Les nouvelles réformes devenues effectives depuis juin 2015 vont impacter positivement le rang du Sénégal pour le prochain classement du Doing Business 2017, a déclaré lundi le directeur général de l’Agence pour la promotion des investissements et des grands travaux (APIX).
Mountaga Sy s'adressait à la presse lors d'une séance d'échanges sur le Doing Business qui est un classement de plus de 189 pays effectué par la Banque mondiale sur la façon de faire des affaires.
« Entre 5 et 6 indicateurs du Doing Business devraient être impactés par les réformes réalisées », a ajouté le directeur général de l'APIX, signalant parmi ces réformes la création d'entreprise en six heures.
Sur ce registre, il a estimé qu'il y avait un encadrement des émoluments des notaires en matière de constitution de société à responsabilité limitée (SARL).
« Ces émoluments sont de 20.000 FCFA pour un capital compris entre 0 et 500.000 FCFA (1 FCFA équivaut à 0,0017 dollar). Quant aux SARL dont le capital est compris entre 500.000 FCFA et 5 millions FCFA, les émoluments se situent à 70.000 FCFA », a relevé M. Sy, d'après qui il y a eu un bond de 40% concernant la création d'entreprise.
Dans le domaine des transferts de propriété, les délais sont désormais encadrés et réduits.
« La pleine efficacité de la procédure fusionnée de publicité et d'enregistrement a fait passer le délai médian à 36 jours au lieu de 71 jours pour disposer d'un certificat de droit réel au nom de l'acquéreur du bien immobilier à la suite d'une opération d'achat et de vente via le notaire'', a indiqué M. Sy.
Sur un autre registre, il est d'avis concernant le règlement de l'insolvabilité que des facilités sont accordées au chef d'entreprise pour fermer son activité en cas de faillite ou de difficulté.
7 Commentaires
Témoin Apolitique
En Avril, 2016 (14:24 PM)Pour les étrangers, il faut emprisonner les maîtres (les dégoûter à vie de ce Sénégal -aubaine et laisser-aller-) et rendre les enfants à leurs parents (à tancer et à décourager à jamais) sur le champ.
Avez-vous déjà vu les petits talibés greloter durant le froid ou traîner le soir tard pour pouvoir compléter leur ‘versement’ avant d’OSER rentrer ? Que peut-on attendre de maîtres coraniques ayant vécu les mêmes conditions, sans psychologie et sans pédagogie et comme si l’enseignement était inné ?
En attendant, aucune subvention ne devra plus être octroyée à un dahra dont les pensionnaires n’ont pas été régulièrement inscrits à l’état-civil et dont les programmes et conditions d’hébergement n’ont pas été approuvés (comme pour les écoles classiques dites françaises) par les services compétents de l’Etat et de l’UNICEF. Nous sommes dans un état de droit et tous les citoyens doivent être régis par les mêmes lois et règlements pour garantir l’égalité et une paix durable pour tous.
L'arabe et le coran peuvent et doivent être intégrés dans les programmes scolaires et universitaires (pour relever les niveaux, retenir nos enfants autant faire se peut et créer par la même occasion de grands islamologues au cursus relevé et sûr, échappant au joug des jihadistes aux techniques de recrutements très sournoises) comme le catéchisme et le latin pour les catholiques, pour :
. couper court à cette fuite en avant de ministres de l’éducation, de députés, d’enseignants ou d’anciens talibés marqués à vie, mais si frileux et négatifs pour braver ce ‘désordre’ si bien établi ;
. pouvoir éradiquer ce sacrifice d’enfants qui n’ont même pas demandé à naître et qui n’ont que des droits au moment où leurs parents les oublient entre les mains d’ex-victimes irresponsables ayant subi les mêmes sévices et qui n’ont plus le plus souvent qu’une ‘pierre à la place du cœur’ et ;
. arrêter de créer ainsi une catégorie de citoyens (aigris et nécessiteux à l’esprit obtus, futures recrues de gourous nationaux et internationaux) écartés de toute civilisation générale mondiale.
Ce serait radical et plus personne n'aurait rien à dire, comme ce qui se passe actuellement avec la Gambie. IL FAUT SAVOIR REGLER LES PROBLEMES RECURRENTS (RETARDS DE BOURSES, D’ORIENTATIONS, DE PAIEMENT DE PRIMES, DE RAPPELS, D’ENTRETIEN ET DE RENOUVELLEMENT D’INSTALLATIONS ELECTRIQUES, DE CHANGEMENT PERIODIQUE DE PIECES POUR L’ADDUCTION D’EAU, ETC… –QUAND FAUT Y ALLER…- ET EVITER D’ETRE VRAIMENT DES MEDECINS APRES LA MORT) D’UNE MANIERE DEFINITIVE POUR POUVOIR PASSER A L’ESSENTIEL (SANTE, EDUCATION, EMPLOIS, EAU, ELECTRICITE, ETC…, DEVELOPPEMENT HARMONIEUX ET PAIX DURABLE). Coolement. A TEMPS, SINON COMMUNIQUER et FRANCHEMENT ALORS.
Au Sénégal, il faut savoir de temps en temps, après avoir maîtrisé (au sens propre comme au figuré) les différentes sensibilités, agir en goréen ou ‘dùsu’ pour arrêter les parlottes coupables de bien de dérives et de contre-offensives néfastes à la réalisation de projets utiles à la société.
