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Economie

Résumé de l'actualité économique internationale du jeudi 7 août 2014

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Résumé de l'actualité économique internationale du jeudi 7 août 2014



-PARIS-La Bourse de Paris a clôturé une nouvelle fois en baisse jeudi (-1,36%), ne parvenant pas à échapper au climat géopolitique anxiogène en Ukraine, après une réunion de la Banque centrale européenne dénuée de surprise. L'indice CAC 40 a perdu 57,31 points à 4149,83 points, dans un volume d'échanges moyen de 3,8 milliards d'euros. La veille, il avait perdu déjà 0,61%. Sur les autres places européennes, la Bourse de Francfort a aussi reculé de 1% et celle de Londres de 0,58%. Par ailleurs l'Eurostoxx a perdu 1,23%. Le marché parisien est resté très prudent pendant la première partie de la séance en attendant l'issue de la réunion de la Banque centrale européenne, qui n'a finalement pas eu un grand impact sur la cote, même si la conférence de presse de son président Mario Draghi a créé un peu de volatilité. La Bourse de Paris "est toujours dans l'incertitude géopolitique, avec un retour net de l'aversion au risque qui empêche tout rebond", a relevé Andrea Tuéni, un analyste de Saxo Banque.


-WASHINGTON- Les Américains continuent de ressentir les effets de la récession de 2008-2009 même si une large majorité d'entre eux affirment se porter "assez bien" économiquement, selon une vaste enquête de la Réserve fédérale (Fed) publiée jeudi. Plus d'un tiers des foyers américains (34%) affirment que leur niveau de vie est moins bon qu'il y a cinq ans, lorsque la crise financière et immobilière a précipité le pays dans la récession la plus sévère depuis la Grande dépression. Un autre tiers (34%) indiquent que leur niveau de vie est resté le même tandis que 30% affirment qu'il a progressé. Ce "Rapport sur le bien-être économique des ménages américains" publié par la banque centrale se base sur les réponses de 4100 personnes interrogées en septembre et octobre 2013. Presque un Américain sur deux (42%) rapporte qu'à cause de la crise, il a dû retarder une dépense ou un achat majeur, et 18% reconnaissent avoir reporté une décision majeure en raison de la conjoncture économique, comme un départ à la retraite. Toutefois 60% des ménages américains estiment "vivre confortablement". Mais ils sont aussi 61% à penser que leur revenu n'augmentera pas au cours des douze prochains mois, tandis que 16% craignent qu'il baisse.


-BRUXELLES- L'Union européenne a annoncé jeudi qu'elle se réservait le droit de prendre des mesures contre Moscou après la décision clairement politique des autorités russes d'interdire pendant un an les importations de la plupart des produits alimentaires d'Europe et des Etats-Unis. Après évaluation complète par la Commission européenne des mesures prises par la Fédération de Russie, nous nous réservons le droit de prendre les mesures appropriées, a déclaré Frédéric Vincent, un porte-parole de la Commission. Il a dénoncé une décision clairement politique de la part des autorités russes et rappelé que les sanctions européennes à l'encontre de la Russie étaient, quant à elles, directement liées à l'annexion illégale de la Crimée et à la déstabilisation de l'Ukraine. L'Union européenne reste déterminée à (agir pour) la désescalade de la situation en Ukraine, a-t-il dit. Le Commissaire à l'Agriculture Dacian Ciolos a convoqué pour ce week-end une réunion de travail avec la direction générale de l'Agriculture et un groupe d'étude sera constitué lundi pour analyser les conséquences économiques des sanctions russes et coordonner les actions de l'UE, a annoncé son porte-parole Roger Waite. L'embargo décrété par la Russie sera difficile pour l'Union européenne, mais le fonds européen de solidarité pourrait aider à adoucir l'impact pour les secteurs concernés, a, pour sa part, déclaré le commissaire au Commerce Karel De Gucht sur la radio néerlandophone Radio 1. M. De Gucht a évoqué un montant de 400 millions d'euros.  Quand on prend des sanctions, comme tout le monde l'a d'ailleurs demandé, il faut toujours s'attendre à une réplique, ce qui est le cas maintenant, a-t-il commenté. Selon lui, les dirigeants russes ne pourront pas tenir longtemps cet embargo. la Russie ne peut toujours pas, 20 ans après l'Union soviétique, subvenir à ses besoins, a-t-il commenté.


