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Dire la vérité sur le Franc CFA

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Dire la vérité sur le Franc CFA

Dans le cadre d’un débat démocratique, les adversaires doivent se vouer un respect mutuel et l’objectif devrait être d’éclairer les citoyens ordinaires, les décideurs publics, etc. Les meilleurs arguments doivent triompher des intérêts partisans. Autant nous devons nous réjouir de l’émergence d’un débat public sur le franc CFA partout dans l’espace francophone, autant nous devons déplorer le manque de courtoisie et d’honnêteté intellectuelle de nombre de partisans du franc CFA.

Le manque de courtoisie, pour employer un euphémisme, se manifeste lorsque l’on dénigre ceux qui ne sont pas favorables au maintien du franc CFA à l’aide de qualificatifs comme « ignorants », « idéologues », etc. Pareille attitude ne permet pas la tenue d’un débat rationnel entre pairs. Les intellectuels qui s’opposent au système franc CFA parlent en connaissance de cause et ont des arguments solides à faire valoir. Quant au manque d’honnêteté intellectuelle, il se révèle par l’autocensure opportuniste et par le recours systématique à une argumentation insidieuse et biaisée - caricature des arguments des adversaires, occultation des faits troublants, etc.

Lorsque l’on se limite aux faits, et uniquement aux faits, il est impossible, dans le cadre d’un débat démocratique dépouillé de tout oripeau partisan, de souhaiter le maintien du système franc CFA. Le débat sur les faits est en effet ce qu’il y a de plus dangereux. C’est pourquoi les partisans du franc CFA n’en veulent pas.

Premier fait irréfutable : le franc CFA n’a pas favorisé le développement économique des pays qui l’ont en partage. L’appartenance à l’espace FCFA (par ce raccourci commode il est fait référence aux deux blocs monétaires distincts que sont l’UEMOA et la CEMAC ; la zone Franc en Afrique c’est l’espace FCFA + les Comores) est corrélée avec sous-développement et pauvreté. Parmi les 14 pays de cet espace, 10 sont classés parmi les Pays les moins avancés (PMA) ; les 4 autres (Cameroun, Côte d’Ivoire, Gabon, Congo) ont de nos jours un niveau économique (PIB par habitant) inférieur au moins à celui des années 90. Sur les 11 pays en bas du classement mondial 2015 de l’Indice de développement humain (indice qui prend en compte le revenu par habitant, le niveau scolaire et l’espérance de vie à la naissance), 6 sont des pays de l’espace FCFA.

Deuxième fait irréfutable : on ne peut pas dire que le franc CFA ait favorisé l’intégration commerciale du continent. En 2014, les échanges commerciaux au sein de la zone Franc se situaient à moins de 10% du total des exportations et des importations des pays membres. Pour l’UEMOA et la CEMAC, on obtient respectivement 19% et 7,1% (voir l’Annuaire Statistique 2016 de la Banque Africaine de Développement).

Troisième fait irréfutable : les pays de l’espace FCFA souffrent d’un déficit chronique de crédits bancaires. Le ratio crédits bancaires à l’économie/PIB est de l’ordre de 25% en zone UEMOA et de l’ordre de 13% en zone CEMAC alors qu’il se situe en moyenne à plus de 60% pour l’Afrique subsaharienne, 100% en Afrique du Sud, etc. Autrement dit, appartenir à l’espace FCFA c’est être membre d’un espace où les porteurs de projets économiques ont très peu de chances d’obtenir un financement bancaire de moyen-long terme abordable.

Quatrième fait irréfutable : les pays de l’espace FCFA sont ceux qui souffrent le plus des flux financiers illicites en Afrique. Alors que l’espace FCFA représente 11% du PIB du continent, il pèse 18,5% du montant estimé des flux financiers illicites qui sont sortis du continent entre 2004 et 2013 (voir les travaux de la Global Financial Integrity). Chaque jour, c’est ainsi 21 milliards de FCFA en moyenne qui sortent de l’espace FCFA sous forme de flux financiers illicites. Cette réalité est facilitée, on le devine bien, par le principe de libre circulation des capitaux au sein de cet espace.

Compte tenu des faibles performances socioéconomiques des pays de l’espace FCFA et de l’emprise que la France y exerce, il n’est pas surprenant que l’appartenance à la zone Franc ait été et continue d’être synonyme d’instabilité politique et d’autoritarisme. C’est là un cinquième fait irréfutable. Entre 1960 et 2012, cette zone a enregistré 78 tentatives de coups d’Etat, soit près de 40% des tentatives de coups d’Etat dénombrées pour tout le continent africain sur cette période ! De manière générale, on observe que le couple Franc CFA/ressources naturelles rime souvent avec régime politique autoritaire.

