Les négociations non encore abouties entre l’Etat et les syndicats d’enseignants font craindre le pire. Mais, il n’y a pas péril en la demeure, à en croire le directeur de l’enseignement élémentaire, Abdou Diaw. «Pour le moment, nous n’avons pas encore atteint un seuil critique et jusqu’à la fin de la première semaine du mois de mai prochain, nous sommes dans les délais raisonnables. Donc, on n’est pas encore dans uns situation qui pourrait conduire à une année irrécupérable», rassure Abdou Diaw, dans les colonnes de L’Observateur.
Rappelant l’objectif de 900 heures par an dans l’élémentaire, ce qui importe, dit-il, «c’est de voir le temps perdu par rapport aux 900 heures. Et si c’est lié à la grève, de voir à la fin quelles sont les dispositions qu’il faut prendre pour rattraper ce temps perdu».
Il souligne qu’une évaluation est en train d’être faite de la situation au niveau de l’ensemble des écoles. Et qu’il va falloir sans doute, repousser les dates des épreuves pour les classes d’examen.
Mais, précise Abdou Diaw, «si on passe cette semaine, la première semaine du mois de mai, la situation deviendra plus critique. Au-delà du 7 mai, on entrera vraiment dans la zone critique».
2 Commentaires
Day Doul Annee Bi Katt Na Nday
En Avril, 2015 (10:45 AM)Anonyme
En Avril, 2015 (10:56 AM)Participer à la Discussion