Comment avez-vous suivi l’information concernant les accusations de Bourgi contre Wade et son fils ?
Avec une réelle attention. Il faut être attentif à ce que dit et / ou révèle Robert Bourgi. Il faut, aussi et surtout, tamiser le fatras de choses vraisemblables que cet intermédiaire de haut vol dévoile avec une frénésie subite et suspecte. Bourgi et ses émules sont des virtuoses de l’embrouillamini. En clair, Bourgi ne ment pas ; mais il fait plus fort et plus mal, en malaxant le vrai et le vraisemblable. C’est la technique de ceux qui sont dotés d’un génie maléfique. Et font une brillante carrière au carrefour des affaires (business) des services (renseignement) et de la politique. Après tout, la Françafrique et ses mœurs tenaces ne sont pas une fable de La Fontaine ; encore moins un conte de Robert Bourgi. C’est une réalité presque inoxydable.
Cela dit, une analyse plus pointue suggère un coup politiquement tordu. Certes Bourgi a tiré au bazooka sur une fraction de la droite française ; mais il a réservé son napalm à une poignée de Présidents africains. Et en associant, c’est-à-dire en logeant – Abdoulaye Wade, Blaise Compaoré, Denis Sassou Nguesso et feu Omar Bongo – à la même enseigne, Bourgi a manifestement cherché à abattre le chef de l’Etat sénégalais. Vous savez bien que dans ces deux pays d’Afrique centrale, les opinions publiques sont embryonnaires ou faibles. En outre les Présidents Sassou et Compaoré n’ont pas des pouvoirs d’essence et d’origine démocratiques. Blaise a éliminé son frère d’armes Thomas Sankara ; Sassou a évincé le Colonel Yombi Opango. Tous les deux ont comploté contre le Capitaine Marien Ngouabi. Bref, ils n’ont cure des répercussions médiatiques ou politiques des sorties de Bourgi.. A Ouagadougou comme à Brazzaville, des élections ne sont pas en vue. En revanche, Wade a une équation électorale et un casse-tête successoral. Je me demande si les révélations de Bourgi ne sont pas des coups de semonce extérieurs qui se veulent plus dissuasifs que toutes les manifestations et toutes les oppositions enregistrées, jusque-là, contre la candidature du Président Wade.
Croyez-vous à une erreur de Robert Bourgi ?
Pas du tout. Et surtout pas sous le coup de l’émotion. C’est une bonne blague de l’avocat de Bourgi. Un forban d’Etat comme Robert n’est pas poreux à l’émotion. Ceux qui gèrent l’Etat, ici et ailleurs, n’ont pas d’états d’âme, à fortiori ceux qui se meuvent dans les bas-fonds de l’Etat. L’arrangement et la pression (deux pratiques non antinomiques) me paraissent plus plausibles que l’erreur. D’autant que la peur de la plainte d’un côté ; et la crainte du rabiot de révélations de l’autre ; se font face et se neutralisent mutuellement.
Dans le boulot de Bourgi, l’erreur est fatale ; or Bourgi commence à vieillir sans égratignure. En outre, il ne perd pas au change. C’est plutôt le Sénégal officiel qui est coincé. Autrement Wade et Karim. Vous vous rendez compte des explications et arguments des porte-parole Sérigne Mbacké Ndiaye et Moustapha Guirassy ! Ils nous ont dit, le lundi, que le menteur Bourgi a menti. Puis, le mardi, ils nous ont signifié que le menteur Bourgi a revu et corrigé ses mensonges. Moralité tirée par les cheveux : les affirmations de l’affabulateur sont mensongères ; mais les dénégations du même affabulateur sont crédibles. Convenez avec moi que c’est kafkaïen.
De toutes les façons, l’intermédiaire Bourgi est plus apte à salir qu’à laver. Blanchir n’est pas dans ses cordes. Il n’est pas un moine trappiste. Enfin Bourgi n’est pas un menteur. C’est un voltigeur avec ses grenades incendiaires et son talent de trapéziste. Le concierge de son immeuble sur l’avenue Pierre 1er de Serbie dans le 16ème, raconte qu’il a failli un soir mourir d’étranglement, en voyant le fidèle chauffeur de Chirac, Jean Claude Lhomond, garer la limousine présidentielle puis déposer un pli chez Monsieur Bourgi.
