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Video - Exclusif : Sa Majesté Tchiffi Zié Jean Gervais Secrétaire Général du Forum des Rois et Chefs traditionnels d' Afrique en visite à Dakar
- Source: : Youtube | Le 10 janvier, 2013 à 22:01:35 | Lu 14848 fois | 35 Commentaires

Video - Exclusif : Sa Majesté Tchiffi Zié Jean Gervais Secrétaire Général du Forum des Rois et Chefs traditionnels d' Afrique en visite à Dakar
Auteur: Seneweb Video - Youtube
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Commentaire (17)

C'EST LUI QUIA PRIS LA PLACE DE KHADAFI KHANA


mom ba dineu poupe rek :-d tant qui mingui poupe mom santt yallah rek nitt dongg leu


ici repose la défunte presse privée sénégalaise [décès survenu le 25 mars 2012] ( modou badiane)
on a coutume de dire que dans une démocratie digne de son nom, la presse représente le quatrième pouvoir après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. que deviendrait un tel système si le quatrième pouvoir, qui doit normalement équilibrer les trois autres, puisque plus indépendant, s’amène à jouer les baroudeurs ou pire les laudateurs ? il faut qu’on le dise. la presse privée sénégalaise après la télévision nationale de rien tous les soirs, est entrain de perdre de sa crédibilité et de son indépendance. le dernier événement qui en atteste est la tentative d’immolation de cheikh mbaye le lundi 07 janvier 2013, devant les grilles du palais, que la presse, dans sa quasi-totalité, a traitée de façon parcellaire. là où elle décrivait ces actes sous le régime wade de désillusion d’une jeunesse laissée à elle-même, la même presse, les mêmes journalistes, essaient de justifier l’acte par une présumée folie de l’auteur. le mardi 08 janvier 2013 soit moins de 24 h après l’incident, sa famille dément les rumeurs de la presse selon lesquelles, la victime souffrirait de troubles mentaux "cheikh mbaye jouit de toutes ses facultés mentales. il développait même beaucoup de projets... ». pourquoi ces glissades à répétition de la presse ? les auteurs d’immolations sous wade étaient ils plus sains d’esprits que le premier sous l’ère macky ? la désillusion est elle moins présente sous macky que sous son prédécesseur ? la question mérite d’être posée avec beaucoup de recul et sans subjectivité aucune. cette manière de faire des journalistes, et pas des moins connus, ne rend ni service au régime actuel ni au peuple sénégalais. c’est une bombe que la presse a entre ses mains et qui risque d’exploser au moment où on s’y entendra le moins.
madiambal diagne dans sa chronique du lundi 07 janvier 2013 titrée « inculpez wade ou libérez aïdara sylla ! » a rappelé le rôle jouait par la presse dans la chute du régime de wade. « dix ans durant, nous nous sommes tués, à travers ces colonnes, à publier les hauts faits (de wade) de prédation de ressources publiques » disait-il. la presse a telle perdu son verbe et son rôle de sentinelle dans une démocratie en marche avec l’élection de macky sall comme président de la république du sénégal ? sommes-nous entrain d’assister à un gouvernement de journalistes après celui des avocats ? les journalistes sont ils devenus complaisants face à leurs homologues qui composent l’entourage proche du président ?
vous avez été sans doute surpris de voir lors de son émission, ça me dit mag, avec le professeur gadiaga du 15 décembre 2012, l’ex percutant pape allé niang, déclarer après une analyse du juriste, « (…) j’attends de voir celui qui viendra ici me parler de la haute cour de justice comme étant seule habilitée à juger les ex barons du gouvernement de wade ». le professeur venait de faire une brillante dichotomie entre les fautes qu’auraient commises un ministre dans l’exercice de ses fonctions et durant l’exercice de ses fonctions. cette satisfaction montrée du journaliste prouve deux choses. il est prêt à défendre la position actuelle du gouvernement et ne laissera pas l’autre camp défendre son point de vu puisqu’il le juge déjà comme erroné. est-ce cela le rôle du journaliste qui doit participer à l’éclosion de la vérité et à l’équilibre de l’information ?
que dire de mamadou oumar ndiaye qui ne semble pas être tout à fait d’accord avec le discours de macky sall lors du nouvel an, mais préfère le critiquer en utilisant la pédale douce. il titre dans sa chronique parue dans le journal le témoin n°1109 « discours de fin d’année du président macky sall: oublis et omissions d’un (bon) discours». cherche t il avec ce titre à caresser macky dans le sens de la poile ou évite t il de s’amener les foudres de ses compères qui ont pris fait et cause pour le régime actuel ? dans le fond, il souligne « sur le fond, en revanche, il est sans doute notable que les spins doctors du président n’ont pas accordé une très grande attention au contenu de son discours du nouvel an ». il critique tout en qualifiant les rédacteurs de « spins doctors ». content sans doute, de ses compères, malgré les oublis listés et le fond vide.
que devient souleymane jules diop, après nous avoir servi, pendant des années, qu’il ne défendait que des principes. n’est il pas devenu un membre à part entière de l’apr qu’il cherche à défendre vaille que vaille ?
nous ne demandons pas à la presse d’être des ultra opposants comme le groupe walfadjri, mais à jouer le rôle d’avant-gardiste qu’on lui connaissait, de faire comme le groupe d-media qui est le seul, à l’heure actuelle, à nous informer juste et vrai. même les journalistes du groupe futur medias que nous avons toujours connu pour leur professionnalisme s’adonnent à ces pratiques en cherchant à faire plaisir à leur patron devenu ministre dans le gouvernement de macky. allassane samba diop est devenu méconnaissable et mamadou ibra kane aphone.
nous ne sommes pas contre le gouvernement, mais réclamons notre droit à l’information. la vraie information. le peuple n’a pas besoin de mirage pour subsister. face au faux il arrivera un moment où lui-même s’en détournera et réclamera ce qu’on a tenté de lui cacher. le journaliste doit alerter et non applaudir. l’acclamation continue est du rôle du partisan et non du journaliste libre et indépendant. nous avons besoin que l’on nous dise que le train n’est pas arrivé à l’heure. celui qui arrive à temps ne constitue pas une information. gilbert keith chesterton décrivait avec ironie le rôle du vrai journaliste en ces termes « le journalisme consiste pour une large part à dire “lord jones est mort” à des gens qui n’ont jamais su que lord jones existait. »
alors chers journalistes, reprenez vous et ressuscitez la presse décédée le 25 mars 2012 pour que triomphe la démocratie sénégalaise !
modou badiane
sociologue
[email protected]
ici repose la défunte presse privée sénégalaise [décès survenu le 25 mars 2012] ( modou badiane)
on a coutume de dire que dans une démocratie digne de son nom, la presse représente le quatrième pouvoir après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. que deviendrait un tel système si le quatrième pouvoir, qui doit normalement équilibrer les trois autres, puisque plus indépendant, s’amène à jouer les baroudeurs ou pire les laudateurs ? il faut qu’on le dise. la presse privée sénégalaise après la télévision nationale de rien tous les soirs, est entrain de perdre de sa crédibilité et de son indépendance. le dernier événement qui en atteste est la tentative d’immolation de cheikh mbaye le lundi 07 janvier 2013, devant les grilles du palais, que la presse, dans sa quasi-totalité, a traitée de façon parcellaire. là où elle décrivait ces actes sous le régime wade de désillusion d’une jeunesse laissée à elle-même, la même presse, les mêmes journalistes, essaient de justifier l’acte par une présumée folie de l’auteur. le mardi 08 janvier 2013 soit moins de 24 h après l’incident, sa famille dément les rumeurs de la presse selon lesquelles, la victime souffrirait de troubles mentaux "cheikh mbaye jouit de toutes ses facultés mentales. il développait même beaucoup de projets... ». pourquoi ces glissades à répétition de la presse ? les auteurs d’immolations sous wade étaient ils plus sains d’esprits que le premier sous l’ère macky ? la désillusion est elle moins présente sous macky que sous son prédécesseur ? la question mérite d’être posée avec beaucoup de recul et sans subjectivité aucune. cette manière de faire des journalistes, et pas des moins connus, ne rend ni service au régime actuel ni au peuple sénégalais. c’est une bombe que la presse a entre ses mains et qui risque d’exploser au moment où on s’y entendra le moins.
