Après le Conseil des ministres hebdomadaire de mercredi, le Président de la République a réuni, à nouveau, ce jeudi 09 octobre 2014, les ministres, au Palais de la République, pour l’examen du projet de loi des Finances 2015.
Selon «Le Soleil» qui reprend le communiqué du Conseil des ministres, «le budget 2015 s’équilibre en recettes et en dépenses pour un montant de 2 869,032 milliards soit une hausse en valeur absolue de 137, 01 milliards en valeur absolue et 5,02% en valeur relative.
Les dépenses budgétaires sont essentiellement orientées vers les axes prioritaires du PSE (Plan Sénégal émergent) notamment les 27 projets phares pour un montant global d’environ 215 milliards de F CFA. Le financement de ces projets, pense-t-on, devra contribuer à la transformation structurelle de l’économie en vue de soutenir une croissance forte et durable.
Aussi, note «Le Soleil», le projet de Budget prend également en considération le projet social du Président de la République, par le financement des filets sociaux, outils de réduction de la pauvreté et des inégalités par le renforcement du dispositif de protection sociale des citoyens surtout ceux les plus vulnérables.
Le président de la République prévoit une augmentation des dotations budgétaires concernant les subventions sur l’électricité, le gaz, les denrées de premières nécessités, le programme de bourses de sécurité familiale, qui atteindra cette année 100.000 nouvelles familles sénégalaises, la couverture maladie universelle (Cmu) comme réponse à l’inégal accès aux soins de santé dans le pays.
28 Commentaires
Swiss Diaspora
En Octobre, 2014 (07:01 AM)All Is One
En Octobre, 2014 (07:55 AM)Famara Diop
En Octobre, 2014 (08:18 AM)Bindia
En Octobre, 2014 (08:21 AM)Macky Mashallah
En Octobre, 2014 (08:52 AM)Wade
En Octobre, 2014 (08:53 AM)Ibra Fall
En Octobre, 2014 (08:55 AM)C'est vraiment triste.
Lamine Ndiaye
En Octobre, 2014 (08:56 AM)Babastou Cisse
En Octobre, 2014 (08:59 AM)Naana
En Octobre, 2014 (09:38 AM)M Bidou
En Octobre, 2014 (09:41 AM)Lotteryusa
En Octobre, 2014 (11:13 AM)Des individus décidément malhonnêtes se font de l’argent sur le dos de pauvres sénégalais qui rêvent d’immigrer aux USA et qui sont malheureusement mal informés sur la DV lottery. En effet, depuis quelques années de tentes pullulent à travers Dakar où des prestataires donnent des informations erronées aux personnes qui viennent s’inscrire. J’en ai attendu des vertes et des pas mures venant de ces prestataires que je condamne vivement.
Il est important de retenir que le programme d’immigration des USA est assimilable à l’immigration choisie à la française et vise en réalité des personnes détenant un certain niveau d’étude (BAC et plus) ou une qualification professionnelle avérée.
Les candidats victimes d’une double arnaque
Les prestataires au DV lottery cités plus haut demandent une somme de 3 000 F à l’inscription à tout candidat qu’il soit éligible ou pas. L’on pourrait leur concéder le fait de recevoir des individus qui ont la chance de recevoir un visa une fois sélectionnés car il faut aussi préciser au passage que la sélection n’est qu’une première étape préalable à l’entretien pour l’obtention du visa. C’est justement à ce niveau que bon nombre de candidats sont recalés.
Le prestataire ayant procédé à l‘inscription requiert du candidat des frais de constitution de dossier pouvant aller jusqu’à 100 000 tout en sachant que le demandeur se fera refuser le visa s’il n’a pas le niveau requis donc non éligible, de plus ce dernier devra débourser environ 250 000 pour les frais non remboursable liés au visa et la visite médicale.
Ceci dit je déconseille formellement à ceux qui n’ont pas au minimum le BAC de s’inscrire. Par contre les élèves de terminal peuvent le faire en espérant pouvoir décrocher le BAC.
