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Politique

(Dossier) Ces promesses trahies par Macky

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Macky Sall, president de la Republique du Senegal (credit photo: seneweb.com)

Alors candidat, il distribuait des promesses. Il puisait de son programme « Yoonu Yokkute » et les présentait comme les remèdes qui guériraient la male gouvernance et les souffrances des populations du pays. Devenu Président, Macky Sall laisse toujours couler le robinet des engagements, dont certains sont quand même tenus. Mais, à mi-parcours, beaucoup de promesses ont, hélas, été tuées dans l’œuf. Le Président s’est même détourné de nombreuses mesures phares du « Yoonu Yokkute ».

Élu le 25 mars 2012, le Président Macky Sall nommé Abdoul Mbaye qui forme le premier gouvernement de l’ère républicaine. Pour ne rien gâcher de l’euphorie générale, le tout nouveau président s’en tient à ses engagements. Il a promis 25 ministres, il n’y dérogera pas.

L’attelage gouvernemental le premier forfait

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« J’ai trouvé un gouvernement composé de 38 ministres en arrivant, et je l’ai ramené à 25. C’est désormais l’un des plus réduits d’Afrique », déclare fièrement le Président dans « Jeune Afrique ». Ses partisans s’en glorifient durant 6 mois. Mais, vite, le nouvel homme fort se sent à l’étroit dans les liens rigides de sa promesse. La tentation de manquer à sa parole l’étreint. Le 29 octobre 2012, il y succombe l’attelage gouvernemental est remanié. Il gonfle à 30 membres, puis à 32 ministres en septembre 2013, avant d’exploser à 33 membres aujourd’hui. Sept autres secrétaires d’Etat sont appelés en renfort, plus une flopée de ministres conseillers.

Et pourtant, dans son programme « Yoonu Yokute », le chef de l’État et ses hommes avaient promis et écrit noir sur blanc qu’ils allaient mettre « en place un gouvernement de Rassemblement national de 25 ministres maximum ». Plus que le nombre, c’est l’engagement qui était important. Malheureusement, la parole donnée fut trahie.

L’absentéisme, un combat déserté

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Le 26 juillet 2012, en conseil des ministres, le Président Macky fulmine. L’absentéisme et les retards gangrènent son administration. Vite, il « instruit que des mesures fermes soient prises contre la violation répétée de la règlementation en vigueur, surtout par la haute administration, quant aux horaires de travail, aux retards et aux absences de complaisance, inacceptables dans une administration qui se veut performante, efficace et respectueuse des usagers du service public », rapporte le communiqué « ‘officiel »’ du conseil des ministres. Mais, depuis, plus rien. Le coup de sang présidentiel ne produira aucun effet. L’absentéisme et les retards continuent à faire la pluie et le beau temps dans l’administration, au grand malheur du citoyen.

Le Bénin, ce modèle

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Pourtant, le Bénin a réussi là où le Président n’a même pas essayé. En effet, au pays de Patrice Talon, le même mal coutait 73,2 milliards de CFA à l’État, selon un rapport du Conseil Economique et Social en 2006. Mais, un dispositif biométrique a été vite mis en place. « Après six mois d’expérimentation, l’évaluation de ce nouveau mécanisme de contrôle de la ponctualité et de la présence a permis de constater un changement de comportements des fonctionnaires dudit ministère. Le taux de retard et d’absentéisme est passé de 78,18 % à 46,97 % », s’est réjoui le Pnud sur son site web. Exemple à méditer.