madiambal diagne dans sa chronique du lundi 07 janvier 2013 titrée « inculpez wade ou libérez aïdara sylla ! » a rappelé le rôle jouait par la presse dans la chute du régime de wade. « dix ans durant, nous nous sommes tués, à travers ces colonnes, à publier les hauts faits (de wade) de prédation de ressources publiques » disait-il. la presse a telle perdu son verbe et son rôle de sentinelle dans une démocratie en marche avec l’élection de macky sall comme président de la république du sénégal ? sommes-nous entrain d’assister à un gouvernement de journalistes après celui des avocats ? les journalistes sont ils devenus complaisants face à leurs homologues qui composent l’entourage proche du président ?
vous avez été sans doute surpris de voir lors de son émission, ça me dit mag, avec le professeur gadiaga du 15 décembre 2012, l’ex percutant pape allé niang, déclarer après une analyse du juriste, « (…) j’attends de voir celui qui viendra ici me parler de la haute cour de justice comme étant seule habilitée à juger les ex barons du gouvernement de wade ». le professeur venait de faire une brillante dichotomie entre les fautes qu’auraient commises un ministre dans l’exercice de ses fonctions et durant l’exercice de ses fonctions. cette satisfaction montrée du journaliste prouve deux choses. il est prêt à défendre la position actuelle du gouvernement et ne laissera pas l’autre camp défendre son point de vu puisqu’il le juge déjà comme erroné. est-ce cela le rôle du journaliste qui doit participer à l’éclosion de la vérité et à l’équilibre de l’information ?
que dire de mamadou oumar ndiaye qui ne semble pas être tout à fait d’accord avec le discours de macky sall lors du nouvel an, mais préfère le critiquer en utilisant la pédale douce. il titre dans sa chronique parue dans le journal le témoin n°1109 « discours de fin d’année du président macky sall: oublis et omissions d’un (bon) discours». cherche t il avec ce titre à caresser macky dans le sens de la poile ou évite t il de s’amener les foudres de ses compères qui ont pris fait et cause pour le régime actuel ? dans le fond, il souligne « sur le fond, en revanche, il est sans doute notable que les spins doctors du président n’ont pas accordé une très grande attention au contenu de son discours du nouvel an ». il critique tout en qualifiant les rédacteurs de « spins doctors ». content sans doute, de ses compères, malgré les oublis listés et le fond vide.
que devient souleymane jules diop, après nous avoir servi, pendant des années, qu’il ne défendait que des principes. n’est il pas devenu un membre à part entière de l’apr qu’il cherche à défendre vaille que vaille ?
nous ne demandons pas à la presse d’être des ultra opposants comme le groupe walfadjri, mais à jouer le rôle d’avant-gardiste qu’on lui connaissait, de faire comme le groupe d-media qui est le seul, à l’heure actuelle, à nous informer juste et vrai. même les journalistes du groupe futur medias que nous avons toujours connu pour leur professionnalisme s’adonnent à ces pratiques en cherchant à faire plaisir à leur patron devenu ministre dans le gouvernement de macky. allassane samba diop est devenu méconnaissable et mamadou ibra kane aphone.
nous ne sommes pas contre le gouvernement, mais réclamons notre droit à l’information. la vraie information. le peuple n’a pas besoin de mirage pour subsister. face au faux il arrivera un moment où lui-même s’en détournera et réclamera ce qu’on a tenté de lui cacher. le journaliste doit alerter et non applaudir. l’acclamation continue est du rôle du partisan et non du journaliste libre et indépendant. nous avons besoin que l’on nous dise que le train n’est pas arrivé à l’heure. celui qui arrive à temps ne constitue pas une information. gilbert keith chesterton décrivait avec ironie le rôle du vrai journaliste en ces termes « le journalisme consiste pour une large part à dire “lord jones est mort” à des gens qui n’ont jamais su que lord jones existait. »
alors chers journalistes, reprenez vous et ressuscitez la presse décédée le 25 mars 2012 pour que triomphe la démocratie sénégalaise !
modou badiane
sociologue
[email protected]
ici repose la défunte presse privée sénégalaise [décès survenu le 25 mars 2012] ( modou badiane)
on a coutume de dire que dans une démocratie digne de son nom, la presse représente le quatrième pouvoir après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. que deviendrait un tel système si le quatrième pouvoir, qui doit normalement équilibrer les trois autres, puisque plus indépendant, s’amène à jouer les baroudeurs ou pire les laudateurs ? il faut qu’on le dise. la presse privée sénégalaise après la télévision nationale de rien tous les soirs, est entrain de perdre de sa crédibilité et de son indépendance. le dernier événement qui en atteste est la tentative d’immolation de cheikh mbaye le lundi 07 janvier 2013, devant les grilles du palais, que la presse, dans sa quasi-totalité, a traitée de façon parcellaire. là où elle décrivait ces actes sous le régime wade de désillusion d’une jeunesse laissée à elle-même, la même presse, les mêmes journalistes, essaient de justifier l’acte par une présumée folie de l’auteur. le mardi 08 janvier 2013 soit moins de 24 h après l’incident, sa famille dément les rumeurs de la presse selon lesquelles, la victime souffrirait de troubles mentaux "cheikh mbaye jouit de toutes ses facultés mentales. il développait même beaucoup de projets... ». pourquoi ces glissades à répétition de la presse ? les auteurs d’immolations sous wade étaient ils plus sains d’esprits que le premier sous l’ère macky ? la désillusion est elle moins présente sous macky que sous son prédécesseur ? la question mérite d’être posée avec beaucoup de recul et sans subjectivité aucune. cette manière de faire des journalistes, et pas des moins connus, ne rend ni service au régime actuel ni au peuple sénégalais. c’est une bombe que la presse a entre ses mains et qui risque d’exploser au moment où on s’y entendra le moins.
madiambal diagne dans sa chronique du lundi 07 janvier 2013 titrée « inculpez wade ou libérez aïdara sylla ! » a rappelé le rôle jouait par la presse dans la chute du régime de wade. « dix ans durant, nous nous sommes tués, à travers ces colonnes, à publier les hauts faits (de wade) de prédation de ressources publiques » disait-il. la presse a telle perdu son verbe et son rôle de sentinelle dans une démocratie en marche avec l’élection de macky sall comme président de la république du sénégal ? sommes-nous entrain d’assister à un gouvernement de journalistes après celui des avocats ? les journalistes sont ils devenus complaisants face à leurs homologues qui composent l’entourage proche du président ?
vous avez été sans doute surpris de voir lors de son émission, ça me dit mag, avec le professeur gadiaga du 15 décembre 2012, l’ex percutant pape allé niang, déclarer après une analyse du juriste, « (…) j’attends de voir celui qui viendra ici me parler de la haute cour de justice comme étant seule habilitée à juger les ex barons du gouvernement de wade ». le professeur venait de faire une brillante dichotomie entre les fautes qu’auraient commises un ministre dans l’exercice de ses fonctions et durant l’exercice de ses fonctions. cette satisfaction montrée du journaliste prouve deux choses. il est prêt à défendre la position actuelle du gouvernement et ne laissera pas l’autre camp défendre son point de vu puisqu’il le juge déjà comme erroné. est-ce cela le rôle du journaliste qui doit participer à l’éclosion de la vérité et à l’équilibre de l’information ?
que dire de mamadou oumar ndiaye qui ne semble pas être tout à fait d’accord avec le discours de macky sall lors du nouvel an, mais préfère le critiquer en utilisant la pédale douce. il titre dans sa chronique parue dans le journal le témoin n°1109 « discours de fin d’année du président macky sall: oublis et omissions d’un (bon) discours». cherche t il avec ce titre à caresser macky dans le sens de la poile ou évite t il de s’amener les foudres de ses compères qui ont pris fait et cause pour le régime actuel ? dans le fond, il souligne « sur le fond, en revanche, il est sans doute notable que les spins doctors du président n’ont pas accordé une très grande attention au contenu de son discours du nouvel an ». il critique tout en qualifiant les rédacteurs de « spins doctors ». content sans doute, de ses compères, malgré les oublis listés et le fond vide.
que devient souleymane jules diop, après nous avoir servi, pendant des années, qu’il ne défendait que des principes. n’est il pas devenu un membre à part entière de l’apr qu’il cherche à défendre vaille que vaille ?
