L'ancien président de la République du Sénégal vient de quitter Paris pour Dakar. Il voyage à bord d'un jet privé avec son épouse Viviane et des membres de son cabinet. C'est l'effervescence actuellement au Terminal F de l'aéroport de Orly. Les militants libéraux de France se sont mobilisés pour ce come-back. Abdoulaye Wade rentre enfin à Dakar après deux ans d'absence. Il est décidé à mener le combat pour la libération de son fils, Karim et d'autres responsables libéraux. Il a quitté a l'instant l'aéroport d'Orly à Paris à bord d'un Jet privé. Il est accompagné par Viviane Wade, son épouse, ses deux gardes du corps, Bro et Dièye et son assistante, Mme Sow. Ce retour se fait à grande pompe. Si à Dakar, les libéraux tiennent à l'accueillir avec la manière, à Paris aussi il y a eu une mobilisation. Le terminal F de l'aéroport International d'Orly a été pris d'assaut dès les premières de la matinée par des inconditionnels de l'ancien chef de l'Etat.
41 Commentaires
Kiki
En Avril, 2014 (09:47 AM)Deug
En Avril, 2014 (09:49 AM)Hier, Mes El Hadji Amadou Sall, Ciré Clédor Ly, Demba Ciré Bathily et Mohamed Seydou Diagne ont adressé une lettre à Jim Yong Kim, président du groupe de la Banque Mondiale s/c de Madame Véra Songwé, représentant Résident de la Banque mondiale au Sénégal. Une correspondance dans laquelle les avocats de Karim Wade sollicite la collaboration de la Banque mondiale pour prouver l’innocence de leur client. «Les plus hautes autorités du Sénégal en complicité avec le Procureur spécial et la Commission d’instruction introduisent
une nouvelle accusation fantaisiste et mensongère selon laquelle le ministre d’Etat Karim Wade posséderait un compte à Singapour auprès de la Banque ‘Industrial and Commercial Bank of China’ disposant d’un solde de quarante cinq milliards de Francs Cfa (45 000 000 000 F cfa) à savoir 93 726 204 millions de dollars Us», écrivent les avocats de Karim Wade. «En tant que chef de file des bailleurs de fonds au Sénégal qui a adhéré à votre programme Star (Stolen Asset Recovery- Récupération des actifs/avoirs volés), nous vous demandons de bien vouloir saisir immédiatement les autorités de Singapour pour rapatrier au Sénégal, ces prétendues sommes d’argent qui existeraient sur ce prétendu compte», ordonnent Mes Ciré Clédor Ly, El Hadji Amadou Sall et consorts. «Nous vous demandons au nom de notre client de bien vouloir demander aux autorités de Singapour de procéder à l’identification, à la saisine et au rapatriement au Sénégal de toute somme qui pourrait être logée sur tout compte appartenant de manière directe ou indirecte à Monsieur Karim Wade», ajoutent les avocats. «Nous vous demandons également, au nom de la transparence, de bien vouloir édifier l’opinion sénégalaise et internationale, sur les résultats de vos investigations lesquelles ne feront que confirmer que cette accusation d’un prétendu compte de notre client à Singapour n’est qu’une manipulation grotesque de plus, des nouvelles autorités sénégalaises pour empêcher ce dernier de se présenter à l’élection présidentielle de 2017 et qu’il est un otage politique du Président Macky Sall», écrivent Mes El Hadji Amadou Sall, Ciré Clédor Ly et consorts dans cette correspondance adressée également à l’Union européenne, à l’Agence française de développement (Afd), à l’Usaid, au Millenium challenge account (Mca), à la Banque islamique de développement (Bid), à la Banque africaine de développement, à la Banque ouest africaine de développement (Boad), au Fonds koweitien, au Fonds saoudien de développement, au ministre de la Justice et des Finances de Singapour et au ministre des Finances du Sénégal.
