Le ministre de l’Économie, des Finances et du Plan qui faisait une présentation sur « le Financement de l’économie », a affirmé que le Sénégal n’a jamais eu des agrégats macroéconomiques aussi sains. Sous le régime de Macky Sall, a assuré Amadou Bâ, le Sénégal va battre des records et dépasser le montant du budget de 2016 qui est arrêté à 3.022,390 milliards de FCfa.
La leçon du ministre de l’Économie, des Finances et du Plan a été accueillie avec satisfaction par les cadres républicains qui ont été satisfaits par les bonds réalisés en moins de trois ans par le président Macky Sall et son gouvernement. Avec forces détails et chiffres à l’appui, Amadou Bâ a démontré que le Sénégal est en marche, et à son avis, personne ne peut attester le contraire. « Aujourd’hui, on peut affirmer qu’on a rarement eu, dans notre histoire, des agrégats macroéconomiques aussi sains », a affirmé le ministre de l’Économie, des Finances et du Plan.
« Le montant du budget de 2016 est de 3.022,390 milliards de FCfa.
Je vous demande de l’oublier car vous en verrez de plus grands bientôt », a promis Amadou Bâ, en soutenant que le Sénégal battra des records dans les années à venir, avec des performances qui seront de plus en plus élevées. « Ces 3.022 milliards de FCfa vont paraître petits par rapport à tout ce que le président Macky Sall va réaliser sous son magistère », a-t-il déclaré.
Selon le ministre Amadou Bâ, le Sénégal est, en termes de performance de croissance, la deuxième économie de l’Afrique de l’Ouest après la Côte d’Ivoire qui a, aujourd’hui, une croissance de 9,5 %. « Ce que le Sénégal est en train de faire est extraordinaire. Quand on analyse la croissance, le pays maintient une croissance soutenue au moins sur les trois dernières années et l’on a des projections qui traduisent les performances de l’économie », a-t-il indiqué, en rappelant que 2015 marque la première année de mise en œuvre du Pse, après son lancement en 2014.
« Les indicateurs que nous avions en 2014 laissaient présager, pour les analystes, les résultats de 2016. Le Pib du Sénégal a évolué sur ces dix dernières années surtout depuis 2012 où l’on avait 4,4 % de croissance. Nous avions fait une projection de 5,4 % et nous voilà aujourd’hui au moins à 6,4% », s’est-il félicité, en se réjouissant que cette croissance ne soit pas accompagnée d’une inflation.
« Cela veut dire qu’en termes de richesse, il y a l’accroissement de la richesse réelle. Le déficit, aujourd’hui, c’est l’endettement. Il avait atteint 6,7 % en 2011 et depuis lors on le réduit. Les prix sont stables, avec un déficit qui se réduit », a-t-il dit. « Ces données, personne ne les conteste. Sur les tendances générales, on doit être fier de la vision de Macky Sall », a-t-il relevé.
« Nous participons à la création de richesses. Cette année, on est à 1283 milliards de FCfa. Si l’on fait un travail d’audit et qu’on puise sur les dépenses publiques et les orienter vers les dépense productives et qu’on dépense dans l’économie 1.283 milliards, cela explique la croissance. Si l’on a pu le faire, c’est grâce à une meilleure maîtrise des dépenses de personnel qui ont augmenté mais qui sont mieux maîtrisées », a expliqué Amadou Bâ.
1.595 milliards de FCfa d’investissement
Le ministre de l’Économie, des Finances et du Plan a annoncé qu’il y aurait, en 2016, 1.595 milliards de FCfa d’opportunités d’affaires à saisir par le secteur privé national ou de la zone Uemoa. Ce montant, selon Amadou Bâ, correspond à 52 % du budget de 2016.
« Avec 1.595 milliards de FCfa à dépenser, on ne peut pas ne pas faire de la croissance ». C’est la conviction du ministre Amadou Bâ, soulignant que personne n’ose, aujourd’hui, sous Macky Sall, faire un projet qui n’est pas « solide et bancable ». Amadou Bâ a, en outre, prévenu des risques surtout avec certains secteurs comme l’alimentation qui connaissent des difficultés et des risques de retard sur la mise à disposition de ressources suffisantes.