Vivement que cette arnaque cesse !!!
I. Cissé
M
En Octobre, 2014 (11:15 AM)Rejetée par les hôpitaux : Elle perd ses Jumelles suite à une grossesse de 5 mois URGENT SANTE UNIVERSELS SUR LE TERRITOIRE NATIONAL et un changement de comportement dans la sante d abord LA VIE et apres ARGENTS amont RA
Jammeh 20 ans de révolutions
- 1994- Le jeune lieutenant Djammeh venait de démettre le Président Diawara père de l’indépendance de la Gambie après 29 années de pouvoir. De la manière la plus paisible que l’Afrique n’ait connue sans effusion de sang ce qui avait amené les Sénégambiens à penser à un « deal ». D’autant plus qu’avec l’âge (le Président Diawara rétabli dans tous ses droits avec tous les honneurs d’ancien Chef d’Etat depuis des années dans son propre pays). Diawara aurait plus d’une fois, annoncé son départ. Les spéculations ne manquaient pas tellement que c’était paisible.
- Troquant sa tenue militaire à celle civile, il est démocratiquement élu à l’issue d’une élection âprement discutée avec des candidats dont Dr Dabo arrivé en force sous la supervision de la CENI nouvellement mise en place.
- A la magistrature suprême après les étapes connues, ses discours, programmes révolutionnaires, impressionnaient et je fus parmi les sénégambiens à lui adresser une lettre de félicitations et d’encouragements. Il fut ainsi confronté aux hostilités des occidentaux.
• Le tourisme poumon économique est touché à plein fouet par des campagnes de dénigrements sans fondement, les subventions bloquées. D’aucuns disaient que c’était pour inciter les populations à se soulever à la suite de l’inflation que ça aurait provoqué et les fonctionnaires à se révolter pour non paiements de salaires.
• C’est dans ce climat peu propice, de tension, que la commission Algaly (pardonner de l’orthographe), chargée de se statuer et de juger les auteurs des malversations économiques à rembourser jusqu’au dernier centime sous peine de croupir dans les geôles est instituée.
• Il fallait avoir le courage politique et une volonté réelle de changement pour ce faire.
• Sa première sortie officielle Djammeh l’a réservée au Sénégal tout comme Macky SALL à la Gambie sœur.
• Un an 1995, la Gambie qui manquait presque de tout, voit pousser de terre comme des champignons, des chantiers : l’université, la télévision, l’extension de la radio nationale avec des stations régionales, l’aéroport international qui de l’avis des voyageurs, n’a rien à envier à ceux des pays développés, des hôpitaux.
• Sans omettre des routes qui sont construites et bitumées desservant les grandes agglomérations voire des villages.
• Face aux plans sataniques de l’ennemi, non seulement le salaire des fonctionnaires a été relevé mais les sociétés d’Etat ont réalisé des bénéfices allant de 31 à 40%. Liste non exhaustive et bilan d’une année largement positif. Un anecdote : Un habitant d’une ville frontalière sénégalaise me disait en 1995 « A quelque mois de pouvoir le nombre de bœufs abattus quotidiennement s’est réduit de 80% . Certains de nos parents gambiens achetaient tout sur leur passage pendant les week-end pour le Sénégal ». La bonne gouvernance est passée par là.
• Inflexible, il est. Oui lorsqu’il s’agit d’assurer la sécurité des personnes et des biens en veillant scrupuleusement au respect et à l’application des lois et règlements conformément à la constitution et à son serment. C’est là qu’il faut situer ses démêlées avec tous ceux qui tentent vaille que vaille à le déstabiliser.
• Mais avec dosage-visage humain du fait de ses multiples et variées œuvres sociales en panafricaniste ouvert à l’intégration africaine. Des manifestations sportives et culturelles annuellement organisées auxquelles, sont conviées des pays de la sous-région.