Les avocats de Karim Wade soulignent qu’à «quelques heures de la clôture du dossier d’instruction par la Commission d’Instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), suite à deux (02) ans d’enquêtes au Sénégal et à l’étranger, les résultats démontrent l’inexistence de charges et de preuves contre notre client pour les délits d’enrichissement illicite et de corruption. Les résultats des commissions rogatoires internationales (France, Luxembourg, Monaco et autres) blanchissent complètement notre client». Mieux, précisent-ils, «l’Etat du Sénégal est à ce jour, incapable de produire le moindre rapport d’enquête ou d’audit démontrant des faits de corruption ou de détournements de derniers publics»,
Nina
En Avril, 2014 (09:50 AM)Yalna akssi ak diamm ak salam rékk
Honoris Causa
En Avril, 2014 (09:50 AM)Honoris Causa
En Avril, 2014 (09:51 AM)Accueil
En Avril, 2014 (09:51 AM)Béechir
En Avril, 2014 (09:53 AM)et qu'en fin qu'on puisse travailler en paix. ces politiciens nous dérangentvraiment et ils sont tous pareils: wado, maké, idé, niasso, tanoro......mbourou fof ko farine.
Wade, Laisses Nous En Paix
En Avril, 2014 (09:53 AM)Sénégal
L’ancien président sénégalais, Abdoulaye Wade, rentre au Sénégal ce mercredi 23 avril, après deux ans d’absence. Interrogé par Christophe Boisbouvier sur RFI, Abdoulaye Wade explique pourquoi il a attendu si longtemps avant de rentrer.
Au lendemain de ma défaite, j’avais proposé à Macky Sall, publiquement, de l’aider éventuellement. Au lieu d'essayer de bénéficier de mon expérience, il s’est mis à me combattre, à combattre mes collaborateurs, par une chasse aux sorcières.
Abdoulaye Wade Ancien président de la République du Sénégal. 23/04/2014 - par Christophe Boisbouvier écouter
RFI : Cela fait presque deux ans que vous n’êtes pas venu au Sénégal. Pourquoi rentrez-vous ce mercredi ?
Abdoulaye Wade : Je rentre chez moi ! Demandez-moi plutôt, pourquoi j’ai été absent pendant deux ans. Au lendemain de ma défaite, j’ai néanmoins proposé au président Macky Sall de l’aider de par mon expérience et de par mes relations à l’extérieur pour pouvoir résoudre un certain nombre de problèmes. Mais je me suis vite aperçu qu’au lieu de se placer dans cette direction, il avait choisi de me combattre, de combattre mes anciens collaborateurs. Il a fait une liste de vingt-cinq personnes interdites de sortir du Sénégal et il a déclenché l’opération qu’il a appelée « la chasse aux deniers mal acquis ». A partir de ce moment-là, je me suis dit « je vais rester à l’extérieur pour ne pas le gêner dans son enquête », surtout que mon fils était parmi les accusés présumés responsables de ces détournements. Voilà, c’est pourquoi je suis resté. Mais maintenant que l’enquête est terminée, que les choses sont devenues très claires - surtout que mon fils n’a commis aucun délit, aucun détournement. La France a dit qu’il n’y avait pas de milliards ici ou des immeubles au nom de Karim Wade ou de la famille Wade. Les Etats-Unis ont dit la même chose. Maintenant, je peux rentrer.
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Votre fils Karim Wade est donc en prison depuis un an. Et il a appris jeudi dernier qu’il resterait en prison et serait jugé dans deux mois pour « enrichissement illicite ». Est-ce que vous êtes déçu ?
Non, contrairement à ce qu’on peut croire, je ne suis pas déçu parce que disons que sur 100 % des accusations, 80 % sont tombées. Tout ce qui était relatif à des sommes, des centaines de milliards qui étaient planqués en France, aux Etats-Unis ou dans les paradis fiscaux, est tombé. Les accusations sont tombées.
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Mais il reste plus de 100 milliards de francs CFA sur lesquels il est poursuivi...