nous ne demandons pas à la presse d’être des ultra opposants comme le groupe walfadjri, mais à jouer le rôle d’avant-gardiste qu’on lui connaissait, de faire comme le groupe d-media qui est le seul, à l’heure actuelle, à nous informer juste et vrai. même les journalistes du groupe futur medias que nous avons toujours connu pour leur professionnalisme s’adonnent à ces pratiques en cherchant à faire plaisir à leur patron devenu ministre dans le gouvernement de macky. allassane samba diop est devenu méconnaissable et mamadou ibra kane aphone.
nous ne sommes pas contre le gouvernement, mais réclamons notre droit à l’information. la vraie information. le peuple n’a pas besoin de mirage pour subsister. face au faux il arrivera un moment où lui-même s’en détournera et réclamera ce qu’on a tenté de lui cacher. le journaliste doit alerter et non applaudir. l’acclamation continue est du rôle du partisan et non du journaliste libre et indépendant. nous avons besoin que l’on nous dise que le train n’est pas arrivé à l’heure. celui qui arrive à temps ne constitue pas une information. gilbert keith chesterton décrivait avec ironie le rôle du vrai journaliste en ces termes « le journalisme consiste pour une large part à dire “lord jones est mort” à des gens qui n’ont jamais su que lord jones existait. »
alors chers journalistes, reprenez vous et ressuscitez la presse décédée le 25 mars 2012 pour que triomphe la démocratie sénégalaise !
modou badiane
sociologue
[email protected]
ici repose la défunte presse privée sénégalaise [décès survenu le 25 mars 2012] ( modou badiane)
on a coutume de dire que dans une démocratie digne de son nom, la presse représente le quatrième pouvoir après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. que deviendrait un tel système si le quatrième pouvoir, qui doit normalement équilibrer les trois autres, puisque plus indépendant, s’amène à jouer les baroudeurs ou pire les laudateurs ? il faut qu’on le dise. la presse privée sénégalaise après la télévision nationale de rien tous les soirs, est entrain de perdre de sa crédibilité et de son indépendance. le dernier événement qui en atteste est la tentative d’immolation de cheikh mbaye le lundi 07 janvier 2013, devant les grilles du palais, que la presse, dans sa quasi-totalité, a traitée de façon parcellaire. là où elle décrivait ces actes sous le régime wade de désillusion d’une jeunesse laissée à elle-même, la même presse, les mêmes journalistes, essaient de justifier l’acte par une présumée folie de l’auteur. le mardi 08 janvier 2013 soit moins de 24 h après l’incident, sa famille dément les rumeurs de la presse selon lesquelles, la victime souffrirait de troubles mentaux "cheikh mbaye jouit de toutes ses facultés mentales. il développait même beaucoup de projets... ». pourquoi ces glissades à répétition de la presse ? les auteurs d’immolations sous wade étaient ils plus sains d’esprits que le premier sous l’ère macky ? la désillusion est elle moins présente sous macky que sous son prédécesseur ? la question mérite d’être posée avec beaucoup de recul et sans subjectivité aucune. cette manière de faire des journalistes, et pas des moins connus, ne rend ni service au régime actuel ni au peuple sénégalais. c’est une bombe que la presse a entre ses mains et qui risque d’exploser au moment où on s’y entendra le moins.
madiambal diagne dans sa chronique du lundi 07 janvier 2013 titrée « inculpez wade ou libérez aïdara sylla ! » a rappelé le rôle jouait par la presse dans la chute du régime de wade. « dix ans durant, nous nous sommes tués, à travers ces colonnes, à publier les hauts faits (de wade) de prédation de ressources publiques » disait-il. la presse a telle perdu son verbe et son rôle de sentinelle dans une démocratie en marche avec l’élection de macky sall comme président de la république du sénégal ? sommes-nous entrain d’assister à un gouvernement de journalistes après celui des avocats ? les journalistes sont ils devenus complaisants face à leurs homologues qui composent l’entourage proche du président ?
vous avez été sans doute surpris de voir lors de son émission, ça me dit mag, avec le professeur gadiaga du 15 décembre 2012, l’ex percutant pape allé niang, déclarer après une analyse du juriste, « (…) j’attends de voir celui qui viendra ici me parler de la haute cour de justice comme étant seule habilitée à juger les ex barons du gouvernement de wade ». le professeur venait de faire une brillante dichotomie entre les fautes qu’auraient commises un ministre dans l’exercice de ses fonctions et durant l’exercice de ses fonctions. cette satisfaction montrée du journaliste prouve deux choses. il est prêt à défendre la position actuelle du gouvernement et ne laissera pas l’autre camp défendre son point de vu puisqu’il le juge déjà comme erroné. est-ce cela le rôle du journaliste qui doit participer à l’éclosion de la vérité et à l’équilibre de l’information ?
que dire de mamadou oumar ndiaye qui ne semble pas être tout à fait d’accord avec le discours de macky sall lors du nouvel an, mais préfère le critiquer en utilisant la pédale douce. il titre dans sa chronique parue dans le journal le témoin n°1109 « discours de fin d’année du président macky sall: oublis et omissions d’un (bon) discours». cherche t il avec ce titre à caresser macky dans le sens de la poile ou évite t il de s’amener les foudres de ses compères qui ont pris fait et cause pour le régime actuel ? dans le fond, il souligne « sur le fond, en revanche, il est sans doute notable que les spins doctors du président n’ont pas accordé une très grande attention au contenu de son discours du nouvel an ». il critique tout en qualifiant les rédacteurs de « spins doctors ». content sans doute, de ses compères, malgré les oublis listés et le fond vide.
que devient souleymane jules diop, après nous avoir servi, pendant des années, qu’il ne défendait que des principes. n’est il pas devenu un membre à part entière de l’apr qu’il cherche à défendre vaille que vaille ?
nous ne demandons pas à la presse d’être des ultra opposants comme le groupe walfadjri, mais à jouer le rôle d’avant-gardiste qu’on lui connaissait, de faire comme le groupe d-media qui est le seul, à l’heure actuelle, à nous informer juste et vrai. même les journalistes du groupe futur medias que nous avons toujours connu pour leur professionnalisme s’adonnent à ces pratiques en cherchant à faire plaisir à leur patron devenu ministre dans le gouvernement de macky. allassane samba diop est devenu méconnaissable et mamadou ibra kane aphone.
nous ne sommes pas contre le gouvernement, mais réclamons notre droit à l’information. la vraie information. le peuple n’a pas besoin de mirage pour subsister. face au faux il arrivera un moment où lui-même s’en détournera et réclamera ce qu’on a tenté de lui cacher. le journaliste doit alerter et non applaudir. l’acclamation continue est du rôle du partisan et non du journaliste libre et indépendant. nous avons besoin que l’on nous dise que le train n’est pas arrivé à l’heure. celui qui arrive à temps ne constitue pas une information. gilbert keith chesterton décrivait avec ironie le rôle du vrai journaliste en ces termes « le journalisme consiste pour une large part à dire “lord jones est mort” à des gens qui n’ont jamais su que lord jones existait. »
alors chers journalistes, reprenez vous et ressuscitez la presse décédée le 25 mars 2012 pour que triomphe la démocratie sénégalaise !
modou badiane
sociologue
[email protected]
ici repose la défunte presse privée sénégalaise [décès survenu le 25 mars 2012] ( modou badiane)
on a coutume de dire que dans une démocratie digne de son nom, la presse représente le quatrième pouvoir après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. que deviendrait un tel système si le quatrième pouvoir, qui doit normalement équilibrer les trois autres, puisque plus indépendant, s’amène à jouer les baroudeurs ou pire les laudateurs ? il faut qu’on le dise. la presse privée sénégalaise après la télévision nationale de rien tous les soirs, est entrain de perdre de sa crédibilité et de son indépendance. le dernier événement qui en atteste est la tentative d’immolation de cheikh mbaye le lundi 07 janvier 2013, devant les grilles du palais, que la presse, dans sa quasi-totalité, a traitée de façon parcellaire. là où elle décrivait ces actes sous le régime wade de désillusion d’une jeunesse laissée à elle-même, la même presse, les mêmes journalistes, essaient de justifier l’acte par une présumée folie de l’auteur. le mardi 08 janvier 2013 soit moins de 24 h après l’incident, sa famille dément les rumeurs de la presse selon lesquelles, la victime souffrirait de troubles mentaux "cheikh mbaye jouit de toutes ses facultés mentales. il développait même beaucoup de projets... ». pourquoi ces glissades à répétition de la presse ? les auteurs d’immolations sous wade étaient ils plus sains d’esprits que le premier sous l’ère macky ? la désillusion est elle moins présente sous macky que sous son prédécesseur ? la question mérite d’être posée avec beaucoup de recul et sans subjectivité aucune. cette manière de faire des journalistes, et pas des moins connus, ne rend ni service au régime actuel ni au peuple sénégalais. c’est une bombe que la presse a entre ses mains et qui risque d’exploser au moment où on s’y entendra le moins.
