L’institutionnalisation de la Foire internationale de Kaolack (KIFA) participe de la volonté de repositionner cette région du centre du Sénégal ’’en poumon de l’économie nationale’’, a déclaré le Premier ministre Mahammad Boun Abdallah Dionne.
’’L’institutionnalisation depuis trois ans de la FIKA participe d’une dynamique de repositionnement de Kaolack en poumon de l’économie nationale et du pôle territoire du Sine Saloum en particulier", a-t-il dit en procédant samedi soir au lancement officiel de la troisième édition de cette manifestation.
A son arrivée à Kaolack vers 19h30, M. Dionne s’est aussitôt rendu au Centre international de commerce qui abrite les stands d’exposition de cette foire internationale.
Des diplomates et autres représentants des pays participants à l’évènement qui se tient du 1er au 14 février, ont participé à la cérémonie officielle d’ouverture organisée sur l’esplanade du "Cœur de ville" de Kaolack.
Plus 600 exposants provenant des régions du Sénégal et d’une vingtaine d’autres pays, ne participent à la troisième FIKA, organisée par les Chambres consulaires de Kaolack.
L’Indonésie est l’invité d’honneur de la troisième FIKA, sur le thème "Halal, d’une norme communautaire à une norme économique".
Des rencontres d’échanges sur les possibilités de partenariat économique et d’autres manifestations à caractère ludique sont également au menu de cette foire.
Economie
5 Commentaires
Anonyme
En Février, 2018 (18:29 PM)Anonyme
En Février, 2018 (19:02 PM)Anonyme
En Février, 2018 (20:04 PM)Anonyme
En Février, 2018 (22:40 PM)D’autres se sont retrouvés avec des plafonds virtuels d’exploitation anormalement gonflés.
Cette situation a créé une confusion totale chez tous les agents sans que WARI ne donne aucune explication s’emmurant dans un mutisme inexplicable.
Toutes nos tentatives de demande d’informations sur la situation sont restées vaines d’où notre grande désolation et notre inquiétude sans commune mesure.
Ce qui est le plus grave également est qu’il nous est impossible de récupérer l’argent déposé dans les comptes de Wari.
Cette situation est beaucoup plus grave dans les régions où les banques refusent catégoriquement de payer nos demandes de retraits IBAN
Des gens qui disposent de montants voire 10, 20, 30 000 000 FCFA courent de banques à banques pour se faire notifier au finish que la banque ne paie plus Wari.
Mesurez-vous la gravité de la situation ? Nous versons notre argent physique dans les comptes de Wari, il les met dans la plateforme, la plateforme devient folle et toute tentative de récupérer l’argent physique déposé est refusé catégoriquement.
Dans quel pays sommes-nous les gars ? Et personne ne nous vient en aide !
Kaolack Etouffe
En Février, 2018 (12:21 PM)IL FAUT DÉPLACER DE TOUTE URGENCE LE GARAGE NIORO.
UN VRAI BORDEL.
Participer à la Discussion