• Travailleur engagé aux côtés de son peuple incité au travail. Sa récente tournée économique de plus de deux (02) semaines à l’intérieur du pays avec entre autres ; ses champs d’arachides ; de céréales de riz dont certains mesurant des kilomètres de côtés en est illustrant. Qui n’a jamais pris de vacances dorées, passant celles-ci à labourer ses champs conduisant lui-même les tracteurs. Pour une autosuffisance en riz, dans moins de 03 ans.
• Dialogue islamo-chrétien, il semble le réussir en invitant à chaque cérémonie officielle, les chefs des deux communautés religieuses l’Imam, le prêtre pour les prières d’usage, pour la paix, la prospérité.
• En dépit de la conjoncture mondiale difficile, que de réalisations dans les secteurs de l’éducation, de la santé, du tourisme, des infrastructures TICS, agro-pastoral, de la lutte contre la drogue, la délinquance, la criminalité et pour la reconversion des mentalités.
• En plein jour, on voyait des gens poignardés à mort et rares sont ceux qui osaient aller accomplir leurs prières rituelles du Fajar. Comme dans la plupart de nos grandes agglomérations. Depuis un vieux souvenir.
La démocratie est bien réelle Messieurs en Gambie où des partis politiques légalement constitués, s’expriment librement au cours des meetings et compétissent sous la supervision d’une CENI encore une fois, jamais contestée. De cela un an, un des leaders de l’opposition qui a toujours des élus, émettait le souhait de voir se constituer en un pôle, les partis d’opposition.
Attention à ceux là, animés de myopie intellectuelle qui soutiennent comme ces occidentaux en 1994 que dans ce pays, il n’y a pas la démocratie, la paix, la liberté à porte à faux avec le vécu. La démocratie ne rime pas avec écarts de langages, injures, l’irrespect des Institutions. L’excès de liberté, tue la liberté et notre liberté s’arrête là où commence celle des autres nous dit-on.
La presse jouant pleinement son rôle régalien d’informer, de distraire, d’éduquer alliant l’utile à l’agréable. Les Sénégalais s’activent très nombreux dans les secteurs informels : pêche, commerce, mobiliers, transport et hôteliers. Des concerts animés par nos artistes musiciens et des entreprises BTP. Drainant messieurs des millions de dollars pour notre pays-coopération sud-sud pas un vain mot. Soyons respectueux des lois et règlements des pays d’accueil.
Pays souverain-la grandeur d’un pays ne se m
Pt
En Octobre, 2014 (12:01 PM)Du 22 juillet 1994-22 juillet 2014
Jammeh 20 ans de révolutions
- 1994- Le jeune lieutenant Djammeh venait de démettre le Président Diawara père de l’indépendance de la Gambie après 29 années de pouvoir. De la manière la plus paisible que l’Afrique n’ait connue sans effusion de sang ce qui avait amené les Sénégambiens à penser à un « deal ». D’autant plus qu’avec l’âge (le Président Diawara rétabli dans tous ses droits avec tous les honneurs d’ancien Chef d’Etat depuis des années dans son propre pays). Diawara aurait plus d’une fois, annoncé son départ. Les spéculations ne manquaient pas tellement que c’était paisible.
- Troquant sa tenue militaire à celle civile, il est démocratiquement élu à l’issue d’une élection âprement discutée avec des candidats dont Dr Dabo arrivé en force sous la supervision de la CENI nouvellement mise en place.
- A la magistrature suprême après les étapes connues, ses discours, programmes révolutionnaires, impressionnaient et je fus parmi les sénégambiens à lui adresser une lettre de félicitations et d’encouragements. Il fut ainsi confronté aux hostilités des occidentaux.
• Le tourisme poumon économique est touché à plein fouet par des campagnes de dénigrements sans fondement, les subventions bloquées. D’aucuns disaient que c’était pour inciter les populations à se soulever à la suite de l’inflation que ça aurait provoqué et les fonctionnaires à se révolter pour non paiements de salaires.