Ces cinq faits irréfutables plaident tous contre le maintien du système franc CFA en l’état. Les partisans du Franc CFA les passent d’ordinaire sous silence, préférant servir à l’opinion publique un discours de justification du statu quo. Cette apologie de l’immobilisme monétaire repose sur une série d’affirmations dénuées de fondement. Citons-en deux principales.

Les partisans du franc CFA soutiennent que la stabilité monétaire permise par la fixité du taux de change entre le franc CFA et l’euro encourage l’investissement et la croissance. Dans les faits, aucun pays de la zone Franc (à l’exception de la Guinée-équatoriale, pays pétrolier contrôlé par les multinationales et dont l’équivalent de la moitié du PIB est transféré chaque année vers l’étranger) n’a réussi à obtenir un taux de croissance du PIB par habitant de plus de 2% en moyenne annuelle sur le long terme (disons depuis les indépendances). Par comparaison, la Corée du Sud et la Chine ont obtenu des taux de croissance du PIB par habitant de 6-7% en moyenne annuelle sur plus de trois-quatre décennies.

Sur ce point, les partisans du franc CFA sélectionnent adroitement les faits. Ils vont dire par exemple que le franc CFA favorise la croissance économique en donnant les exemples des performances économiques actuelles du Sénégal et de la Côte d’Ivoire, pays qui vivent une conjoncture favorable.

Ce qu’ils ne vont pas dire est que des épisodes d’accélération de la croissance économique ont souvent été observés en Afrique. Mais ces épisodes ont rarement été durables. D’où un constat empirique bien établi dans la littérature économique : en Afrique il est plus facile d’allumer la croissance économique que de la soutenir durablement. Or rien ne dit que la croissance économique récente des pays de l’UEMOA comme le Sénégal et la Côte d’Ivoire sera durable.

Ce qu’ils ne vont pas dire est que le PIB par habitant du Sénégal en 2014 était inférieur à celui de 1960 alors que la Côte d’Ivoire d’Alassane Ouattara avait un PIB par habitant en 2014 inférieur de 41% au meilleur niveau de PIB par habitant de l’histoire du pays qui a été observé à la fin des années 1970, sous l’ère Houphouët (voir les Indicateurs de développement de la Banque mondiale).

Ce qu’ils ne vont pas dire est que les pays de la CEMAC sont au bord du gouffre depuis la chute ces dernières années des prix des produits primaires.

Ce qu’ils ne vont pas dire est que la soi-disant stabilité monétaire n’est qu’un objectif intermédiaire. Ce n’est pas une finalité en soi. Ce qui importe au bout du compte c’est l’amélioration du bien-être des populations, ce que le Franc CFA ne permet pas. Que signifie d’ailleurs la stabilité monétaire dans un contexte de paupérisation massive ? Sans doute que ceux qui veulent transférer vers le reste du monde leurs avoirs peuvent le faire sans encourir de risque de change.

Les partisans du franc CFA soutiennent également que le franc CFA est un mécanisme pour préserver le pouvoir d’achat des populations. L’inflation, terme pour désigner la hausse des prix d’une période à une autre, est certes en moyenne plus faible dans les pays de l’espace FCFA. Mais l’obsession anti-inflationniste dans cet espace a pour contrepartie une croissance économique en dessous du potentiel des pays membres. Ce point a été mis en évidence par beaucoup de travaux économiques. Moins de croissance économique, c’est moins d’emplois décents et moins de revenus distribués aux ménages.

En réalité, le franc CFA permet de préserver le pouvoir d’achat de ceux qui ont un revenu important - les classes les plus aisées. Il ne permet pas de créer du pouvoir d’achat pour ceux qui n’ont pas de revenus et ceux dont les revenus sont insuffisants. Cette célébration du faible taux d’inflation dans le contexte de pays pauvres est d’autant plus risible qu’une ville comme Dakar fait partie des villes les plus « chères » au monde – c’est-à-dire des villes où le coût de la vie est l’un des plus élevés au monde.

Parallèlement, l’argument est souvent avancé par les partisans du franc CFA qu’un faible taux d’inflation facilite l’octroi de crédits bancaires à des taux abordables. Ceci n’est pas vérifié dans l’espace FCFA. Non seulement les crédits bancaires sont faibles, mais encore les taux d’intérêt bancaire sont prohibitifs.

Faute d’avoir un argument économique décisif en faveur du maintien du Franc CFA, les partisans du Franc CFA tendent à mobiliser le registre des déclarations comminatoires : « si on sort du franc CFA, ce sera le chaos monétaire ». Et pour illustrer leur point de vue, ils vont citer des exemples comme le Nigéria, la Guinée, etc. Ils vont dire que certains pays voisins non-membres de l’espace FCFA ont plus confiance dans le Franc CFA que dans leur monnaie nationale.