Pouvez-vous revenir sur Robert Bourgi et ses relations avec Wade ?
Oh la, la ! Je n’en sais pas grand-chose. Robert Bourgi n’est pas mon intime. Les Wade, encore moins. Je n’ai jamais serré la main de Robert. Je l’ai aperçu à Abidjan en 1992. Il n’était pas encore avocat. C’était un an avant sa prestation de serment intervenue le 26 mai 1993, devant la 1ère chambre de la Cour d’Appel de Paris. Cependant, je sais un bout sur lui, par des canaux appropriés. Par contre, le Professeur Albert Bourgi m’a parlé au téléphone, il y a quelques jours. Précisément au début de l’Affaire.
Quant à Abdoulaye Wade, je l’ai rencontré pour la première fois en 1976, à Matam, chez ses premiers militants, l’infirmier Sally Oumar Niang et le gendarme en retraite Samba Bâ. La seconde fois à Alger, en 1979. Nous étions dans le même hôtel Aletti ex-casino d’Alger. Wade était en compagnie d’Alioune Badara Niang. En 2009 et 2010, j’ai eu l’honneur et le privilège d’être reçu par le Président de la république. De son côté, Karim Wade Président de l’ANOCI (il n’était pas encore ministre d’Etat) m’avait fait la gentillesse de me recevoir. Vous voyez qu’on est aux antipodes de l’intimité. Par conséquent, je sais ce que tout le monde sait, à savoir qu’un membre de la tribu des Bourgi, Razeck ou Rasseck – je ne garantis pas la justesse de l’orthographe – a fait son stage dans le cabinet de Me Wade. Et les témoins de cette époque racontent que le très jeune Karim Wade était souvent sur les genoux du stagiaire Bourgi, frère de celui qui fait la chaude et sulfureuse actualité. Je n’en sais pas plus.
Pensez-vous qu’après la façon dont il avait été très légitimement élu – contrairement à certains chefs d’Etat africains – le Président Wade avait besoin d’approcher pareil personnage ?
Effectivement de tous les responsables africains qui ont été visés par les « bombes à fragmentations » de Bourgi, c’est le Sénégalais Wade qui a uniquement créé la stupeur. Je vous rappelle que Wade a mené jusqu’à son terme victorieux, un combat historique et héroïque pour l’essor de la démocratie. Il a été démocratiquement et proprement élu en mars 2000. Sans le parrainage d’un pays occidental. Bien au contraire. Djibo Ka qui fut ministre des Affaires Etrangères puis ministre de l’Intérieur (deux bons observatoires) a dit que si cela ne dépendait que Chirac, ancien patron et nouvelle cible de Bourgi, Wade ne serait jamais Président du Sénégal. Alors, pourquoi y a-t-il eu lune de miel et lune de fiel entre Bourgi et Wade ?
A mon avis, Wade a été piégé par la soif de succès diplomatiques indissociable d’une soif de prestige international. Piégé également par l’agenda successoral qui ne peut aboutir sans parrainage. Chronologiquement, Bourgi est devenu indispensable voire précieux à partir du moment où Wade a voulu obtenir la libération de la Française Clotilde Rheisse, détenue en Iran. Le Franco-sénégalais d’origine libanaise et de confession chiite, Robert Bourgi, est apparu précieux aux de Wade. A juste titre d’ailleurs. Bourgi n’est-il pas lié au Hezbollah qui est un satellite de l’Iran au Liban ? Bonjour la division du travail : Wade discute avec les officiels iraniens ; tandis que Bourgi taille bavette avec les barbouzes de Téhéran dont le commandement échappe à Ahmadinejad. Ça a fonctionné comme ça jusqu’à l’escapade de Benghazi où Bernard Henri Lévy a tenu le haut du pavé, au détriment de Bourgi. Et patatras ! Tout est entré dans la zone grise de la brouille. Et de l’insondable.
Avec une réelle attention. Il faut être attentif à ce que dit et / ou révèle Robert Bourgi. Il faut, aussi et surtout, tamiser le fatras de choses vraisemblables que cet intermédiaire de haut vol dévoile avec une frénésie subite et suspecte. Bourgi et ses émules sont des virtuoses de l’embrouillamini. En clair, Bourgi ne ment pas ; mais il fait plus fort et plus mal, en malaxant le vrai et le vraisemblable. C’est la technique de ceux qui sont dotés d’un génie maléfique. Et font une brillante carrière au carrefour des affaires (business) des services (renseignement) et de la politique. Après tout, la Françafrique et ses mœurs tenaces ne sont pas une fable de La Fontaine ; encore moins un conte de Robert Bourgi. C’est une réalité presque inoxydable.
