Au moment où la presse annonçait que le chiffre d’affaires de sa holding passait de 42 milliards à 92 milliards -et cela, en moins deux de deux ans-, Cheikh Amar était à Paris en train de finaliser des projets avec ses partenaires. Dans moins d’un mois, il apportera 500 millions d’euros au Sénégal et fera progresser l’exploitation des phosphates de Ndendory (Matam)...
En effet, pour le développement de l’usine de phosphates de (Ndendory) Matam qui, jusque-là, produit 1 million de tonnes d’engrais par an, pour la GOANA et pour quelques pays limitrophes comme le Mali, et s’il vous plaît au prix dérisoire de 60 000 francs Cfa la tonne, alors que cette dernière peut être échangée à 180 000 F Cfa, le jeune entrepreneur le plus en vue du pays et qui est dans les matériels agricoles, la logistique, la production d’engrais, l’immobilier et dans une nuée d’autres petites entreprises, va doubler sa production d’ici peu.
Les services de M. Amar ont déjà mené les études d’impact environnemental du terrain, et lui, prévoit d’apporter la coquette somme de 500 millions d’euros pour la bonne marche de la Société d’études et de réalisation des phosphates de Matam (Serpm Sa) qui produit « le meilleur, sinon l’un des meilleurs phosphates du monde ».
Pour rappel, Politicosn.com écrivait récemment qu’Amar Holding « doit cette hausse à un accroissement des activités de son groupe qui, outre TSE (qui s’active dans le domaine du matériel agricole), englobe TRE qui réalise en ce moment le plus gros chantier immobilier de la capitale sénégalaise. Il y a aussi d’autres sociétés spécialisées dans la logistique, le transport… »
« Ce chiffre d’affaires, écrit Politicosn, fait de Cheikh Amar, le capitaine d’industrie le plus en vue en ce moment au Sénégal avec la création, dans ses diverses sociétés, d’un portefeuille de 5000 emplois (les chantiers de TRE comptent près 1600 employés) ».
« L’exploitation des Phosphates de Matam est en cours et des investissements de 250 millions de dollars (125 milliards y sont effectués en ce moment même). Ce projet va devenir un sérieux concurrent des ICS », ajoutait Politicosn.
Ferloo.
46 Commentaires
Mawandaosousy
En Septembre, 2011 (01:32 AM)Mimi
En Septembre, 2011 (01:35 AM)Reply_author
En Août, 2022 (16:31 PM)Liguey!
En Septembre, 2011 (01:37 AM)Djibby
En Septembre, 2011 (01:39 AM)Katy
En Septembre, 2011 (02:06 AM)Guiss
En Septembre, 2011 (02:15 AM)Hé
En Septembre, 2011 (02:15 AM)Gass
En Septembre, 2011 (02:19 AM)Mc
En Septembre, 2011 (02:25 AM)Youtube
En Septembre, 2011 (02:30 AM)L’étudiante Mme Ndèye Ngom, la quarantaine, a présenté une thèse de doctorat de troisième cycle de Géographie à l’auditorium Khaly Amar Fall de l’Ucad. Le sujet intitulé : « La problématique de la mobilité urbaine : l’accessibilité au centre-ville dakarois par le système de transport collectif routier » lui a valu cinq (5) ans de recherches et de dur labeur.
Dans son résumé, Mme Ngom est d’abord revenue sur le contexte, avec notamment une croissance de la mobilité urbaine au niveau mondial et un déficit des investissements publics. Elle a aussi noté une inefficience des politiques de transport dans les pays en développement et une spécificité de Dakar « qui tient à sa géométrie de presqu’île, en plus de ses réalités problématiques ».