Le manque d’honnêteté intellectuelle repose ici dans la sélection de contre-exemples, c’est-à-dire des pays qui ne sont pas, à dire vrai, des parangons de souveraineté économique (la monnaie est une dimension parmi d’autres de la souveraineté économique). La Tunisie, le Maroc et l’Algérie étaient membres de la zone Franc et l’ont quittée au moment des indépendances (respectivement en 1958, 1959 et 1963). Chacun d’entre eux dispose de sa monnaie nationale et a une situation économique plus enviable que n’importe lequel des pays de l’espace FCFA.

Sortir du franc CFA = chaos monétaire programmé ? Si ceci était le cas, pourquoi la Tunisie, le Maroc et l’Algérie n’ont pas vécu un effondrement monétaire ? Pourquoi donner l’exemple du Nigéria ou de la Guinée alors que nous avons l’expérience plus parlante de pays de la zone Franc qui ont fait très tôt le choix résolu de la souveraineté économique ? Pourquoi choisir des pays qui ont une gestion monétaire loin d’être exemplaire alors qu’il y en a beaucoup d’autres à travers le monde qui ont réussi à se développer économiquement grâce à une gestion monétaire souveraine et pragmatique ? A nouveau, la réponse est le manque d’honnêteté intellectuelle.

Dire non au Franc CFA n’est pas faire de l’ « idéologie » ou verser dans le nationalisme primaire. Les partisans du franc CFA gagneraient à faire preuve de moins de snobisme intellectuel et à tenir au sérieux les arguments de leurs adversaires, qui ne sont pas leurs ennemis. Il est temps qu’ils sortent de leur tour d’ivoire technique pour répondre aux questions sensées que n’importe quel citoyen africain ne peut manquer de se poser une fois qu’on lui parle des relations monétaires entre la France et l’Afrique.

Est-il normal que la France continue de gérer la monnaie des pays africains près de soixante après les indépendances ? A-t-on déjà vu un pays ou un groupe de pays d’une taille significative se développer sur le plan économique avec une monnaie coloniale - créée, administrée et « garantie » par l’ex puissance coloniale ?

Faute de s’être ouvertement prononcés là-dessus, sous le prétexte qu’ils ne parlent que des choses techniques et jamais de « politique », les partisans du Franc CFA répondent implicitement par l’affirmative sur ces deux questions. Pour nous autres qui sommes pour une sortie collective méthodique du système Franc CFA, la réponse ne souffre aucune ambiguïté. C’est NON dans les deux cas.



28 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2017 (23:23 PM)
    Si les dirigeants africains étaient des gens dignes et honnêtes cette question serait évacuée depuis des décennies. ..pour eux le plus important c'est de rester mourir au pouvoir
  2. Auteur

    Diallo

    En Mars, 2017 (23:27 PM)
    Merci pour ces éclaircissements cher frère ! Nous disions niet à cette monnaie.
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    Auteur

    Diomina

    En Mars, 2017 (23:31 PM)
    Bravo pour cet excellent essai. En effet, difficile de comprendre l'attachement (ou l'incapacité de se défaire) au CFA.
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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2017 (00:15 AM)
    merci et bravo
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    Auteur

    Dégoûté

    En Mars, 2017 (00:30 AM)
    African??? Mane dama warou sakh

    On ne veut pas être libre!