Cela dit, une analyse plus pointue suggère un coup politiquement tordu. Certes Bourgi a tiré au bazooka sur une fraction de la droite française ; mais il a réservé son napalm à une poignée de Présidents africains. Et en associant, c’est-à-dire en logeant – Abdoulaye Wade, Blaise Compaoré, Denis Sassou Nguesso et feu Omar Bongo – à la même enseigne, Bourgi a manifestement cherché à abattre le chef de l’Etat sénégalais. Vous savez bien que dans ces deux pays d’Afrique centrale, les opinions publiques sont embryonnaires ou faibles. En outre les Présidents Sassou et Compaoré n’ont pas des pouvoirs d’essence et d’origine démocratiques. Blaise a éliminé son frère d’armes Thomas Sankara ; Sassou a évincé le Colonel Yombi Opango. Tous les deux ont comploté contre le Capitaine Marien Ngouabi. Bref, ils n’ont cure des répercussions médiatiques ou politiques des sorties de Bourgi.. A Ouagadougou comme à Brazzaville, des élections ne sont pas en vue. En revanche, Wade a une équation électorale et un casse-tête successoral. Je me demande si les révélations de Bourgi ne sont pas des coups de semonce extérieurs qui se veulent plus dissuasifs que toutes les manifestations et toutes les oppositions enregistrées, jusque-là, contre la candidature du Président Wade.
Croyez-vous à une erreur de Robert Bourgi ?
Pas du tout. Et surtout pas sous le coup de l’émotion. C’est une bonne blague de l’avocat de Bourgi. Un forban d’Etat comme Robert n’est pas poreux à l’émotion. Ceux qui gèrent l’Etat, ici et ailleurs, n’ont pas d’états d’âme, à fortiori ceux qui se meuvent dans les bas-fonds de l’Etat. L’arrangement et la pression (deux pratiques non antinomiques) me paraissent plus plausibles que l’erreur. D’autant que la peur de la plainte d’un côté ; et la crainte du rabiot de révélations de l’autre ; se font face et se neutralisent mutuellement.
Dans le boulot de Bourgi, l’erreur est fatale ; or Bourgi commence à vieillir sans égratignure. En outre, il ne perd pas au change. C’est plutôt le Sénégal officiel qui est coincé. Autrement Wade et Karim. Vous vous rendez compte des explications et arguments des porte-parole Sérigne Mbacké Ndiaye et Moustapha Guirassy ! Ils nous ont dit, le lundi, que le menteur Bourgi a menti. Puis, le mardi, ils nous ont signifié que le menteur Bourgi a revu et corrigé ses mensonges. Moralité tirée par les cheveux : les affirmations de l’affabulateur sont mensongères ; mais les dénégations du même affabulateur sont crédibles. Convenez avec moi que c’est kafkaïen.
De toutes les façons, l’intermédiaire Bourgi est plus apte à salir qu’à laver. Blanchir n’est pas dans ses cordes. Il n’est pas un moine trappiste. Enfin Bourgi n’est pas un menteur. C’est un voltigeur avec ses grenades incendiaires et son talent de trapéziste. Le concierge de son immeuble sur l’avenue Pierre 1er de Serbie dans le 16ème, raconte qu’il a failli un soir mourir d’étranglement, en voyant le fidèle chauffeur de Chirac, Jean Claude Lhomond, garer la limousine présidentielle puis déposer un pli chez Monsieur Bourgi.
Pouvez-vous revenir sur Robert Bourgi et ses relations avec Wade ?
Oh la, la ! Je n’en sais pas grand-chose. Robert Bourgi n’est pas mon intime. Les Wade, encore moins. Je n’ai jamais serré la main de Robert. Je l’ai aperçu à Abidjan en 1992. Il n’était pas encore avocat. C’était un an avant sa prestation de serment intervenue le 26 mai 1993, devant la 1ère chambre de la Cour d’Appel de Paris. Cependant, je sais un bout sur lui, par des canaux appropriés. Par contre, le Professeur Albert Bourgi m’a parlé au téléphone, il y a quelques jours. Précisément au début de l’Affaire.
