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Justice

Dans l’impossibilité de parler à la Cour : Karim Wade convoque ses avocats à Rebeuss

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Dans l’impossibilité de parler à la Cour : Karim Wade convoque ses avocats à Rebeuss

Alors qu’on s’apprêtait à juger les fauteurs de trouble, Karim Wade qui a levé la main vers ses avocats, n’a pu attirer leur attention. Me Nicolas Cassav, qui s’en aperçoit tardivement, fera savoir au juge : « M. Karim Wade souhaiterait vous parler ». Mais, il était déjà à la cave et une garde pénitentiaire va transmettre son message.

« Me Diagne, Karim Wade vous demande de le trouver à Rebeuss ». 

Ses avocats ont rallié la maison de correction après l’audience. La question qui taraude l’esprit est de savoir ce que vous voulait dire Karim à la Cour. Une cour qui rouvrira son audience avec les avocats de l’Etat qui, à l’image du Parquet, va tenter de rejeter les exceptions soulevées par la défense.



25 Commentaires

  1. Auteur

    Miwi

    En Août, 2014 (11:37 AM)
    Nagnou diay Senegal teh pathio khalis bii , kounek dem , thiowlii beurry neu
  2. Auteur

    P. A. Ciss

    En Août, 2014 (11:44 AM)
    8 milliards de patrimoine!...Et d'autres inconnues...Des immeubes. Des parcs automobiles...Où est la justice? Où sommes-nous? Où? Un peuple de lâches!...
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    Auteur

    Karim Le Timide....

    En Août, 2014 (11:45 AM)
    et une de plus , une annonce qui n'en est pas une. Karim qui reçoit à Reubeus comme un empereur à sa cour . ça fait 16 mois que ce grand voleur aurait du prendre la parole et avouer ses méfaits. Un article de plus commandé par QUI ? DU GRAND FOLKLORE !
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    Talibe2

    En Août, 2014 (11:51 AM)
    senegal senegalais onts n'et tous mar de ce procé , ce qui nous pre occupe c'et de voir comment faire pour que les senegalais sorte de la durite de cet vie ,cet pour cela qu'ont n'avait elue ce gouvernment mes ils nous desoie avec ce procé qu'il devais faire avec diplomacie mes non tout les jour ont nous amerde avec ca cet pas normal au nom de tout les gens qui veut que le pays avance travailler travailler faire votre procé en silence wa salam
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    Payenne

    En Août, 2014 (12:11 PM)
    Peut être il veut, en fin, avouer!!!
    Auteur

    Teup

    En Août, 2014 (12:24 PM)
    Ce procès qui est annoncé comme étant historique et marquant la fin de l'impunité dans notre pays, risque de se transformer en un gouffre financier aux frais du contribuable Sénégalais. Personne ne peut justifier la présence d'avocats pour "défendre les intérêts de l'Etat", alors que deux(2) procureurs sont déjà là pour les intérêts de l’état.



    Dans un procès pénal, le procureur est sensé représenter l'Etat qui poursuit, alors pourquoi engraisser des avocats à coup de milliards, alors que le procureur spécial et sont substitut sont déjà payés pour ça? Parlant du PROCUREUR SPÉCIAL, il a une formation des policier et ne occupé jusqu'à présent que de délits " normaux", crimes, viols, meurtres, infanticides, etc. Lui donner un dossier de haute finance, c'est lui donner des migraines, ce qui explique le nombre de milliards initial, mais aussi et surtout, la fonte comme neige au soleil de la masse accusée au prévenu....



    Karim Wade peut avoir soustrait nos fonds, mais à cause de Alioune Ndao et l'accusation, on risque de se retrouver avec une procédure nulle et un procès vicié. Le peuple risque de ne jamais savoir où sont passés ses milliards, ou même si on lui volé des milliards. Notre système juridique semble être conçu pour lutter contre les "petits voleurs" et "laisser s'échapper" les "gros voleurs". Tout simplement parce des juges qui ne connaissent rien de la haute finance sont nommés pour "traquer" comptes "offshores" et des milliards ayant emprunté des "labyrinthes financier" que des juges spécialisés mettent plusieurs années à découvrir.