    On veut rester derrière le reste du monde

    Africain est le loup de l Africain manipulé par ses maîtres

    Que l'Afrique soit atomisé une bonne fois pour toutes

    Point final.
    Auteur

    Xeme

    En Mars, 2017 (01:39 AM)
    Les défenseurs du francs CFA n’ont qu’une argumentation infantile. La raison en est qu’ils tirent cette argumentation de la tutelle coloniale, la France, celle là qui est la seule à trouver un intérêt au maintien du CFA, et qui obtient cet intérêt en infantilisant ceux sur qui elle tire cet intérêt. Osons appeler un chat un chat. La seule raison pour laquelle, 60 ans après l’indépendance, nous continuons toujours d’utiliser cette monnaie coloniale pour l’intérêt de la France et pour notre malheur, c’est uniquement parce beaucoup de nos élites sont de grands enfants qui ont accepté de l’être pour les petits intérêts qu’ils y gagnent ou par peur. Notez les différentes argumentations des défenseurs du CFA: économies des pays de la zone CFA non homogènes, donc impossible de quitter le CFA, nos économies sont faibles, donc quitter le CFA entraînera un désastre monétaire; Papa France nous assure la convertibilité, donc si elle ne l’assure plus nous seront foutus, etc, et autres niaiseries du genre. Quand vous entendrez l’un des débiles défenseurs du CFA argumenter de la sorte, posez lui seulement une question, à savoir s’il est un homme ou une femmelette, s’il se croit pleinement être humain comme tous les autres, ou s’ils se considère comme humain de seconde zone qui n’a et n’aura jamais le bagage intellectuel nécessaire pour faire face au monde. Un être humain qui ne se sous estime pas, se dira toujours que puisqu’un humain l’a réussi, alors lui il le peut, ou le pourrait. Mais se mettre en tête, et défendre sans honte, que la France l’a réussi, mais que nous, pauvres pays de nègres, damnés de la terre, nous ne le réussirons jamais, est le point le plus bas qu’un être puisse s’imaginer se trouver. J’enrage quand je lis quelqu’un qui se dit intellectuel, ou qui est pris comme tel, défendre de pareilles choses. Et à chaque fois je me dis que du haut du ciel, Dieu doit regarder cet africain avec un de ces mépris…. Honte à tous les défenseurs de cette monnaie coloniale.
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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2017 (06:04 AM)
    Des hommes qui ne veulent pas prendre leur destin en main vous allez mourir de faim malgré toutes vos richesses ( idiot vous le resterez toute votre vie )

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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2017 (06:32 AM)
    Comme disait le commissaire Sadio,nous somment gouverner par des ecornifleurs....

    Les lamine Gueye Senghor avaient mene les combat de leur temps,et dans les realites de leur epoque.

    Cette generation doit prendre son destin en main.Mais pour la plupart,nous n'y Somme pas prepare.Nous ne connaissont meme pas notre histoire la plus recente.

    A voir ce regime agir,il n' y a aucune profondeur,aucune idee,C'est jsute des individus qui jouissent a pleine dent du pouvoir qu'ils ont de disposer de la puissance de l'etat.
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    Auteur

    Mohammed

    En Mars, 2017 (07:10 AM)
    Bravo M. SYLLA. Vous avez tout a fait raison. Quand on a une mentalité d'esclave, on la conserve toute sa vie. Rappelez-vous: quand les nationalistes africains parlaient d'indépendance, on les accusait de vouloir nous mener vers l'aventure. Le combat contre le système CFA sera gagné lorsque les peuples le prendront en charge. C'est quand même surprenant de constater que les défenseurs dudit système répètent les mêmes arguments que l'Ambassadeur de France. Tant pis pour eux, ils ne vont pas dans le sens de l'histoire.
    Auteur

    Zadig

    En Mars, 2017 (07:19 AM)
    Trés bon article, bien focumenté . Notre Président Maky Sall qui demandant à étre mieux éclairé sur cette question est bien servi. S il est conséquent avec lui méme il devrait inviter ses pairs à accélérer la sortie du systéme monétaire actuel. Peut on attendre cela d un Président qualifié par ses compatriotes de Francophile . C 'st maintenant au peuple des pays ayant en commun le CFA de s'unir pour exiger avec force et méthode notre indépendance monétaire , sans attendre encore.
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    Auteur

    Zewize

    En Mars, 2017 (07:41 AM)
    C'est toujours un plaisir de lire les -O combien- pertinentes analyses d'un des plus descents intellectuel de notre ère. Je le suis ce jeune homme courageux depuis bien un temps et il n'a jamais changé dans son discours engagé et patriotique. Mes encouragements Mr Sylla.  :sunugaal: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2017 (07:49 AM)
    Le pire est que le projet d'une monnaie Africaine fait par des économistes Africains est dans les tiroirs depuis des décennies et c'est la FRANCE qui y oppose son veto!,  :frustre: 
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    Auteur

    Teuf!

    En Mars, 2017 (07:51 AM)
    Soyons clairs et simples SVP



    1- Sur le fond la question du franc CFA n'est pas véritablement le problème, mais disons plutot de l'ANCRAGE DU FRANC CFA à l'EURO avec tous ses corrolaires



    2- Dans la perspective d'une monnaie unique ouest africaine, voire africaine, les pays de la zone franc, ont intérêt à garder leur unité à travers une monnaie unique, qu'elle s'appelle franc ou autre, afin de peser dans oles négociations qui auront cours dans le cadre de cette monnaie unique.



    In finé, je propose de revoir la sémantique de ce débat, il faut poser tout simplement la question de l'ANCRAGE DU FRANC CFA à l'EURO ou à la future monnaie française s'il ce pays quittait la zone euro.



    Pas la pêine de changer le nom, ni les billets, cela nous évitera bien des bouleverssement sociologiques et le cout de la démonétérarisation et de la mise en circulation des nouvelles pièces et billet.



