Le secrétaire général du Rdr , El hadji Malick Badji, prend la défense de son candidat Idrissa Seck, traité de "petit bébé" par Djibo Kâ. Dans une lettre de réponse reçue à SENEWEB-NEWS, El Hadji Malick Badji rappelle au leader de l'Urd ses pratiques passées. « J’ai beaucoup de respect pour Mr Djibo Leity Ka parce que non seulement il appartient au passé, mais aussi comme son mentor Wade, ils ont atteint leur limite et rien n’est plus triste que d’atteindre ses limites.
C’est vrai qu'il n’est pas l’égal d’Idrissa Seck parce qu’au moment où ce dernier se battait pour une alternance démocratique au Sénégal, lui Djibo Kâ était en train de comploter contre les Moustarchidines, contre Wade lui-même et contre toutes forces vives de la Nation aspirant à beaucoup plus de liberté à l’époque où il était un ministre de l'Intérieur, digne de la Gestapo », dénonce M.Badji. Selon lui, Djibo Ka ne peut pas vivre en dehors du pouvoir comme « ce poisson qui, extirpé de l’eau, étouffe » .
EL hadji Malick Badji se dit sûr de la victoire de son mentor « comme pharaon savait pour Moise ». « Rien ne peut contre la volonté du tout puissant. Wade sait parfaitement que c’est Idrissa qui va le remplacer s’il plait au Bon Dieu. Ses prédicateurs ou magiciens le lui ont dit et lui-même le sait. C’est ce qui justifie la propagande basée sur l’acharnement, l’emprisonnement et les calomnies contre le maire de Thiès ces dernières années », assure-t-il.
34 Commentaires
Bégué
En Septembre, 2011 (16:27 PM)Reply_author
En Septembre, 2022 (13:54 PM)Gloryboy
En Septembre, 2011 (16:29 PM)Ancien Anti Ps
En Septembre, 2011 (16:42 PM)Zoubi
En Septembre, 2011 (16:42 PM)Fdfvd
En Septembre, 2011 (16:45 PM)Samakhalat
En Septembre, 2011 (16:54 PM)idy est pire que djibo leity ka en terme de tortuosité.
djibo leity ka au moins sait ce qu'il fait et connait sa trajectoire et la suit à sa façon mais votre mentor est un ignorant.
Lftg
En Septembre, 2011 (17:07 PM)Peuls,
En Septembre, 2011 (17:16 PM)Saliou Dieng"zaltamba"
En Septembre, 2011 (17:18 PM)Saliou Dieng"zaltamba"
En Septembre, 2011 (17:23 PM)Xeme
En Septembre, 2011 (17:29 PM)Affane
En Septembre, 2011 (17:31 PM)où son pain est assuré.
Reply_author
En Septembre, 2022 (16:43 PM)Reply_author
En Septembre, 2022 (16:43 PM)Loli
En Septembre, 2011 (17:34 PM)Merci Loli
En Septembre, 2011 (18:25 PM)QUE LE TOUT PUISSANT TE PROTEGE IDY AMINE !!!!!!!!!!!!!!
Dor Dorate
En Septembre, 2011 (18:47 PM)6 Ak 9
En Septembre, 2011 (18:51 PM)Ronnie10
En Septembre, 2011 (18:57 PM)Mélocanebi
En Septembre, 2011 (19:51 PM)Afree Kain
En Septembre, 2011 (20:00 PM)Dial Le Rebelle De La Realite
En Septembre, 2011 (21:13 PM)Bolo
En Septembre, 2011 (22:22 PM)Un peu soft comme demontage.
Et Djibo a tort sur ce coup la..
Idy n'est pas un bebe car un bebe c'est innocent
Ce qui est loin d'etre le cas de iblissa seck (tout en miniscule)
Important
En Septembre, 2011 (22:28 PM)Kit
En Septembre, 2011 (10:54 AM)Bobo
En Septembre, 2011 (13:07 PM)je ne sais ou mais il est temps pour toi que parler des autres vous n'êtes de la même génération.
Maya
En Septembre, 2011 (13:25 PM)Maya
En Septembre, 2011 (13:30 PM)Maya
En Septembre, 2011 (14:07 PM)Hadzo
En Septembre, 2011 (16:00 PM)Nopil
En Septembre, 2011 (16:32 PM)Si chacun racontait sur chacun ce que chacun sait de chacun.....................................
Maya
En Septembre, 2011 (16:54 PM)Boy Pikine
En Septembre, 2011 (18:47 PM)Si Idy fait des activités politique il noit tous les aures leaders de l'opposition d'ou cet acharnement sur lui et sur son parti:
IDY EST LE PRESIDENT DU VRAI CHANGEMENT
Mbadane
En Septembre, 2011 (19:29 PM)SOPI DIEKHNA REWMI DIOKNA BA FAW
Zeus
En Septembre, 2011 (23:06 PM)Yérim Ndella Dieye
En Septembre, 2011 (16:13 PM)Au lendemain de l’alternance, la première préoccupation de l’homme qui était sûr de succéder à Abdoulaye WADE, était de détruire un adversaire potentiel, en la personne de Djibo Leyti KA. Une entreprise de diabolisation naîtra le contexte et le prétexte ont été réunis lors d’une émission télévisé, ou un homme en verve, fort de son rang de Directeur de cabinet du tout nouveau président Abdoulaye WADE, sortit le terme ignoble : tortuosité.
