Le cercle des amis du Président Ousmane Masseck Ndiaye a été mis sur ses fonts baptismaux à Saint Louis dans une salle archicomble. Une occasion pour les amis de l’ancien maire de la vieille ville de rejeter avec fermeté la décision municipale de baptiser « une rue qui ne colle pas aux œuvres d’Ousmane Masseck Ndiaye », disent-ils.
Les amis de l’ancien maire de Saint-Louis, feu Ousmane Masseck Ndiaye, se sont engagés de porter son héritage pour la continuité et la pérennité de son nom et de son œuvre. C’est pourquoi ils ont mis en place le Cercle des Amis du Président Ousmane Masseck Ndiaye (CAP- Ousmane Masseck). Et face à la presse, ce cercle a désapprouvé avec la dernière énergie la délibération précipitée du conseil municipal du 25 mars 2013 baptisant la digue Khor-Pikine : Route Ousmane Masseck Ndiaye. Thiamba Seck, porte-parole de ce Cercle, juge que cette route excentrée et sale, dépourvue de vie et de cadre de vie, ne colle guère à l’image de l’homme encore moins à ses œuvres. « À cet effet, nous appelons d’une part le conseil municipal à plus d’objectivité, de courage et d’audace pour faire porter le nom d’Ousmane Masseck Ndiaye soit à la place Faidherbe, soit à l’avenue du Général De Gaulle », dira-t-il. Et Amadou Diagne de souligner d’autre part que les amis de Ousmane Masseck Ndiaye interpellent aussi l’Etat afin que le pont Faidherbe ou le lycée Charles De Gaulle, soit débaptisé au profit de cet illustre fils de Saint-Louis. Pour l’ancien député Thiamba Seck, Ousmane Masseck Ndiaye a osé débaptiser de grands monuments, artères et places qui portaient le nom d’illustres colons pour honorer ses prédécesseurs, alors qu’ils étaient encore en vie. Pour toutes ces raisons le Cercle réclame un parrainage à la dimension de ses œuvres pour honorer l’homme, en lui faisant porter le nom d’un monument aussi central que ses actions dans la cité ancienne. Les amis du Président Ousmane Masseck Ndiaye ont profité de ce face à face avec la presse pour dire que leur feu mentor n’a délégué sa base politique à personne. « Nous ne sommes à la remorque de personne et nous précisons que nous disposons des atouts pour mener les batailles politiques dans les cinq collectivités locales de Saint Louis », dira Thiamba Seck.
22 Commentaires
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Ibreu
En Mars, 2013 (15:58 PM)Bled
En Mars, 2013 (16:07 PM)Feug21
En Mars, 2013 (16:20 PM)Eupeuteulew
En Mars, 2013 (16:25 PM)haha:
moussiba naroulay baptisation
Ahahaha
En Mars, 2013 (16:29 PM)Feug21
En Mars, 2013 (16:36 PM)Mba
En Mars, 2013 (17:24 PM)Il faudra élargir ce cercle aux st louisiens qui vivent à dkr aussi.
Ndaroissien
En Mars, 2013 (17:36 PM)NON.NON ET NON.
ON NE DOIT PAS DEPAPTISER DES EDIFICES CELEBRES (COMME LE PONT FAIDHERBE) EN FAVEUR DE FEU OUSMANE MASSECK NDIAYE.
IL FAUT ARRETER L'HYPOCRISIE ET LE MENSONGE.
Choquée
En Mars, 2013 (18:01 PM)Ff
En Mars, 2013 (18:05 PM)Emen
En Mars, 2013 (18:42 PM)Espanolita
En Mars, 2013 (18:48 PM)Ngoorsarr
En Mars, 2013 (19:01 PM)Tiey
En Mars, 2013 (19:08 PM)En qu'est ce qu'est ce Fedherbe a fait pour le Sénégal ainsi que les autres colons?
Max
En Mars, 2013 (21:20 PM)Myview
En Mars, 2013 (22:42 PM)Yaka
En Mars, 2013 (22:50 PM)@baptisation
En Mars, 2013 (02:12 AM)Enquete : les autres articles
Amel Blidi Publié dans El Watan le 30 - 09 - 2010
La Baptisation/ rebaptisation/ débaptisation sont des mots spécifiques au «français algérien». Si l'acte désignant la «baptisation» est essentiellement lié au fait de dégommer un nom à connotation colonialiste pour mieux s'approprier les villes algériennes, l'Algérien a réussi l'exploit de vider le vocable de son sens chrétien. Le «baptême» étant désigné par les dictionnaires comme un sacrement catholique, il a fallu inventer un mot moins marqué religieusement. Un fait qui intrigue les linguistes : « Même si ces substantifs ne sont pas recensés dans les dictionnaires, on constate qu'ils sont parfaitement conformes aux règles morphologiques du français et qu'ils créent une série pratique pour parler de la réalité, peut-on lire dans le journal suisse Matin Dimanche. Ces néologismes apparaissent dans une société musulmane où les connotations chrétiennes de ‘‘baptême'' favorisent certainement l'adoption de mots concurrents.»
@prudence
En Mars, 2013 (02:29 AM)@kleptokratura
En Mars, 2013 (02:36 AM)Ndeycoumbandiaye
En Mars, 2013 (10:31 AM)même si les noms des rues doivent porter des noms africains, ce n'est surt pas celui de OM Ndiaye
seytané bakhou, ki dem nagne ko nianal mo guene yeufou nafekh yi, kou dé rek nguene beug def ko un ange, khamalouko dara nak lou bone, mais nioko gueneu liguey senegal rek nio fi nek,
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