« Je ne protégerai personne », disait-il…

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Le 3 avril 2012, d’un ton ferme, le président Macky Sall s’engage : « À tous ceux qui assument une part de responsabilité dans la gestion des deniers publics, je tiens à préciser que je ne protègerai personne. Je dis bien personne ». La phrase était mythique. Elle barre la une des journaux et tourne en boucle dans les télés et radios. Elle est reprise, chantée et chantonnée par les membres du pouvoir. Puis, quelques mois plus tard, la traque des biens mal acquis débute. Mais, sur la liste de 25 dignitaires de l’ancien régime devant faire face à dame justice, une seule personne passe devant le juge. Ceux qui ont transhumé ou ont décidé de s’acoquiner avec le parti au pouvoir seront éloignés de toute poursuite judiciaire. Pour tout couronner, le président Macky Sall se promène jusqu’en Guinée Conakry avec son nouvel ami, Ousmane Ngom, alors interdit de sortie du territoire par la justice, dans le cadre de cette même traque des biens mal acquis. Nos confrères de « Jeune Afrique », à qui il accorde sa première interview, lui avaient pourtant demandé s’il « y aurait des personnalités intouchables » parmi ses proches ou chez Wade. « Personne n’est au-dessus des lois. Le temps de l’impunité est révolu », avait-il rétorqué. La réalité est toute autre aujourd’hui.

Épinglés, protégés et promus…

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Pis, en début 2016, dans son premier rapport, l’Ofnac épingle le Directeur du Coud, Cheikh Oumar Hann, responsable de l’Apr. Les enquêteurs débusquent dans sa gestion, des traces de détournement de deniers publics dont une bonne partie a servi à préparer l’accueil pompeux du Président Macky Sall au Campus de l’Ucad. En lieu et place d’une sanction contre le responsable de l’Apr, le Président de la République boute plutôt dehors la présidente de l’Ofnac. Et pourtant, ils avaient promis, dans « Yoonu Yokkute », le « renforcement des organismes et corps de contrôle et de régulation ». Finalement, il n’en est rien. La présidente de l’Ofnac, s’était même plainte des agissements du DG du Coud dans son rapport : « Le Directeur du Coud a tout fait pour empêcher l’exécution correcte de la mission de vérification, menaçant ouvertement les membres de l’équipe, posant des actes d’intoxication et intimant l’ordre aux travailleurs du Coud de ne pas déférer aux convocations de l’Ofnac. Ainsi, dès que les vérifications ont commencé à mettre en évidence certaines pratiques, il a initié des actes de sabotage de la mission », avait déclaré Mme Nafi Ngom Keita. Une attitude qui la pousse même à demander le limogeage de M. Hann. Mais, le chef de l’État ne préserve point l’autorité de l’Ofnac. C’est la présidente de l’Ofnac qu’il balaye, laissant sur place son camarade de parti. Il bénit aussi un autre de ses responsables qui avait maille à partir avec le même corps de contrôle. En effet, dans l’affaire du trafic de permis de conduire, l’Ofnac avait fait arrêter El Hadj Seck Ndiaye Wade, alors directeur des transports routiers. Inculpé et mis en cause dans cette affaire par le juge d’instruction du 1er cabinet au tribunal de grande instance de Louga, il a été promu Pca du Fera dont le budget culmine à 57 milliards de CFA. Alors, quand le Président Macky Sall dit qu’il ne protège pas ses hommes, qui va le croire ?

Engagement trahi sur la séparation des pouvoirs

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Sur la séparation des pouvoirs et de l’indépendance de la justice également, ce qui a été annoncé, n’est pas ce qui est aujourd’hui fait. « Mis sous tutelle du pouvoir exécutif, instrumentalisé par ce dernier et insuffisamment doté en ressources humaines et matérielles, le pouvoir judiciaire n’est pas toujours en mesure d’assurer pleinement ses missions dans l’impartialité et l’indépendance. Mettre fin à cet état de fait exige de renforcer l’indépendance du Conseil Supérieur de la Magistrature par sa composition, son organisation et par son fonctionnement » disait Macky Sall dans le programme « Yoonu Yokkute ». Aujourd’hui, plus que jamais, le Président de la République est le Président du Conseil supérieur de la magistrature dont le ministre de la Justice est le vice-président. C’est toujours l’exécutif, précisément le chef de l’État, qui gère l’avancement des magistrats. Donc, qui nomme la plupart d’entre eux. Quand le pouvoir exécutif nomme et gère l’avancement des dirigeants du pouvoir judiciaire, peut-on parler de séparation des pouvoirs ?

