Ce texte se veut un brin provocateur. Certains, en s’arrêtant au titre, monteront peut-être sur leurs grands chevaux et crieront à l’outrage. Comment peut-on comparer, diront-ils, l’homme de culture et de lettres qu’est Senghor, premier agrégé de grammaire africain, membre de l’Académie française, père du Sénégal indépendant, qui consacra 30% du budget de l’État à la culture et qui voulut faire du développement pour et par la culture, au chanteur Youssou Ndour, promoteur d’un genre musical, le mbalakh, pour lequel les « puristes » peinent à comprendre la rythmique particulière ? Les faits sont pourtant là, parlants : en termes de rupture, de signifiants symboliques, de retour à soi et de changement de paradigme culturel, Youssou Ndour a fait plus que Senghor.
Nous espérons qu’avec l’argumentaire présenté ci-dessous, il tombera sous les sens pour tous que nul mieux que Youssou Ndour n’est mieux préparé pour diriger un ministère de la culture au Sénégal. Nous espérons, qu’après lecture de ce texte, le « fétichisme des diplômes » autour duquel semble tourner le débat sur la nomination du chanteur, va être relativisé.
Enracinement contre assimilation
Quasiment tous les chercheurs qui ont étudié Léopold Sédar Senghor parlent de lui comme d’un être de contradictions. S’il a été un maître des formules heureuses (« Le Rendez-vous du donner et du recevoir », « la civilisation de l’universel », etc.), il s’est également fait remarquer par des actes et des déclarations controversés. Son ancien conseiller et ami Jean Rous disait d’ailleurs de lui que, suivant l’option prise, on peut le critiquer ou le louer. Le fils de Gnilane et de Diogoye Basile était en effet celui qui, d’un côté, pouvait être un fervent défenseur des langues nationales, oeuvrant même ardemment pour leur codification, mais qui, de l’autre, tenait fermement à la langue française, laquelle apparaissait à ses yeux, comme celle qui exprime le mieux la « syntaxe de la raison » et qui, fait remarquable pour lui, est une « langue de gentillesse et d’honnêteté, une langue de clarté et de rigueur ».
Ses épanchements amoureux envers cette langue ont été si intenses qu’il n’hésitait pas à donner, in situ, des leçons de grammaire à des ministres de la République ou à de simples commis de l’État. De même, il a fortement contribué à la naissance de la francophonie en concevant une politique de la langue française dans le monde.
Sa conception de l’éducation est également discutée. Alors que l’école a été le principal moyen de diffusion de « l’œuvre civilisatrice » de la France parmi les colonisés, Senghor a maintenu l’orientation française des programmes scolaires, même si un contenu africain, sénégalais, devait y être promu. Le fait notoire était qu’entre les programmes scolaires sénégalais et français, il n’y avait guère de différence. L’helléniste invétéré qu’il était, peu friand de technologie, ne pouvait souffrir l’absence des classiques de l’antiquité grecque : « Je n’avais que mépris moi helléniste inconditionnel pour les techniciens et autres matheux ». À cela s’ajoute le fait qu’en contexte senghorien, les œuvres de bon nombre d’auteurs occidentaux devaient avoir une place de choix dans les bibliothèques. Ne pas s’imprégner de la pensée du père Teilhard de Chardin, de Maurice Blondel ou encore de Léon Bourdel, pouvait être perçu comme un crime contre l’étiquette et une marque d’inculture. Senghor a été en ce sens le continuateur d’un système d’acculturation aux dommages multiples et profonds. Le zèle mis d’ailleurs à transmettre la culture occidentale a conduit certains auteurs à parler de lui comme d’un « dictateur culturel » (Arthur Conte, Les dictateurs du XXe siècle, Robert Laffont, 1992).
Si pour lui, il fallait plonger aux racines de la race noire et y bâtir une culture, il ne fallait pas renier complètement la politique d’assimilation qui se donnait pourtant comme mission de faire des indigènes des Français à part entière. « Tout n’était pas mauvais, reconnaissait-il, dans cette politique [de l’assimilation] ».
Il en est autrement de Youssou Ndour. Le Roi du mbalakh a véritablement opéré une rupture d’avec une ère d’aliénation musicale. Il fut en effet au Sénégal un temps où faire de la musique rimait avec reprise de sonorités venant d’Occident ou de Cuba. Chanter en français ou en espagnol était la marque du bon vocaliste et du mélomane averti. C’était l’époque où les influences de Tino Rossi, de Monguito « El Unico », d’Abelardo Barroso, de Tito Gòmez, de Johnny Pacheco et autres Benny Moré, se faisaient sentir sur la scène musicale dakaroise. On s’extasiait de la reprise à la perfection par le Star Band ou le Super Star de tubes tels que « La Biciclita », « El Divorcio », « El Manicero », « Los Carreteros » et cette ode à une villageoise de la campagne cubaine, « Sitiera », joué sur un bon air de guajira et qui n’avait rien à envier à l’original de Rafael López.