    Merci.
    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2017 (08:10 AM)
    7.7.4.8.1.0.2.1.4.a ba-sse de plan-ntes con-tre l’ej-jaculation ppr-ecoce le mm-anque d’appp-etit sex-xxuel la faib-bblesse due a la moo-lllesse ou la diffic-kulte d’avo-oir une errr-ection ou de main-tttenir une errrec-tion l’aaaasper-mie l’azzzzoosper-mie l’oligooosper-mie la fai-bbbblesse sexx-xxuelle due au dia-bbbbete. aggran-dissemmment de la vver-ge au bout d’un trrrai-tement qui dure 4 semmmai-nes et vous retttrou-verez votre jjjjeu-nesse trai-ttttement hemmmmmo-rroïde inteeer-ne et ex-teeeerne par appli-cation lo-cale avec cicatri-sation apr-es 30 jou-rs.
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    Auteur

    De

    En Mars, 2017 (08:53 AM)
    Pas si Irréfutable que cela. Pour chaque indicateur vous faites une comparaison avec le pays le plus performant. Donc votre conclusion doit être la zone CFA n'est pas la plus performante et non le FCFA met les pays en retard. Prenez pour tous les indicateurs les mêmes pays de comparaison (Gambie, Ghana, ) et non l'Afrique du Sud. Ainsi, il sera possible de voir si le CFA nous met en retard. C'est cela aussi l'honnêteté
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    Auteur

    Anonymous

    En Mars, 2017 (12:03 PM)
    C'est si irréfutable tu parles de la Gambie
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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2017 (12:29 PM)
    Les taux directeurs sont les taux appliqués par la Banque Centrale aux banques lorsqu’elles viennent emprunter des ressources à ses guichets pour, entre autres, accorder des prêts à leur clientèle. Les banques sont censées répercuter l’évolution de ces taux directeurs sur les taux qu’elles servent à leurs clients. Les taux directeurs ont ainsi vocation à donner au système bancaire et au marché, des indications et des signaux sur l’évolution que la Banque Centrale souhaite voir imprimer au coût et au volume du crédit bancaire ou du financement d’une manière générale. Une baisse de ces taux ou leur maintien à des niveaux relativement bas signifie que la Banque Centrale voudrait favoriser les crédits, donc relancer les investissements et la croissance. A contrario, une hausse des taux directeurs montre qu’elle anticipe des tensions inflationnistes qu’elle voudrait maîtriser en rendant le crédit plus cher, freinant de ce fait sa distribution.

    Les taux directeurs sont les taux appliqués par la Banque Centrale aux banques lorsqu’elles viennent emprunter des ressources à ses guichets pour, entre autres, accorder des prêts à leur clientèle. Les banques sont censées répercuter l’évolution de ces taux directeurs sur les taux qu’elles servent à leurs clients. Les taux directeurs ont ainsi vocation à donner au système bancaire et au marché, des indications et des signaux sur l’évolution que la Banque Centrale souhaite voir imprimer au coût et au volume du crédit bancaire ou du financement d’une manière générale. Une baisse de ces taux ou leur maintien à des niveaux relativement bas signifie que la Banque Centrale voudrait favoriser les crédits, donc relancer les investissements et la croissance. A contrario, une hausse des taux directeurs montre qu’elle anticipe des tensions inflationnistes qu’elle voudrait maîtriser en rendant le crédit plus cher, freinant de ce fait sa distribution.

    source: http://news.abidjan.net/h/610816.html

    Le taux de la BCE est appelé taux refi ou encore taux de refinancement. Le taux refi correspond au taux que les banques doivent payer lorsqu’elles empruntent de l’argent à la BCE. Les banques ont recours à cet arrangement en cas de pénurie de trésorerie.

    Évolution du taux de la BCE:

    Modification du taux refi BCE

    10-03-2016 0,000%

    04-09-2014 0,050%

    05-06-2014 0,150%

    07-11-2013 0,250%

    02-05-2013 0,500%

    05-07-2012 0,750%

    08-12-2011 1,000%

    03-11-2011 1,250%

    07-07-2011 1,500%

    07-04-2011 1,250%

    source: http://fr.euribor-rates.eu/taux-bce.asp



    Donc on est arrimé à l'euro; et en europe les taux ont fondu au cour des ans pour aider à la relance economique de l'europe en favorisant le credit à la clientéle. Les taux sont maintenant à zéro. Et nous on est hyper croissant, vu notre croissance forte et notre développement qui dépasse méme celle de l'Europe on est a 2.5% pour défavoriser le crédit à la clientéle, car les ménages en Afrique ont beaucoup plus d argent que ceux de la zone euro.

