembre, 2013 (20:16 PM)Mane Moussa
En Décembre, 2013 (20:32 PM)Au moment où M. Raoul CASTRO, l'actuel Président de CUBA est l'un des invités d'honneur à prendre la parole aux cérémonies de l'hommage rendu au Président Mandéla, beaucoup d'entre nous se posent la question, pourquoi lui? Eh bien, il faut remonter à l'histoire et le degré de reconnaissance de M. Mandéla à l'égard de tous ceux qui ont contribué à la lutte de libération sans intérêts des peuples noirs. Oui, le peuple Cubain sous la conduite de son chef charismatique, M. Fidèle CASTRO a participé, les armes en mains, à travers les internationalistes Cubains à la lutte de libération des peuples noirs. Non, Cuba n'était pas venu chercher du diamant, de l'or, du pétrole; enfin des ressources minières mais seulement, le rétablissement d'une justice, d'un idéal de société où tous les hommes seraient libres et égaux en droit et en devoir. C'est avec la bataille de Cuito Vuanavale en Angola, opposant les forces d'Afrique du Sud raciste qui était épaulée par le FNLA (Front National de Libération de l'Angola), l'UNITA (Union Nationale pour l'Indépendance Totale de l'Angola) et le Zaïre de Mobutu qui sont des créations toutes faites de la CIA, d'une part et les forces de libération du ZANU, du ZAPU et les internationalistes Cubains qui mirent pour la première fois en débacle, la puissante Afrique du Sud raciste. Ainsi, l'Afrique du Sud a pris conscience pour la première fois que ni la force, ni les armes ne sauraient la protéger dans son injustice. Et M. Mandala qui n'a pas la mémoire courte, a choisi Cuba pour sa première visite de chef d'Etat, un acte de reconnaissance, de dignité pour tout humain qui se respecte. Et dans la vie d'un humain, il n'y a rien au dessus de l'amour, le pardon, la réconciliation et la reconnaisance; mais ce sont des qualités qui exigent un certain dépassement de soi, une maturité et une certaine culture générale qui en est le terreau. Vive le Président Mandala et vive le peuple Cubain honoré pour son combat juste et désintéressé dans les luttes de libération des peuples Africains (Angola, Zimbabwé, Zambie, Mozambique, Afrique du Sud, Guinée Bissau). Nous ne saurons rappeler l'histoire sans rendre un vibrant hommage au Président Amed Sékou Touré de la république de Guinée qui a été l'un des rares Présidents à accueillir les combattants Sud Africains, des pays de libération, en leur octroyant des passeports pour qu'ils puissent voyager à travers le monde. Merci, Monsieur le Président Amed Sékou Touré pour votre militantisme à la guerre de libération des peuples Africains colonisés et combattus par l'impérialisme triomphant de cette époque.
Modd Seck Taaly
En Décembre, 2013 (20:36 PM)S’il y avait un seul dirigeant qui y méritait sa place aux funérailles de Mandela, c’est bien Mugabe, lequel, à certains égards même plus que Mandela, mérite un monument partout en Afrique.
Kali Jaw
En Décembre, 2013 (22:26 PM)la presse senengalaise ne parle pas du vrais probleme,car c'est leurs problemes...
Sene
En Décembre, 2013 (23:33 PM)Max
En Décembre, 2013 (00:52 AM)Africain221
En Décembre, 2013 (04:56 AM)Que je sache ils ont été élu selon vos regles : one man-one vote. C'est plustot aux occidentaux ayant tous soutenu le systeme de l' apartheid qui ne devaient pas etre present.
Africastandup
En Décembre, 2013 (05:33 AM)StandUpAfrik
Boy Niakhar
En Décembre, 2013 (06:59 AM)Macky est un grand homme d'Etat et l'humanité retiendra toujours son nom.
Cher leader du yonu yokute, il faut se méfier de la foule des mécontents, car l'acquisesement du vulgaire ne conduit qu' a la vulgarité . Baye Diagne
Pharoah
En Décembre, 2013 (08:53 AM)Les 1er à piller ce continent sont les Chefs d'Etat Africain par leur rapacité et le mépris de leur peuple ....comme il faut bien justifier la misère des populations le bouc émissaire est vite trouver : l'Occident , ce meme occident qui déverse tous les ans des milliers de dollars d'aides en pure perte.....en 1960 la Corée du Sud était au meme niveau que le Ghana , 50 ans plus tard , sans pétrole sans matières premières , il est dans le peloton de tète des nations (Samsung ) qu'à fait l'Afrique pendant ce temps ?????
En occident ou règne la démocratie il n'y a pas de modification des constitutions au bon vouloir du Président en place , les perdants cèdent le pouvoir sans histoire.....Sénégalais vous devriez etre fiers de vivre au Sénégal qui n'a connu aucun coup d'états militaires , aucune guerre inter-ethnique et ou la démocratie malgré ses défauts est une réalité
Xoupap
En Décembre, 2013 (11:18 AM)Guiss
En Décembre, 2013 (12:35 PM)Pharoah
En Décembre, 2013 (13:05 PM)Après 2 guerres mondiales l'Europe a su tourner la page et bâtir un continent en paix , il serait temps que l'Afrique tourne la page de la colonisation et de jouer à Caliméro afin de se construire un avenir de paix et de propérité mais pour cela il lui faut la démocratie , investir dans l'éducation , définir des projets de développement et se mettre au travail
Question ?
En Décembre, 2013 (20:34 PM)Pap
En Décembre, 2013 (09:33 AM)LEAVE YAYA JAMMEH IN PEACE.
WE LOVE AND NEED OUR "DICTATOR"
KEEP YOUR UNCLE-TOM BALD-HEAD PRESIDENT
WHO WILL SAY OUI OUI TO THE FRANCW & THE WEST
LET US KEEP OUR DICTATOR
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