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Ça se corse pour le gouvernement sénégalais au niveau international. Après les poursuites judiciaires enclenchées par l’avocat français d'Ousmane Sonko, Me Juan Branco, qui a saisi la CPI et les juridictions françaises, un collectif de Sénégalais établis au Canada a écrit au Premier ministre canadien.
![[Photos-Vidéo] Marième Faye Sall, Khalifa Sall et Augustin Tine chez Yakham Mbaye](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//82bd8bbf2158716b4c15a221a7141d12ef5809dd.jpg)
Le monde politique a ses secrets et ses codes connus de ses seuls acteurs.
«Abou dini wa Taqwa». C’est en ces termes que Serigne Babacar Sy dans un de ses hommages, a rendu El Hadji Omar Tall (1764 et 1864). C’est pour attribuer à cette figure emblématique son rôle central dans la consolidation de l’Islam au Sénégal. Pour le successeur d’El Hadj Malick Sy, si on devrait attribuer le qualificatif de «Pére de la religion» islamique au Sénégal, ce serait sans doute El hadji Omar Tall. Au Sénégal, la Tijaniyya s’est en effet propagé grâce à l’action et les connections réussies par El Hadj Omar Foutiyou Tall (1797-1864).
Me Oumane Ngom et Djibo Leïty ka sont de parfaits jumeaux, tous les deux des virtuoses de la tortuosité. Le 10 octobre 2016, nous avons dédié une contribution au premier, pour rappeler à nos compatriotes qui il est vraiment. Celle-ci s’inscrit dans la même perspective : elle remonte en surface le vrai visage du second, un visage hideux si on devait le qualifier. Elle passera en revue les épisodes de la longue « odyssée » politique de « l’homme du 14 mars 2000 ».
Fayil est certes un village enclavé mais très ouvert au christianisme. On peut s’y rendre facilement à partir de Diouroup (15km), Ndiongolor (10km), Ndioudiouf-Sowane (6km 10). La cérémonie d’inauguration de sa chapelle nouvellement agrandi nous sert de prétexte pour ouvrir une fenêtre sur quelques étapes du parcours évangélique de cette vieille chrétienté qui a su résister au temps et aux aléas climatiques.
Aujourd’hui, j’ai 45 ans. Je n’ai pas à me plaindre de ce que Dieu dans sa magnanimité m’a donné depuis cette nuit où je suis né à l’hôpital Abass Ndao. Je n’en retiens que les hommes et les femmes que j’ai croisés et qui m’ont toujours couvert d’affection. Je les remercie pour leur sollicitude, surtout lors de l’épreuve que je viens de traverser. Voici, en exclusivité, les pages que je leur ai consacrées dans « Ces goulots qui étranglent le Sénégal », mon livre qui paraît à Paris dans les prochains jours.
Le passage de Me Abdoulaye Wade à Abidjan n'en finit pas de laisser des traces. Selon des sources dignes de foi, l'actuel coordonnateur du Parti démocratique sénégalais (Pds), Oumar Sarr a été au centre du mini- Comité directeur présidé par le Pape du Sopi, sur les bords de la Lagune Ebrié. Le cas Oumar Sarr se décline en termes très clairs qu'EnQuête avait d'ailleurs ébruités. On le soupçonne de collision avec...l'adversaire à travers la passerelle... trotskiste.
Ousmane Ngom, Mbaye Ndiaye, Aïda Ndiongue et Lamine Faye feraient l’objet d’une enquête de la Division des Investigations criminelles (Dic) concernant leur patrimoine. Selon la radio Sud fm qui a donné l’information, les banques et autres institutions financières ont été même sollicitées. De sources très proches de l’enquête, la Dic a envoyé des réquisitions auprès de celles-ci. « La réponse est attendue pour boucler le dossier d’enquête de ces 4 personnalités de l’ancien régime », indique le journaliste de Sud Fm qui confie que « l’ancien ministre de l’Intérieur doit justifier l’octroi de certains marchés publics, tout comme Mbaye Ndiaye, Aïda Ndiongue et Lamine Faye, neveu et garde du corps de l’ancien Président Wade. Ce dernier, en particulier, aura fort à faire pour prouver le patrimoine qu’on lui attribue (immeubles, terrains, entre autres). Idem pour Mbaye Ndiaye, ancien patron des Aéroports du Sénégal (Ads), déjà sous le coup d’un mandat de dépôt pour complicité dans le dossier qui a conduit Karim Wade en prison. Il doit, lui aussi, s’expliquer sur son patrimoine immobilier composé de villas, de terrains aux Almadies ». Notre source affirme que « ses relations avec des fournisseurs feraient l’objet d’interrogations de la part des enquêteurs de la Dic ».
La presse quotidienne ne semble se lasser de la question de la traque des biens présumés mal acquis, un sujet que les quotidiens parvenus mercredi à l'APS continuent de mettre grandement en exergue en partant de perspectives nées de la mise en demeure adressée à Karim Wade sommé par la justice de justifier l'origine licite de ses avoirs. Vendredi dernier, le procureur spécial près la Cour de répression de l'enrichissement illicite (CREI)
La Division des Investigations criminelles (Dic) de la police est entrée de plein pied dans la traque aux biens mal acquis, jusque-là confiée à la Section de Recherches de la Gendarmerie nationale. Après l'arrestation du sieur Alioune Aïdara Sylla, un présumé porteur de valises de l'ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade, la Dic compte auditionner six (6) gros calibres de l'ancien régime, selon le quotidien Enquête.