Non, 100 milliards de valeurs, mais pas d’argent. C’est 117 milliards. Il y a 57 milliards qui ont été inventés il y a quelques jours. On a dit : "il y a un compte à Singapour, etc". Ce n’est pas vrai. Et nous avons quand même demandé au président de la Banque mondiale et au président de la Banque centrale de vérifier si ce compte existe au nom de Karim Wade. Le compte n’existe pas. Cela fait déjà, sur les 117 milliards, 57 milliards qui vont sauter. Le reste, AHS [Aviation handling services], c’est une société de handling, mais cette société m’appartient. Je ne vois pas du tout ce que Karim Wade vient faire là-dedans. Donc avant le procès déjà, nous allons faire tomber toutes les accusations parce qu’elles ne tiennent pas la route.
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Un procès, c’est toujours risqué quand même...
Oui, le procès est toujours risqué en Afrique, mais je suis aussi un vieil avocat habitué à des procès politiques et j’avais l’habitude de dire à mes clients, « un procès politique ne se gagne pas devant les magistrats, mais il se gagne devant l’opinion ». Et cette bataille de l’opinion, nous l’avons déjà gagnée. Moi-même, j’ai été jugé dans des procès politiques : le pouvoir commence à sortir un jour « on va le condamner mercredi » et le vendredi matin à 10 heures l’Assemblée nationale était convoquée pour voter une loi d’amnistie et me laver totalement parce que le pouvoir était gêné. Macky Sall peut aussi faire pareil cinéma. Mais je suis content de cet arrêt de renvoi qui énumère les points d’accusation qui restent parce que nous allons les démolir très facilement.
Est-ce que vous ne rentrez pas pour préparer les élections locales du 29 juin et pour remobiliser la mouvance libérale ?
Disons que c’est un peu un hasard, mais je vais aider mon parti à gagner ces élections.
Votre parti, le Parti démocratique sénégalais (PDS), est éclaté en mille morceaux...
Mon parti a éclaté en mille morceaux parce que c’est normal. Les partis en Afrique ne survivent pas à leur fondateur. Le PDS est le seul parti dont le leader a quitté le pouvoir et qui tienne encore debout. [Il] reste, au moment où je vous parle, le parti le plus important du Sénégal. Maintenant, il y a certains de mes anciens collaborateurs qui ont créé des mouvements, des formations voire des partis politiques parce que je n’étais pas là pour fédérer tout cela. Mais j’ai lancé un appel pour fédérer tous les libéraux contre la gauche marxiste. Tous les libéraux sans exclure personne, ni Idrissa Seck ni Macky Sall, bien que les militants ne soient pas d’accord. Certains veulent entendre parler de Macky Sall, d’autres ne veulent pas entendre parler d’Idrissa Seck. Mais moi, j’appelle tout le monde en disant : « Nous allons remettre le libéralisme au pouvoir pendant cinquante ans ». Voilà mon objectif.
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Votre appel concerne aussi les dissidents du PDS comme Pape Diop, comme Idrissa Seck ?
Parmi ces dissidents, Monsieur Pape Diop, qui a été président de l’Assemblée nationale, président du Sénat, maire de Dakar, qui a créé un parti, vient de lancer un appel à tous ses partisans pour leur demander de venir m’accueillir à l’aéroport. Maintenant, je ne veux pas faire la campagne électorale comme je la faisais avant, mais je vais parler, encourager les gens à voter pour mon parti, ou la coalition que mon parti pourra établir avec d’autres. Le plan que j’ai proposé est très simple. J’ai dit à tous les libéraux : pour les législatives essayons de faire une liste commune. Si ce n’est pas possible, que chacun y aille, mais regroupons-nous après à l’Assemblée nationale pour avoir une liste libérale. Pour les présidentielles, essayons de nous entendre pour un candidat parce que ce qui est sûr, si nous sommes ensemble, nous allons gagner et après on verra [pour] le partage du pouvoir : qui va être président de l’Assemblée, qui va être président du Sénat. Alors que si nous nous dispersons, nous donnons des chances à nos adversaires.
Idrissa Seck et vous, vous êtes restés longtemps à Paris ces derniers temps. Est-ce que vous vous êtes vus à cette occasion ? Est-ce que vous avez conclu une alliance pour le 29 juin ?