« Une structure qui gère la carrière des magistrats et qui est dirigée par l’exécutif, pensez-vous un instant qu’on peut parler de séparation des pouvoirs et d’indépendance de la justice ? À cette question, le forum du Justiciable répond par la négative », martèle Boubacar Bâ, président du forum du Justiciable. Pour ne rien arranger, la main de l’Exécutif est plusieurs fois sentie dans le travail de la Justice. Limogeage de magistrat en pleine audience, coaccusés de Karim libérés à l’heure des retrouvailles libérales, célébrités et personnalités publiques extirpées de la main de dame justice, un Président qui freine dame justice quand il s’est agi de faire la lumière sur les 74 milliards du protocole de Rebeuss, etc. La liste est longue. Le ministre de l’Éducation a même refusé d’exécuter une décision de Justice. Ce qui avait outré l’Union des Magistrats du Sénégal, qui avait dénoncé, en février 2016, les immixtions intempestives de l’exécutif dans le fonctionnement de l’appareil judiciaire et le non-respect des décisions de justice.

Quid des 25 % du privé national ?

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Autres secteurs, autres engagements non tenus. Le chef de l’Etat Macky Sall avait aussi promis de faire la « promotion d’une présence capitalistique minimale (25 %) de privés nationaux dans les secteurs clés de l’économie nationale », la mise en place d’un système de financement du sport dans le cadre de la taxe pour service universel, la Création de Lycées Sport/Études, l’octroi d’une partie de la commande publique aux artisans nationaux. Pour le moment rien. Ils avaient promis de « rassembler des femmes et des hommes de conviction et de talents dans un gouvernement resserré ». Non seulement le gouvernement est aujourd’hui plus qu’élastique, mais le dernier critère de « ‘ministrabilité »’ fixé par le chef de l’État fut la capacité de ses responsables de parti à gagner dans leurs localités. Pas leur talent.

Amoncellement de promesses asphyxiées

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Le 3 juillet 2012, dans « Jeune Afrique », le chef de l’État disait : « la rupture n’est pas qu’un slogan. C’est un comportement, celui que les dirigeants de ce pays doivent adopter. Humilité, sobriété et rigueur doivent régir notre action politique. Je vous assure qu’il s’agit bien là d’une rupture, profonde, avec les pratiques en vigueur sous mon prédécesseur. Avec moi, tout va changer. J’ai renoncé à deux ans de pouvoir, en ramenant le mandat présidentiel de sept à cinq ans et en m’appliquant immédiatement cette mesure ». Aujourd’hui, au regard des actes posés, la rupture semble plutôt être rompue. La libération douteuse de Karim Wade, la transhumance encouragée, la protection des transhumants et des responsables du régime contre la justice, l’entrave du travail de la justice dans l’affaire des 74 milliards du protocole de Rebeuss, l’achat massif des consciences durant le référendum, l’affaire Bictogo non encore élucidée, les contrats pétroliers encore flous, la non-tenue de la promesse de réduction du mandat présidentiel, entre autres, sont autant de choses qui attestent de l’agonie de la « rupture ».

L’équité médiatique oubliée

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Même dans la couverture médiatique, le chef de l’État et ses hommes font autre chose que ce sur quoi ils s’étaient engagés. Ils avaient promis de l’« équité dans la presse publique et privée du temps de parole pour les partis représentés au Parlement ». Mais, rien que dans les médias publics, la couverture médiatique du référendum a révélé une pratique pire que celle des libéraux. « La chaîne publique n’a pas respecté l’obligation d’équité et d’équilibre en ne tenant pas compte de l’existence du courant du Non », avait dénoncé le Cnra au lendemain du scrutin.