Le Président de la République et le gouvernement (avec l’aide de leurs conseillers –pléthoriques et souvent inutiles ou sous-employés-) doivent savoir anticiper sur les solutions idoines aux cas qui pourraient à terme, constituer :
. des crimes contre l’humanité et/ou ;
. des causes de radicalisations diverses ou des poudrières :
.. étudiants (bourses, orientations, professeurs absentéistes ou sadiques),
.. enseignants (primes, rappels, indemnités normales à niveler avec les autres corps avec langage de vérité et fermeté),
.. corps médical (niveaux rémunérations correspondants aux niveaux de formations et de risques),
.. agriculture, secteur informel non rentable ou saturé, ex-détenus et ambulants professionnels (volontariat et retour au bercail après déblaiement de terres cultivables à grande échelle et subventions, dons-soutiens-encadrement, financements-hypothèques sur terrains pour l’année de démarrage),
.. détenus (psychologue, récupération familiale et formation adéquate),
.. femmes rurales, jeunes déscolarisés et filles-mères (encadrement-formation et financements adaptés),
.. etc…
Tout cela est COLOSSAL et indispensable, mais pas impossible et ô combien salvateur pour surtout tous ces laissés-pour-compte qui ont besoin d’un coup de pouce pour ‘émerger’ et s’y retrouver).
Ils doivent quand même faire preuve de plus de plus de guiss-guiss et de diligence dans le traitement des nombreuses urgences qui les interpellent au quotidien, sans oublier les prévisions normales à gérer rigoureusement.
Je pense que les conseillers devraient pouvoir aider à auditer les ministères et directions rattachées, par secteurs et par groupes, pour des recrutements objectifs à mêmes de relever leur efficience et pour contrôler les objectifs qui leur sont assignés, avec des vraies prérogatives (cas Pr Amsatou Sow Sidibé), pour également libérer le premier ministre et le président de la république qui sont souvent obligés de monter au créneau pour diverses raisons et pour rattraper surtout des erreurs et trajectoires complètement dévoyées.
Les présidents de conseil d’administration, différents élus, ministres et directeurs de société nationale, comme le sénégalais lambda, ont tendance à oublier, dès qu’ils durent dans une fonction, prennent du galon et/ou ont reçu les éloges du président, le pourquoi de leur nomination-élection, le dévouement qu’il doit au peuple sénégalais et les objectifs à eux assignés. Ils prennent alors les sénégalais pour des sujets et deviennent inaccessibles, tout en versant dans les tares de notre société (abus divers : femmes et maîtresses, parrainages et cérémonies folkloriques entraînant le mimétisme et les gâchis, ‘màttey’ et ‘m’as-tu vu’, détournements d’objectifs et de budgets, véhicules-missions-carburant-téléphone-mobilier-logements gérés sans parcimonie, recrutements subjectifs injustes notoires, manque de respect et utilisation des forces de sécurité et des société de services d’une manière abusive et de sorte à leur faire rater leurs objectifs, accaparement ou mauvaise distribution d’avantages destinés aux indigents, recherche de prestige démesuré, cour de ‘répondeurs automatiques’ énervants et serviles qui finissent par avoir le vrai pouvoir, horde de maraboutillons et griots manipulateurs, etc… ). Y’a de quoi vouloir se barricader pour échapper à tous ces ‘chasseurs’ et laudateurs aguerris et bien armés sur tous les plans. ‘Woyy’
De grâce, aucune fonction n’est obligatoire. Il faut savoir passer la main quand on ne peut ou ne veut plus. Les compétences existent (une personne = 1 mandat ou fonction) et des ‘karim’ super-pouvoiriste, on n’en veut plus. NOS MAMANS SONT NOIRES ET TOUTES MERITANTES ET NOUS SAVONS RESPECTER NOS CONGENERES ET RESTER A NOS PLACES et c’est tant mieux pour notre futur.
Malgré tout, je crois en nos grands serignes si indulgents et océans de savoir, avec mes deux préférés (Mame Abdou et Serigne Saliou qui m’avait choisi, sans oublier Serigne Cheikh l’Intellectuel raffiné et fin, et Thierno BA l’avocat des femmes).
ENTRE NOUS.
Anonyme
En Avril, 2016 (14:34 PM)il y aura un IMPACT on dit. ou c'est l'impact... etc.
c'est un substantif Impact.
l'ACADEMIE FRANCAISE l'interdit même.
http://www.academie-francaise.fr/impacter pour plus d'informations
Anonyme
En Avril, 2016 (14:37 PM)il y aura un IMPACT on dit. ou c'est l'impact... etc.
c'est un substantif Impact.
l'ACADEMIE FRANCAISE l'interdit même.
voir : academie-francaise.fr/impacter pour plus d'informations
Anonyme
En Avril, 2016 (14:47 PM)Une entreprise de communication installée au Sénégal recrute des agents commerciaux veillez nous contactez par watsap viber au 821048689817 Mérçi
Watt
En Avril, 2016 (16:18 PM)Il est capable de rafler tous les trophées qui vont dans le sens de cirer les bottes des français.
Anonyme
En Avril, 2016 (16:46 PM)Ndiayed
En Avril, 2016 (09:40 AM)Tout le monde sait que le classement du Doing Business ne veut pas dire grand chose.
Arrêtez de nous saouler avec!!!
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