Non. On ne s’est pas vus du tout. Les gens ont raconté qu’on s’était vus à Dubaï. Il se trouve que nous étions tous les deux à Dubaï ensemble, à la même période. Mais on ne s’est pas vus. Idrissa Seck, je l’ai entendu il y a deux jours et il a été très critique contre Macky [Sall]. Il l’a vraiment matraqué. Quand on lui a dit : « Est-ce que vous serez à l’aéroport ». Il a dit : « Non, je ne serai pas à l’aéroport, mais mes militants iront ». J’ai dit : « C’est dommage ! ».
Il aurait dû venir me recevoir, Idrissa Seck. Il disait qu'il était mon fils politique. S’il y a eu quelqu’un qui pouvait être un levain, c’était lui. Mais c’est lui qui m’a le plus combattu par la suite. Il y a ce que j’appelle « la tragédie des premiers ministères en Afrique » [rires]. Vous savez à qui je fais allusion. Ils sont toujours très pressés. Quelqu’un vous prend à partir de rien et il fait de vous un Premier ministre, et vous voulez tout de suite le bousculer et prendre [sa] place. Il y a des façons de s’y prendre et c’est lui qui a déclenché toute cette opération de savoir si je pouvais ou non me représenter.
Cette histoire-là, [celle] de ma candidature, a été soutenue par les Américains et par la France. Mais le président Bush, je peux dire que c’était un ami. Il me téléphonait pour me demander des conseils. Il m’estimait beaucoup. Je n’ai pas les mêmes relations avec Obama. Donc, c’est avec Obama qu’ils ont commencé à se poser la question de mon âge. Moi, j’en oublie mon âge parce qu’en Afrique, on ne pense pas à cela. On est comme le baobab, on s’en va jusqu’au jour où on va tomber et puis c’est comme ça.
Alors Madame Clinton m’a dit : « Mais nous ne pouvons pas laisser votre succession sans intervenir. Il faut qu’on sache comment vous allez être remplacé ». Ils étaient convaincus que dans les trois ans, j’allais mourir, les Américains. Du coup, le ministre des Affaires étrangères français, Alain Juppé, s’est mis en rapport avec Madame Clinton pour dire « non, on va demander à Wade de partir ». Ne se doutant pas que, en réalité, j’allais partir dans les trois ans. C’est-à-dire que je voulais mettre en place un système de démocratie tel que je sois remplacé en toute transparence pour des élections libres et démocratiques. C’est cela que je voulais faire. J’en ai discuté avec Madame Clinton, mais elle était pressée. Alors je vais vous dire une chose, entre nous et vous en ferez ce que vous voudrez : avant de partir, avant mes grands voyages, je fais toujours des check-up. J’en ai fait un, [chez] un des plus grands cardiologues. Vous allez voir les résultats. Je me porte très bien.
? A (RE)LIRE : Sénégal: Dakar se prépare au retour d’Abdoulaye Wade
Vous avez 87 ans. Ce retour, ce mercredi, est-ce votre dernier combat politique avant une retraite bien méritée ?
Non, pas du tout. Ce n’est pas mon dernier combat politique. Ca sera mon dernier combat politique quand j’aurai réuni mon parti avant la fin de l’année pour transmettre les rênes de la direction. Je suis encore secrétaire général du PDS à la demande des militants et des responsables qui me disent : « Il ne faut pas nous lâcher en ce moment parce qu’on a vu en Afrique, dès qu’un président est battu, son parti se dissout. Vous, accompagnez-nous jusqu’à la mise en place d’une nouvelle direction ! » C’est pourquoi je n’ai pas encore quitté la politique.
