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Economie

Résumé de l’actualité économique internationale du jeudi 31 juillet 2014

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Résumé de l’actualité économique internationale du jeudi 31 juillet 2014

-ABIDJAN-La diaspora ivoirienne estimée à plus de 1,2 million de personnes, a transféré en 2013 vers la Côte d’Ivoire, 410 millions de dollars, soit près de 205 milliards de FCFA, a-t-on appris jeudi de source officielle. « Entre 2005 et 2011, notre pays ne figurait pas dans le top 15 des pays africains ayant les meilleurs taux de transferts de fonds par rapport au Produit intérieur brut (PIB) tandis que des pays comme le Lesotho étaient à 35% de contribution au PIB contre 10% pour des pays comme le Nigeria, le Sénégal ou le Cap Vert », a expliqué Alassane Zié Diamouténé, le directeur de cabinet du ministre de l'intégration africaine et des Ivoiriens de l'extérieur à l'ouverture des travaux de la 3è édition des Journées de la diaspora ivoirienne (JDI) organisées par la Coordination générale des Ivoiriens de l'extérieur (COGID). Aujourd'hui, a-t-il ajouté « selon certaines études, nos compatriotes à travers le monde sont estimés à quelque 1 240 000 âmes, constituants environ 5,4% de notre population. Environ 60% résident en France, 21% au États-Unis, 8% en Italie, 8% au Royaume Uni et 3% au Sénégal ».

 

-OUAGADOUGOU-La Banque mondiale s’est engagée à soutenir un programme prioritaire d'investissement (PIP) doté de 14,8 milliards de dollars au bénéfice de cinq pays du Sahel (G5 Sahel), a-t-on appris jeudi auprès de la représentation de l’institution financière à Ouagadougou. Le PIP vise à répondre aux besoins du développement, à travers la réalisation de projets de développement transformateurs dans la région, notamment en matière de gouvernance, de sécurité, de résilience économique et d'infrastructures. Les cinq pays concernés sont le Burkina Faso, le Mali, la  Mauritanie, le Niger et le Tchad. La Banque mondiale va soutenir la mise en place d'un secrétariat du G5 Sahel, à Niamey au Niger, pour finaliser la préparation PIP. L'initiative est portée par l'Organisation des Nations Unies, l'Union européenne, la Banque africaine de développement (BAD), l'Agence française de développement (AFD) et la Banque mondiale.

 

-DAKAR-Le Sénégal a, depuis 1974, reçu du Japon 790 milliards FCFA (environ 1,580 milliard de dollars) de financement a déclaré jeudi à Dakar le secrétaire général du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan. Pape Ousmane Gueye s'exprimait lors de la revue 2014 de la coopération entre le Sénégal et le Japon. Selon lui, ‘'cela englobe toutes les catégories de financement : coopération financière non  remboursable, coopération technique et prêt''. Les principaux secteurs d'intervention de cette coopération concernent l'hydraulique avec la réalisation 120 forages et la fourniture d'équipements hydraulique sur l'ensemble du pays, l'agriculture (réalisation de périmètres hydro-agricoles), l'éducation (construction de 2373 salles de classe).  M. Gueye a également évoqué les secteurs de l'environnement, la santé et la pêche.

 

-ABIDJAN-La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) a clôturé sa séance du jeudi 31 juillet 2014 en hausse par rapport à la séance précédente. L’indice BRVM 10 est passé de 248,71 à 249,44 points, soit une progression de 0,29%. L’indice BRVM Composite, pour sa part, a gagné 0,23% à 238,43 points contre 237,88 précédemment. La valeur des transactions s’est établie à 597,12 millions de FCFA contre 306,67 millions de FCFA, hier mercredi. La capitalisation boursière du marché des actions se chiffre à 5789,13milliards de FCFA. Celle du marché obligataire s’élevant à 1 303,48 milliards de FCFA. Le titre le plus actif en volume est Ecobank Transnational Incorporated TG avec 245 006 actions échangées. Le titre le plus actif en valeur est PAA 6,95% 2010-2017 avec 217,54 millions de FCFA de transactions.