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    Information 123

    En Août, 2014 (12:38 PM)
    Information: à Saly/Mbou/Somone, il y a un cambriolage par jour, 5 vols et des attaques à main armée tous les 4 jours. Toujours envers des Toubabs qui commencent à dire tout çà à l'étranger, ca va vite les infos et il faut considérer que le tourisme c'est définitivement fini. Et pas récupérable avant 5 à 10 ans.

    Quant aux 10000 résidents qui emploient en moyenne 4/5 personnes (50000 emplois minimum, la plus grosse entreprises du Sénégal) ils commencent à s'organiser au vu de cette insécurité, beaucoup envisagent le départ ou la réduction de leurs temps de présence. Pas de police efficace plus préoccupée pour taxer les conducteurs que par la sécurité des résidents et du peu de touristes qui subsistent. A méditer !
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    Ndiaganiao

    En Août, 2014 (13:04 PM)
    La vérité et la justice sont souveraines, car elles seules assurent la grandeur des nations.

    Libérez les otages politique

    Nous ne reconnaissons pas la CREI
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    Mboure

    En Août, 2014 (13:10 PM)
    Le despotisme est un régime un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices

    Nous sommes une république ou une monarchie

    Laissez les prisonniers politique
    Auteur

    Archivekarim

    En Août, 2014 (13:12 PM)
    Accusé d’avoir un patrimoine estimé à 694 milliards de FCfa, Karim Wade limite les avoirs immobiliers de sa famille à deux maisons : une au Point E, une à Sicap Rue 10 et une autre à Touba.

    « Nous n’avons pas d’immeuble au Sénégal, c’est une maison familiale, qui est en train d’être agrandie et rénovée au Point E, à Dakar, à laquelle s’ajoute celle située à Sicap, Rue 10, et une maison en construction à Touba. Nous n’avons pas d’appartement à Avenue Foch à Paris, ni de propriété dans la vallée Chevreuse, ni sur les bords de la Loire », a dit Karim Wade au Procureur. Il a même rappelé les déclarations de son père, Me Wade, qui invitait les maires de France à saisir tout immeuble se trouvant dans leur juridiction et qui lui appartiendrait. Et l’ancien super ministre de renchérir. « Nous n’avons pas de comptes en banque fournis, ni d’actions en bourse ou des titres d’émission, c’est pourquoi je suis fier d’appartenir à la famille de l’ancien président Abdoulaye Wade ». L’on se doute alors que, dans sa réponse au Procureur spécial près la Cour de répression de l’enrichissement illicite, Alioune Ndao, il a nié être propriétaire des biens qu’on lui attribue

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    Ndiadiaye

    En Août, 2014 (13:12 PM)
    La liberté politique dans un citoyen est cette tranquillité d’esprit qui provient de l’opinion que chacun a de sa sûreté ; et pour qu’on ait cette liberté, il faut que le gouvernement soit tel qu’un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen



    laissez l'opposition faire travail et vous gouvernez c'est votre droit

    Liberez Karim
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    Nguelor

    En Août, 2014 (13:15 PM)
    La raison pourquoi la plupart des gouvernements de la Terre sont despotiques, c’est que cela se fait tout seul. Mais, pour des gouvernements modérés, il faut combiner, tempérer les puissances ; savoir ce qu’on donne à l’un, ce qui reste à l’autre ; enfin il faut un système, c’est-à-dire une convention de plusieurs et une discussion d’intérêts



    Nous réclamons une justice plus sincère
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    Vv

    En Août, 2014 (13:27 PM)
    le senegalais est vraiment devenu méchant! si un fils d'un gardien et d'une vendeuse de guerté thiaf, simple geologue( Bac+3) arrive a avoir 8 milliards en banque, des maisons et une dizaine de terrains, plus de 35 vehicules, un appartement à houston ...alors qu'il n'etait que simple locataire en 2000, pourquoi pas karim wade, financier (Bac +5 Sorbonne), ancien banquier, fils d'une juriste issue d'une famille noble et riche et d'un professeur agrégé des universités , anciens consultant international, plusieurs fois ministre , président de la république pendant 12 ans avec tous les avantages (caisse noire...)??? Cherchez l'erreur chers amis! vraiment amna niou sokhor koi, et malheureusement c'est cette même haine que l'on retrouve dans les famille senegalaises entre freres ou soeurs de même père ou mère etc...no sokhor bakhoul laissez ce gars vivre en paix...tout ceci c'est de la politique
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    Kiore