Bien qu’il ait au début suivi le pas, Youssou Ndour a su emprunter le chemin de vocalistes tels que Mame Cheikh Kounta et Aminata Fall qui ont opté pour les langues nationales. Il a jeté son dévolu sur les sonorités locales, le mbalakh en particulier, qu’il a su porter au summum de l’art musical, réconciliant, d’une certaine façon, une grande partie de la population sénégalaise avec ses propres rythmes traditionnels.
Youssou Ndour incarne ce moment du réel musical sénégalais, travesti par des influences étrangères, où une cassure profonde mais salutaire s’est opérée, libérant l’énergie créatrice pendant longtemps inhibée qui permit de remettre au goût du jour les sonorités du terroir. Il est donc en un certain sens un anti-Senghor. Si ce dernier a trouvé des bienfaits dans l’assimilation culturelle, la prise de conscience musicale de L’enfant de la Médina a permis de réveiller beaucoup d’artistes de leur sommeil mimétique musical. Youssou Ndour a opéré une sorte de « renversement copernicien » dans la musique et a montré qu’il était possible, après avoir contribué à son enracinement, à faire aimer le rythme ternaire du mbalakh dans un monde dominé par les rythmes binaires. Il a donc, d’une certaine manière, réussi à mettre en pratique ce qui n’était que simple formule chez Senghor : « Enracinement et ouverture ».
Youssou Ndour y est pour beaucoup si aujourd’hui en milieu anglosaxon, on s’extasie devant le Senegalese talking drum, appellation usitée pour désigner le volubile Tama, ou que les sons entraînants du Mbeung-Mbeung retentissent aux quatre coins du globe. Si aujourd’hui la sauce du mbalakh s’assortit sans heurt avec les préparations musicales étrangères au point que l’on parle de Zouk-Mblakh, de Salsa-Mblakh, de Rap-Mblakh, de Rock-Mbalakh, etc., c’est que sa cuisson musicale à base d’ingrédients locaux a été bien réussie.
Cuisine sénégalaise contre cuisine alsacienne
En donnant à lire l’ouvrage, La cuisine de ma mère (Éditions Minerve, 2004), un récit dans lequel il livre les recettes savoureuses de sa mère Sokhna Mboup, Youssou Ndour amène les lecteurs à apprécier le savoir-faire culinaire d’une bonne frange des Sénégalais : mafé, yassa poulet, thieboudieune, thiacri, accras, etc. Tout ou presque y est donné. Par ce compte rendu anecdotique, Youssou Ndour a contribué de façon magistrale à la promotion de l’art culinaire sénégalais, partie intégrante de la culture du pays. Les symboles étant importants dans le domaine culturel, son message aura été clair : la cuisine sénégalaise n’a rien à envier aux autres pratiques culinaires.
Senghor, c’est un secret de polichinelle, avait un cuisinier alsacien. Quel message le père de la nation sénégalaise a-t-il voulu envoyer à son peuple en recourant aux services d’un cuisinier français? Que le cassoulet, la choucroute alsacienne, la bouillabaisse, etc., sont meilleurs que les plats constitutifs du menu culinaire sénégalais ? Peut-être pas. Mais le fait est qu’en termes de promotion et surtout de rupture sur le plan culturel, l’enfant de Ndèye Sokhna Mboup l’aura emporté de beaucoup sur le fils de Gnilane Bakhoum.
Dakar contre Verson
Si Senghor a décrit avec un talent inégalé les péripéties de son royaume d’enfance à Joal et les joies de la nature africaine, c’est dans la commune de Verson en France qu’il a passé les vingt dernières années de sa vie. C’est dans cette ville qu’il a, en 1994, inauguré l’Espace Senghor qui abrite la bibliothèque municipale et la salle « Djilor » (du nom de son village natal) où est conservé le « Fonds Senghor », collection d’ouvrages, de discours, de revues, de coupures de journaux, d’objets d'art de l'Afrique de l'Ouest, de fresques et de photos en lien avec lui.
Ce n’est donc pas à Djilor à Joal que l’auteur de « Nuit de Sine » s’est retiré et où se trouve le « Fonds Senghor », mais bien à « Djilor » à Verson!
Senghor peut cependant, en un certain sens, être excusé. C’était un amoureux qui avait déclaré sa flamme à la France : « Seigneur, parmi les nations blanches, place la France à la droite du Père…. ». Il nous a dit pourquoi : «…Car j’ai une faiblesse pour la France. ». On peut seulement regretter qu’en dépit de ce flot de débordements affectifs, les autorités françaises n’aient pas jugé important d’écourter leurs vacances pour assister à ses funérailles.
En culture, les modèles et les symboles sont importants. C’est ce qu’a manifestement compris l’auteur de la chanson « Médina », qui a décidé d’investir dans sa ville de naissance, Dakar. Alors qu’il pouvait obtenir le passeport français sur un plateau d’argent et côtoyer les plus grands « requins de studios » à Paris, c’est dans la ville de Dakar que Youssou Ndour a construit son studio musical et où viennent le trouver les meilleurs musiciens et producteurs du monde, contribuant ainsi à l’essor de l’industrie culturelle musicale. C’est également à Dakar qu’il a bâti son empire médiatique. En procédant de la sorte, il promeut la réussite locale et sert de référence à des millions de jeunes Sénégalais et Africains.