 

-NEW YORK- Les cours du pétrole coté à New York sont tombés à leur plus bas niveau depuis la mi-mars jeudi, affectés par la perspective d'une hausse des stocks de brut et d'essence aux États-Unis et minés par la tendance baissière sur le marché des actions. Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en septembre a chuté de 2,10 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), pour s'établir à 98,17 dollars. Le prix du WTI a baissé suite à plusieurs problèmes survenus dans des raffineries du Midwest (centre des États-Unis) qui devraient peser sur la demande en brut et par ricochet, gonfler les stocks à Cushing, terminal pétrolier situé en Oklahoma où sont entreposés les barils servant de référence au pétrole échangé à New York, a indiqué l'analyste indépendant Andy Lipow. Les investisseurs commencent aussi selon lui à anticiper la saison de maintenance des sites de raffinage, qui devrait débuter en septembre et ralentir alors la consommation de brut.


-PARIS - Les taux d'emprunt des principaux pays de la zone euro ont joué au yo-yo jeudi sur le marché obligataire, pénalisés un temps par des indicateurs américains encourageants, avant de finalement terminer sur une détente. Après s'être détendus en début de séance grâce à l'inflation en zone euro et au contexte géopolitique, les taux sont repartis à la hausse dans l'après-midi, suivant les taux américains, avant de retrouver leur sang-froid en fin de séance. A 18H00, le taux d'emprunt à 10 ans de l'Allemagne a fini en recul à 1,155%, contre 1,170% mercredi à la clôture, sur le marché secondaire, où s'échange la dette déjà émise.
De même, le taux de la France a terminé à 1,530% (contre 1,550%). Le mouvement de va-et-vient a été le même pour le taux de l'Espagne qui a clôturé à 2,505% (contre 2,523%), et l'Italie à 2,695% (contre 2,699%). Les taux européens sont sensibles à la remontée des taux américains, en cas de bonnes nouvelles sur l'économie outre-Atlantique qui justifierait un resserrement anticipé de la politique monétaire de la Réserve fédérale américaine (Fed).

 


-WASHINGTON-Les inscriptions hebdomadaires au chômage évoluent en juillet à des niveaux inédits depuis huit ans aux États-Unis, selon des chiffres publiés à la veille du rapport mensuel sur l'emploi qui devrait confirmer vendredi la vigueur retrouvée du marché du travail. Après avoir glissé de 0,2 point en juin, à 6,1%, le taux de chômage américain devrait au moins rester stable en juillet, selon la prévision médiane des analystes. Toutefois, de nombreux économistes, comme ceux de Barclays Research ou Nomura GlobalEconomics, s'attendent à ce qu'il perde encore un dixième de point pour parvenir au seuil de 6%. "Le déclin des inscriptions hebdomadaires au chômage en juillet et notre attente de solides créations d'emplois vont dans le sens d'un nouveau recul du taux de chômage", affirment les analystes de Nomura dans une note. Les chiffres de demandes hebdomadaires d'allocation chômage, publiés jeudi par le département du Travail, montrent qu'en moyenne sur un mois, elles sont, pour la première fois depuis 2006, passées sous la barre des 300'000 à 297'250. "C'est le plus bas niveau depuis 8 ans", s'est félicité Joel Naroff, économiste indépendant. "Si le volume de ces demandes d'allocations chômage a un rapport avec les créations d'emplois, ce que je crois, les chiffres officiels de l'emploi pour juillet seront bons", assure-t-il.