Concernant l’état des lieux, Mme Ngom constate un taux de croissance démographique de 3,7%, un taux d’urbanisation variant entre 6 et 8% et une demande en transport sans cesse croissante (6%). En outre, elle note que le parc automobile croit au rythme de 10% par an et que les transports collectifs assurent 69% des déplacements motorisées. Elle a fait remarquer qu’avec sa situation de presqu’île, Dakar impose ses limites à l’urbanisation massive. Sur la question des politiques et programmes sectoriels, elle estime que « les objectifs ont rarement été atteints ».
A son avis, le seul programme d’envergure mis en œuvre dans le sous-secteur par les pouvoirs publics a été le Programme d’amélioration de la mobilité urbaine (Pamu). Aussi, fait-elle état des contraintes auxquels restent confrontés les transports collectifs à Dakar. Il s’agit, d’après elle, des facteurs de non productivité internes aux systèmes de transport (vétusté, faible capacité offerte, irrégularité, manque de confort, défaut de couverture de desserte, etc.) et des facteurs de non productivité externes notamment les congestions et autres facteurs naturels. Mme Ndèye Ngom souligne qu’avec les inondations récurrentes dans la banlieue, l’eau constitue une contrainte naturelle temporaire à l’accessibilité urbaine à Dakar.
A la fois épouse modèle et bonne élève
Comme solution aux problèmes d’accès au centre- ville, elle propose, outre le renouvellement du parc, la création d’infrastructures et la gestion de la circulation. Elle indique néanmoins que la solution au problème de la mobilité urbaine est à rechercher au niveau de la demande et non dans l’offre. Pour sa part, le jury, composé de trois membres, s’est, dans l’ensemble, félicité de « l’originalité et de la pertinence du sujet qui est par ailleurs d’une actualité brûlante ». Il a, en revanche, formulé quelques critiques notamment sur la forme, à savoir la méthodologie de recherche et la bibliographie qui obéissent, selon ses membres, à des normes standard fixées d’un commun accord, par la communauté scientifique francophone de l’Afrique de l’Ouest. Mme Ndèye Ngom s’est néanmoins vu décerner la mention très bien à l’issue de la soutenance qui a duré quatre tours d’horloge. Il faut souligner que le parcours de cette mère de famille n’a rien d’ordinaire. Mariée, alors qu’elle était en classe de troisième, elle a dit avoir consenti beaucoup de sacrifices pour en arriver à ce stade.
« En plus des études, je devais aussi m’occuper bien de mon ménage, surtout en ma qualité de deuxième épouse. Ce que j’estime avoir fait dans les règles de l’art», explique-t-elle. A son avis, il n’a jamais été question d’abandon dans son parcours, malgré les difficultés. Sa source de motivation ? « Mon père qui m’a toujours dit que j’allais être le soutien de la famille, en dépit de mon statut de femme. Et mon mari qui n’a ménagé aucun effort pour me soutenir », fait-elle savoir. Outre son parcours académique qui force le respect, son mari Ngagne Pouye met en exergue « ses qualités de bonne épouse ».
Maintenant qu’elle a obtenu le doctorat avec brio, elle souhaite s’insérer dans la vie professionnelle ; même si elle nourrit l’ambition de s’inscrire plus tard pour une thèse d’Etat, voire l’agrégation. En attendant, elle veut davantage encadrer et suivre de très près ses enfants dont l’aîné est en classe de Première S.
Poulo2
En Septembre, 2011 (02:57 AM)Y en a vraiment marre des wades et des prete nom. I hate the wades and everything they stand for.
Ca sent la revolte
Ca sent la guerre
Gorkopoulo
Caporal
En Septembre, 2011 (02:57 AM)Bravo 2
En Septembre, 2011 (03:12 AM)A son avis, le seul programme d’envergure mis en œuvre dans le sous-secteur par les pouvoirs publics a été le Programme d’amélioration de la mobilité urbaine (Pamu). Aussi, fait-elle état des contraintes auxquels restent confrontés les transports collectifs à Dakar. Il s’agit, d’après elle, des facteurs de non productivité internes aux systèmes de transport (vétusté, faible capacité offerte, irrégularité, manque de confort, défaut de couverture de desserte, etc.) et des facteurs de non productivité externes notamment les congestions et autres facteurs naturels. Mme Ndèye Ngom souligne qu’avec les inondations récurrentes dans la banlieue, l’eau constitue une contrainte naturelle temporaire à l’accessibilité urbaine à Dakar.
