Ce sont des hommes et des femmes, jeunes et moins jeunes, parfois ils ont eu à exercer par le passé des activités professionnelles plus ou moins prestigieuses. Ils sont devenus des malades mentaux errant dans les rues de Louga et, souvent, ils se montrent menaçants avec les passants.
Le quotidien Rewmi a fait le constat dans son édition de ce jeudi. Le journal, qui a fait le tour de la ville, en a croisé certains et a recueilli l’avis des habitants sur le phénomène.
Ces derniers, inquiets de son ampleur grandissante, cherchent des explications. Les uns attribuent la montée du nombre des malades mentaux à l’abandon de certaines pratiques culturelles protectrices comme le « Ndeup ». D’autres soutiennent que ces malades mentaux ne sont pas tous des autochtones. « La majeure partie ne sont pas de Louga. Beaucoup sont des Maliens », affirme Bassirou Sow, un lycéen interrogé par Rewmi.
8 Commentaires
Anonyme
En Juin, 2016 (10:51 AM)Khel Khol Kham
En Juin, 2016 (11:15 AM)Anonyme
En Juin, 2016 (11:50 AM)Anonyme
En Juin, 2016 (11:50 AM)Anonyme
En Juin, 2016 (12:20 PM)Béthio
En Juin, 2016 (14:06 PM)adama dinga déme ba jaxeu n'daxeté amulo dara té xamulo fokoy wuté.
Dunia bi dafa méti ci niéna gni torop.Mane mangi Mali eupeu na 25 ans.mais Mali mo eupeu ay
dof.On ne peut pas comparer les 2 pays...Seulement ici ;on s'en débarasse en les isolant comme li gnu nane sani.On lave la personne avec une potion mystique, et elle disparait å jamais.Mo taxe Sénégal rek n'gay giss doff bu deuk ci keur ak ay parents.
Yeurmandé la ak laa bir,té lolu fii la sossoo.Ku génul do giss lu bari.Le phénoméne ne nous est pas propre,car en voit dans tous les pays du monde..Yalla na gnu ci Yalla mussal...
Anonyme
En Juin, 2016 (14:19 PM)Site Communautaire
En Juin, 2016 (14:41 PM)Participer à la Discussion