Quant à Abdoulaye Wade, je l’ai rencontré pour la première fois en 1976, à Matam, chez ses premiers militants, l’infirmier Sally Oumar Niang et le gendarme en retraite Samba Bâ. La seconde fois à Alger, en 1979. Nous étions dans le même hôtel Aletti ex-casino d’Alger. Wade était en compagnie d’Alioune Badara Niang. En 2009 et 2010, j’ai eu l’honneur et le privilège d’être reçu par le Président de la république. De son côté, Karim Wade Président de l’ANOCI (il n’était pas encore ministre d’Etat) m’avait fait la gentillesse de me recevoir. Vous voyez qu’on est aux antipodes de l’intimité. Par conséquent, je sais ce que tout le monde sait, à savoir qu’un membre de la tribu des Bourgi, Razeck ou Rasseck – je ne garantis pas la justesse de l’orthographe – a fait son stage dans le cabinet de Me Wade. Et les témoins de cette époque racontent que le très jeune Karim Wade était souvent sur les genoux du stagiaire Bourgi, frère de celui qui fait la chaude et sulfureuse actualité. Je n’en sais pas plus.
Pensez-vous qu’après la façon dont il avait été très légitimement élu – contrairement à certains chefs d’Etat africains – le Président Wade avait besoin d’approcher pareil personnage ?
Effectivement de tous les responsables africains qui ont été visés par les « bombes à fragmentations » de Bourgi, c’est le Sénégalais Wade qui a uniquement créé la stupeur. Je vous rappelle que Wade a mené jusqu’à son terme victorieux, un combat historique et héroïque pour l’essor de la démocratie. Il a été démocratiquement et proprement élu en mars 2000. Sans le parrainage d’un pays occidental. Bien au contraire. Djibo Ka qui fut ministre des Affaires Etrangères puis ministre de l’Intérieur (deux bons observatoires) a dit que si cela ne dépendait que Chirac, ancien patron et nouvelle cible de Bourgi, Wade ne serait jamais Président du Sénégal. Alors, pourquoi y a-t-il eu lune de miel et lune de fiel entre Bourgi et Wade ?
A mon avis, Wade a été piégé par la soif de succès diplomatiques indissociable d’une soif de prestige international. Piégé également par l’agenda successoral qui ne peut aboutir sans parrainage. Chronologiquement, Bourgi est devenu indispensable voire précieux à partir du moment où Wade a voulu obtenir la libération de la Française Clotilde Rheisse, détenue en Iran. Le Franco-sénégalais d’origine libanaise et de confession chiite, Robert Bourgi, est apparu précieux aux de Wade. A juste titre d’ailleurs. Bourgi n’est-il pas lié au Hezbollah qui est un satellite de l’Iran au Liban ? Bonjour la division du travail : Wade discute avec les officiels iraniens ; tandis que Bourgi taille bavette avec les barbouzes de Téhéran dont le commandement échappe à Ahmadinejad. Ça a fonctionné comme ça jusqu’à l’escapade de Benghazi où Bernard Henri Lévy a tenu le haut du pavé, au détriment de Bourgi. Et patatras ! Tout est entré dans la zone grise de la brouille. Et de l’insondable.
46 Commentaires
K
En Septembre, 2011 (13:22 PM)Nooooooo
En Septembre, 2011 (13:41 PM)Zik
En Septembre, 2011 (13:52 PM)Lislam
En Septembre, 2011 (14:06 PM)Lucidelinge
En Septembre, 2011 (14:16 PM)Est-il journaliste?Est-il historien?Est -il policier ou Agent d'une puissance Etrangère? je penche pour la dernière.
De grâce ayez du respect pour ceux qui admirent et moi honnêtement je commence à m'éloigner de ce groupe d'admirateurs et ne m'en voulez pas.
Chercheur
En Septembre, 2011 (14:40 PM)Justin, est d'une compétence doublée d'une élégance mondialement reconnues.