A la fois épouse modèle et bonne élève
au rythme de 10% par an et que les transports collectifs assurent 69% des déplacements motorisées. Elle a fait remarquer qu’avec sa situation de presqu’île, Dakar impose ses limites à l’urbanisation massive. Sur la question des politiques et programmes sectoriels, elle estime que « les objectifs ont rarement été atteints ».
A son avis, le seul programme d’envergure mis en œuvre dans le sous-secteur par les pouvoirs publics a été le Programme d’amélioration de la mobilité urbaine (Pamu). Aussi, fait-elle état des contraintes auxquels restent confrontés les transports collectifs à Dakar. Il s’agit, d’après elle, des facteurs de non productivité internes aux systèmes de transport (vétusté, faible capacité offerte, irrégularité, manque de confort, défaut de couverture de desserte, etc.) et des facteurs de non productivité externes notamment les congestions et autres facteurs naturels. Mme Ndèye Ngom souligne qu’avec les inondations récurrentes dans la banlieue, l’eau constitue une contrainte naturelle temporaire à l’accessibilité urbaine à Dakar.
A la fois épouse modèle et bonne élève
Comme solution aux problèmes d’accès au centre- ville, elle propose, outre le renouvellement du parc, la création d’infrastructures et la gestion de la circulation. Elle indique néanmoins que la solution au problème de la mobilité urbaine est à rechercher au niveau de la demande et non dans l’offre. Pour sa part, le jury, composé de trois membres, s’est, dans l’ensemble, félicité de « l’originalité et de la pertinence du sujet qui est par ailleurs d’une actualité brûlante ». Il a, en revanche, formulé quelques critiques notamment sur la forme, à savoir la méthodologie de recherche et la bibliographie qui obéissent, selon ses membres, à des normes standard fixées d’un commun accord, par la communauté scientifique francophone de l’Afrique de l’Ouest. Mme Ndèye Ngom s’est néanmoins vu décerner la mention très bien à l’issue de la soutenance qui a duré quatre tours d’horloge. Il faut souligner que le parcours de cette mère de famille n’a rien d’ordinaire. Mariée, alors qu’elle était en classe de troisième, elle a dit avoir consenti beaucoup de sacrifices pour en arriver à ce stade.
« En plus des études, je devais aussi m’occuper bien de mon ménage, surtout en ma qualité de deuxième épouse. Ce que j’estime avoir fait dans les règles de l’art», explique-t-elle. A son avis, il n’a jamais été question d’abandon dans son parcours, malgré les difficultés. Sa source de motivation ? « Mon père qui m’a toujours dit que j’allais être le soutien de la famille, en dépit de mon statut de femme. Et mon mari qui n’a ménagé aucun effort pour me soutenir », fait-elle savoir. Outre son parcours académique qui force le respect, son mari Ngagne Pouye met en exergue « ses qualités de bonne épouse ».
Maintenant qu’elle a obtenu le doctorat avec brio, elle souhaite s’insérer dans la vie professionnelle ; même si elle nourrit l’ambition de s’inscrire plus tard pour une thèse d’Etat, voire l’agrégation. En attendant, elle veut davantage encadrer et suivre de très près ses enfants dont l’aîné est en classe de Première S.
Question
En Septembre, 2011 (04:07 AM)Marie Fall
En Septembre, 2011 (04:10 AM)Les entreprises privées c'est bien pour l'économie mais les rares ressources dont dispose le pays doivent rester aux mains du public pour que les bénéfices puissent servir aux Sénégalais de tout temps.
Ceci est de l'arnaque. Du vol simplement.