-PARIS- Les Bourses européennes ont terminé dans le rouge jeudi, le climat géopolitique anxiogène l'emportant après une réunion de la Banque centrale européenne dénuée de surprise. Andrea Tuéni, analyste de Saxo Banque, a pointé du doigt "l'incertitude géopolitique, avec un retour net de l'aversion au risque qui empêche tout rebond". "La petite remontée du début de semaine semblait déjà difficile à nourrir, mais l'escalade dans les annonces et les troupes russes aux frontières ukrainiennes" alimente les inquiétudes, a-t-il poursuivi. Les opérateurs ont aussi trouvé une nouvelle source d'inquiétude dans l'embargo ordonné par Vladimir Poutine, à l'encontre de produits agroalimentaires en provenance des pays sanctionnant la Russie. Aucun salut n'est venu de la BCE, qui sans surprise a maintenu son principal taux directeur à 0,15%, son plus bas niveau historique, tout en mettant en garde contre un ralentissement de la reprise en zone euro. L'Eurostoxx 50 a perdu 1,23%. L'indice CAC 40 de la Bourse de Paris a perdu 1,36% à 4149,83 points.


-NEW YORK- La Bourse de New York perdait du terrain à la mi-séance jeudi, rattrapée par les craintes sur l'Ukraine et l'économie européenne malgré un chiffre positif sur l'emploi américain: le Dow Jones lâchait 0,24% et le Nasdaq 0,08%. Vers 16H00 GMT, le Dow Jones reculait de 39,11 points à 16'404,23 points et le Nasdaq de 3,62 points à 4351,43 points. L'indice élargi S&P 500 cédait 0,25%, ou 4,74 points, à 1915,50 points. Les indices avaient pourtant démarré la séance dans le vert, portés par la chute inattendue des nouvelles demandes hebdomadaires d'allocations chômage à leur plus bas niveau en huit ans. Mais "le comportement récent du marché n'a souvent rien à voir avec ce qui se passe dans l'économie réelle", a commenté Gregori Volokhine de Meeschaert Financial Services. "Ce qui s'est passé avec les chiffres sur l'emploi ce matin en sont un exemple typique, les indices réagissant favorablement dans un premier temps mais ne sont pas parvenus à maintenir cette avance, alors même que c'est une très bonne nouvelle sur la santé de l'économie et des entreprises du pays", a-t-il estimé. Certains investisseurs ont toutefois pu interpréter cet indicateur "comme un signal incitant la Fed (la banque centrale américaine) à relever ses taux d'intérêt plus tôt que prévu", une mesure redoutée par certains courtiers, a relevé Patrick O'Hare de Briefing.com. L'institution maintient actuellement ses taux proches de zéro afin de stimuler le crédit et prévoit pour l'instant de commencer à les augmenter vers mi-2015.


-LISBONNE - La contribution de l'Etat portugais au sauvetage de la banque Espirito Santo (BES) sera réduite à 3,9 milliards d'euros grâce à une participation plus importante du secteur financier, a annoncé jeudi la ministre des Finances Maria Luis Albuquerque. L'Etat accordera un prêt qui désormais se limitera à 3,9 milliards d'euros car les banques ont souhaité prendre leurs responsabilités de façon plus directe et immédiate, a expliqué la ministre dans une intervention au Parlement. Pour sauver les actifs sains de BES, la Banque du Portugal avait annoncé dimanche la création d'une nouvelle entité bénéficiant d'une injection de capital de 4,9 milliards d'euros de la part du Fonds de résolution alimenté par les banques opérant dans le pays. Ce montant, qui reste inchangé, devait initialement être financé à hauteur de 4,4 milliards d'euros par un prêt de l'Etat. A cet argent s'ajoutaient 367 millions d'euros déjà détenus par le Fonds de résolution et une contribution extraordinaire des banques de 133 millions d'euros.


-LA HAYE- L'Argentine a porté plainte jeudi contre les Etats-Unis devant la Cour internationale de justice (CIJ) de La Haye, dans le cadre du litige sur la dette qui l'oppose à des fonds spéculatifs, selon la CIJ et la présidence argentine. L'Argentine accuse les Etats-Unis devant la plus haute juridiction des Nations unies de violer sa souveraineté et son immunité judiciaire après qu'un juge de New York a ordonné le blocage de remboursements de dette à des créanciers privés. Etant donné qu'un Etat est responsable de la conduite de tous ses organes, les violations (du pouvoir judiciaire) ont provoqué une controverse entre l'Argentine et les Etats-Unis, affirme un communiqué de la présidence argentine. La CIJ a précisé qu'aucune suite ne sera donnée tant que Washington n'aura pas reconnu la compétence de ce tribunal international dans cette affaire. Si les Etats-Unis jugent que le contentieux ne relève pas de la CIJ, poursuit le communiqué argentin, ils auront l'obligation d'indiquer un moyen alternatif pour parvenir à une solution pacifique dans la controverse actuelle conformément à la charte des Nations unies. Mercredi, Buenos Aires a demandé à Washington d'intervenir auprès du juge américain Thomas Griesa, qui a suspendu tout remboursement de dette souveraine de l'Argentine transitant par la place financière de New York tant que le pays sud-américain n'aurait pas payé 1,3 milliard de dollars à des fonds vautours, en vertu d'un jugement de la justice américaine.