    Le franc cfa a fait du bien en nous unissant dans une zone commune, mais notre encrage reste à revoir

     :baby-crawl:  :baby-crawl:  :baby-crawl:  :baby-crawl:  :baby-crawl:  :baby-crawl:  :baby-crawl: 
    Auteur

    Al Ndiaye

    En Mars, 2017 (12:36 PM)
    L'ancrage du Cfa pour un lot de pays à une monnaie étrangère c'est une vue de l'esprit et non un enseignement des grandes écoles de la théorie monétaire. Un état gère son budget et sa monnaie. Il ne doit pas déléguer sa gestion monétaire. C'est ce qu'ont compris l' Angleterre et les partisans de la sortie de la zone Euro en crise. Soit nos dirigeants travaillent pour leurs peuples ou ils travaillent pour le capital étrangers.

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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2017 (12:45 PM)
    Penser que la suppression du cfa va régler nos problèmes est une hérésie... a écouter les pro changement, c'est la solution a tous nos maux.

    Le copinage, la corruption, le manque d industrie...c la le vrai problème

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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2017 (12:46 PM)
    il nous emmerde ce Monsieur. Il est anti-cfa c'est son droit le plus absolu, mais dire que les pro-cfa sont contre le débat franc est une contre-vérité.Ne sont ils pas taxés de tous les noms d'oiseaux par les gens de son clan. Personne n'a dit que le CFA est parfait, loin de là . Mais , il ne faut pas non plus noircir le tableau par des arguments idéologiques.Le Nigéria, le Libéria, la Sierra Léone, la Gambie, la Guinée, la Somalie, le Burundi, le Zimbabwé, la RDC, etc. n'ont pas le franc CFA pour autant ce ne sont pas des champions de la croissance et du développement. La monnaie est certes importante dans la politique économique , mais n'en constitue pas le seul élément fondamental. Le débat devrait sur les politiques économique globales , plutôt de nous faire croire que tous nos malheurs sont dus au CFA. Si tel était le cas, qu'attendent la Guinée, le Zimbabwé, la RDC et compagnie pour devancer les pays de la zone franc beaucoup moins dotés en ressources naturelles?
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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2017 (14:14 PM)
    Phrase clé: "Une sortie collective méthodique du système Franc CFA" !

    Auteur

    Tictac

    En Mars, 2017 (15:31 PM)
     :angle:  :baby-crawl:  :bindeu:  :bip-bip:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">   :brawoo:  :contaan:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/cool.gif" alt=":cool:">   :cringe:  :cringe2:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/danse.gif" alt=":danse:">   :elated:  :emoshoot:  :fbblip:  :fbcool:  :fbdevil:  :fbglass:  :fbhang:  :fbhear:  :fblike:  :fbmus:  :fbsad:  :fbsmileside:  :fbsurprise:  :fbtear:  :fbwink:  :frustre:  :ibit:  :interrogation:  :jaaxle:  :joyy:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">   :jumpy2:   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/khelou.gif" alt=":khelou:">   :kiss:  :lool:  :looney:  mbeulei  :nohope:  :nono:  :question:  :rigolo:  :roadrunner: : :smile:  :smile:  :sunugaal:  :taala_sylla:  :taz-smile:  :thumbs_up:  :thumbsdown:  :thumbsup: :triste: :winkwink:  :winkwink:  :xaxataay: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2017 (15:52 PM)
    Un ramassis de conneries ...la monnaie n'a rien à voir avec le développement ! le probleme c'est que les Africains ne connaissent rien au développement et à la gestion

    Pourquoi le Mali est revenu au Franc CFA ? pourquoi la Guinée Equatoriale riche de son pétrole a choisie le franc CFA ???? Pourquoi le Zimbabwé et la Guinée Conakry qui ont leurs propres monnaie font partie des plus pauvres d'Afrique ! .....répondez à se questions !
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    Auteur

    Moussa S.

    En Mars, 2017 (20:06 PM)
    L’étiquetage de souverainistes ou « monétariste … !» ça peut fâcher, mais je doute que l’économiste ait pu être taxé d’ignorant, toutefois les principes épistémologiques doivent guider la réflexion pour que les éclairages profitent au débat.

    En ce qui concerne les 5 réfutations du franc Cfa , le docteur Sylla utilise un argumentaire mono-causal.



    1. Il affirme que le Cfa est la cause principale de notre sous-développement ; il fait de l’économisme qui est l’erreur majeure de toutes les politiques économiques qui ont échoué depuis 1960 (investissements sans tenir compte des autres éléments) ; il y a les mauvaises politiques (gouvernance) et rigidités sociales (capital humain) qui ont lourdement impacté notre développement , en plus de la géoplitique( est/ouest).

    La priorité actuelle de nos économies ,c’est le changement structurel pour réussir l’industrialisation en tenant compte de nos ressources qu’il faut valoriser et des contraintes de l’environnement.