 

-NEW YORK-Wall Street reculait nettement jeudi à la mi-séance, succombant à des inquiétudes sur la croissance mondiale dans un contexte de tensions géopolitiques fortes et d'un défaut de paiement de l'Argentine sur sa dette: le Dow Jones lâchait 1,21% et le Nasdaq 1,85%. Vers 16H00 GMT, le Dow Jones s'enfonçait de 205,00 points, à 16'675,36 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, de 82,75 points, à 4380,16 points. L'indice élargi S&P 500 abandonnait 1,49%, soit 29,45 points, à 1940,62 points. En baisse dès le début des échanges, les indices de la place financière new-yorkaise ont franchement piqué du nez en cours de matinée. "Nous avons ici affaire à un marché qui pour la première fois depuis des mois prend en compte l'accumulation d'inquiétudes macroéconomiques et de problèmes géopolitiques dans le monde, que ce soit entre la Russie et l'Ukraine, Israël, Gaza, et les craintes" liées à un défaut de l'Argentine, a relevé Art Hogan, de Wunderlich Securities. L'Argentine, qui n'est pas parvenue à se mettre d'accord avec des fonds spéculatifs américains sur le remboursement de sa dette, est confrontée depuis mercredi soir à un nouveau défaut de paiement sur sa dette, partiel mais aux conséquences imprévisibles.

-NEW YORK- Le groupe pétrolier américain Exxon Mobil a avivé jeudi les craintes de Wall Street après un nouveau déclin de sa production alors que les interrogations entourent ses projets en Russie, frappée par de nouvelles sanctions économiques occidentales. La production totale de pétrole et de gaz a baissé de 5,7% sur un an, à 3,84 millions de barils équivalent pétrole par jour. Les analystes s'attendaient à un niveau de la production autour de 3,9 millions. C'est une grosse chute, estime Bank of America Merrill Lynch, dans une note. C'est inquiétant parce que la baisse de la production est plus forte qu'attendu, renchérit la banque Barclays. La major américaine, qui a abaissé ses prévisions en mars, tablait elle-même sur une production de 4 millions de barils équivalent pétrole par jour, stable comparé à l'an dernier. A Wall Street, le titre décrochait de 2,70% à 100,46 dollars vers 16H30 GMT. Dans le détail, sa production de liquides (pétrole, gaz liquéfié, pétroles bitumeux...) est tombée à 2,04 millions de barils par jour (-6,1% sur un an), tandis que celle de gaz a reculé de 5,3% à 10,75 millions de m3 par jour. Ce recul s'explique principalement par une expiration d'une licence à Abou Dhabi sur une concession, Adco. Vieille de 75 ans, cette concession comprenait des puits d'une capacité d'environ 1,6 million de barils par jour. Elle était partagée avec les français Total, britannique BP et l'anglo-néerlandais Royal Dutch Shell.

 

-PARIS- La Bourse de Paris a de nouveau cédé (-1,53%) jeudi face aux inquiétudes géopolitiques, en dépit de résultats d'entreprises plutôt positifs, pour terminer à son plus bas niveau annuel depuis mars. L'indice CAC 40 a perdu 66,16 points à 4246,14 points, dans un volume d'échanges plus élevé que d'habitude de 5 milliards d'euros, après avoir déjà perdu 1,22% la veille. Sur les autres places européennes, la Bourse de Francfort a perdu 1,94% et celle de Londres 0,64%. Par ailleurs, l'Eurostoxx a reculé de 1,70%. Le marché parisien a tenté de rebondir à l'ouverture avant de faire rapidement machine arrière, et de s'enfoncer de plus en plus au fil de la journée. Les premiers pas en baisse de Wall Street sont en outre venus confirmer la morosité de la cote. "Le marché évolue dans un climat anxiogène où la moindre nouvelle, même si elle n'est pas lourde de conséquences, alimente la défiance ambiante et ce cocktail donne une baisse assez sévère qui n'est pas cohérente avec la qualité des résultats publiés", a expliqué Guillaume Garabédian, conseiller de gestion à Meeschaert Gestion Privée. "Les inquiétudes s'expliquent pour partie par la géopolitique", en particulier par la situation en Ukraine, a-t-il poursuivi. Les dirigeants de l'UE ont formellement adopté jeudi des sanctions économiques contre la Russie pour contraindre le président Vladimir Poutine à cesser de soutenir les séparatistes prorusses dans l'est de l'Ukraine. "Le marché redoute une aggravation de la situation géopolitique en Russie", ce qui le pousse à la plus grande prudence, a aussi relevé Xavier de Villepion, vendeur d'actions chez Global Equities.