-JOHANNESBURG- L'indice de confiance des entreprises sud-africaines a atteint en juillet son plus bas niveau depuis quinze ans sur fond de conflits salariaux à répétition, a indiqué jeudi la Chambre de commerce et d'industrie sud-africaine (Sacci). L'économie sud-africaine, qui a perdu cette année son premier rang en Afrique face au Nigeria, est affectée par une croissance lente, un chômage élevé, une inflation en augmentation et un climat social délétère. "Les troubles sociaux persistants en juillet sont restés un défi pour les entreprises sud-africaines", a regretté la Sacci, pour qui elles vont sans doute devoir tailler dans leurs effectifs pour pouvoir payer des salaires plus élevés. Une grève de quatre semaines a affecté en juillet la sidérurgie et les industries mécaniques, succédant à cinq mois de conflit dans les principales mines de platine du pays qui a été largement rendue responsable d'une contraction du PIB de 0,6% au premier trimestre, et contribué à la dégradation de la note financière du pays.

-BERLIN- Deutsche Telekom n'a actuellement pas reçu "d'offre satisfaisante" pour un rachat de T-Mobile US, a déclaré jeudi son patron Tim Höttges, douchant les espoirs du français Iliad de mettre la main sur la filiale américaine. "Nous avons toujours dit que Deutsche Telekom était ouvert aux transactions (concernant T-Mobile US) avec une plus-value. (...) Actuellement, il n'y a pas pour nous de telle offre", a expliqué Tim Höttges lors d'une conférence téléphonique consacrée aux résultats de Deutsche Telekom. L'avenir de T-Mobile US, dont Deutsche Telekom détient 67%, a fait l'objet d'intenses spéculations ces derniers jours. Le concurrent américain Sprint, filiale du japonais Softbank, était sur les rangs de longue date pour une fusion. Xavier Niel et son bras armé Iliad, maison mère de Free, ont mis sur la table la semaine dernière une offre à 15 milliards de dollars, jugée trop basse par la plupart des observateurs. "L'offre d'Iliad nous a surpris", a reconnu M. Höttges. Selon lui il existe de "nombreuses autres options" pour une cession sur le marché américain. Mais selon la presse anglo-saxonne, Sprint aurait jeté l'éponge face aux réticences des autorités américaines. Celles-ci voient d'un mauvais oeil une fusion entre le troisième et le quatrième opérateur du pays, qui réduirait l'offre pour les clients.

-ROME-Le mariage entre les compagnies italienne Alitalia et l'émiratie Etihad aura bien lieu vendredi, une fois que les derniers détails de l'accord auront été réglés, ont annoncé jeudi des sources gouvernementales italiennes. "La rencontre avec le gouvernement s'est très bien passée, aujourd'hui on met au point les derniers détails et demain après-midi on signe", a déclaré à des journalistes le ministre des Transports Maurizio Lupi, en sortant d'un entretien avec le patron d'Etihad James Hogan, arrivé mardi à Rome. Selon le ministre, "après le très bon travail fait ces derniers jours", l'entrée prévue d'Etihad au capital d'Alitalia à hauteur de 49% sera "une injection de confiance pour le pays". Plus sobrement, les services du Premier ministre Matteo Renzi ont confirmé dans un communiqué "le résultat positif pour les négociations" entre les deux "promis". Le gouvernement a souligné "la satisfaction réciproque" des parties en présence, à l'issue d'une réunion jeudi matin au siège du gouvernement à laquelle participaient le bras droit de M. Renzi, Graziano Delrio, le ministre Lupi, des dirigeants du ministère de l'Economie, M. Hogan et ses principaux collaborateurs. Etihad devrait injecter près de 600 mio EUR dans Alitalia, l'ancienne compagnie monopolistique italienne lourdement déficitaire et très endettée qui serait sinon promise à la faillite. La compagnie émiratie ne prendra pas plus de 49% du capital pour qu'Alitalia puisse conserver son statut de transporteur européen et les avantages qui en découlent notamment pour l'obtention de créneaux horaires. Faute d'accord, Alitalia risquait la faillite dans les mois à venir. Malgré les tensions sociales, les actuels dirigeants de la compagnie ont accédé à une des conditions d'Etihad, à savoir de nouvelles suppressions d'emplois: un peu plus de 1600 postes sur environ 13'000 au total.