    2 . Il dit que le CFA empêche l’intégration économique de nos états ;C’est la balkanisation, la division des frontières nationales ainsi que la faiblesse du tissu productif qui sont les principaux facteurs explicatifs de la faiblesse des échanges intra-africains.



    3. Le Cfa entraînerait le rationnement du crédit bancaire et les taux d’intérêt élevés ; la gouvernance bancaire est occultée (voir les restructurations bancaires) sans compter que beaucoup de prêts à des taux concessionnels n’ont pas été mobilisés depuis 1960,( faute de .. compétences ?)

    Aux dernières nouvelles, les taux directeurs de la Bceao auraient été abaissés, c’est une bonne chose ; il faut admettre qu’il y a une distorsion importante dans l’accès au financement.



    4. Le CFA provoquerait une sortie importante de capitaux illicites ; c’est un problème générale à toute l’Afrique, le cas du Nigeria, de l’Angola ou de la Guinée équatoriale sont édifiants sans compter le Maghreb.



    5 Le Cfa provoque des coups d’état, c’est une appréciation libre ; en tout cas de ce point de vue, le Sénégal est mieux loti que la Gambie( dalasi ) ou le Ghana (cedi)

    Dans la deuxième partie de son texte, le Docteur Sylla évalue les arguments des « Pro-Cfa » en faisant des amalgames au départ. La plus part des intervenants ne disent pas qu’il faut maintenir le statu quo mais qu’il faut adopter une démarche prudente pour sortir du régime Cfa, qui est principalement un outil économique, avant d’être un instrument de souveraineté.



    1. la stabilité monétaire est critiquée alors qu’elle est la condition pérenne d’attraction des capitaux .

    H. P. Minsky a bien expliqué les problèmes de l’instabilité et la finance spéculative.



    2. La maîtrise de l’inflation ne serait pas un atout. Ici l’économiste s’appuie sur une lecture primaire de la courbe de Phillips pour dire que le taux de moins de 3 % empêche de baisser le chômage.

    Mais ce outil même augmenté, a des problèmes de robustesse (stagflation) et exprime plutôt un rapport de force employeurs- travailleurs ;dans ce cadre, Blanchard estime que la courbe inflation/chômage pour les USA , est en train de s’aplatir.

    Pour le cas de nos pays, on peut même émettre l’hypothèse d’une inélasticité du chômage aux

    Prix avec la masse d’actifs qui arrive chaque année sur le marché (100.000 au Sénégal).

    Il faudrait plus qu’une politique monétaire, mais des politiques d’emploi actifs pour améliorer la situation.



    3. pour ce qui concerne l’accès au crédit bancaire et les taux d’intérêt abordables, il y a un gros travail de modernisation à faire pour la bancarisation de l’économie et réduire la distorsion, au delà du Franc Cfa.



    4. l’argument que la sortie du Cfa provoquerait un chaos monétaire est accentué par le critique, mais la position raisonnable est le calcul du coût de décrochage :

    -taux d’intérêt + prime de risque (renchérissement du coût de l’argent)

    -surcoût de la dette en devises

    -surcoût des importations en devises (énergie)

    On ne dit pas qu’il ne faut pas sortir, mais il faut organiser cela avec des mesures minimales de sauvegarde (swap de devises pour la dette recomposée, etc..) pour tout plan de sortie



    5. Les « Pro-cfa » abuserait d’arguments techniques, ;il a plusieurs sortes d’approches de la vérité, concordance avec les faits, cohérence logique ou pragmatique.

    Nous pensons que le projet de l’économiste concerne en premier chef, la Cedeao, or il se défausse sur le Nigéria qui serait un mauvais exemple de souveraineté monétaire ,et fait l’apologie du Maroc et de l’Algérie ; il faudra qu’il précise avec quels partenaires partager la souveraineté monétaire en toute rigueur.



    Nous savons tous la charge affective de la monnaie, mais la faisabilité technique de la sortie doit être tracée.

    Le politique se préoccupe de l’impact des décisions sur les attentes de la population, c’est pourquoi le projet de sortie collective doit être méthodique , ce que nous demandons aussi,…. et prudente également.



    La délibération démocratique est une tradition dans notre pays ,

    mais doit rester dans le cadre des convenances civiles et le respect, nous sommes d’accord sur ce point .



    De même , les « souverainistes » doivent être félicité pour la démarche prospective qu’ils ont provoquée, car on n’est jamais trop prudent..











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    Auteur

    Moussa S. Bis

    En Mars, 2017 (16:25 PM)
    « Aux dernières nouvelles, les taux directeurs de la Bceao auraient été abaissés, ».