madiambal diagne dans sa chronique du lundi 07 janvier 2013 titrée « inculpez wade ou libérez aïdara sylla ! » a rappelé le rôle jouait par la presse dans la chute du régime de wade. « dix ans durant, nous nous sommes tués, à travers ces colonnes, à publier les hauts faits (de wade) de prédation de ressources publiques » disait-il. la presse a telle perdu son verbe et son rôle de sentinelle dans une démocratie en marche avec l’élection de macky sall comme président de la république du sénégal ? sommes-nous entrain d’assister à un gouvernement de journalistes après celui des avocats ? les journalistes sont ils devenus complaisants face à leurs homologues qui composent l’entourage proche du président ?
vous avez été sans doute surpris de voir lors de son émission, ça me dit mag, avec le professeur gadiaga du 15 décembre 2012, l’ex percutant pape allé niang, déclarer après une analyse du juriste, « (…) j’attends de voir celui qui viendra ici me parler de la haute cour de justice comme étant seule habilitée à juger les ex barons du gouvernement de wade ». le professeur venait de faire une brillante dichotomie entre les fautes qu’auraient commises un ministre dans l’exercice de ses fonctions et durant l’exercice de ses fonctions. cette satisfaction montrée du journaliste prouve deux choses. il est prêt à défendre la position actuelle du gouvernement et ne laissera pas l’autre camp défendre son point de vu puisqu’il le juge déjà comme erroné. est-ce cela le rôle du journaliste qui doit participer à l’éclosion de la vérité et à l’équilibre de l’information ?
que dire de mamadou oumar ndiaye qui ne semble pas être tout à fait d’accord avec le discours de macky sall lors du nouvel an, mais préfère le critiquer en utilisant la pédale douce. il titre dans sa chronique parue dans le journal le témoin n°1109 « discours de fin d’année du président macky sall: oublis et omissions d’un (bon) discours». cherche t il avec ce titre à caresser macky dans le sens de la poile ou évite t il de s’amener les foudres de ses compères qui ont pris fait et cause pour le régime actuel ? dans le fond, il souligne « sur le fond, en revanche, il est sans doute notable que les spins doctors du président n’ont pas accordé une très grande attention au contenu de son discours du nouvel an ». il critique tout en qualifiant les rédacteurs de « spins doctors ». content sans doute, de ses compères, malgré les oublis listés et le fond vide.
que devient souleymane jules diop, après nous avoir servi, pendant des années, qu’il ne défendait que des principes. n’est il pas devenu un membre à part entière de l’apr qu’il cherche à défendre vaille que vaille ?
nous ne demandons pas à la presse d’être des ultra opposants comme le groupe walfadjri, mais à jouer le rôle d’avant-gardiste qu’on lui connaissait, de faire comme le groupe d-media qui est le seul, à l’heure actuelle, à nous informer juste et vrai. même les journalistes du groupe futur medias que nous avons toujours connu pour leur professionnalisme s’adonnent à ces pratiques en cherchant à faire plaisir à leur patron devenu ministre dans le gouvernement de macky. allassane samba diop est devenu méconnaissable et mamadou ibra kane aphone.
nous ne sommes pas contre le gouvernement, mais réclamons notre droit à l’information. la vraie information. le peuple n’a pas besoin de mirage pour subsister. face au faux il arrivera un moment où lui-même s’en détournera et réclamera ce qu’on a tenté de lui cacher. le journaliste doit alerter et non applaudir. l’acclamation continue est du rôle du partisan et non du journaliste libre et indépendant. nous avons besoin que l’on nous dise que le train n’est pas arrivé à l’heure. celui qui arrive à temps ne constitue pas une information. gilbert keith chesterton décrivait avec ironie le rôle du vrai journaliste en ces termes « le journalisme consiste pour une large part à dire “lord jones est mort” à des gens qui n’ont jamais su que lord jones existait. »
alors chers journalistes, reprenez vous et ressuscitez la presse décédée le 25 mars 2012 pour que triomphe la démocratie sénégalaise !
modou badiane
sociologue
[email protected]
on a coutume de dire que dans une démocratie digne de son nom, la presse représente le quatrième pouvoir après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. que deviendrait un tel système si le quatrième pouvoir, qui doit normalement équilibrer les trois autres, puisque plus indépendant, s’amène à jouer les baroudeurs ou pire les laudateurs ? il faut qu’on le dise. la presse privée sénégalaise après la télévision nationale de rien tous les soirs, est entrain de perdre de sa crédibilité et de son indépendance. le dernier événement qui en atteste est la tentative d’immolation de cheikh mbaye le lundi 07 janvier 2013, devant les grilles du palais, que la presse, dans sa quasi-totalité, a traitée de façon parcellaire. là où elle décrivait ces actes sous le régime wade de désillusion d’une jeunesse laissée à elle-même, la même presse, les mêmes journalistes, essaient de justifier l’acte par une présumée folie de l’auteur. le mardi 08 janvier 2013 soit moins de 24 h après l’incident, sa famille dément les rumeurs de la presse selon lesquelles, la victime souffrirait de troubles mentaux "cheikh mbaye jouit de toutes ses facultés mentales. il développait même beaucoup de projets... ». pourquoi ces glissades à répétition de la presse ? les auteurs d’immolations sous wade étaient ils plus sains d’esprits que le premier sous l’ère macky ? la désillusion est elle moins présente sous macky que sous son prédécesseur ? la question mérite d’être posée avec beaucoup de recul et sans subjectivité aucune. cette manière de faire des journalistes, et pas des moins connus, ne rend ni service au régime actuel ni au peuple sénégalais. c’est une bombe que la presse a entre ses mains et qui risque d’exploser au moment où on s’y entendra le moins.
madiambal diagne dans sa chronique du lundi 07 janvier 2013 titrée « inculpez wade ou libérez aïdara sylla ! » a rappelé le rôle jouait par la presse dans la chute du régime de wade. « dix ans durant, nous nous sommes tués, à travers ces colonnes, à publier les hauts faits (de wade) de prédation de ressources publiques » disait-il. la presse a telle perdu son verbe et son rôle de sentinelle dans une démocratie en marche avec l’élection de macky sall comme président de la république du sénégal ? sommes-nous entrain d’assister à un gouvernement de journalistes après celui des avocats ? les journalistes sont ils devenus complaisants face à leurs homologues qui composent l’entourage proche du président ?
vous avez été sans doute surpris de voir lors de son émission, ça me dit mag, avec le professeur gadiaga du 15 décembre 2012, l’ex percutant pape allé niang, déclarer après une analyse du juriste, « (…) j’attends de voir celui qui viendra ici me parler de la haute cour de justice comme étant seule habilitée à juger les ex barons du gouvernement de wade ». le professeur venait de faire une brillante dichotomie entre les fautes qu’auraient commises un ministre dans l’exercice de ses fonctions et durant l’exercice de ses fonctions. cette satisfaction montrée du journaliste prouve deux choses. il est prêt à défendre la position actuelle du gouvernement et ne laissera pas l’autre camp défendre son point de vu puisqu’il le juge déjà comme erroné. est-ce cela le rôle du journaliste qui doit participer à l’éclosion de la vérité et à l’équilibre de l’information ?
que dire de mamadou oumar ndiaye qui ne semble pas être tout à fait d’accord avec le discours de macky sall lors du nouvel an, mais préfère le critiquer en utilisant la pédale douce. il titre dans sa chronique parue dans le journal le témoin n°1109 « discours de fin d’année du président macky sall: oublis et omissions d’un (bon) discours». cherche t il avec ce titre à caresser macky dans le sens de la poile ou évite t il de s’amener les foudres de ses compères qui ont pris fait et cause pour le régime actuel ? dans le fond, il souligne « sur le fond, en revanche, il est sans doute notable que les spins doctors du président n’ont pas accordé une très grande attention au contenu de son discours du nouvel an ». il critique tout en qualifiant les rédacteurs de « spins doctors ». content sans doute, de ses compères, malgré les oublis listés et le fond vide.