-FRANCFORT-Le numéro deux mondial de l'équipement sportif, l'allemand Adidas, contraint de revoir la semaine dernière ses objectifs de bénéfices, a annoncé jeudi une augmentation de ses dépenses d'investissements et une réorganisation qui pèseront également sur sa marge opérationnelle. Le groupe a en effet réduit son objectif de marge: il l'attend comprise entre 6,5 et 7% contre une fourchette de 8,5 à 9% auparavant. En 2013, elle s'était élevée à 8,7%. Le patron du groupe Herbert Hainer a battu sa coulpe lors d'une conférence téléphonique, affirmant qu'outre des pressions externes, la contre-performance d'Adidas était due "à des erreurs stratégiques". En particulier, "nous avons laissé nos marques exposées aux attaques sur certains marchés, ce qui nous a coûté des parts de marché, l'Europe de l'Ouest étant un exemple". Pour cette raison, "il est grand temps d'augmenter nos investissements" pour s'assurer une place de choix dans le coeur des consommateurs, a-t-il ajouté. Sans donner de chiffre, M. Hainer a annoncé que le groupe de Herzogenaurach (sud) allait lancer "sa campagne de promotion la plus ambitieuse" en 2015. Au total, le groupe compte augmenter ses dépenses de marketing de à 13 à 14% des ventes d'ici 2015, contre une fourchette de 12 à 13% jusqu'ici.


-PARIS- L'indice des prix alimentaires mondiaux a de nouveau reculé en juillet, pour le quatrième mois consécutif, atteignant son plus bas niveau depuis janvier grâce à la baisse des cours des céréales et des oléagineux, rapporte jeudi la FAO. "La baisse persistante des prix des denrées alimentaires depuis mars reflète les résultats bien meilleurs que prévus des campagnes actuelle et future, notamment en ce qui concerne les céréales et les huiles", explique Concepción Calpe, économiste principale de l'Organisation des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation, citée dans un communiqué. Ces bonnes récoltes devraient "faciliter la reconstitution des stocks mondiaux", estime-t-elle. En juillet, l'indice des prix alimentaires, qui mesure la variation mensuelle des prix pour un panier de denrées, a atteint 203,9 points, en baisse de 4,4 points (-2,1%) par rapport à juin. Sur un an, le recul est de 1,7%. Depuis juin, les prix mondiaux du maïs ont reculé de 9,2% et ceux du blé de 5,8%, grâce aux "excellentes perspectives de production" et à l'"abondance" des volumes de céréales pouvant être exportés. En revanche, les prix du riz ont "légèrement augmenté" à cause d'une forte demande. Côté oléagineux, la baisse des prix est liée à la "déprime" des cours du soja, dont la récolte a été bonne en Amérique du Sud et devrait l'être aussi aux Etats-Unis.

-SYDNEY Le géant minier anglo-australien Rio Tinto a fait état jeudi d'un bénéfice net multiplié par 2,5 au premier semestre, à 4,4 mrd USD (4,0 mrd CHF), sous l'effet d'une réduction de ses dépenses opérationnelles et de sa dette. Alors que le chiffre d'affaires est quasi inchangé sur un an (24,3 mrd USD) dans un contexte de baisse continue des cours du minerai de fer, et que son bénéfice d'exploitation s'affiche en repli (-3% à 5,6 mrd USD), Rio Tinto a réalisé une "performance exceptionnelle" entre janvier et juin, a salué son PDG, Sam Walsh. Les provisions pour dépréciations d'actifs ont été multipliées par cinq, à plus d'1 mrd USD, mais les coûts opérationnels ont diminué de 6%, à 16,9 mrd USD. Le groupe, numéro deux mondial du minerai de fer derrière le brésilien Vale, a dégagé un bénéfice sous-jacent (hors exceptionnels) en hausse de 21%, à 5,1 mrd USD. "Nos performances dépassent nos engagements avec six mois d'avance sur l'objectif d'une réduction des dépenses opérationnelles de 3 mrd USD (par rapport à 2012, NDLR), des volumes de production record et une amélioration de productivité à tous les étages", s'est félicité Sam Walsh.


-ZURICH- Nestlé a enregistré au premier semestre 2014 des résultats en baisse, affectés par des taux de change défavorables. Le groupe alimentaire a cependant ravi les analystes jeudi grâce à une croissance organique supérieure aux attentes et un important programme de rachat d'actions. Le géant de Vevey a confirmé ses objectifs en matière de croissance organique et de marges. Le numéro un mondial du secteur a réalisé un bénéfice net en baisse de 9,5% sur un an à 4,634 mrd CHF pour les six premiers mois. Le résultat opérationnel courant s'est replié de 5,4% à 6,44 mrd CHF, pour une marge contractée de 0,1 point de pourcentage à 15,0%. Le chiffre d'affaires a quant à lui reculé de 4,8% à 42,981 mrd CHF.




1 Commentaires

  1. Auteur

    Aliou 13

    En Août, 2014 (23:21 PM)
    a quand la bourse du senegal ?

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