Pour un renouveau culturel. Message à Youssou Ndour
Cher You,
En vous confiant les rênes de la culture au Sénégal, le président Macky Sall vous a attribué une mission difficile, mais nous savons, d’après tout ce qui précède, que vous saurez dignement relever le défi. Permettez-nous de vous divulguer, humblement, la teneur des réflexions qui nous préoccupent depuis quelque temps.
Pour nous, cher You, le culturel précède l'économique. L’être humain doit d’abord être présent, réconcilié avec lui-même avant de penser à se vêtir et d’oeuvrer pour sa subsistance.
Le problème fondamental du Sénégal et de beaucoup de pays africains, n'est pas économique, il est d'abord ontologique. Notre être est sclérosé. Trop de fractures l'ont affaibli. C'est pourquoi, malgré tous les efforts consentis par les gouvernements précédents, il nous semble si difficile, encore aujourd'hui, de "coiffer cet être qui n'est pas là", pour reprendre une expression de feu le professeur Joseph Ki-Zerbo. Un énorme travail de fond, de retour à soi, doit être mené. À défaut de quoi, nous serons comme les Danaïdes, condamnés à remplir éternellement une jarre sans fond.
Un homme nouveau tout transformé par la "piqûre" d’une culture ragaillardie, puisée dans notre plus profond, doit surgir, qui saura mettre à exécution tout programme économique pour le bénéfice du pays. Bala nga naan naam nefa, dit le proverbe wolof. Oui, ne peut agir efficacement que celui qui est d’abord réconcilié avec lui-même.
Pour qu'il y ait un « Boom Izanagi » (du nom de la forte croissance du Japon des années 60) à la sénégalaise, il faut d'abord qu'il y ait un « Sakoku », cette introspection dans l’isolement qui permet la solidification et la réconciliation avec soi puis l'ouverture vers ce qui se fait de mieux à l'extérieur. Est prêt pour le décollage économique celui qui l’est déjà culturellement.
Voyez-vous cher You, la culture que nous appelons de nos vœux, ne se limite pas aux beaux-arts, à la musique, au théâtre, etc. C’est la culture comme essence de l’homme. Comprise comme cela, tous les ministères participent, d’une certaine manière, à l’effort de culture.
La culture, c’est ce qui fera de nous des êtres fiers, sans complexe aucun. C’est cet élan qui puise le meilleur du tréfonds de notre être et qui nous pousse à aller de l’avant, à passer de réalisations en réalisations.
N'est-ce pas d’ailleurs cela, la meilleure définition du slogan de campagne du président Macky Sall : "Yoonu Yokute" (« Le chemin pour aller de l'avant »). Mais ce chemin, c'est nous-mêmes qui devons en définir les contours. Si le cou du lion est devenu épais, a dit un mystique du XIIIe siècle, c'est que le lion s'est bien occupé de son cou.
Nous avons de bonnes raisons de garder espoir avec vous, cher You, car après les retournements opérés dans les domaines de la musique, des affaires, de l’art culinaire, etc., nous savons que vous saurez mettre à exécution cette énième tâche : être culturellement fort pour être économiquement riche.
91 Commentaires
Balo
En Septembre, 2013 (20:18 PM)Tourismedanseau
En Septembre, 2013 (20:22 PM)Manquer Sall
En Septembre, 2013 (20:22 PM)Ndiyam
En Septembre, 2013 (20:24 PM)Mdr
En Septembre, 2013 (20:33 PM)John
En Septembre, 2013 (20:33 PM)Dlamini
En Septembre, 2013 (20:37 PM)Max
En Septembre, 2013 (20:38 PM)Je Pense
En Septembre, 2013 (20:39 PM)Ish
En Septembre, 2013 (20:39 PM)ayez pitiez de nos yeux way.
merde ca devient de la torturation a la fin
Ali
En Septembre, 2013 (20:44 PM)Gollal
En Septembre, 2013 (20:45 PM)Titen
En Septembre, 2013 (20:45 PM)Domou Rewmi
En Septembre, 2013 (20:46 PM)Mane Moussa Simbandi Brassou
En Septembre, 2013 (20:49 PM)Merci Jepense
En Septembre, 2013 (20:57 PM)Ibture
En Septembre, 2013 (20:57 PM)Dj. S.
En Septembre, 2013 (20:58 PM)....
Maristes
En Septembre, 2013 (20:59 PM)Merci
Djolof
En Septembre, 2013 (21:00 PM)gainde nga ba sanguo souf yal na yague
Diomji
En Septembre, 2013 (21:10 PM)Waynd
En Septembre, 2013 (21:15 PM)Lune
En Septembre, 2013 (21:18 PM)Jsenegal
En Septembre, 2013 (21:25 PM)Deugg Gui
En Septembre, 2013 (21:27 PM)Quoi?