    Il s’agit plus tôt du coefficient de réserves obligatoires applicables aux banques de l’union ; le taux va être ramené de 5% à 3%, soit une baisse de 200 points et entre en vigueur à partir du 16 mars 2017.



    En effet , en plus de ses interventions sur le marché ( monnaie,crédit), la Bceao s’appuie essentiellement sur les instruments indirects de régulation que sont les taux d’intérêt et le système de réserves obligatoires pour gérer la liquidité bancaire.



    Le dispositif des réserves obligatoires permet à la BCEAO de développer ou de réduire la capacité de distribution du crédit par les banques, ce qui renforce l’efficacité de la politique des taux d’intérêt.



    A titre d’information, le taux de réserves obligatoires du Maroc est de 4%.



    Le taux directeur de la BCEAO (taux d’intérêt) reste à 2,5% (2013). Pour mémoire le taux directeur du Ghana est à 25,5% en début d’année 2017, contre 14% pour le Nigéria, 4,25% pour la Tunisie et 2,25% pour le Maroc.



    Correctif important.
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    Moussa S. Bis

    En Mars, 2017 (16:25 PM)
    « Aux dernières nouvelles, les taux directeurs de la Bceao auraient été abaissés, ».



    Il s’agit plus tôt du coefficient de réserves obligatoires applicables aux banques de l’union ; le taux va être ramené de 5% à 3%, soit une baisse de 200 points et entre en vigueur à partir du 16 mars 2017.



    En effet , en plus de ses interventions sur le marché ( monnaie,crédit), la Bceao s’appuie essentiellement sur les instruments indirects de régulation que sont les taux d’intérêt et le système de réserves obligatoires pour gérer la liquidité bancaire.



    Le dispositif des réserves obligatoires permet à la BCEAO de développer ou de réduire la capacité de distribution du crédit par les banques, ce qui renforce l’efficacité de la politique des taux d’intérêt.



    A titre d’information, le taux de réserves obligatoires du Maroc est de 4%.



    Le taux directeur de la BCEAO (taux d’intérêt) reste à 2,5% (2013). Pour mémoire le taux directeur du Ghana est à 25,5% en début d’année 2017, contre 14% pour le Nigéria, 4,25% pour la Tunisie et 2,25% pour le Maroc.



    Correctif important.
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    Moussa S. Bis

    En Mars, 2017 (16:25 PM)
    « Aux dernières nouvelles, les taux directeurs de la Bceao auraient été abaissés, ».



    Il s’agit plus tôt du coefficient de réserves obligatoires applicables aux banques de l’union ; le taux va être ramené de 5% à 3%, soit une baisse de 200 points et entre en vigueur à partir du 16 mars 2017.



    En effet , en plus de ses interventions sur le marché ( monnaie,crédit), la Bceao s’appuie essentiellement sur les instruments indirects de régulation que sont les taux d’intérêt et le système de réserves obligatoires pour gérer la liquidité bancaire.



    Le dispositif des réserves obligatoires permet à la BCEAO de développer ou de réduire la capacité de distribution du crédit par les banques, ce qui renforce l’efficacité de la politique des taux d’intérêt.



    A titre d’information, le taux de réserves obligatoires du Maroc est de 4%.



    Le taux directeur de la BCEAO (taux d’intérêt) reste à 2,5% (2013). Pour mémoire le taux directeur du Ghana est à 25,5% en début d’année 2017, contre 14% pour le Nigéria, 4,25% pour la Tunisie et 2,25% pour le Maroc.



    Correctif important.
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    Auteur

    Moussa S. Bis

    En Mars, 2017 (16:27 PM)
    « Aux dernières nouvelles, les taux directeurs de la Bceao auraient été abaissés, ».



    Il s’agit plus tôt du coefficient de réserves obligatoires applicables aux banques de l’union ; le taux va être ramené de 5% à 3%, soit une baisse de 200 points et entre en vigueur à partir du 16 mars 2017.



    En effet , en plus de ses interventions sur le marché ( monnaie,crédit), la Bceao s’appuie essentiellement sur les instruments indirects de régulation que sont les taux d’intérêt et le système de réserves obligatoires pour gérer la liquidité bancaire.



    Le dispositif des réserves obligatoires permet à la BCEAO de développer ou de réduire la capacité de distribution du crédit par les banques, ce qui renforce l’efficacité de la politique des taux d’intérêt.



    A titre d’information, le taux de réserves obligatoires du Maroc est de 4%.



    Le taux directeur de la BCEAO (taux d’intérêt) reste à 2,5% (2013). Pour mémoire le taux directeur du Ghana est à 25,5% en début d’année 2017, contre 14% pour le Nigéria, 4,25% pour la Tunisie et 2,25% pour le Maroc.



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