Le chef de l’Etat Macky Sall disait, tout au début de son magistère : « Avec moi, tout va changer ». Depuis, beaucoup d’eau a coulé sous le pont, emportant sur son passage beaucoup de promesses et nombre d’engagements présidentiels. Promesses pour lesquelles, nombre d’électeurs on voté pour lui. À ces électeurs, le chef de l’État semble, pour le moment, servir la très célèbre phrase d’André Gide : « La promesse de la chenille n’engage pas le papillon ».



47 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (00:43 AM)
    Excellent texte. Pour sa défense,Macky Sall aura tenu sa promesse la plus importante. Il avait promis "avec moi tout va changer", ben, il vait raison...

    Pour la première fois dans l'histoire de notre pays, le spectre de l'ethnicisme et de la sénégalité rôde autours de nos consciences. Nous pensions ces démons enterrés à jamais par l'élégance républicaine de Senghor à Wade, en passant par Diouf mais voilà que sous Macky Sall, ce débat est lancé, exacerbé et illustré par des actes impunément posés.

    Pour la première fois dans l'histoire de notre pays, l'on a saisi des biens à des privés sous le couvert d'une "traque des biens mal acquis" pour les distribuer à des copains, sans qu'il n'y ait aucune trace dans la comptabilité publique.

    Pour la première fois dans l'histoire de notre pays, plusieurs milliards reçus par l'Etat (Mittal, Millicom, Pétrotim) qui devaient apparaître dans la Loi de Finance Rectificative, ont tout simplement... disparu. Aucune trace. Aucune réponse devant l'interpellation. Rien. Wade, qui avait été beaucoup critiqué, nous avait même épargné une telle impunité.

    Pour la première fois dans l'histoire du Sénégal, le Ministre de l'Economie et des Finances négocie directement dans son bureau des remises fiscales et ce, à la tête du client. Sans transparence. Sans équité.

    Pour la première fois dans l'histoire du Sénégal, un Président de la République a pris un engagement que d'autres Présidents ont salué (Sarkozy, Obama) pour se finalement se renier. Le wakh wakhett de Macky Sall est en effet plus humiliant que celui de Wade qui lui s'était confiné à l'intérieur de nos frontières.

    Pour la première fois dans l'histoire du Sénégal, l'Etat s'est empressé d'indemniser à coups de milliards un prestataire étranger sans même que l'on ait perçu qu'il ait tenté de baisser la facture.

    Pour la première fois dans l'histoire du Sénégal, la Première Dame est vue comme la personne la plus influente de la République.

    Pour la première fois dans l'histoire du Sénégal, le marasme économique dans lequel se trouve le pays a pris pour nom celui du Président lui-même.

    Nous pourrions continuer ainsi pendant des heures...

    Oui avec Macky Sall, tout a changé. Il aura au moins tenu cette promesse.
  2. Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (01:09 AM)
    Une belle investigation
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (01:13 AM)
    Bravo à l'auteur, il aura au moins évalué les promesses de Macky :bindeu:  :bindeu: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (01:38 AM)
     :brawoo: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (05:47 AM)
    Merci. Un jour, pas si lointain, il y aura des éléctions. En attendant, juste se souvenir que la patience est une vertue.
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (06:35 AM)
    La promesse n'engage que ceux qui y croient.

    C'est la gouvernance vertueuse.

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    Auteur

    Fatima

    En Août, 2016 (07:36 AM)
    Le point de départ a été le limogeage de Nafy Ngom Keita. Il a ainsi fait sauté le dernier rempart du peuple contre la corruption retable pillage des deniers publics. À partir de là tout était possible. Il a promu les personnes épinglées par le rapport de l'ofnac et limogé la présidente tellement téméraire et compétente. Aujourdhui c'est Ousmane Sonko qui n'a fait que révéler l'envergure du pillage de nos deniers via des documents publics. Vous ne vous dites pas que vu la position d' Ousmane Sonko s'il se mettait à déballer 1/10eme de ce qu'il sait, Macky serait fichu depuis longtemps??? Dans quel pays sommes nous? Ceci est un test. Nous avons intérêt à nous lever comme un seul homme pour défendre nos valeurs. Trop cst trop!!!
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (08:03 AM)
    Moi ce que je déteste le plus de ce que fait Macky c'est l'éthnicisme, la poularisation des postes de l'état rien que pour ca plus jamais je ne voterai pour lui.c'est un danger pour notre cohesion nationale
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (08:08 AM)
    Merci à cet auteur de l'article
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (08:33 AM)
    Macky est un imbe.... j'ai horreur des imbe.....
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    Auteur