En Septembre, 2013 (21:28 PM)Diop
En Septembre, 2013 (21:35 PM)Rachel Maddow
En Septembre, 2013 (21:40 PM)Paul
En Septembre, 2013 (21:44 PM)Petitcon
En Septembre, 2013 (22:19 PM)Rootsman
En Septembre, 2013 (22:19 PM)Chretien
En Septembre, 2013 (22:22 PM)Usa
En Septembre, 2013 (22:24 PM)Ibou Ngaté
En Septembre, 2013 (22:27 PM)@ibou
En Septembre, 2013 (22:47 PM)Le Claire
En Septembre, 2013 (23:21 PM)Encore faut il que vous relisiez Senghor car a vous lire, vous ne l'avez pas compris car tout senghorien averti sait que quand Senghor disait " la raison est hellene l'emotion est negre" c'etait c'etait une reaction poste guerre mondiale. Et donc Senghor voulait faire savoir de manniere ironique que c'est parce que les Europeens n'etaient pas des etres d'emotion comme les africains, ils se sont entretues. Conclusion: La raison n'a pas ete raisonnable comme on le croyait.
Juniors
En Septembre, 2013 (23:43 PM)Article
En Septembre, 2013 (00:39 AM)Realité
En Septembre, 2013 (00:41 AM)M Sall
En Septembre, 2013 (00:42 AM)Le paragraphe consacré à la cuisine de Senghor est faux, me semble t-il. Je connaissais le cuisinier de Senghor, c'était un sénégalais, un sérère très bon teint, qui allait en mission avec lui partout dans le monde (plus de 90 pays en moins de vingt ans). Il était toujours présent à ses côtés et lui servait de la nourriture africaine en général ou sénégalaise en particulier. Après le départ de Senghor, ce cuisinier nommé Diouf s'était installé à Lille dans le Nord de la France où il avait ouvert un très bon restaurant sénégalais. Tous les sénégalais de Lille le connaissaient.
Quant aux références littéraires occidentales de Senghor, c'était de la création littéraire, c'est tout! Et d'ailleurs si on mettait tout sur les plateaux de la balance, je ne suis pas sûr que ces références là l'emporteraient sur les références africaines ( Quel sacrilège! - soit dit en passant, car il sera à jamais impossible de quantifier une sensibilité artistique. Cependant disons que c'est une image employée à dessein et destinée à servir l'expression spontanée, immédiate). Alors pourquoi est-on si injuste à l'égard de cet homme qui a lutté avec les ressources de son époque et qui au soir de sa vie et a demandé à être humblement enterré au bord de l'Atlantique, dans son pays natal ? Je pense qu'on n'est pas toujours de bonne foi, en ce qui le concerne malheureusement. Moi il m'arrive de le lire encore maintenant et je trouve qu'il est tout simplement un génial écrivain doté d'une âme incandescente profondément enracinée dans les vibrations de la terre sénégalo-malienne. M SALL
Momo
En Septembre, 2013 (00:46 AM)Diop
En Septembre, 2013 (02:20 AM)You un self man qui a reussir partout vous emmerde avec votre interlectuelle de merde
Abit
En Septembre, 2013 (02:28 AM)bande de cons !!!! tu as beau besoin de son argent , certes , mais ne nous y melez pas avec tes conneries.
Zzzz...
En Septembre, 2013 (02:57 AM)Mais comme tous les moyens sont bons pour se faire remarquer ...
Tout de meme triste !!!
Yessssss
En Septembre, 2013 (03:03 AM)Pai
En Septembre, 2013 (04:15 AM)Et, tous ceux qui ont ecrit en arabe avant Senghor,qu'est ce qu'on en fait? Les Cheickh Ahmadou Bamba, Ahmadou Mocktar Sakho, El omar,Cheickh Alioune thaim,ou bien meme Cheikh Moussa Ka qui a si bien su manipuler l'arabe pour exprimer le wolof?
Fof
En Septembre, 2013 (04:34 AM)Fma
En Septembre, 2013 (07:52 AM)Axmad Vinvent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:03 AM)BAS LES MASQUES À NDUMBELÀN !
Pour des raisons évidentes, je passe outre le contenu de ce torchon insipide dont j’exhorte l’auteur à lire les lignes qui vont suivre. Puisse-t-elles lui ouvrir les yeux à jamais !
Après avoir avoir été artisan de ce régime défait, Macky dirige un pays où tout tourne autour de l’argent et de la luxure avec leurs corollaires : corruption, viols, pédophilie, mariages d’homosexuels, attentats à la pudeur, prostitution, chantage, népotisme, trahison, règlements de comptes, meurtres, liquidations politiques, menaces, vengeance, banalisation et recours systématique de la violence, tripatouillage de la Constitution, manipulations de l’opinion, etc. Bref, nous avons là tous les ingrédients d’un CHAOS SOCIÉTAL.