que devient souleymane jules diop, après nous avoir servi, pendant des années, qu’il ne défendait que des principes. n’est il pas devenu un membre à part entière de l’apr qu’il cherche à défendre vaille que vaille ?
nous ne demandons pas à la presse d’être des ultra opposants comme le groupe walfadjri, mais à jouer le rôle d’avant-gardiste qu’on lui connaissait, de faire comme le groupe d-media qui est le seul, à l’heure actuelle, à nous informer juste et vrai. même les journalistes du groupe futur medias que nous avons toujours connu pour leur professionnalisme s’adonnent à ces pratiques en cherchant à faire plaisir à leur patron devenu ministre dans le gouvernement de macky. allassane samba diop est devenu méconnaissable et mamadou ibra kane aphone.
nous ne sommes pas contre le gouvernement, mais réclamons notre droit à l’information. la vraie information. le peuple n’a pas besoin de mirage pour subsister. face au faux il arrivera un moment où lui-même s’en détournera et réclamera ce qu’on a tenté de lui cacher. le journaliste doit alerter et non applaudir. l’acclamation continue est du rôle du partisan et non du journaliste libre et indépendant. nous avons besoin que l’on nous dise que le train n’est pas arrivé à l’heure. celui qui arrive à temps ne constitue pas une information. gilbert keith chesterton décrivait avec ironie le rôle du vrai journaliste en ces termes « le journalisme consiste pour une large part à dire “lord jones est mort” à des gens qui n’ont jamais su que lord jones existait. »
alors chers journalistes, reprenez vous et ressuscitez la presse décédée le 25 mars 2012 pour que triomphe la démocratie sénégalaise !
modou badiane
sociologue
[email protected]
ici repose la défunte presse privée sénégalaise [décès survenu le 25 mars 2012] ( modou badiane)
on a coutume de dire que dans une démocratie digne de son nom, la presse représente le quatrième pouvoir après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. que deviendrait un tel système si le quatrième pouvoir, qui doit normalement équilibrer les trois autres, puisque plus indépendant, s’amène à jouer les baroudeurs ou pire les laudateurs ? il faut qu’on le dise. la presse privée sénégalaise après la télévision nationale de rien tous les soirs, est entrain de perdre de sa crédibilité et de son indépendance. le dernier événement qui en atteste est la tentative d’immolation de cheikh mbaye le lundi 07 janvier 2013, devant les grilles du palais, que la presse, dans sa quasi-totalité, a traitée de façon parcellaire. là où elle décrivait ces actes sous le régime wade de désillusion d’une jeunesse laissée à elle-même, la même presse, les mêmes journalistes, essaient de justifier l’acte par une présumée folie de l’auteur. le mardi 08 janvier 2013 soit moins de 24 h après l’incident, sa famille dément les rumeurs de la presse selon lesquelles, la victime souffrirait de troubles mentaux "cheikh mbaye jouit de toutes ses facultés mentales. il développait même beaucoup de projets... ». pourquoi ces glissades à répétition de la presse ? les auteurs d’immolations sous wade étaient ils plus sains d’esprits que le premier sous l’ère macky ? la désillusion est elle moins présente sous macky que sous son prédécesseur ? la question mérite d’être posée avec beaucoup de recul et sans subjectivité aucune. cette manière de faire des journalistes, et pas des moins connus, ne rend ni service au régime actuel ni au peuple sénégalais. c’est une bombe que la presse a entre ses mains et qui risque d’exploser au moment où on s’y entendra le moins.
madiambal diagne dans sa chronique du lundi 07 janvier 2013 titrée « inculpez wade ou libérez aïdara sylla ! » a rappelé le rôle jouait par la presse dans la chute du régime de wade. « dix ans durant, nous nous sommes tués, à travers ces colonnes, à publier les hauts faits (de wade) de prédation de ressources publiques » disait-il. la presse a telle perdu son verbe et son rôle de sentinelle dans une démocratie en marche avec l’élection de macky sall comme président de la république du sénégal ? sommes-nous entrain d’assister à un gouvernement de journalistes après celui des avocats ? les journalistes sont ils devenus complaisants face à leurs homologues qui composent l’entourage proche du président ?
vous avez été sans doute surpris de voir lors de son émission, ça me dit mag, avec le professeur gadiaga du 15 décembre 2012, l’ex percutant pape allé niang, déclarer après une analyse du juriste, « (…) j’attends de voir celui qui viendra ici me parler de la haute cour de justice comme étant seule habilitée à juger les ex barons du gouvernement de wade ». le professeur venait de faire une brillante dichotomie entre les fautes qu’auraient commises un ministre dans l’exercice de ses fonctions et durant l’exercice de ses fonctions. cette satisfaction montrée du journaliste prouve deux choses. il est prêt à défendre la position actuelle du gouvernement et ne laissera pas l’autre camp défendre son point de vu puisqu’il le juge déjà comme erroné. est-ce cela le rôle du journaliste qui doit participer à l’éclosion de la vérité et à l’équilibre de l’information ?
que dire de mamadou oumar ndiaye qui ne semble pas être tout à fait d’accord avec le discours de macky sall lors du nouvel an, mais préfère le critiquer en utilisant la pédale douce. il titre dans sa chronique parue dans le journal le témoin n°1109 « discours de fin d’année du président macky sall: oublis et omissions d’un (bon) discours». cherche t il avec ce titre à caresser macky dans le sens de la poile ou évite t il de s’amener les foudres de ses compères qui ont pris fait et cause pour le régime actuel ? dans le fond, il souligne « sur le fond, en revanche, il est sans doute notable que les spins doctors du président n’ont pas accordé une très grande attention au contenu de son discours du nouvel an ». il critique tout en qualifiant les rédacteurs de « spins doctors ». content sans doute, de ses compères, malgré les oublis listés et le fond vide.
que devient souleymane jules diop, après nous avoir servi, pendant des années, qu’il ne défendait que des principes. n’est il pas devenu un membre à part entière de l’apr qu’il cherche à défendre vaille que vaille ?
nous ne demandons pas à la presse d’être des ultra opposants comme le groupe walfadjri, mais à jouer le rôle d’avant-gardiste qu’on lui connaissait, de faire comme le groupe d-media qui est le seul, à l’heure actuelle, à nous informer juste et vrai. même les journalistes du groupe futur medias que nous avons toujours connu pour leur professionnalisme s’adonnent à ces pratiques en cherchant à faire plaisir à leur patron devenu ministre dans le gouvernement de macky. allassane samba diop est devenu méconnaissable et mamadou ibra kane aphone.
nous ne sommes pas contre le gouvernement, mais réclamons notre droit à l’information. la vraie information. le peuple n’a pas besoin de mirage pour subsister. face au faux il arrivera un moment où lui-même s’en détournera et réclamera ce qu’on a tenté de lui cacher. le journaliste doit alerter et non applaudir. l’acclamation continue est du rôle du partisan et non du journaliste libre et indépendant. nous avons besoin que l’on nous dise que le train n’est pas arrivé à l’heure. celui qui arrive à temps ne constitue pas une information. gilbert keith chesterton décrivait avec ironie le rôle du vrai journaliste en ces termes « le journalisme consiste pour une large part à dire “lord jones est mort” à des gens qui n’ont jamais su que lord jones existait. »
alors chers journalistes, reprenez vous et ressuscitez la presse décédée le 25 mars 2012 pour que triomphe la démocratie sénégalaise !
modou badiane
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ici repose la défunte presse privée sénégalaise [décès survenu le 25 mars 2012] ( modou badiane)