 

-FRANCFORT- La Bourse de Francfort a terminé en forte baisse jeudi, à l'instar des autres places européennes, affectée par les tensions géopolitiques et par des résultats et prévisions d'entreprises très mal accueillis. L'indice Dax des trente valeurs vedettes s'est enfoncé de 1,94% pour finir à 9407,48 points, le MDax des valeurs moyennes pour sa part a plongé de 2,25% à 15'790,67 points. Sur le Dax, Adidas s'est illustré à la baisse (-15,37% à 59,41 euros) après un abaissement de ses prévisions de bénéfices pour cette année, à cause de difficultés dans le segment du golf et des incertitudes autour de la Russie. Lufthansa a perdu 7,30% à 13,28 euros après la publication de résultats du deuxième trimestre en fort recul, plombés par des pressions croissantes sur les prix, des effets de changes défavorables et des grèves. Parmi les autres résultats du jour, Continental a cédé 1,91% à 161,60 euros après un deuxième trimestre sans éclat, tandis que Volkswagen, qui a fait mieux qu'attendu sur la période, n'en a guère profité en Bourse (-0,65% à 174,55 euros). Fresenius (+3,66% à 111,90 euros) et sa filiale d'équipements de dialyse Fresenius Medical Care (+2,61% à 51,90 euros) ont en revanche tiré parti de la publication anticipée de leurs chiffres, mais surtout de leur statut de valeur anticyclique dans un marché très inquiet de la suite des événements au Proche-Orient et en Ukraine. Siemens a fait nettement mieux que le reste du marché (-0,32% à 92,40 euros), après un bond de son bénéfice net au troisième trimestre.

 

-LONDRES - La Bourse de Londres a terminé la séance de jeudi en baisse de 0,64%, inquiète d'un possible resserrement de la politique monétaire américaine, du défaut de l'Argentine et des conséquences des sanctions contre la Russie. A la clôture, l'indice FTSE-100 des principales valeurs a diminué de 43,33 points à 6730,11 points. Malgré plusieurs résultats financiers favorables chez des poids lourds de la cote londonienne, nombre d'opérateurs ont vendu par précaution, en raison de nombreux facteurs de tensions ou d'incertitudes à l'étranger. La vigueur de la reprise américaine laisse craindre, d'abord, à certains un resserrement anticipé des taux d'intérêt par la banque centrale des États-Unis (Fed). Le nouveau défaut de l'Argentine sur sa dette a aussi pesé sur l'humeur des donneurs d'ordre, deux jours après le renforcement des sanctions occidentales contre la Russie qui fait craindre des conséquences économiques négatives pour l'Europe. "On arrive au mois d'août, il y a aussi un effet cyclique à la récente baisse des marchés", a estimé Jasper Lawler, analyste chez CMC Markets. "Certains opérateurs qui auraient défendu bec et ongles certaines actions clés se prélassent en ce moment sur la Côte d'Azur ou aux Hamptons en sirotant du Dom Pérignon", a-t-il précisé.