« Quand on parle de financement de l’économie, on a d’autres instruments. Nous avons nos ressources propres. Sur les investissements, on est à 611 milliards de FCfa. On a aussi le soutien de la communauté internationale. On a 3.950 milliards de FCfa qui sont signés et qui engagent l’Etat, nous avons d’autres instruments que sont les banques », a dit le ministre.
Selon Amadou Bâ, les données provisoires montrent que la masse monétaire a augmenté de 919 milliards de FCfa. Il en est de même du taux de liquidité qui a augmenté de 48% nonobstant la hausse du Pib. Les crédits à l’économie ont aussi connu une hausse de 646 milliards de FCfa. Idem pour les crédits au secteur privé qui sont passés de 28 % en 2011 à 34 % en 2014.
« Les chiffres de 2015 sont encore beaucoup plus satisfaisants », a assuré le ministre en listant les autres instruments créés par l’Etat, à savoir la Bnde, le Fonsis, le Fongip, le pôle de Diamniadio qui permettent de gérer le patrimoine de l’Etat de manière plus optimale.
Par Samba Oumar FALL
La leçon du ministre de l’Économie, des Finances et du Plan a été accueillie avec satisfaction par les cadres républicains qui ont été satisfaits par les bonds réalisés en moins de trois ans par le président Macky Sall et son gouvernement. Avec forces détails et chiffres à l’appui, Amadou Bâ a démontré que le Sénégal est en marche, et à son avis, personne ne peut attester le contraire. « Aujourd’hui, on peut affirmer qu’on a rarement eu, dans notre histoire, des agrégats macroéconomiques aussi sains », a affirmé le ministre de l’Économie, des Finances et du Plan.
« Le montant du budget de 2016 est de 3.022,390 milliards de FCfa.
Je vous demande de l’oublier car vous en verrez de plus grands bientôt », a promis Amadou Bâ, en soutenant que le Sénégal battra des records dans les années à venir, avec des performances qui seront de plus en plus élevées. « Ces 3.022 milliards de FCfa vont paraître petits par rapport à tout ce que le président Macky Sall va réaliser sous son magistère », a-t-il déclaré.
Selon le ministre Amadou Bâ, le Sénégal est, en termes de performance de croissance, la deuxième économie de l’Afrique de l’Ouest après la Côte d’Ivoire qui a, aujourd’hui, une croissance de 9,5 %. « Ce que le Sénégal est en train de faire est extraordinaire. Quand on analyse la croissance, le pays maintient une croissance soutenue au moins sur les trois dernières années et l’on a des projections qui traduisent les performances de l’économie », a-t-il indiqué, en rappelant que 2015 marque la première année de mise en œuvre du Pse, après son lancement en 2014.
« Les indicateurs que nous avions en 2014 laissaient présager, pour les analystes, les résultats de 2016. Le Pib du Sénégal a évolué sur ces dix dernières années surtout depuis 2012 où l’on avait 4,4 % de croissance. Nous avions fait une projection de 5,4 % et nous voilà aujourd’hui au moins à 6,4% », s’est-il félicité, en se réjouissant que cette croissance ne soit pas accompagnée d’une inflation.
« Cela veut dire qu’en termes de richesse, il y a l’accroissement de la richesse réelle. Le déficit, aujourd’hui, c’est l’endettement. Il avait atteint 6,7 % en 2011 et depuis lors on le réduit. Les prix sont stables, avec un déficit qui se réduit », a-t-il dit. « Ces données, personne ne les conteste. Sur les tendances générales, on doit être fier de la vision de Macky Sall », a-t-il relevé.
« Nous participons à la création de richesses. Cette année, on est à 1283 milliards de FCfa. Si l’on fait un travail d’audit et qu’on puise sur les dépenses publiques et les orienter vers les dépense productives et qu’on dépense dans l’économie 1.283 milliards, cela explique la croissance. Si l’on a pu le faire, c’est grâce à une meilleure maîtrise des dépenses de personnel qui ont augmenté mais qui sont mieux maîtrisées », a expliqué Amadou Bâ.
1.595 milliards de FCfa d’investissement
Le ministre de l’Économie, des Finances et du Plan a annoncé qu’il y aurait, en 2016, 1.595 milliards de FCfa d’opportunités d’affaires à saisir par le secteur privé national ou de la zone Uemoa. Ce montant, selon Amadou Bâ, correspond à 52 % du budget de 2016.