on a coutume de dire que dans une démocratie digne de son nom, la presse représente le quatrième pouvoir après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. que deviendrait un tel système si le quatrième pouvoir, qui doit normalement équilibrer les trois autres, puisque plus indépendant, s’amène à jouer les baroudeurs ou pire les laudateurs ? il faut qu’on le dise. la presse privée sénégalaise après la télévision nationale de rien tous les soirs, est entrain de perdre de sa crédibilité et de son indépendance. le dernier événement qui en atteste est la tentative d’immolation de cheikh mbaye le lundi 07 janvier 2013, devant les grilles du palais, que la presse, dans sa quasi-totalité, a traitée de façon parcellaire. là où elle décrivait ces actes sous le régime wade de désillusion d’une jeunesse laissée à elle-même, la même presse, les mêmes journalistes, essaient de justifier l’acte par une présumée folie de l’auteur. le mardi 08 janvier 2013 soit moins de 24 h après l’incident, sa famille dément les rumeurs de la presse selon lesquelles, la victime souffrirait de troubles mentaux "cheikh mbaye jouit de toutes ses facultés mentales. il développait même beaucoup de projets... ». pourquoi ces glissades à répétition de la presse ? les auteurs d’immolations sous wade étaient ils plus sains d’esprits que le premier sous l’ère macky ? la désillusion est elle moins présente sous macky que sous son prédécesseur ? la question mérite d’être posée avec beaucoup de recul et sans subjectivité aucune. cette manière de faire des journalistes, et pas des moins connus, ne rend ni service au régime actuel ni au peuple sénégalais. c’est une bombe que la presse a entre ses mains et qui risque d’exploser au moment où on s’y entendra le moins.
madiambal diagne dans sa chronique du lundi 07 janvier 2013 titrée « inculpez wade ou libérez aïdara sylla ! » a rappelé le rôle jouait par la presse dans la chute du régime de wade. « dix ans durant, nous nous sommes tués, à travers ces colonnes, à publier les hauts faits (de wade) de prédation de ressources publiques » disait-il. la presse a telle perdu son verbe et son rôle de sentinelle dans une démocratie en marche avec l’élection de macky sall comme président de la république du sénégal ? sommes-nous entrain d’assister à un gouvernement de journalistes après celui des avocats ? les journalistes sont ils devenus complaisants face à leurs homologues qui composent l’entourage proche du président ?
vous avez été sans doute surpris de voir lors de son émission, ça me dit mag, avec le professeur gadiaga du 15 décembre 2012, l’ex percutant pape allé niang, déclarer après une analyse du juriste, « (…) j’attends de voir celui qui viendra ici me parler de la haute cour de justice comme étant seule habilitée à juger les ex barons du gouvernement de wade ». le professeur venait de faire une brillante dichotomie entre les fautes qu’auraient commises un ministre dans l’exercice de ses fonctions et durant l’exercice de ses fonctions. cette satisfaction montrée du journaliste prouve deux choses. il est prêt à défendre la position actuelle du gouvernement et ne laissera pas l’autre camp défendre son point de vu puisqu’il le juge déjà comme erroné. est-ce cela le rôle du journaliste qui doit participer à l’éclosion de la vérité et à l’équilibre de l’information ?
que dire de mamadou oumar ndiaye qui ne semble pas être tout à fait d’accord avec le discours de macky sall lors du nouvel an, mais préfère le critiquer en utilisant la pédale douce. il titre dans sa chronique parue dans le journal le témoin n°1109 « discours de fin d’année du président macky sall: oublis et omissions d’un (bon) discours». cherche t il avec ce titre à caresser macky dans le sens de la poile ou évite t il de s’amener les foudres de ses compères qui ont pris fait et cause pour le régime actuel ? dans le fond, il souligne « sur le fond, en revanche, il est sans doute notable que les spins doctors du président n’ont pas accordé une très grande attention au contenu de son discours du nouvel an ». il critique tout en qualifiant les rédacteurs de « spins doctors ». content sans doute, de ses compères, malgré les oublis listés et le fond vide.
que devient souleymane jules diop, après nous avoir servi, pendant des années, qu’il ne défendait que des principes. n’est il pas devenu un membre à part entière de l’apr qu’il cherche à défendre vaille que vaille ?
nous ne demandons pas à la presse d’être des ultra opposants comme le groupe walfadjri, mais à jouer le rôle d’avant-gardiste qu’on lui connaissait, de faire comme le groupe d-media qui est le seul, à l’heure actuelle, à nous informer juste et vrai. même les journalistes du groupe futur medias que nous avons toujours connu pour leur professionnalisme s’adonnent à ces pratiques en cherchant à faire plaisir à leur patron devenu ministre dans le gouvernement de macky. allassane samba diop est devenu méconnaissable et mamadou ibra kane aphone.
nous ne sommes pas contre le gouvernement, mais réclamons notre droit à l’information. la vraie information. le peuple n’a pas besoin de mirage pour subsister. face au faux il arrivera un moment où lui-même s’en détournera et réclamera ce qu’on a tenté de lui cacher. le journaliste doit alerter et non applaudir. l’acclamation continue est du rôle du partisan et non du journaliste libre et indépendant. nous avons besoin que l’on nous dise que le train n’est pas arrivé à l’heure. celui qui arrive à temps ne constitue pas une information. gilbert keith chesterton décrivait avec ironie le rôle du vrai journaliste en ces termes « le journalisme consiste pour une large part à dire “lord jones est mort” à des gens qui n’ont jamais su que lord jones existait. »
alors chers journalistes, reprenez vous et ressuscitez la presse décédée le 25 mars 2012 pour que triomphe la démocratie sénégalaise !
modou badiane
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ici repose la défunte presse privée sénégalaise [décès survenu le 25 mars 2012] ( modou badiane)
on a coutume de dire que dans une démocratie digne de son nom, la presse représente le quatrième pouvoir après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. que deviendrait un tel système si le quatrième pouvoir, qui doit normalement équilibrer les trois autres, puisque plus indépendant, s’amène à jouer les baroudeurs ou pire les laudateurs ? il faut qu’on le dise. la presse privée sénégalaise après la télévision nationale de rien tous les soirs, est entrain de perdre de sa crédibilité et de son indépendance. le dernier événement qui en atteste est la tentative d’immolation de cheikh mbaye le lundi 07 janvier 2013, devant les grilles du palais, que la presse, dans sa quasi-totalité, a traitée de façon parcellaire. là où elle décrivait ces actes sous le régime wade de désillusion d’une jeunesse laissée à elle-même, la même presse, les mêmes journalistes, essaient de justifier l’acte par une présumée folie de l’auteur. le mardi 08 janvier 2013 soit moins de 24 h après l’incident, sa famille dément les rumeurs de la presse selon lesquelles, la victime souffrirait de troubles mentaux "cheikh mbaye jouit de toutes ses facultés mentales. il développait même beaucoup de projets... ». pourquoi ces glissades à répétition de la presse ? les auteurs d’immolations sous wade étaient ils plus sains d’esprits que le premier sous l’ère macky ? la désillusion est elle moins présente sous macky que sous son prédécesseur ? la question mérite d’être posée avec beaucoup de recul et sans subjectivité aucune. cette manière de faire des journalistes, et pas des moins connus, ne rend ni service au régime actuel ni au peuple sénégalais. c’est une bombe que la presse a entre ses mains et qui risque d’exploser au moment où on s’y entendra le moins.
madiambal diagne dans sa chronique du lundi 07 janvier 2013 titrée « inculpez wade ou libérez aïdara sylla ! » a rappelé le rôle jouait par la presse dans la chute du régime de wade. « dix ans durant, nous nous sommes tués, à travers ces colonnes, à publier les hauts faits (de wade) de prédation de ressources publiques » disait-il. la presse a telle perdu son verbe et son rôle de sentinelle dans une démocratie en marche avec l’élection de macky sall comme président de la république du sénégal ? sommes-nous entrain d’assister à un gouvernement de journalistes après celui des avocats ? les journalistes sont ils devenus complaisants face à leurs homologues qui composent l’entourage proche du président ?
vous avez été sans doute surpris de voir lors de son émission, ça me dit mag, avec le professeur gadiaga du 15 décembre 2012, l’ex percutant pape allé niang, déclarer après une analyse du juriste, « (…) j’attends de voir celui qui viendra ici me parler de la haute cour de justice comme étant seule habilitée à juger les ex barons du gouvernement de wade ». le professeur venait de faire une brillante dichotomie entre les fautes qu’auraient commises un ministre dans l’exercice de ses fonctions et durant l’exercice de ses fonctions. cette satisfaction montrée du journaliste prouve deux choses. il est prêt à défendre la position actuelle du gouvernement et ne laissera pas l’autre camp défendre son point de vu puisqu’il le juge déjà comme erroné. est-ce cela le rôle du journaliste qui doit participer à l’éclosion de la vérité et à l’équilibre de l’information ?