    En Août, 2014 (15:49 PM)
    Jamal tu es formidable !!!! Merci. Bien parler
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    Diop

    En Août, 2014 (15:59 PM)
    A l’issue de la confirmation hier des charges contre Simone et Michel Gbagbo par la justice ivoirienne, Me Ciré Clédor Ly, leur avocat, a affirmé qu’on était face à une justice des vainqueurs en Côte d’Ivoire : « Nous déplorons que depuis qu’il y a eu des arrestations, nous n’avons jamais été mis en [à] mesure d’assurer à nos clients le bénéfice d’un procès équitable. Nous n’avons jamais eu la mise à disposition de l’intégralité du dossier, des éléments de preuves. Figurez-vous : jusqu’à ce jour, nous avons demandé l’ouverture des comptes scellés, l’inventaire des éléments sur lesquels ils se sont fondés et considérés comme étant des éléments à charge. Au moment où je vous parle (ndlr hier 11/7/2013), jusqu’à ce jour, nous n’avons rien reçu. Il n’y a aucun élément précis qu’on reproche à mes clients, aucun acte matériel précis imputable à ces derniers, que [pour lesquels] les juges ont été en mesure de nous remettre ». Maître Ciré Clédor Ly associè MOUSSA SARR avocat associer l affaire simone gbagbo ont perdu le proces .
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    Diop

    En Août, 2014 (16:04 PM)
    C’est ainsi que le 23 novembre 2011, les avocats du Président Laurent Gbagbo furent convoqués pour un interrogatoire au fond sur la procédure d’inculpation inédite de vol à main armée pour un chef d’Etat. L’on fera remarquer à cet effet que la procédure ainsi engagée violait les droits de la défense de Laurent Gbagbo car, en sa qualité de Président de la République pour certains, d’ancien Chef d’Etat et membre de droit du Conseil constitutionnel pour d’autres, ce dernier ne peut légalement faire l’objet d’une inculpation, d’un interrogatoire ou même un jugement par un magistrat, radicalement incompétent rationae personae.

    Le 25 novembre 2011, par ordonnance N°42/11 rendue par Monsieur Kanga Penond Yao Mathurin, premier président de la Cour d’appel d’Abidjan, la Chambre d’accusation d’Abidjan sera autorisée à «se transporter et siéger au lieu de détention de monsieur Gbagbo Laurent et autres».

    Korhogo fut ainsi investi par toute la Cour d’appel d’Abidjan, les avocats s’interrogeant sur cette présence massive et insolite de Hauts Magistrats, ignorant tout de l’Ordonnance précitée, mais soupçonnant que quelque chose se tramait.

    Et alors que «l’interrogatoire» au fond du Président Laurent Gbagbo devait commencer le lundi 28 novembre 2011 à 09 heures devant le Tribunal de Première Instance de Korhogo, il ne débutera que le soir vers 16 heures, des membres des Nations Unies devant rendre visite au détenu pour s’enquérir de sa situation et vérifier les conditions de sa détention, selon les explications servies aux Avocats.

    Le Président était assisté par cinq (05) avocats, le Sénégalais Ciré Clédor Ly qui rentrait de l’audience de Porto Novo, ainsi que quatre (04) avocats ivoiriens : Agathe Baroan Dioumency, Dako Zahui Toussaint, Dohora Blédé et Félix Bobré.
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    Diop

    En Août, 2014 (16:08 PM)


    Etant donné l’heure tardive, l’interrogatoire au fond n’a pu être mené à terme pour des raisons sécuritaires et fut reporté au lendemain 29 novembre 2011. Mais avant que celui-ci ne débuta, le procureur général près la Cour d’appel d’Abidjan informa les avocats de son intention d’enrôler séance tenante la demande de transfèrement du Président Laurent Gbagbo formulée par la Cour pénale internationale. Pris de court par cette nouvelle pour le moins inattendue, les Conseils n’ont pu bénéficier que d’une seule et unique heure pour se préparer et ce, contrairement à la Loi ivoirienne qui organise les droits de la défense et prévoit un délai suffisant de préparation des avocats avant leur comparution et plaidoirie devant la Chambre d’accusation, quel que soit le motif de la saisine.