• C’est dans ce climat peu propice, de tension, que la commission Algaly (pardonner de l’orthographe), chargée de se statuer et de juger les auteurs des malversations économiques à rembourser jusqu’au dernier centime sous peine de croupir dans les geôles est instituée.
• Il fallait avoir le courage politique et une volonté réelle de changement pour ce faire.
• Sa première sortie officielle Djammeh l’a réservée au Sénégal tout comme Macky SALL à la Gambie sœur.
• Un an 1995, la Gambie qui manquait presque de tout, voit pousser de terre comme des champignons, des chantiers : l’université, la télévision, l’extension de la radio nationale avec des stations régionales, l’aéroport international qui de l’avis des voyageurs, n’a rien à envier à ceux des pays développés, des hôpitaux.
• Sans omettre des routes qui sont construites et bitumées desservant les grandes agglomérations voire des villages.
• Face aux plans sataniques de l’ennemi, non seulement le salaire des fonctionnaires a été relevé mais les sociétés d’Etat ont réalisé des bénéfices allant de 31 à 40%. Liste non exhaustive et bilan d’une année largement positif. Un anecdote : Un habitant d’une ville frontalière sénégalaise me disait en 1995 « A quelque mois de pouvoir le nombre de bœufs abattus quotidiennement s’est réduit de 80% . Certains de nos parents gambiens achetaient tout sur leur passage pendant les week-end pour le Sénégal ». La bonne gouvernance est passée par là.
• Inflexible, il est. Oui lorsqu’il s’agit d’assurer la sécurité des personnes et des biens en veillant scrupuleusement au respect et à l’application des lois et règlements conformément à la constitution et à son serment. C’est là qu’il faut situer ses démêlées avec tous ceux qui tentent vaille que vaille à le déstabiliser.
• Mais avec dosage-visage humain du fait de ses multiples et variées œuvres sociales en panafricaniste ouvert à l’intégration africaine. Des manifestations sportives et culturelles annuellement organisées auxquelles, sont conviées des pays de la sous-région.
• Travailleur engagé aux côtés de son peuple incité au travail. Sa récente tournée économique de plus de deux (02) semaines à l’intérieur du pays avec entre autres ; ses champs d’arachides ; de céréales de riz dont certains mesurant des kilomètres de côtés en est illustrant. Qui n’a jamais pris de vacances dorées, passant celles-ci à labourer ses champs conduisant lui-même les tracteurs. Pour une autosuffisance en riz, dans moins de 03 ans.
• Dialogue islamo-chrétien, il semble le réussir en invitant à chaque cérémonie officielle, les chefs des deux communautés religieuses l’Imam, le prêtre pour les prières d’usage, pour la paix, la prospérité.
• En dépit de la conjoncture mondiale difficile, que de réalisations dans les secteurs de l’éducation, de la santé, du tourisme, des infrastructures TICS, agro-pastoral, de la lutte contre la drogue, la délinquance, la criminalité et pour la reconversion des mentalités.
• En plein jour, on voyait des gens poignardés à mort et rares sont ceux qui osaient aller accomplir leurs prières rituelles du Fajar. Comme dans la plupart de nos grandes agglomérations. Depuis un vieux souvenir.
La démocratie est bien réelle Messieurs en Gambie où des partis politiques légalement constitués, s’expriment librement au cours des meetings et compétissent sous la supervision d’une CENI encore une fois, jamais contestée. De cela un an, un des leaders de l’opposition qui a toujours des élus, émettait le souhait de voir se constituer en un pôle, les partis d’opposition.
Attention à ceux là, animés de myopie intellectuelle qui soutiennent comme ces occidentaux en 1994 que dans ce pays, il n’y a pas la démocratie, la paix, la liberté à porte à faux avec le vécu. La démocratie ne rime pas avec écarts de langages, injures, l’irrespect des Institutions. L’excès de liberté, tue la liberté et notre liberté s’arrête là où commence celle des autres nous dit-on.