que dire de mamadou oumar ndiaye qui ne semble pas être tout à fait d’accord avec le discours de macky sall lors du nouvel an, mais préfère le critiquer en utilisant la pédale douce. il titre dans sa chronique parue dans le journal le témoin n°1109 « discours de fin d’année du président macky sall: oublis et omissions d’un (bon) discours». cherche t il avec ce titre à caresser macky dans le sens de la poile ou évite t il de s’amener les foudres de ses compères qui ont pris fait et cause pour le régime actuel ? dans le fond, il souligne « sur le fond, en revanche, il est sans doute notable que les spins doctors du président n’ont pas accordé une très grande attention au contenu de son discours du nouvel an ». il critique tout en qualifiant les rédacteurs de « spins doctors ». content sans doute, de ses compères, malgré les oublis listés et le fond vide.
que devient souleymane jules diop, après nous avoir servi, pendant des années, qu’il ne défendait que des principes. n’est il pas devenu un membre à part entière de l’apr qu’il cherche à défendre vaille que vaille ?
nous ne demandons pas à la presse d’être des ultra opposants comme le groupe walfadjri, mais à jouer le rôle d’avant-gardiste qu’on lui connaissait, de faire comme le groupe d-media qui est le seul, à l’heure actuelle, à nous informer juste et vrai. même les journalistes du groupe futur medias que nous avons toujours connu pour leur professionnalisme s’adonnent à ces pratiques en cherchant à faire plaisir à leur patron devenu ministre dans le gouvernement de macky. allassane samba diop est devenu méconnaissable et mamadou ibra kane aphone.
nous ne sommes pas contre le gouvernement, mais réclamons notre droit à l’information. la vraie information. le peuple n’a pas besoin de mirage pour subsister. face au faux il arrivera un moment où lui-même s’en détournera et réclamera ce qu’on a tenté de lui cacher. le journaliste doit alerter et non applaudir. l’acclamation continue est du rôle du partisan et non du journaliste libre et indépendant. nous avons besoin que l’on nous dise que le train n’est pas arrivé à l’heure. celui qui arrive à temps ne constitue pas une information. gilbert keith chesterton décrivait avec ironie le rôle du vrai journaliste en ces termes « le journalisme consiste pour une large part à dire “lord jones est mort” à des gens qui n’ont jamais su que lord jones existait. »
alors chers journalistes, reprenez vous et ressuscitez la presse décédée le 25 mars 2012 pour que triomphe la démocratie sénégalaise !
modou badiane
sociologue
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ici repose la défunte presse privée sénégalaise [décès survenu le 25 mars 2012] ( modou badiane)
on a coutume de dire que dans une démocratie digne de son nom, la presse représente le quatrième pouvoir après l’exécutif, le législatif et le judiciaire. que deviendrait un tel système si le quatrième pouvoir, qui doit normalement équilibrer les trois autres, puisque plus indépendant, s’amène à jouer les baroudeurs ou pire les laudateurs ? il faut qu’on le dise. la presse privée sénégalaise après la télévision nationale de rien tous les soirs, est entrain de perdre de sa crédibilité et de son indépendance. le dernier événement qui en atteste est la tentative d’immolation de cheikh mbaye le lundi 07 janvier 2013, devant les grilles du palais, que la presse, dans sa quasi-totalité, a traitée de façon parcellaire. là où elle décrivait ces actes sous le régime wade de désillusion d’une jeunesse laissée à elle-même, la même presse, les mêmes journalistes, essaient de justifier l’acte par une présumée folie de l’auteur. le mardi 08 janvier 2013 soit moins de 24 h après l’incident, sa famille dément les rumeurs de la presse selon lesquelles, la victime souffrirait de troubles mentaux "cheikh mbaye jouit de toutes ses facultés mentales. il développait même beaucoup de projets... ». pourquoi ces glissades à répétition de la presse ? les auteurs d’immolations sous wade étaient ils plus sains d’esprits que le premier sous l’ère macky ? la désillusion est elle moins présente sous macky que sous son prédécesseur ? la question mérite d’être posée avec beaucoup de recul et sans subjectivité aucune. cette manière de faire des journalistes, et pas des moins connus, ne rend ni service au régime actuel ni au peuple sénégalais. c’est une bombe que la presse a entre ses mains et qui risque d’exploser au moment où on s’y entendra le moins.
madiambal diagne dans sa chronique du lundi 07 janvier 2013 titrée « inculpez wade ou libérez aïdara sylla ! » a rappelé le rôle jouait par la presse dans la chute du régime de wade. « dix ans durant, nous nous sommes tués, à travers ces colonnes, à publier les hauts faits (de wade) de prédation de ressources publiques » disait-il. la presse a telle perdu son verbe et son rôle de sentinelle dans une démocratie en marche avec l’élection de macky sall comme président de la république du sénégal ? sommes-nous entrain d’assister à un gouvernement de journalistes après celui des avocats ? les journalistes sont ils devenus complaisants face à leurs homologues qui composent l’entourage proche du président ?
vous avez été sans doute surpris de voir lors de son émission, ça me dit mag, avec le professeur gadiaga du 15 décembre 2012, l’ex percutant pape allé niang, déclarer après une analyse du juriste, « (…) j’attends de voir celui qui viendra ici me parler de la haute cour de justice comme étant seule habilitée à juger les ex barons du gouvernement de wade ». le professeur venait de faire une brillante dichotomie entre les fautes qu’auraient commises un ministre dans l’exercice de ses fonctions et durant l’exercice de ses fonctions. cette satisfaction montrée du journaliste prouve deux choses. il est prêt à défendre la position actuelle du gouvernement et ne laissera pas l’autre camp défendre son point de vu puisqu’il le juge déjà comme erroné. est-ce cela le rôle du journaliste qui doit participer à l’éclosion de la vérité et à l’équilibre de l’information ?
que dire de mamadou oumar ndiaye qui ne semble pas être tout à fait d’accord avec le discours de macky sall lors du nouvel an, mais préfère le critiquer en utilisant la pédale douce. il titre dans sa chronique parue dans le journal le témoin n°1109 « discours de fin d’année du président macky sall: oublis et omissions d’un (bon) discours». cherche t il avec ce titre à caresser macky dans le sens de la poile ou évite t il de s’amener les foudres de ses compères qui ont pris fait et cause pour le régime actuel ? dans le fond, il souligne « sur le fond, en revanche, il est sans doute notable que les spins doctors du président n’ont pas accordé une très grande attention au contenu de son discours du nouvel an ». il critique tout en qualifiant les rédacteurs de « spins doctors ». content sans doute, de ses compères, malgré les oublis listés et le fond vide.
que devient souleymane jules diop, après nous avoir servi, pendant des années, qu’il ne défendait que des principes. n’est il pas devenu un membre à part entière de l’apr qu’il cherche à défendre vaille que vaille ?
nous ne demandons pas à la presse d’être des ultra opposants comme le groupe walfadjri, mais à jouer le rôle d’avant-gardiste qu’on lui connaissait, de faire comme le groupe d-media qui est le seul, à l’heure actuelle, à nous informer juste et vrai. même les journalistes du groupe futur medias que nous avons toujours connu pour leur professionnalisme s’adonnent à ces pratiques en cherchant à faire plaisir à leur patron devenu ministre dans le gouvernement de macky. allassane samba diop est devenu méconnaissable et mamadou ibra kane aphone.
nous ne sommes pas contre le gouvernement, mais réclamons notre droit à l’information. la vraie information. le peuple n’a pas besoin de mirage pour subsister. face au faux il arrivera un moment où lui-même s’en détournera et réclamera ce qu’on a tenté de lui cacher. le journaliste doit alerter et non applaudir. l’acclamation continue est du rôle du partisan et non du journaliste libre et indépendant. nous avons besoin que l’on nous dise que le train n’est pas arrivé à l’heure. celui qui arrive à temps ne constitue pas une information. gilbert keith chesterton décrivait avec ironie le rôle du vrai journaliste en ces termes « le journalisme consiste pour une large part à dire “lord jones est mort” à des gens qui n’ont jamais su que lord jones existait. »
alors chers journalistes, reprenez vous et ressuscitez la presse décédée le 25 mars 2012 pour que triomphe la démocratie sénégalaise !
modou badiane
sociologue
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merci, tu m'as marché sur la langue