Selon Libération lu par Léral.net, le procureur spécial près de la Cour de l'enrichissement illicite a saisi la Direction de la police judiciaire aux fins de vérifications des patrimoines des anciens dignitaires de l'ancien régime. Selon le journal, sont visés l'ancien ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur Me Ousmane Ngom, l'ancien ministre de la Justice , Garde des Sceaux, Cheikh Tidiane Sy mais aussi Modou Diagne Fada. Enfin la quatrième figure de l'ancien régime placé dans le collimateur du Procureur spécial est Lamine Faye, le garde du corps et neveu de l'ancien Chef de l'Etat.
Moins d’un jour après la proclamation provisoire des résultats aux législatives de 2012 qui lui octroyaient 12 députés (9 sur la liste nationale et 03 sur la majoritaire), le Parti démocratique sénégalais donnait un nom à son groupe parlementaire. Celui-ci se nomme, dans la nouvelle législature, « Groupe des démocrates et libéraux », selon Modou Diagne Fada qui se prononçait en marge du Comité directeur de la formation libérale, tenue ce jeudi 05 juillet.
Un neveu du ministre de l’Intérieur, Me Ousmane Ngom, du nom de Cheikhouna Touradou Ngom a été arrêté pour le vol d’une voiture 4X4 à l’Agence Sénégalaise pour la Propriété Industrielle et l’Innovation Technologique(Aspit), où il travaille comme chauffeur. Selon le journal le Quotidien qui donne l’information, M Ngom a agi avec la complicité d’un agent de la police. Ce dernier serait actuellement recherché par la Gendarmerie de Colobane. Le neveu du ministre de l’Intérieur qui avait volé la voiture au mois de septembre, l’a vendue quelques temps après. Le Quotidien souligne que, le chauffeur, présumé voleur de voiture est actuellement mis aux arrêts par la gendarmerie de Colobane.
Près de deux mois après le décès de l’épouse de Haj Mansour Mbaye Adja Ndèye Anta Dieng, Idrissa Seck accompagnée d’une forte délégation comprenant Youssou Diagne, Bathie Gadiaga, Ndèye Maguette Dièye, Yankhoba Diattara, Samba Bathily, Khadim Samb... a été l’hôte du Parrain des Communicateurs traditionnels. Il était venu lui présenter ses condoléances.
Malgré la douleur et la tristesse qui entouraient la rencontre, Youssou Ndour était la vedette du jour au domicile de El Hadj Mansour Mbaye qui vient de perdre une de ses épouses, Mme Adjaratou Ndèye Anta Dieng, habitant aux Hlm 5.
Le camp du Pm affolé accuse le ministre Farba Senghor et investit la presse Le camp adverse ramasse les cartes des électeurs et fait bloc contre le Pm Le département de Guinguinéo a-t-il basculé du côté des mécontents du Premier ministre, Me Souleymane Ndéné Ndiaye? Tout laisse à le faire croire. Depuis quelques jours, les alliés du Premier ministre multiplient les points de presse et sillonnent tout le département, à coups de billets de banque, pour faire revenir, en vain, tous les principaux responsables et militants qui se sont détournés de lui.
Dans la mythologie wadienne, Maître est présenté sous les traits d’un travailleur infatigable, qui sort très tard de son bureau et n’hésite pas à appeler ses collaborateurs à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Le 1er avril 2000 (n’était-ce d’ailleurs pas un poisson ?), lors de sa prestation de serment, il exhortait le peuple « à travailler, encore travailler, toujours travailler ». Lui-même ou ses soutiers ne manquent pas d’occasion pour nous servir cette fable destinée à faire briller la couronne de sa Majesté, s’ils n’ont pas, qualifié ses prédécesseurs de fainéants : « En quarante ans, ils n’ont rien fait ».
NETTALI.NET - L’émotion était à son comble à l’occasion des retrouvailles entre Cheikh Tidiane Sy, le guide spirituel des moustarchidines et Serigne Mansour Sy « Borom Daaradji », khalife général des tidianes, lors des obsèques du rappel à Dieu de Sokhna Safiétou Dème, épouse du premier nommé. Pour cause de maladie, tous deux n’avaient été présents à la cérémonie à Tivaouane. Son père absent, Serigne Moustapha Sy qui avait à ses côtés son oncle Papa Malick Sy était chargé de recevoir les personnes ainsi que les délégations venues assister aux obsèques. De son côté, le khalife général des tidianes était représenté par Serigne Abdoul Aziz Sy Junior.
Ousmane Ngom nous a fait l’indigne honneur de porter dans ses mains ce que le wadisme a de plus répugnant. L’opposition a toujours voulu sa tête, la rue vient de l’obtenir. S’il y a quelque chose de bien dans le dernier réaménagement du gouvernement, c’est le départ de ce monstre. Son éviction du ministère de l’Intérieur, conduite toutes lampes éteintes, rappelle à tous égards le limogeage de Jean Collin. Au moment de signer le décret, Abdou Diouf s’était enfermé avec son assistante dans son bureau, après avoir demandé à son épouse Élisabeth de surveiller la porte d’entrée. La nouvelle avait couru toute la nuit sous la forme de rumeurs, avant de se confirmer.
Ceux qui espèrent la fin du thriller Wade-Seck vont bientôt fermer leur SOS et vaquer à leurs occupations « campagnales ». Malco Seck, le « linge sale » de la Wadésie, ne sauvera pas son « père » du naufrage. Dans ce scénario plein d’intrigues, c’était ou l’un ou l’autre. Ce sera maintenant et l’un et l’autre. Jusqu’au dernier moment, maître Abdoulaye Wade a tenu au pouvoir comme à la vie, en répétant inlassablement la même chose, « il faut venir, je vais te donner le parti et l’Assemblée nationale ». En général, quand il a le visage aussi enjoué, il a des lames de rasoir dans le caquet. Eh bien ils sont forcés à un duel que nous allons arbitrer.