    Le mandat d’arrêt fut alors notifié sur le champ par le Procureur de la République près le Tribunal de 1ère Instance d’Abidjan, Monsieur Koffi Kouadio Simplice, lequel procéda immédiatement à la vérification d’identité et à «l’arrestation» du Président. Ce dernier fut informé des incriminations qui lui sont imputées ainsi que de ses droits prévus par l’article 55 du statut de Rome.

    Il convient de souligner que l’arrestation d’un Président de la République ou d’un ancien président de la République, lequel est membre de droit du Conseil constitutionnel, ne peut se faire que sur autorisation de la Commission d’instruction près la Haute Cour de Justice, le Procureur de la République n’étant nullement habilité à opérer une telle démarche, aux termes de la Constitution ivoirienne du 23 août 2000 et de la Loi n° 2005-201 du 16 juin 2005 portant statut d’ancien Président de la République, d’ancien Chef ou Président d’institution nationale et d’anciens membres du gouvernement.

    Naturellement, les cinq (05) avocats présents et confirmés par le Président Laurent Gbagbo n’eurent d’autre choix que de plaider, la Chambre d’accusation ayant catégoriquement refusé tout renvoi, n’accordant à la défense que quinze (15) minutes pour consulter le dossier avant les plaidoiries.

    A l’examen, il est apparu que l’Accord de coopération entre la Cour pénale internationale et l’Etat de Côte d’Ivoire ne figurait pas dans le dossier. Les avocats n’avaient donc pas pu prendre connaissance dudit Accord, ce qui constitue une violation inadmissible des droits de la défense. La Chambre d’Accusation donnera finalement un avis favorable au transfèrement du Président à la Cour pénale internationale, rejetant à l’occasion et toujours sur le siège la demande de liberté provisoire présentée par les conseils du Président.

    Toutes les recommandations prévues par le Statut de Rome et qui garantissent les droits de la défense étaient royalement ignorées. Après le retrait de la Chambre, le Procureur Général près la Cour d’Appel d’Abidjan, Monsieur Ibrahima Fofana, demanda au Président de décharger la notification de l’Avis qui venait d’être rendu sur le transfèrement. Les Avocats s’y opposèrent, exigeant de voir la décision, laquelle n’était naturellement pas disponible. C’est ainsi que le Président Laurent Gbagbo, dépité par cette mascarade judiciaire, trancha en ces termes : «Maîtres, laissez-moi signer…Tout cela est politique».

    L’Homme était visiblement exténué, déçu et dégoûté de tout cela. La maxime selon laquelle «la plus éloquente des plaidoiries se brise immanquablement sur le récif d’un dossier partisan» venait d’être encore confirmée. Les Avocats n’auront finalement que quelques petites minutes pour parler au Président, les conditions sécuritaires donnant tous les prétextes pour arracher la proie à ses défenseurs impuissants et sans arme. Ils ne furent même pas informés de l’immédiateté du transfèrement, et c’est ainsi que celui qui présidait aux destinées d’une grande nation, la Côte d’Ivoire, avait été embarqué sans même avoir eu la possibilité de s’armer de sa paire de lunettes.

    L’Homme était emporté dans le noir, le droit élémentaire d’écarquiller les yeux pour essayer de percer l’obscurité lui étant refusé. Nous sommes incontestablement à la croisée du droit national et du droit international, à l’intersection des illégalités et de l’Arbitraire."



    Par Maître Ciré Clédor Ly, Avocat au barreau de Dakar, membre du collectif des avocats du président Gbagbo
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    Kaagn

    En Août, 2014 (16:15 PM)
    Papa avait dit à maman que j'ai bien travaillé, allez maintenant dire à papa de faire son fameux wax waxéét. Peut être ke macky aura pitié de moi. Prézi balma danéél baay ba paré teuthie doom
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    Diop

    En Août, 2014 (16:21 PM)
    Kaolack : la perpétuité confirmée pour le voleur de Me Madické Niang

    Le ressortissant guinéen accusé d’avoir tenté de soutirer la mallette, le téléphone portable et d’autres objets de valeur et causé des blessures à l’ancien ministre Me Madické Niang et à son épouse a été condamné, lundi par la Cour d’assises de Kaolack (centre), aux travaux forcés à perpétuité.
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    Djiban