À SUIVRE ‘IN CHA’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:06 AM)Macky a dû choisir entre : gérer le chaos qu’il hérite en feignant de tout changer pour que rien ne change ou bien s’engager avec courage dans la voie du Droit Chemin(Aç-Çiratu l-Mustaqiim) qui mène vers le Salut, quitte à se fâcher avec les initiés et tireurs de ficèles qui sévissent dans l’ombre.
C’est pour dire queYoussou Ndour, en tant qu’incarnation du chaos sociétal sénégalais, ne saurait être la solution.
POURQUOI ?
À SUIVRE ‘IN CHA’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:06 AM)Avec sa musique faite avec des instruments illicites (xaràm) Youssou Ndour a participé et continue de l’entretien du chaos socioétal. Donc, ipso facto il fut un allié objectif de Njonboor. Avec sa télé « culturelle », la crétinisation, la lobotimisation des masses et le lavage des cervaux auxquels s’emploient d’autres officines idéologiques (radios, journaux, sites web, etc.) continuent de plus belle. Tout compte fait, c’est Satan qui va se délecter davantage en regardant allègrement ses troupes se renforcer de plus en plus.
• Combien de personnes se sont-elles éloignées du Droit Chemin(Aç-Çiràtu l-Mustaqiim) et livrées à la débauche avec sa musique ?
• Combien de personnes ont-elles négligé les adorations (prières, etc.)et privilégié les interdits (dances et comportements obscènes et érotiques) avec sa musique ?
À SUIVRE ‘IN CHA’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:07 AM)• A-t-il conscience du nombre de jeunes qui, le prenant comme idole et exemple, vont se mettre à fumer des pétards et à boire de l’alcool comme lui qui a publiquement confessé de le faire?!
• Dans les années 80, il chantait : « bi l-Làhi xàlis nnxna xamna ci dara, suma ci ammon sàku du ma tere nélaw yày, du ma teré nelaw yày ». Est-ce que les casseroles de " xàlis", à l’instar des principaux hommes politiques sénégalais, qu’il traîne au détriment des nécessiteux l’empêchent de dormir ou pas, lui qui prétend défendre leur honneur et leur dignité ?
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:08 AM)Dès lors, on comprend pourquoi il a été fait Docteur Honoris Causa par l’université de Yale . C’est très étrange quand sait que cette Université qui est censée enseigner le droit abrite l'ordre secret de "Skull & Bones" (traduction mot à mot : crâne et os). Ses propres membres l'appellent "The Order" (l'ordre), tandis que d’autres l’appellent "Brotherhood of Death" (Fraternité de la mort).
Des rituels non recommandables, que d’aucuns qualifient de sataniques, sont pratiqués au sein de leur local qui se trouve au sein de cette université.
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:09 AM)En outre, le Times Magazine a fait récemment sa « Une » sur Youssou NDour. Bien entendu, cela contribue à le propulser comme un « modèle» à suivre pourle jeunes dont la préoccupation majeure est le lucre et la luxure. Évidemment, celaest loin d’être le Droit Chemin(Aç-Çiràtu l-Mustaqiim)
En effet, Dieu a dit dans le Coran honoré:
• [V.110 ; S. n°3] ce qui signifie : «Vous êtes la meilleure communauté qu'on ait fait susciter pour les hommes, vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez en Allàh »
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:09 AM)• « Jusqu’à quand vous abstiendrez-vous de mettre en garde contre le pervers ? Citez-le par ce qui est en lui afin que les gens s’en écartent ! »
• « Si tu vois ma Communauté redouter de dire à l’injuste :"Ô injuste ! ", alors s’en est finie pour elle ! »
• « Celui d’entre vous qui assiste à une chose blâmable, qu’il l’arrête de sa main ; s’il n’en est pas capable, qu’il l’arrête par sa langue ; et s’il n’en est pas capable, qu’il le rejette par son cœur : c’est le minimum qu’exige la Foi en cas d’incapacité ! » Xadiith rapporté par l’Imàm Muslim.
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:10 AM)"Nous avons dit Yà Rasuulu l-Làh, cette récompense sera en comparaison à nous ou à eux ? " Il répondit : ((en comparaison à vous. )) »
Xadiith rapporté et authentifié de sûr (çaxiix) par At-Tirmidhiyy dans son livre " Al-Jàmi^"
• « Il y aura parmi ma ‘Ummah (Communauté) des gens qui considéreront le vin, le porc, la soie [pour les hommes] et les instruments de musique (ma^àzif) comme étant licites. » Xadiith rapporté par Al-Bukhàriyy
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:10 AM)« Des gens de ma ‘Ummah (Communauté) consommeront du vin en lui donnant une autre appellation. Des instruments de musique seront joués devant eux, et des chanteuses [seront également présentes]. Allàh les ensevelira dans le sol et transformera certains d'entre eux en singes et en porcs. » Xadiith rapporté par Ibn Màjah.
Que dire de plus, si ce n’est que tout un chacun à n’importe quel échelon où il se situe, aura à rendre des comptes sur ses responsabiltés le jour du Jugement dernier.
