Le Qatar aura les yeux braqués vers Abidjan les 10 et 11 juillet prochains. Dans la capitale ivoirienne, les pays membres de l’Organisation de coopération islamique (Oci) y tiennent la 44ème Session du Conseil des ministres des Affaires étrangères (Cmae) de l’Organisation de Coopération islamique (Oci).
Le thème officiel de la rencontre est: «Jeunesse, paix et développement dans un monde solidaire», renseignent les services de l’information du ministère des Affaires étrangères. Mais le récent isolement du Qatar décidé par l’Arabie Saoudite et ses alliés va hanter la rencontre. En effet, l'Arabie Saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis, l'Egypte, les Maldives et le Yémen ont ouvert ce lundi une crise diplomatique majeure dans le Golfe en rompant leurs relations avec le Qatar. Officiellement à cause de son soutien au terrorisme.
Mankeur Ndiaye dont le pays a rappelé son ambassadeur en consultation, en guise de solidarité avec l’Arabie Saoudite, y prendra part, précise le ministère des Affaires étrangères. En face, il y aura des pays comme la Guinée et la Turquie, partisans d’une médiation.
C’est la première rencontre de l’Oci depuis la crise diplomatique dans le Golfe. Tout peut arriver surtout si l’Arabie Saoudite et ses partenaires cherchent à accentuer l’isolement du Qatar par une résolution de soutien.
7 Commentaires
Tragedie Du Roi Christophe
En Juillet, 2017 (19:19 PM)En effet, s'il n'y avait point de convention antérieure, où serait, à moins que l'élection ne fût unanime, l'obligation pour le petit nombre de se soumettre au choix du grand? et d'où cent qui veulent un maître ont-ils le droit de voter pour dix qui n'en veulent point? La loi de la pluralité des suffrages est elle-même un, établissement de convention et suppose, au moins une fois, l'unanimité.
Je suppose les hommes parvenus à ce point où les obstacles qui nuisent à leur conservation dans l'état de nature l'emportent, par leur résistance, sur les forces que chaque individu peut employer pour se maintenir dans cet état. Alors cet état primitif ne peut plus subsister; et le genre humain périrait s'il ne changeait de manière d'être.
Or, comme les hommes ne peuvent engendrer de nouvelles forces, mais seulement unir et diriger celles qui existent, ils n'ont plus d'autre moyen, pour se conserver, que de former par agrégation une somme de forces qui puisse l'emporter sur la résistance, de les mettre en jeu par un seul mobile et de les faire agir de concert.
Cette somme de forces ne peut naître que du concours de plusieurs; mais la force et la libertéde chaque homme étant les premiers instruments de sa conservation, comment les engagera-t-il sans se nuire et sans négliger les soins qu'il se doit? Cette difficulté, ramenée à mon sujet, peut s'énoncer en ces termes:«Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant.» Tel est le problème fondamental dont le Contrat social donne la solution.Enfin, chacun se donnant à tous ne se donne à personne; et comme il n’y a pas un associé sur lequel on n'acquière le même droit qu'on lui cède sur soi, on gagne l'équivalent de tout ce qu'on perd, et plus de force pour conserver ce qu'on a.
Si donc on écarte du pacte social ce qui n'est pas de son essence, on trouvera qu'il se réduit aux termes suivants: «Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.»A l'instant, au lieu de la personne particulière de chaque contractant, cet acte d'association produit un corps moral et collectif, composé d'autant de membres que l'assemblée a de voix, lequel reçoit de ce même acte son unité, son moi commun, sa vie et sa volonté. Cette personne publique, qui se forme ainsi par l'union de toutes les autres, prenait autrefois le nom de cité (a), et prend maintenant celui de république ou de corps politique,, lequel est appelé par ses membres État quand il est passif, souverain quand il est actif, puissance en le comparant à ses semblables. À l'égard des associés, ils prennent collectivement le nom de peuple, et s'appellent en particulier citoyens, comme participant à l'autorité souveraine, et sujets, comme soumis aux lois de l'État. Mais ces termes se confondent souvent et se prennent l'un pour l'autre; il suffit de les savoir distinguer quand ils sont employés dans toute leur précision.
J J ROUSSEAU LE GRAND MARABOUT
" un peuple qui élit des corrompus, des menteurs, des voleurs des rénégats et des traitres n'est pas victime mais complice" G Orwell
Anonyme
En Juillet, 2017 (20:05 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (20:23 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (08:07 AM)Anonyme
En Juillet, 2017 (13:31 PM)Anonyme
En Juillet, 2017 (15:11 PM)Mecque?quelle manque de respect pour l'intelligence des quelques senegalais wui sont restés dignes....à force d'accepter les restes de moutons de la Mecque nous sommes devenus des esclaves au service d'esclavagistes arabes...pourquoi ne pas vendre notre pays à l'Arabie saoudite?on a combattu la France et les francais pour être libres pourquoi accepter de nous offrir aux arabes comme des putes?
Magouilloccidentales
En Juillet, 2017 (01:21 AM)Participer à la Discussion