    En Août, 2014 (16:28 PM)
    Que Karim convoque ses avocats ou il veut pour nous les vrais Sénégalais, je ne parle pas des Sénégalais Satan pour nous Karim Wade a volé l'argent de notre pays qu'il ramène notre argent ou il meurt en prison, pour de bon les Sénégalais Sataniques disent que le Président a une fortune peine perdue quand le Président était dans l'opposition si Wade avait une preuve à son temps il allait le mettre en prison le jour ou il était convoquer au Commissariat central tout simplement Wade n'avait pas de preuve contre Macky alors vous les mauvais Sénégalais fermez vos gueules de Satan. D'ailleurs si c'est vrai il ne sera pas poursuivi puisqu'il y a une loi voté qui protège le président s'il n' y avait pas cette loi le grand mafieux serait en prison depuis longtemps le grand mafieux est Wade
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    Zeus

    En Août, 2014 (16:30 PM)
    Le ressortissant guinéen, qui travaillait comme employé de maison chez le ministre des mines du défunt régime libéral, avait soustrait, le 31 juillet 2004 vers 20 heures, l’arme factice du gardien avant de s’introduire dans la chambre à coucher de Me Niang pour essayer d’y voler une mallette, un téléphone portable et des bijoux. Me Madické Niang se trouvait avec son épouse, dans la chambre. Il avait résisté à son domestique et avait eu, au cours de la bagarre, des blessures confirmées par le certificat médical attestant de 45 jours d’incapacité temporaire de travail. Désarçonné par les cris, les appels au secours de Mme Niang, l’accusé avait jeté l’arme et la mallette avant de sauter par la fenêtre. Amadou Tidiane Kanté, qui détenait par devers lui une carte d’identité nationale sénégalaise en son nom, a été appréhendé quelques heures plus tard au marché Nguélao, dans la cantine d’un de ses proches. C’est ainsi que le ministre des Mines d’alors a déposé une plainte au commissariat de Dieuppeul, expliquant que son domestique a fait irruption dans sa chambre. Il l’a tenu en respect avec un pistolet lui réclamant sa mallette, son téléphone portable et les bijoux de sa femme. Toutefois, devenu ministre de la Justice au moment de la tenue de la Cour d’assises de Dakar du 16 novembre 2009, le plaignant Madické Niang avait accordé son pardon à son domestique et s’était désisté de la constitution de partie civile. ''Les faits sont très simples, l’accusé, un jeune nourri, blanchi, logé et payé par sa victime les a toujours reconnus'', a relevé l’avocat général, Cheikh Bamba Niang qui a souligné que les étrangers doivent respecter les normes établies dans les pays d’accueil. M. Niang, qui a demandé la confirmation du jugement rendu par la Cour d’assises de Dakar, a dit que Amadou Tidiane Kanté ''a remis en cause un travail légal pour emprunter’ les sentiers sinueux de la délinquance''. ‘’Mon client a certes trébuché, tenté qu’il était par le diable comme ce fut le cas avec les enfants de Me Madické Niang qui ont fait la bamboula dans Dakar avec de l’argent pris chez leur papa’’, a souligné l’avocat défenseur, Me Bamar Faye qui a relevé une disproportionnalité entre les faits et la sanction. ''Même la partie civile lui a pardonné, par conséquent, faites fi de l’article 367 du code pénal et accordez-lui des larges circonstances atténuantes'', a plaidé Me Faye qui a souhaité l’infirmation du jugement de Dakar. DEAL POUR ASSURANCE UN MONTAGE!  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">  

    Repondre   <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">  
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    Desert

    En Août, 2014 (17:34 PM)
    a popenguine aussi y a des voleurs les gendarmes ne bougent pas sont ils complices
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    Djibo

    En Août, 2014 (07:33 AM)
    quoi,, sindieli wade a fait une mediation penale et rembourser largent du fesmann dapres arona coumba ndoffene diouf sur son article dans leral .net il faut que abdoulaye balde aussi rembourse comme karim wade aussi et tous les autres voleurs
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    Rima

    En Août, 2014 (10:57 AM)
    macky le méchant, le rancunier, le président par erreur nous te ............................................
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    Auteur

    Djiban

    En Septembre, 2014 (15:03 PM)
    Si Karim ne veut pas parler le procureur le met à l'isolement tant qu'il ne parle qu'il laisse la bas . Enfant gâté il pense que le Sénégal est une propreté privée de son père .

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