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:11 AM)(( […] En réalité, une grande partie de cette fortune qu’il prétend posséder provient de financements souscrits au nom des nécessiteux. Avec l’ambitieux projet Jokko, il avait promis à chaque habitant de la Médina un ordinateur. Cela fait dix ans qu’ils attendent. Il est devenu, selon les mots d’un inspecteur du trésor, un spécialiste des faillites douteuses. Il y a eu la Saprom, ensuite Xippi Inc et le label Jololi, financé par le FPE, aujourd’hui Prince Arts, tenu par son frère. Tous ont été déclarés en faillite, abandonnant actif et le passif, alors qu’il y avait à la base des financements de plusieurs centaines de millions de francs. L’idée était de promouvoir la production locale.
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:11 AM)Entendons-nous bien, ce n’est pas le musicien talentueux qui est ici en procès, encore moins le patron de presse. C’est l’homme d’affaires sans scrupule et le politicien véreux qu’il est devenu. J’ai été, comme tout le monde, choqué par son abdication et son reniement.
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:12 AM)Je vais finir sur un dernier point, avec la promesse d’y revenir plus tard. Nous ne pouvons pas faire l’impasse sur les 1,3 millions de dollars dégagés par Benetton pour venir au secours des pauvres.
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:15 AM)Quand les responsables de Benetton ont accepté de financer le projet gratuitement, Youssou N’dour leur a dit qu’il l’appellerait Birima, du nom d’un Damel du Cayor. Ils lui ont demandé pourquoi. Il leur a expliqué que Birima était un homme qui tenait toujours parole ! )) Fin de citation de la chronique S. J. D. intitulée «Hey You! ».
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:15 AM)Le Messager de Allàh çalla l-Làhu ^alayhi wa sallam a dit parole :
(( kamà takuunuu walla ^alaykum )) qui signifie : «Tels que vous êtes, vos dirigeants sont.»
En d’autres termes, nos dirigeants nous ressemblent.
Ceux qui nous dirigent, à n’importe quel échelon de la société, ne sont que des miroirs qui reflètent ce que nous sommes !
Quand on voit ceux qui nous dirigent, nous avons vraiment du souci à nous faire !
« SAUVE QUI PEUT ! »
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:16 AM)La parole « sauve qui peut » d’une sagesse salutaire qu’il a dite en français, par Màm ^Abdu l-^Aziiz Si Ad- Dabàgh Màlik- que Dieu lui fasse méséricorde- avant son décès en 1997.
Màm ^Abdu l-^Aziiz Si Ad- Dabàgh Màlik- que Dieu lui fasse méséricorde- est connu pour son attachement à l’Islam, pour son refus face au type d’homme que Satan et ses acolytes de jinns et humains ont a voulu faire de lui.
Avec foi, dignité et patience, il s’est éloigné de ce modèle de société qui ne lui convenait absolument pas. Jusqu’à la fin de sa vie, il n’a point cessé d’intervenir sur des questions religieuses et sociétales (comportements et actes illicites -xaràm- dépravation des mœurs, etc.) si cela lui paraissait nécessaire, ne recherchant que l’agrément de Dieu.
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:16 AM)La parole « sauve qui peut » est une très forte exhortation à s’éloigner des pièges sataniques de cette vie d’ici bas ; pour se consacrer à la préparation de l’Au-delà. Cela consiste tout simplement à adorer Dieu selon ce qui est ENSEIGNÉ PAR LE CORAN ET LA SUNNAH tout en se gardant des mauvaises innovations (bid^ah sayyi’ah), de tous les extrémismes et du laxisme. C’est cela le Droit Chemin(Aç-Çiatu l-Mustaqiim)
Au début des années quatre-vingt, le Saint (al-Waliyy), le Savant ( al- ^Àlim) Màm ^Abdu l- ^Aziiz Ad- Dabàgh Màlik Si-que Dieu lui fasse miséricorde- a fait une déclaration pour fustiger la Franc-Maçonnerie. Après avoir parlé de la manière dont l’initiation maçonnique est faite, Màm ^Abdu l- ^Aziiz a en clairement déduit que la Franc-maçonnerie est incompatible avec à l’Islàm.
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:17 AM)Le saint homme a terminé en avertissant en ces termes :
« Si la franc-maçonnerie continue son évolution au Sénégal, notre pays connaîtra de plus en plus de difficultés. Et ni les gouvernements ni les guides religieux n’y pourront grand-chose. Il n’y aura qu’un seul recours : Dieu»
Est-il besoin de rappeler qu’en maître çuufiyy véridique, le Savant (^Àlim), le Saint(Waliyy), Chaykh ‘Axmadu Bàmba Mbacké -raxiimahu l-Làh- n’était ni attaché à la vie mondaine ni aux privilèges matériels et fastes aux origines douteuses voire illicites. Toute sa vie durant, il n’a cessé d’œuvrer pour l’Au-delà (Al-‘Àkhirah) et d’exhorter les gens à faire de même.
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:33 AM)Sëriñ Tuuba raxiimahu l-Làh - dont l’œuvre monumentale tant par la quantité que par la qualité, a consacré sa vie à l’adoration et à l’exaltation de Allàh ta^àlà, suivant ainsi les nobles traces du Prophète Muxammad çalla l-Làhu ^alayhi wa sallam.
