Les États-Unis vont de nouveau accepter des réfugiés après quatre mois d'une suspension très controversée, a annoncé mardi la Maison Blanche, à l'exception de ceux venant de 11 pays à "haut risque", la plupart à majorité musulmane. Cette interdiction temporaire a fait l'objet d'une longue saga judiciaire depuis sa proclamation par Donald Trump dès son arrivée à la Maison Blanche en janvier, dans un décret qui fait encore polémique. La Cour suprême avait finalement permis en juin sa mise en place partielle, qui devait notamment laisser le temps aux responsables des services migratoires américains de revoir les procédures et méthodes de vérifications des antécédents des voyageurs.
Ce passage en revue "a rendu notre nation plus sûre", est-il écrit dans le nouveau décret signé mardi par Donald Trump et relançant le système d'admission des réfugiés. Ces derniers feront désormais face à des vérifications "renforcées", avec notamment une étude plus approfondie de leur présence sur les réseaux sociaux et de leur historique de connections, a expliqué Jennifer Higgins, l'une des responsables du département en charge des réfugiés au sein des services américains d'immigration. Le nouveau décret s'accompagne d'une coupe profonde dans le nombre d'admissions de réfugiés permises aux Etats-Unis pour l'an prochain.
Le président démocrate Barack Obama avait fixé la limite à 110.000 réfugiés pour l'année fiscale 2017, qui s'est achevée le 30 septembre. Dès son arrivée à la Maison Blanche, Donald Trump avait abaissé ce plafond à 53.000 tout en tentant d'introduire sa suspension du programme. Pour 2018, le républicain a encore abaissé ce nombre à 45.000. Les responsables de l'administration Trump ont refusé d'énumérer les 11 pays encore exclus mais ont renvoyé à une liste datant de 2015, sous Barack Obama, qui désignait les pays dont les ressortissants devaient faire l'objet d'une enquête plus poussée.
Les autorités ont désormais décrété un nouveau gel de 90 jours visant les ressortissants de ces pays, pour passer en revue les procédures. Selon des organisations s'occupant de réfugiés, il s'agirait de l'Egypte, l'Iran, l'Irak, la Libye, le Mali, la Corée du Nord, la Somalie, le Soudan du Sud, le Soudan, la Syrie et le Yémen.
5 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2017 (12:09 PM)Djammeh, est un homme d’Etat, un anti-impérialiste, un anti-colonialiste qui pensait par le peuple et pour le peuple gambien, en purifiant les mœurs, luttant contre l’impunité sans considération d’appartenance politique, sociale, religieuse en moralisant la politique d’où, entre autres, sa popularité et l’acharnement de l’occident retardataire et ses complices de tous bords jaloux de la réussite et du bien être de l’homme africain. Ses services de sécurité, n’ont fait usage de grenades lacrymogènes qu’une seule fois (veille élection 2017 à en croire certaines sources et à l’absence de Djammeh. Des hommes d’Etat de sa dimension sont rares et en Afrique ils sont entrain d’être destabilisés par les prédateurs que sont les occidentaux.
En face, des « dirigeants » en concubinage avec ces … qui, avec leurs instruments de destabilisation (les forces exogènes en concubinage avec les forces endogènes, reprenant l’autre), leur assurent l’immunité. Par leur mutisme et inertie au vu des multiples dérives et bavures policières, se traduisant par des dizaines de morts qui restent à élucider et des détenus politiques. Des marches reconnues par la constitution, interdites, des grenades lacrymogènes, larguées sur des manifestants traités de tous les noms d’oiseaux, des politiciens et journalistes matraqués…
Ce qui est sans commune mesure avec ce qui s’est rééllement passé pendant les 22ans de magistère du Président Djammeh semé cependant, de coups d’état, d’agression et de tentative d’assassinat... Il faut être aux entipotes des intérêts égoistes des occidentaux ; qu’appliquer la loi aux auteurs de tels... devient un crime contre l’humanité.
« Je n’ai pas d’amis en occident et je n’en veux pas » s’est il exprimé à J.A « Dis moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es » dit l’adage…
Ce qui ne l’a pas empêché de réussir ses politiques de développement. (Allez savoir). Les occidentaux et leurs organisations de défense des droits de l’homme des complices, ne désarment pas. Ils cherchent vaille que vaille par tous les moyens imaginables, qu’inimaginables tous tendacieux et mensongers, à humilier Yaya Djammeh.
Comme, ils l’ont fait à Mouamar Khadafi, Laurent Gbagbo. Et Hussein Habré qui les avait tenus tête avec les fameux otages dont madame... ? Pour museler l’Africain afin de l’esclavagiser. Que les Africains-les panafricanistes, s’érigent en bouclier pour leur barrer la route et les mettre hors d’état de nuire...
Aux intellectuels et politiciens qui aiment citer des pays occidentaux : la France, les Etats Unis, comme modèles de démocratie à l’occidentale et d’indépendance de la justice, arrêtez. Ces pays, ne sont pas des modèles de démocratie et la justice n’y est pas si saine...
Sur le dos de Yaya Djammeh qui ne mérite pas ces calomnies grossières, que les nouvelles autorités gambiennes, ne cherchent des financements occidentaux pour renier à leur promesse de mandat transitoire de trois (03) ans pour se pérenniser au pouvoir à l’image de leurs souteneurs. Ce qui serait… Qu’elles travaillent comme l’avait fait Yaya Djammeh avec courage et lucidité aussitôt au pourvoir en 1994 en dépit des plans diaboliques des occidentaux… et des 29ans de règne de Diawara et sans chasse aux soicières… Accordant à son prédécesseur, tous les avantages dus à son rang d’ancien chef d’Etat.
03/2017
Anonyme
En Octobre, 2017 (12:36 PM)Musulman
En Octobre, 2017 (18:19 PM)Parasitrump
En Octobre, 2017 (12:07 PM)Parasitrump
En Octobre, 2017 (12:07 PM)Participer à la Discussion