Dxb
En Septembre, 2011 (14:41 PM)But pealse,pas besoin de corser les choses
A la place de train dites train au lieu de locomotive
Compliquer nga trop ishhh
Xeme
En Septembre, 2011 (15:07 PM)Ham
En Septembre, 2011 (15:30 PM)Ham
En Septembre, 2011 (15:32 PM)Kos
En Septembre, 2011 (15:33 PM)La parole élégante, le discours limpide, justin est cultivé net
Il a 1 mémoire d'éléphant et une langue en miel
On devait en avoir au moins une 50taine en afrique soit 2 par pays francophone
Merci Justin B Ndiaye
Ham
En Septembre, 2011 (15:33 PM)Pix
En Septembre, 2011 (15:34 PM)Pix
En Septembre, 2011 (15:34 PM)Pix
En Septembre, 2011 (15:35 PM)Aragon
En Septembre, 2011 (15:35 PM)Ham
En Septembre, 2011 (15:36 PM)Pix
En Septembre, 2011 (15:37 PM)Pix
En Septembre, 2011 (15:39 PM)Thieboudiene
En Septembre, 2011 (15:50 PM)Ouza 2012
En Septembre, 2011 (16:07 PM)Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Diallo 2012
En Septembre, 2011 (16:10 PM)Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Diallo 2012
En Septembre, 2011 (16:10 PM)Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Youssou 2012
En Septembre, 2011 (16:12 PM)Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Ndour 2012
En Septembre, 2011 (16:12 PM)Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Patisco
En Septembre, 2011 (16:14 PM)La perfection vous va si bien !
Savez-vous comment on appelle le fait de recevoir un mail dans lequel on vous informe qu'il existerait un être aussi parfait que vous ? Réponse : un canular...
La lune ne serait rien sans le soleil... un peu comme nous sans vous !
Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Mbour
En Septembre, 2011 (16:14 PM)A votre niveau, votre réussite ne tient plus du simple hasard.
Grâce à vous, l'industrie du mouchoir a triplé ses ventes… vous avez fait beaucoup de désespérés qui savent qu'ils ne vous égaleront jamais !
Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Ndiaganiao
En Septembre, 2011 (16:15 PM)1. Sachez écouter avec attention et ne répondre que lorsque votre conjoint a fini de parler.
2. Soyez lent à parler. Réfléchissez d'abord. Parlez de façon à ce que votre conjoint comprenne bien ce que vous voulez dire.
3. Dites toujours la vérité, mais dans l'amour. N'exagérez rien.
4. N'utilisez pas le silence pour frustrer votre conjoint. Expliquez-lui la raison de votre hésitation momentanée.
5. Ne vous querellez point : N'oubliez pas qu'il est possible d'avoir un avis différent sans pour autant se disputer.
6. Soyez aimable dans vos réponses. Ne répliquez jamais avec colère.
7. Sachez reconnaître vos torts et demander pardon.
8. Cessez de harceler votre conjoint de reproches. Evitez de l'agacer continuellement.
9. Ne critiquez pas votre conjoint et ne le blâmez pas, mais cherchez plutôt à l'encourager et à l'édifier.
10. Cherchez â comprendre, avant d'être compris. Soyez tolérant et prenez sincèrement à cœur les intérêts de votre conjoint
Mous
En Septembre, 2011 (16:17 PM)1. la FrançAfrique:La Raison d'Etat
2.Bokassa - Entrevue interdite (Françafrique en question)
3. Mobutu: King od Zaire
Et croyez moi ce Robert ne nous apprends rien de nouveau. Cette pratique date depuis les annees 60.
Regardez ces documentaires et vous comprendrez mieux ce que nos dirigeants sont capables de faire pour conserver leur pouvoir a vie.
Pix
En Septembre, 2011 (16:46 PM)Pix
En Septembre, 2011 (16:47 PM)Ham
En Septembre, 2011 (16:48 PM)Aragon
En Septembre, 2011 (16:49 PM)Khali
En Septembre, 2011 (16:50 PM)Ham
En Septembre, 2011 (16:56 PM)Ham
En Septembre, 2011 (16:56 PM)Pix
En Septembre, 2011 (16:57 PM)Mbaye Diouf
En Septembre, 2011 (19:22 PM)Doxandem
En Septembre, 2011 (19:52 PM)Door
En Septembre, 2011 (19:59 PM)Door
En Septembre, 2011 (20:03 PM)Far
En Septembre, 2011 (20:13 PM)Door
En Septembre, 2011 (21:20 PM)Door
En Septembre, 2011 (21:32 PM)Joe
En Septembre, 2011 (23:25 PM)Mandela Sow
En Septembre, 2011 (08:37 AM)Participer à la Discussion