    Dass Fanal

    En Août, 2016 (09:25 AM)
    les cartes électeurs inchalla
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    Auteur

    Bilidio

    En Août, 2016 (09:31 AM)
    Nous sommes tous responsables bien que je n'ai pas voté pour lui au premier tour !!!

    On aurait jamais dû enlever VADE pour mettre ce nullard. Il fallait mettre quelqu'un autre comme IDY. quoi qu'on dise il est meilleur que ce nul.
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (09:43 AM)
    Je me demande si ces politichiens savent que le pouvoir n'est pas éternel.



    Bakhna faites la politique comme un moyen d'enrichissement et partagez bien notre senégal.



    Pendant ce temps Kharou tabaski m'attends que Dieu nous donne le soutoureu.



    la vie d'ici bas n'en vaut vraiment pas la peine



    .

     :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal: 
    Auteur

    Moy Lolou

    En Août, 2016 (10:05 AM)
    quand le porc de la dynastie sale-faye, après mis tout en oeuvre pour corrompre les chefs réligeux et les hisser de son coté, finit par décrèter: Silence on vole que personne n'ose déranger notre mafia sinon le lion qui dort se réveille brutalement, qu'il soit maudit, vouloir instaurer une dictatture ° Sunugal ne sera permis à personne qu'il lion endormi ou réveillè!  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :sunugaal:  :emoshoot:  :emoshoot:  :emoshoot:  :bip-bip: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (10:11 AM)
    Ce connard de MS!
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (10:13 AM)
     :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  :brawoo:  très bel article
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    Auteur

    Anonymeu

    En Août, 2016 (10:14 AM)
    Macky SALL SALE Traitre
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (10:22 AM)
    c’est un autre signe des dictateurs Macky Sall nul et incapable a été surpris par sa victoire lors des éléctions de 2012 celui qui avait refusé le poste de premier ministre car se disant incapable d’occuper ce poste s’est retrouvé par surprise à la tete du Sénégal

    D’ailleurs aprés son election il a longuement insisté pour avoir Moustapha Niass et Tanor Dieng à ses cotés car il avait besoin d’apprendre comment gérer une administration

    Macky Sall avait beaucoup promis aux senegalais aprés un an il s’est rendu compte que ses promesses n’étaient que des chimères l’énervement s’est emparé de notre gros yambar il se lance dans une traque de biens supposés mal acquis avec une férocité digne des grands laches il recrute une armée de journalistes pourris pour gouverner par le mensonge il utilise la justice pour intimider les opposants qui osent critiquer sa gestion nulle et hasardeuse il fait du népotisme une régle de gouvernance sa famille et sa belle-famille se partagent les postes stratégiques

    Le comble de tout est l’achat d’un programme mal inspiré et ridicule qu’il veut vendre aux senegalais soit disant un plan pour l’émergence mon oeil !!!Sans oublier le reniement de sa parole sur la réduction de son mandat et l’humiliation sur le référendum plus de 75% d’abstention que ses valets ont voulu transformer en victoire n’importe quoi !!!