Naturellement, il est dans les pratiques entre hommes civilisés, des attaques qui, même si elles sont méchantes, peuvent être justifiées ou tout au moins expliquées. Personne depuis lors, n’a jamais tenté de rectifier, la victime est laissée à son sort. Mais de toute l’histoire, il s’agissait de combattre un homme qui pouvait, dans le subconscient de celui qui insulte un adversaire de taille. Donc, il fallait avec la nouvelle posture écraser celui qui, théoriquement ne vous fera jamais allégeance.
Pourtant rien ne justifiait à cette époque l’opportunité d’une telle haine, contre quelqu’un qui était dans l’opposition. En effet, Djibo Leyti KA était dans le CPC et n’avait aucun moyen de pression contre le pouvoir, en vue d’une quelconque négociation, pour une entrée dans les premiers gouvernements de l’alternance. Son bourreau était au sommet de sa puissance à travers une station de rêve, avec en prime : le rôle de Tanor DIENG auprès de Diouf, en héritier potentiel.
Alors pourquoi, avoir une telle posture et avoir besoin de procéder par élimination des adversaires imaginaires, qui n’ont ni argent, ni milice pour constituer un obstacle à une ambition maladroitement déclinée en lettres dorées, sans un préalable un curriculum. Dieu, ultime recours de la victime était seul, dans son absolutisme capable de savoir quelle serait demain la posture du bourreau. Quelle fut la surprise des sénégalais, quatre ans après, de voir Abdoulaye WADE, dans un exercice douloureux devoir expliquer ses démêlées avec son fils d’emprunt.
Le spectacle qu’ils nous avaient offert, reste digne d’une torture familiale, où chaque membre parvient mal à se disculper, soit d’une complicité par fourniture moyens opposable au père, soit d’une avanie du fils. Leur drame commun, réside dans le fait que personne ne leur fera de reproche individuellement. Et l’aveu du fils, présentant le drame familial, comme « un incident de partage du butin entre bandits », certainement de grand chemin. Le reste du film, nous sera relaté par la presse, comme une série sans fin, ou le jeune homme d’état use, jusqu’au frein.
Et jamais, dans l’histoire du Sénégal, on a vu un premier ministre en prison, suite à une accusation, suite à un délit de droit commun : le vol, qui signifie dans les premières leçons de droit à : « la soustraction frauduleuse de bien appartenant à autrui ». La notaire Nafissatou DIOP CISSE et l’avocat Ousmane SEYE, vont voler au secours d’un bourreau, presque au bord de la démence. Les cassettes audio y passent, la tenue et la retenue républicaines, n’auront jamais été aussi malmenées, que durant cette épisode tumultueuse de notre république « d’amateurs ». Le protocole de la prison de Rebeus devient une jurisprudence renversante, en plus de l’informaticien aux CD, qui a été abusé, lui aussi.
Entre temps, la victime Djibo Leyti KA, qui disait avec raillerie « Dakar Demoul Dickoul », d’après un dignitaire de l’alternance doit lui être expulsé de son domicile des Almadies, pour non respect des amortissements mensuels d’un crédit immobilier. Voilà, comment la trajectoire des hommes peut être opposée. Au moment, où son bourreau, devant la banque mondiale et l’union européenne à Ziguinchor et sous le feu des projecteurs, déclare : « je suis né pauvre mais je suis devenu riche », pour une justification qui le réhabilite « je me suis servi dans la besace qui m’a été confiée ». Quelle dissimilitude.
Quelle dissimilitude, entre le bourreau et sa victime, Abdoulaye WADE, comme Léopold Sédar SENGHOR et Abdou DIOUF, se rend compte à l’évidence, Djibo Leyti KA est né pour servir l’état et la nation et non pour se servir. Depuis jour après jour, ceux qui ont l’occasion d’assister aux conseils interministériels ou autres cérémonies de la haute république, disent que le président Abdoulaye WADE, a du respect et de l’admiration pour ce grand commis de l’état. Ce berger au service de la démocratie et l’humanisme, tel qu’il raréfie chez nous.
C’est cet état de fait qui fait peur à ceux là, qui ont un camp, celui d’un bourreau, qui commandite des articles du genre « Abdoulaye WADE songe à léguer le pouvoir à Djibo Leyti KA ». Seulement ils oublient, que les sénégalais ont compris les acteurs politiques, collectivement et individuellement. Et s’il y’a parmi eux, un seul à qui il n’est pas reproché grand-chose : c’est bien Djibo Leyti KA. Que lui reproche-t-on ? Djibo Leyti KA a valsé entre les deux tours de 2000, entre le camp qui incarnait le désir d’alternance et celui de la conservation. En mon âme et conscience, je le lui avais reproché, mais mettez-vous à sa place, et entendre Abdou DIOUF, vous parler, comme il l’a fait avec lui, (en évoquant vos liens sociaux), vous n’auriez aucune autre alternative, face au Sopi hétérogène et sans formulation exacte.
Yérim Ndélla DIEYE
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