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:35 AM)En effet, il est indéniable que ce que nous assistons de nos jours, dans cher pays le Sénégal-je le répète encore une fois- participe du chaos sociétal (dépravation des mœurs et des valeurs à tous les échelons) qui a commencé sous Senghor, s’est développé sous Abdou Diouf, a pris des proportions inquiétantes sous Njomboor qui l’a géré et entretenu en pire, de nos jours Macky suit leurs traces.
Que Dieu bénisse ceux et celles qui auront oeuvré en ce sens-là, afin que ce pays soit doté de dirigeants fiables, dignes, honnêtes, intègres et compétents !!!
À SUIVRE ‘IN CHÀ’ ALLÀH.
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:35 AM)Al-Xamdu li l-Làh, le Prophète- que les bénédictions de Dieu soient abondantes sur lui- nous a laissé le Coran et la Sunnah honorés comme sources de bonne guidée, nous permettant de distinguer le vrai du faux, et de pouvoir dénicher les suppôts de Satan !
Patientons et repentons-nous en sachant que la mort va arriver inévitablement et que cette vie sur terre est presque finie. Nous serons Tous jugés par Le Seigneur des mondes. Attelons-nous à ce pour quoi Dieu nous a créés : L’adorer, faire le bien et éviter le mal ; recommander le bien et interdire le mal !
À SUIVRE ‘IN CHA’ ALLÀH
Axmad Vincent Diakhate
En Septembre, 2013 (08:36 AM)Louanges à Allàh, Lui Qui est Tout-Puissant sur toutes choses ! Que Ses bénédictions soient abondantes sur Muxammad, notre bien-aimé et intercesseur !
Que Dieu, Le Très Miséricordieux, nous fasse miséricorde, par la barakah des Saints(Al-‘Awliyà’) qui ont vécu dans ce pays et /ou qui y vivent de nos jours et ceux d’ailleurs ! Àmiin !
A.V.D.
Kocc
En Septembre, 2013 (09:27 AM)Fils D'adam
En Septembre, 2013 (09:49 AM)Adolph
En Septembre, 2013 (09:51 AM)Fuck Les Gueuwels
En Septembre, 2013 (09:51 AM)comment le senegal peut il se developper avec ces griots ????????? LA MUSIQUE OU DES DANSE NE FAIT PAS DEVELOPPER UN pAYS HYN ..
Talibendongo
En Septembre, 2013 (09:53 AM)Pips
En Septembre, 2013 (10:01 AM)Arrêtez donc d'insulter l'intelligence des Sénégalais
Zeus
En Septembre, 2013 (10:21 AM)Balth
En Septembre, 2013 (11:02 AM)Les Dakarois dénoncent une complicité malsaine entre courtiers, Agences immobilières et huissiers
par XIBAARU le 22 Sep 2013 • 08:35Pas de commentaire
« Pour loger ici à Dakar, on te fait payer une caution de trois mois et ce, après tout ce qu’un courtier malhonnête te soutire en termes de frais de déplacement pour avoir soi-disant cherché à te trouver un logement. Pour un studio de 85 000 FCFA, tu le multiplies par trois cela fait en tout 255 000 FCFA avant d’espérer loger. Et la part d’un mois de loyer est donnée au courtier. Au nom de quoi, les choses devraient marcher ainsi », fulmine S. F. Bâ rencontré à Niary Tally.
Comme elle, des populations de Dakar interrogées estiment qu’il faut éliminer les agences immobilières et leur système de complicité avec certains agents judiciaires. Leur intermédiation n’a aucune utilité entre les propriétaires et les locataires. « Elles n’ont aucune utilité, poursuit S.F. Bâ, sinon que de voler l’argent d’honnêtes citoyens qui travaillent à la sueur de leur front. Maintenant qu’on est dans une crise économique mondiale, leur rôle d’intermédiaire créé de toute pièce par je ne sais quelle loi, va subir les conséquences de cette crise. Et je prie Dieu pour que ces agences, leurs huissiers et les courtiers sans pitié disparaissent à jamais ».
« Un soi-disant huissier s’est pointé chez moi, mais vraiment avec une promptitude extraordinaire sur ordre d’un responsable sans cœur d’une agence immobilière, certainement son complice, pour me présenter un ‘’commandement assignation en référé tendant à expulsion’’. Non seulement il n’a pas pris le temps de se présenter avec sa carte professionnelle, mais sur le papier qu’il m’a tendu, il n’y avait aucun numéro de téléphone. Comme un bon exécutant qui obéit à des ordres venant d’un mauvais type d’une agence immobilière, il m’a intimidé avec son approche pas du tout professionnelle et avec un ton qui en dit long sur le rôle d’arnaqueur et de voleur diabolique qu’il jouait. Et c’est pour se débarrasser vite de la proie que je suis après m’avoir donné l’assignation et disparaître en attendant le délai final jusqu’à ce que je parte payer et qu’ils se partagent après l’argent qu’au moins moi j’ai gagné honnêtement. Ils ne sont pas sérieux ces huissiers et leurs complices. Mais malheur à eux, car ils commencent à subir les affres de la crise économique », a déclaré G. Diatta habitant au Centenaire et visiblement très remonté contre cet huissier qui a ses yeux ne mérite qu’un châtiment exemplaire de malheur.