Soyez le bienvenu au pays de la Teranga





Oh Majesté gno la ko gnane! République la gnou wakh, affairou roi yi mo fi diékh

one love sa majesté, ce dont l'afrique a besoin ce né des gens ki ont appris la democratie du plus fort de babylonne, des diplomé voluer et voleur de regles, bafouant le peuple et bernant la conscience collective.
a defaut de notre developpement economique , affirmons nous par notre identité culturelle avec nos cheferies, nos croyances, nos valeurs, bref notre CIVILI-sation!!!!
a defaut de notre developpement economique , affirmons nous par notre identité culturelle avec nos cheferies, nos croyances, nos valeurs, bref notre CIVILI-sation!!!!

Il a usurpe mon titre!
Abdoulaye Wade
Abdoulaye Wade

7 ans c'est petit !!!!!!

Aulieu de nous focaliser sur son accoutrement,lisons ce qu'il a dit et cogitons y please:
"Sa majesté Tchiffi Zié Jean Gervais, Secrétaire Général du Forum des Rois, Sultans, Cheicks, Princes, Chefs Traditionnels et Sages d'Afrique. Notre indépendance doit s'inscrire dans notre capacité de nous démarquer du schéma qui nous maintien dans la dépendance vis-à-vis de l'occident.
Il ne s'agit pas de se replier sur nous même. Il s'agit d'être nous même à la rencontre des autres. C'est à ce prix seulement que l'Africain pourra s'exprimer en tant qu'un être humain au même titre que les autres humains blanc, jaune, rouge. Sans le divin tout effort est vain. Même si l'occident immoral tente de nier l'existence de Dieu en lui subsistant le dieu technologie adjuvant du délabrement moral qui sonne la décadence de la civilisation occidentale. L'Afrique ne doit pas accompagner l'occident dans ce gouffre poubelle. L'Afrique dans son mouvement de survie est la chance de l'occident et de toute l'humanité.
C'est dans cette même veine qu'à l'Université de Dakar, a osé dire le Président Français Nicolas SARKOZY, en ce 21ème siècle que les africains ne sont pas assez rentrés dans l'histoire.
En effet, l'histoire écrite par le blanc n'a visé qu'à justifier tous les crimes fondés sur le complexe de supériorité du colon blanc. De l'esclavage à la mondialisation en passant par la colonisation et le néo-colonialisme, l'Africain est montré comme un gros enfant, incapable de s'assumer."
"Sa majesté Tchiffi Zié Jean Gervais, Secrétaire Général du Forum des Rois, Sultans, Cheicks, Princes, Chefs Traditionnels et Sages d'Afrique. Notre indépendance doit s'inscrire dans notre capacité de nous démarquer du schéma qui nous maintien dans la dépendance vis-à-vis de l'occident.
Il ne s'agit pas de se replier sur nous même. Il s'agit d'être nous même à la rencontre des autres. C'est à ce prix seulement que l'Africain pourra s'exprimer en tant qu'un être humain au même titre que les autres humains blanc, jaune, rouge. Sans le divin tout effort est vain. Même si l'occident immoral tente de nier l'existence de Dieu en lui subsistant le dieu technologie adjuvant du délabrement moral qui sonne la décadence de la civilisation occidentale. L'Afrique ne doit pas accompagner l'occident dans ce gouffre poubelle. L'Afrique dans son mouvement de survie est la chance de l'occident et de toute l'humanité.
C'est dans cette même veine qu'à l'Université de Dakar, a osé dire le Président Français Nicolas SARKOZY, en ce 21ème siècle que les africains ne sont pas assez rentrés dans l'histoire.
En effet, l'histoire écrite par le blanc n'a visé qu'à justifier tous les crimes fondés sur le complexe de supériorité du colon blanc. De l'esclavage à la mondialisation en passant par la colonisation et le néo-colonialisme, l'Africain est montré comme un gros enfant, incapable de s'assumer."




Il s habille mieux que Kara

un grand hote pour serigne ndakarou bassirou d m diop ...


Vous ne vous souvenez pas de lui . pure création de Khadafi qui voulait régner sur l 'Afrique.
Il a fait avec d 'autres énergumènes dans son genre le spectacle quand Khadafi prenait la présidence de l'UA.
il lui a fait allégeance dans la grande salle à Addis Abeba , provoquant l 'hilarité de pas mal de chefs d 'états notamment anglophones. un vrai guignol!!!
Il a fait avec d 'autres énergumènes dans son genre le spectacle quand Khadafi prenait la présidence de l'UA.
il lui a fait allégeance dans la grande salle à Addis Abeba , provoquant l 'hilarité de pas mal de chefs d 'états notamment anglophones. un vrai guignol!!!

on n'a plus de rois au sénégal que partout au monde a vous de deviner!

QUE DES CONNERIES

Attends ! dites à ce soit disant roi là qu'on est plus en 1600 je ne sais koi !! le temps des lat dior est révolu ! on est en 2013 !!!








Avant tout je m'adresse a ce SOCIOLOGUE MODOU BADIANE ,vraiment je panse que il te faut un schycolog pour te soigne.............

doit revoir son accoutrement de toubab; sans cravatte, sans costume, sans montre, sans lunettes et venir plaider en pagne....il sera plus crédible , du moins pour les africains, pour les blancs, il est déguisé et sans intérêt.

Quesqu'il vient foutre a Dakar celui la. Dakar est devenu le paradis de tous les niaks.
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