« Avec 1.595 milliards de FCfa à dépenser, on ne peut pas ne pas faire de la croissance ». C’est la conviction du ministre Amadou Bâ, soulignant que personne n’ose, aujourd’hui, sous Macky Sall, faire un projet qui n’est pas « solide et bancable ». Amadou Bâ a, en outre, prévenu des risques surtout avec certains secteurs comme l’alimentation qui connaissent des difficultés et des risques de retard sur la mise à disposition de ressources suffisantes.
« Quand on parle de financement de l’économie, on a d’autres instruments. Nous avons nos ressources propres. Sur les investissements, on est à 611 milliards de FCfa. On a aussi le soutien de la communauté internationale. On a 3.950 milliards de FCfa qui sont signés et qui engagent l’Etat, nous avons d’autres instruments que sont les banques », a dit le ministre.
Selon Amadou Bâ, les données provisoires montrent que la masse monétaire a augmenté de 919 milliards de FCfa. Il en est de même du taux de liquidité qui a augmenté de 48% nonobstant la hausse du Pib. Les crédits à l’économie ont aussi connu une hausse de 646 milliards de FCfa. Idem pour les crédits au secteur privé qui sont passés de 28 % en 2011 à 34 % en 2014.
« Les chiffres de 2015 sont encore beaucoup plus satisfaisants », a assuré le ministre en listant les autres instruments créés par l’Etat, à savoir la Bnde, le Fonsis, le Fongip, le pôle de Diamniadio qui permettent de gérer le patrimoine de l’Etat de manière plus optimale.
Par Samba Oumar FALL
14 Commentaires
Anonyme
En Janvier, 2016 (17:50 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (18:12 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (18:38 PM)Idy
En Janvier, 2016 (18:44 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (21:03 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (21:22 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (21:47 PM)Le milliardaire américain George Soros, connu pour son flair d'investisseur, a estimé le 8 janvier que les fortes turbulences sur les marchés mondiaux, déclenchées par le ralentissement chinois, pourraient être le signe d'une nouvelle crise financière rappelant celle de 2008.
S'exprimant lors d'un forum d'investisseurs à Colombo au Sri Lanka, l'investisseur a estimé que les difficultés de la Chine et les dévaluations successives de sa monnaie fragilisaient la stabilité financière internationale. Ces déclarations interviennent alors que les marchés étaient sévèrement secoués jeudi une nouvelle fois par la déroute boursière en Chine (-7%) où la séance a duré moins d'un quart d'heure.
"Malheureusement, la Chine a un très gros problème d'ajustement, a de nombreux choix à faire et peut transférer ses problèmes au reste du monde en dévaluant sa monnaie et c'est ce qu'elle fait", a dit le financier. Un affaiblissement du yuan chinois a "infligé des pressions déflationnistes" au reste du monde, a-t-il ajouté devant le Sri Lanka Economic Forum.
Anonyme
En Janvier, 2016 (22:03 PM)Amy
En Janvier, 2016 (00:59 AM)Anonyme
En Janvier, 2016 (07:33 AM)Sytrade
En Janvier, 2016 (09:37 AM)L’atterrissage risque d'être brutal et les jeunes générations malheureusement vont continuer de trinquer ( en raison de cet endettement massif dont la progression est très significative) .
Pour finir, je dirai qu'investir 1595 milliards cfa n'est pas gage de croissance, ( Combien de pays investissent des milliards de dollars sans réaliser de la croissance) malheureusement au royaume des aveugles, les borgnes sont rois.
Yalnaniou Yallah Soutoural, car l'incompétence est à tous les niveaux.
Anonyme
En Janvier, 2016 (13:22 PM)Macky doit oublier de parler de macroéconomique et nous faire une politique uniquement basée sur la microéconomique car nous avons vécu 10 années de Wade de Infrastructures et autres grands projets qui ne font pas manger aux ménages.
Il faut aussi éviter de continuer de s'endetter pour financer de grands projets non productifs et surtout qui n'ont pas une rentabilité qui touche aux plus faibles.
Actuellement, PIB ET ENDETTEMENTS sont les éléments de qualifications des pays, dont il faut contrôler le service de la dette.
Anonyme
En Janvier, 2016 (13:46 PM)Anonyme
En Janvier, 2016 (14:32 PM)Participer à la Discussion