Même son de cloche chez Henriette Diop rencontré à Médina : « Il faut qu’elles disparaissent, ces agences immobilières et que le ministère de la justice soit plus vigilants sur les pratiques mafieuses de certains huissiers et courtiers qu’il faut même traquer pour argent mal acquis. »
La soixantaine bien sonné et dans sa sagesse, Pa Diop de Colobane déclare avec désolation : « Les choses ne marchent plus bien comme avant, parce que les gens se sont éloignés de Dieu pour entretenir des pratiques malsaines afin de gagner de l’argent malhonnêtement. Et quand c’est plusieurs personnes qui le font, cela fini par devenir une norme, mais une norme viciée. Et les autorités surtout les députés doivent parler sur le problème des loyers, en plus de la cherté des denrées de première nécessité. Aujourd’hui il y a trop de perte de valeurs. Et même certain garants de la loi civile sont corrompus et aiment l’argent facile. Mais à mon avais, agence immobilier yi, huissier yi ak courtier yi war nagnou sétat seni boop, ndax té lou way rindi thi sa loxo lay nath ! (Les agences immobilières, les huissiers et les courtiers doivent revoir leur manière de faire, car on finit toujours par payer le mal qu’on a fait à autrui). »
Balthazar xibaaru.com
Illogique
En Septembre, 2013 (12:26 PM)Relisez
En Septembre, 2013 (14:15 PM)Boy Gambie
En Septembre, 2013 (15:58 PM)Fatou Camara took up a fulltime job with Youssou Ndour’s TFM television station whilst working with Jammeh Musa’s GRTS at the same time.
Fatou Camara is still under NIA custody. The NIA undercover officer met her yesterday. She reported that Fatou is in a good state of health. The NIA undercover agent has also reported that Fatou is in high spirit.
A panel of investigators have been tasked to look into Fatou’s case. One of the panellists is a senior NIA agent one Yoro Baldeh. The panel is looking into allegations that Fatou Camara took up a fulltime job with Youssou Ndour’s TFM television station whilst working with Jammeh Musa’s GRTS at the same time.
Fatou is being confronted with all kinds of questions by the panel. One panel member told us that he is not convinced that the allegations brought against Fatou is factual. He said the state is on a witch hunting scheme, adding that Fatou have not broken any laws.
“This panel is a joke. We laughed our asses off after sittings. There is no coherence and proof in the allegations brought against Fatou Camara. All the allegations are “he said, she said.” We are finding it very difficult to make sense out of some of the allegations. Fatou working for TFM TV is not a crime because she is not an employee of GRTS. She signed a contract with GRTS to host a show with them. The conflict of interest that Oga Jammeh is trying to make an issue is non issue as far as I am concerned. I think he is out to get this poor girl by any means necessary. Fatou Camara is a brave lady. She has been very firm and consistent with her answers. There is no element of fear in Fatou Camara. I think this case is going to shame the Presidency if it reaches court,” said our source, who is privy to the NIA investigations.
Another NIA source close to President Jammeh told us that Ms. Camara is doing fine. “Yeah Fatou Camara is ok and kicking. She is here with us. Jammeh suspected that the celebrity was going to Senegal and be full working with TFM TV. She is under investigations. She was questioned yesterday with panel of officers including Yoro Baldeh, aka capon, a senior nia officer.”
Fatou’s alleged affiliation with the Freedom Newspaper also came up during the NIA investigations. But she has denied providing information to the Freedom Newspaper. She said she had no ties with the Freedom Newspaper.
Bocars
En Septembre, 2013 (16:36 PM)RACINE SENGHOR directeur de cabinet de Youssou et le professeur SANGARE ami de Youssou doivent tomber à la renverse. Cet article n'est pas actuel. L'auteur, un griot du griot Youssou voulait enrober sa nomination par un monstrueux mensonge intellectuel.
Badara Fall
En Septembre, 2013 (17:09 PM)Prof
En Septembre, 2013 (17:35 PM)Ne confondons pas un amuseur public ayant eu la chance de devenir idole d une partie de la jeunesse inculte et l"homme de lettres, l intellectuel et le politique Senghor
Deugping
En Septembre, 2013 (17:35 PM)Disonsvrai
En Septembre, 2013 (18:44 PM)Las
En Septembre, 2013 (19:53 PM)Antilas
En Septembre, 2013 (21:14 PM)Ibou Ngaté
En Septembre, 2013 (21:37 PM)Goor Gui Si Net Bi
En Septembre, 2013 (00:17 AM)Usa
En Septembre, 2013 (00:19 AM)Oops
En Septembre, 2013 (08:38 AM)Participer à la Discussion