-NEW YORK-La Bourse de New York avait fini sur une note hésitante mercredi, ne parvenant à bénéficier que partiellement du net rebond de la croissance américaine et d'une décision sans surprise de la Réserve fédérale américaine (Fed): le Dow Jones avait cédé 0,19%, à 16'880,36 points, mais le Nasdaq, avait gagné 0,45%, à 4462,90 points. Vers 14H15 GMT, le Dow Jones reculait de 143,57 points, à 16'736,79 points, et le Nasdaq, à dominante technologique, 49 points, à 4413,39 points. L'indice élargi S&P 500 abandonnait 0,89%, soit 17,59 points, à 1952,48 points. La place financière new-yorkaise manquait d'entrain en début de séance, "digérant un ensemble de résultats d'entreprises dans l'ensemble décevants", ont expliqué des analystes de la banque Wells Fargo. Ils citaient notamment les comptes trimestriels de la chaîne de supermarchés à tendance bio Whole Foods (-4,68% à 37,28 dollars), du groupe de produits frais Kraft Foods (-3,35% à 55,32 dollars) et du groupe de restauration Yum Brands (KFC, Pizza Hut,...), dont le titre lâchait 5,96% à 68,65 dollars. Du côté des indicateurs, les opérateurs prenaient acte de l'augmentation des nouvelles inscriptions au chômage aux États-Unis, même si elle était moins prononcée qu'attendu. Le ministère du Travail américain a en revanche révisé en baisse les allocations chômage de la semaine précédente, qui ont atteint leur plus bas niveau en 14 ans. Les opérateurs guettaient en effet tout indice susceptible de les renseigner sur la santé du marché du travail, à la veille des chiffres mensuels très attendus sur les créations d'emploi et le taux de chômage en juillet aux États-Unis. En outre, "l'annonce selon laquelle l'Argentine n'est pas parvenue à se mettre d'accord" avec des fonds spéculatifs américains "pour éviter un défaut de paiement sur sa dette accentue la mauvaise humeur des courtiers", ont relevé les experts de la maison de courtage Charles Schwab.



3 Commentaires

  1. Auteur

    Maud Kristel

    En Juillet, 2014 (20:48 PM)
    Si vous voulez avoir une idée des premières heures de la rencontre entre les blancs et les populations Sénégalaises, regardez ceci sur YOUTUBE : "Impresionante reacción de tribu al primer contacto con la civilización
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  2. Auteur

    Pauvre Senegal

    En Juillet, 2014 (22:42 PM)
    Je veux creer un gouvernement virtuel, avec des ministeres.

    Si quelqu'un a un project simple et faisable pour le changement, pour le bien du senegal, concernant chaque ministere, que l'on puisse en discuter dans les forums. Qui sait? peut etre qu'on pourra les realiser pour de vrai.      



     







     



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    Auteur

    Zerohedge

    En Août, 2014 (08:40 AM)
    C'est une confluence ou la conjugaison de plusieurs facteurs qui est a l'origin de la chute vertigineuse des marches financiers Dow -317 points ou 1,88%, Nasdaq -93,13 points ou 2,09% et S&P -39,40 points ou 2%. D'un pouint de vue technique c'est la fin du mois qui correspond a la liquidation mensuelle des portefeuilles d'actions par les 'Portfolio managers'. En suite ils procedent a une rotation sectorielle en fonction de leur strategie d'investissement. Le mois d'aout est connu pour son niveau historique de volatilite.L'annee derniere le VIX (qui est l'indice de mesure de la volatilite du marche) a connu une variation de plus de 40%. et cela peut dans une certaine mesure affecter la psychologie des investisseurs.

    Toutes choses egales par ailleurs les evenements geopolitques vont continuer de peser sur l'evolution des marches financiers avec notamment les sanctions economiques contre la Russie. Beaucoup de cies PepsiCo, Adidas, Exxon...etc ont deja prevenus des consequences de ces sanctions sur leurs futurs resultats financiers.

    Il y a aussi des problemes lies a a la capitalisation boursiere de certaines entreprises que certains analystes jugent tres excessives d'ou la necessite d'une normale correction.Par exemple l'action d'une cie comme facebook est de 40 fois son P/E ou price/earning.
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