Le marché des produits dérivés des phosphates est autonome, autrement dit, sa demande est réelle et pleine. Normalement, on ne devait pas privatiser les ICS. Elle devait être à 100% publique et la même société devait s'occuper des phosphates de Matam.
En 2000 les Wade ont trouvé les ICS avec une marge annuelle de profits comprise entre 50 et 60 milliards de fcfa. En 2005-2006, on s'est retrouvé avec un trou de 90milliards et donc une obligation de privatiser. Résultat : la majorité des actions est aujourd'hui entre les mains de consortiums indiens et marocains dans lesquels Madame Wade en personne détient 40% des parts. La même chose pour le fer de la falémé et l'or de sabodala....
A vous de trouver la conclusion à toutes ces sales pratiques sur le dos d'un brave et pauvre pays. Depuis que Wade est au pouvoir, aucune de nos maigres ressources ne nous appartient plus.
Reply_author
En Août, 2022 (15:24 PM)Merci Marie Fall
En Septembre, 2011 (05:48 AM)Peuls,
En Septembre, 2011 (06:30 AM)Cissé
En Septembre, 2011 (07:45 AM)Bruce
En Septembre, 2011 (08:45 AM)investire pour le devolopement Bien Mais Aide les pauvre qui peuvent payer les soins
Madiomi
En Septembre, 2011 (08:59 AM)Comment un gars sorti de nulle part, inconnu et pas riche avant 2000, peut investir 500 millions d'euros en 2011 ?
Putain les Wade et leurs complices ont pillé le pays et on mettra 50 ans pour rembourser les dettes qu'ils ont contractés et eux 100 ans pour dépenser la fortune qu'ils ont amassée.
Il faut qu'ils nous rendent nos sous
Ndiaganiao
En Septembre, 2011 (09:27 AM)La Sharia prend sa source dans le Coran et dans sa pratique, ainsi que dans la sounna du Prophète Mohammed (SAW). Ces règles sont détaillées par les Oulémas (docteurs de la loi) dans le cadre du Coran et de la sounna.
Les lois de base de l'Islam concernant les systèmes de finances peuvent être récapitulées comme suit :
• Riba : ou usure/intérêt est formellement interdit par la Sharia. Tout taux préétabli, fixe et positif, lié à l’échéance et au montant principal (donc garanti quel que soit le résultat de l’investissement) est assimilé au riba. L'intérêt est un loyer obtenu sur le prêt de monnaie, ou encore un bénéfice obtenu sur la vente de monnaie, que ce soit dans un but de consommation ou d'investissement. L’Islam exige que le gain résulte d'un travail ou au moins d'une participation par la prise de risque.
Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Marie Fall Et Peuls
En Septembre, 2011 (09:29 AM)Patisco
En Septembre, 2011 (09:30 AM)Question: Est-il permis d'investir son argent en achetant des actions d'une entreprise ? Que dire des obligations ?
Réponse: En règle générale, toute transaction qui repose sur un des principes suivants est interdite en Islam :
"Al Ribâ" : "Al Ribâ" désigne, au sein d'une transaction, tout surplus ou avantage sans équivalent de service (considéré comme tel dans la législation islamique) rendu. Parmi les formes de "Ribâ" interdits par le Qour'aane et la Sounnah, on trouve le "Ribâ An Nasîa" (somme payée pour l'usage de capitaux empruntés ou en contrepartie d'un rééchelonnement dans le paiement d'une dette) et le "Ribâ al Fadhl" (vente ou échange d'un bien contre un autre de même nature avec un surplus).
"Al Qimâr" : Il s'agit de toute forme de contrat dans lequel le droit des parties contractantes dépend d'un événement aléatoire. C'est notamment ce principe que l'on trouve dans les jeux de hasard et les pariages avec mise.
"Al Gharar" : Transaction dans laquelle il y a tromperie ou ignorance sur l'objet du contrat. La vente "Gharar" est celle dont on ne sait pas si l'objet existe ou non, ou on ne connaît pas quelle est sa quantité ou s'il sera possible de la livrer ou non.