Mais ceci, ça va se faire, j’espère, avant la fin de l’année et à ce moment-là, je ne ferai plus de politique, sauf si on vient me demander des conseils [rires] qu’il s’agira d’honorer. Mais je suis dans la vie active, j’ai créé une structure de consultants : comment fait-on pour faire venir les capitaux de l’extérieur. Parce que j’ai été largement aidé par les investissements extérieurs. Mais maintenant, Macky [Sall] a fait tant et si bien que les capitaux sont en train de s’enfuir. Les sociétés étrangères sont en train de fermer. J’ai réussi contre toute attente dans le domaine où aucun Etat n’a fait mieux que moi, même ceux qui ont du pétrole. Et moi je n’ai pas le pétrole.
Bien Venu Le Prophete Wade
En Avril, 2014 (09:57 AM)Thiamtailleur
En Avril, 2014 (10:00 AM)Libere Karim
En Avril, 2014 (10:02 AM)Dave
En Avril, 2014 (10:05 AM)Wwwwww
En Avril, 2014 (10:05 AM)Eudiangoul!
En Avril, 2014 (10:05 AM)Bb
En Avril, 2014 (10:05 AM)Progres
En Avril, 2014 (10:07 AM)Bienvenu
En Avril, 2014 (10:08 AM)Ndiouly Ndome
En Avril, 2014 (10:10 AM)Sa Ma Yalla Moy Wade
En Avril, 2014 (10:12 AM)Wade
En Avril, 2014 (10:12 AM)Pour Macky Sall
En Avril, 2014 (10:13 AM)macky laisser maitre wade et ses soit disant partisans faire leur marche
ne vous rabaisser pas un un tel niveau ,faites votre travail
car vous savez très bien que que quelqu’un qui nattendais qu'une chose q'on lui interdise les manifestations a
son arrivé et vous vous lui donner carte blanche en plus décréter par le préfet je pense que la dessus vous avez
été mal conseiller car vous savez que vous détenez des informations sur sa venue donc laisser le et mobiliser de
votre coté vos partisans
wa salam
Orly
En Avril, 2014 (10:14 AM)Boy Moscou
En Avril, 2014 (10:14 AM)Ugly
En Avril, 2014 (10:15 AM)étudiant
En Avril, 2014 (10:16 AM)Jankalaar
En Avril, 2014 (10:20 AM)Lg Fgh
En Avril, 2014 (10:23 AM)Cap Skirring
En Avril, 2014 (10:24 AM)Stop
En Avril, 2014 (10:26 AM)On en a rien a foutre de Abdoulaye wade.
Qu'il aille au diable
Salopard
Orly Ou Roissy
En Avril, 2014 (10:31 AM)Assi
En Avril, 2014 (10:36 AM)Pvd
En Avril, 2014 (10:36 AM)Gare De Lyon
En Avril, 2014 (10:45 AM)Fene Rek
En Avril, 2014 (11:04 AM)à Orly il y a SUD et OUEST c'est à Charles De Gaulle que se trouve le terminal F.
Baye Fall
En Avril, 2014 (11:29 AM)Naomi C.
En Avril, 2014 (11:44 AM)Sénégalais sénégalaise notre pays ne doit etre destabilisé par quelqu'un qui est le principal responsable de l'incarcération de son fils. S'il n'avait pas impliqué son fils dans la gestion des affaires de l'etat Wade ne serait jamais revenu au sénégal car il déteste ce peuple. Il nous a insulté en disant que son fils était plus intelligent que 8 cadres supérieurs sénégalais, il a clairement dit qu'il nourrissait les rebelles qui tuaient nous enfants.
Sénégalais, sénégalaises le combat qu'il veut nous faire porter n'est pas le notre. Notre combat c'est développer notre pays, lutter contre les détournements, lutter contre la corruption, Lutter contre l'injustice...
Ne vous laissez jamais détourner par un individu qui déjà fait son temps. Notre avenir est entre nos mains et non entre les mains d'un vieillard
Xmen
En Avril, 2014 (11:47 AM)Linq
En Avril, 2014 (12:01 PM)Booooba
En Avril, 2014 (12:43 PM)Rimbakhpapakh
En Avril, 2014 (12:49 PM)Pds
En Avril, 2014 (13:23 PM)soit c'est la prison ou la retraite à KEDOUGOU
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