La presse jouant pleinement son rôle régalien d’informer, de distraire, d’éduquer alliant l’utile à l’agréable. Les Sénégalais s’activent très nombreux dans les secteurs informels : pêche, commerce, mobiliers, transport et hôteliers. Des concerts animés par nos artistes musiciens et des entreprises BTP. Drainant messieurs des millions de dollars pour notre pays-coopération sud-sud pas un vain mot. Soyons respectueux des lois et règlements des pays d’accueil.
Pays souverain-la grandeur d’un pays ne se mesure pas par son poids démographique encore moins par sa superficie-a voté une loi légalisant la peine de mort tout comme les États-Unis et d’autres Pays. Sans tapages.
Tout criminel devrait connaitre le même sort que le Gambien de souche.
Privilégier des criminels au dépens des victimes est illogique, immoral, inacceptable.
Par son dévouement obsessionnel à sa patrie, à l’Afrique, à la diaspora, que de distinctions glanées! Qui veut tuer son chien, l’accuse de rage, mais les Africains savent différencier la bonne graine de l’ivraie. Les étiquettes jadis collées aux héros nationaux dictateur paranoïa, schizophrénie refont surface.
L’impérialisme et le néocolonialisme accusaient le Président Sékou TOURE de fomenter des coups d’État imaginaires pour liquider ses adversaires politiques. Un ex secrétaire général des Nations Unis qui ne se laissait par tirer par les cheveux citant des dignes fils de l’Afrique, aurait déclare que Monsieur Sékou TOURE a essuyé plus de 40 coups d’État et tentatives d’assassinats réels.
Monsieur Jaques Foccard (l’homme qui faisait et défaisait les chefs d’État) à Sékou TOURE « Bravo Monsieur le Président j’ai tout essayé pour vous démettre et pour nous tuer. J’avoue qu’avec vous, j’ai échoué sur toute la ligne. Ce qui m’est rarement arrivé. Du fond du cœur, je vous demande pardon, Excellence ». Sékou avait raison sur tous ses ennemis. Valable pour tous les révolutionnaires aux côtés de leurs peuples qui refusent de composer avec Satan comme Djammeh.
Pour l’unification de nos Nations, de nos peuples, par le respect réciproque de la souveraineté des États, gage de stabilité travaillons y.
Aux politiques, intellectuels épris de justice, de paix pour une Afrique libre, digne et forte, œuvrez-y avec vigilance. Pourquoi changer avec des chevaux qui gagnent.
Verser dans l’opportunisme n’est pas mon genre. Laudateur non plus.
Militant De Sagesse
En Octobre, 2014 (12:34 PM)M
En Octobre, 2014 (12:45 PM)Idrissa Koulibaly
En Octobre, 2014 (14:19 PM)C'est vraiment triste.
Famille
En Octobre, 2014 (14:49 PM)J'ai trouvé la solution: http://www.sunudiscount.com/
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Malick Seydi
En Octobre, 2014 (18:00 PM)Roned
En Octobre, 2014 (21:04 PM)Beeuuuurkkk
En Octobre, 2014 (21:37 PM)Comment est il possible de se dire musulman et de vivre comme des porcs Cherchez l'erreur !
M
En Octobre, 2014 (15:34 PM)M
En Octobre, 2014 (18:46 PM)M
En Octobre, 2014 (18:58 PM)M
En Octobre, 2014 (21:09 PM)Wazihb
En Octobre, 2014 (04:47 AM)La France a 386 milliards de recettes fiscales brutes cette année.
Ca fait un rapport de 1 à 100 quasiment.
La différence est trop énorme.
Le pays ne peut avancer avec ça.
QUI paie l'impôt au Sénégal ?
M
En Octobre, 2014 (10:28 AM)Participer à la Discussion