C'est donc en prenant ces principes en considérations que les juristes musulmans se sont prononcés par rapport au caractère licite ou illicite des nouveaux produits financiers qui existent actuellement.
Soleil Levant
En Septembre, 2011 (09:43 AM)il est temps pour la jeunesse sénégalaise de réveiller intellectuellement, ces attitudes son digne des temps où les africains n'avaient aucune autre ambitions dans la vie que de se remplir le ventre.
wa salam
Bobodiouf
En Septembre, 2011 (09:50 AM)Dxb
En Septembre, 2011 (09:52 AM)Daba
En Septembre, 2011 (09:56 AM)Ff
En Septembre, 2011 (10:01 AM)From Us
En Septembre, 2011 (10:15 AM)Modou
En Septembre, 2011 (10:31 AM)Gjuhi
En Septembre, 2011 (10:43 AM)Prête nom des Wade oui !!!! Cheikh Amar maandoul!!
Alayinde
En Septembre, 2011 (11:09 AM)Deug
En Septembre, 2011 (12:18 PM)Baye Bira
En Septembre, 2011 (13:26 PM)Comme tes parents tu as fuis le Fuuta depuis très longtemps il y'a personne au Fuuta que des chèvres des femmes vieillards et enfants j'ai fais deux ans laba mais laisse tombé !
Perso je préfère me faire exploité par ce Cheikh Amar que par des étrangers sococim cimenterie du sahel css sabadola y'en a tellement alors pour une fois que c'est un Galsen qui m'exploite tant mieux !!
Sos Bb Modou
En Septembre, 2011 (13:33 PM)je vous deman...de de bien lire cette article.
Âgé de 14 mois, cet enfant souffre depuis sa naissance d’un problème respiratoire. Il vit en respirant par voie de canine posée au niveau de la gorge.
Car ses voies respiratoires naturelles étant hors d’usage à la naissance. Devant subir une intervention pour recouvrer ses capacités respiratoires normales, sa famille n’est pas en mesure de faire face au coût de l’opération qui doit se faire en France. L’opération qui lui permettra de respirer normalement est en effet d’un coûte 30 837 000 francs Cfa (47 000 euro) et doit se dérouler au service ORL de l’hôpital Robert Debré de Paris. Parce qu’elle ne peut pas être réalisé au Sénégal
En Plus de ça sa famille peine a avoir le visa après demande a l'Ambassade de France au Sénégal
Sans Rancune
En Septembre, 2011 (14:48 PM)Reflechissez sur ca et vous irez travaillez au lieu rester la eternellemenrt à vous poser des questions.
Goor Fitt
En Septembre, 2011 (15:15 PM)Sala
En Septembre, 2011 (16:18 PM)Almodio
En Septembre, 2011 (17:12 PM)Dny
En Septembre, 2011 (17:47 PM)Bass
En Septembre, 2011 (18:06 PM)Yes
En Septembre, 2011 (19:02 PM)Gorr
En Septembre, 2011 (21:08 PM)A sa mort tout saint-louis l'a pleuré.Ré-écoutez la célébre chanson de la grande cantatrice saint-louisienne:Djeubou Seck.
Cheikh Amar a été riche avant même de connaître Abdoulaye Wade grâce à Serigne Saliou(ra) qui lui avait commandé des centaines de tracteurs à cause de son sérieux.
Disons plutôt que c'est Wade qui a voulu gagner ses faveurs en s'approchant de lui.
Alors Que
En Novembre, 2011 (12:02 PM)Fétéré Dieyngol
En Mars, 2012 (11:58 AM)Momo
En Mars, 2013 (17:34 PM)il faut que la lumiere se fasse
je ne suis pas contre que des nationaux investissent chew nous; mais il y q un minimum de transparence sur l'origine des fonds investis dautant plus que Mr amar n"a paq herité autant d'argent
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