    Alors aprés avois traqué sans résultat mentir avec une armée de soit disant journalistes (Kassé,Yakham Mbaye,Madiambal,Latif,Mamadou Thiam,Abou Abel Thiam,NDiogou Wack Seck l’ancien insulteur du journal IL EST MIDI ect…) notre yambar national s’est rendu compte que rien n’a changé les sénégalais lui ont tourné le dos et attendent le jour fatidique pour le foutre à la porte et envoyer sa femme et son frère Aliou Sall en prison pour vol et abus de biens sociaux le crime d’ enrichissement illicite serait un délit mineur pour Mariéme Faye et Aliou Sall

    Maintenant il installe une dictature pure la TERREUR faire PEUR ainsi il pourra avec l’aide de son ministre de l’intérieur fraudeur et bandit faire un passage en force en 2019 et gagner au premier tour grace aux bourrages d’urnes l’achat de conscience et la violence
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    Auteur

    Issa

    En Août, 2016 (10:32 AM)
    Vrai domi ha ram. Traître
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (10:34 AM)
    merci SENEWEB la campagne a commencé, on connait maintenant votre camp , celui des lanceurs de tracts .

    Merci de vouloir tout noircir.Le peuple souverain apportera la réponse à tous les mercenaires de la plume payés à partir de Qatar.
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (10:40 AM)
    gouvernance scabreuse et calamiteuse

    merci sonko, nafi et commissaire keita
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (10:42 AM)
    maky est un danger pour notre pays le senegal, limoudeff degouko fen
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (10:50 AM)
    l'auteur de ce texte n'a rien inventé.
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (11:25 AM)
    macky sall est une calamité pour le senegal :frustre:  :frustre:  :frustre:  :frustre:  :frustre: 
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    Auteur

    Sady

    En Août, 2016 (11:43 AM)
    Analyse pertinente et objective!, Mr Sané

    Macky a véritablement trahi notre confiance.

    2019 arrivera tôt au tard, et nous le lui ferons regretter

    Wassalam!



    Vive le SENEGAL :sunugaal: 
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (11:47 AM)
    le peuple senegalais a elu macky sall et lui fait confiance. un Etat ne se gere pas comme une gargote. le senegal est en de bonnes mains et les senegalais en sont conscients. et le peuple souverain reste vigilant face aux agiteurs politiciens
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (13:03 PM)
    Lettre à mon frère Ousmane Sonko



    Cher Ousmane

    Cher Jeune frère,



    J’essaie de te joindre depuis plusieurs semaines pour te manifester mon soutien. J’ai encore essayé le matin de ton audition ratée. En vain ! Je t’ai laissé un SMS. Peut-être que tu l’as eu.

    Mais je comprends. Tu es tellement pris dans la nasse des inconséquences qui te sont imposées, que tu n’as plus le temps...



    Tu viens d’être radié de la fonction publique. Demain matin, tu te réveilleras groggy. Ce ne sera pas une faiblesse, mais une réaction naturelle, physiologique. Ce n’est pas une chute. C’est une nouvelle impulsion. Tu vas devoir écrire ton destin que je sais grand. Tellement grand que tu n’as pas le droit au doute. Ceux qui te connaissent et les sénégalais qui te découvrent et t’apprécient ne devront jamais te voir la tête basse. Ils savent que tu disposes des ressorts suffisants pour rebondir et faire face à ton destin. Tu es jeune Ousmane ! Tellement jeune….



    J’ai la conviction que tu ne te bats pas pour toi-même. Tu te bats pour ton peuple, ta nation. Un béat égoïsme t’aurait confiné dans le confort douillet des grandes régies financières, forclos de la précarité sénégalaise ambiante. Ton engagement politique jure d’avec la dictature de l’immédiat. Ni poste, ni strapontin, ni lambris dorés. Un ascétisme politique basésur la confiance en l’avenir et un espoir de voir ton peuple acquérir la maturité de pouvoir se réinventer et d’établir un bon ordre de ses priorités. Tu es certes utile aujourd’hui. Mais tu seras incontournable demain.



    Merci Ousmane, de porter la méritocratie républicaine en bandoulière et de nous rappeler à tous, à nous même comme aux autres, que l’on peut s’élever au rang des meilleurs par la force du poignet…et de l’intellect. Si ton brio intellectuel dérange, c’est qu’il y en a de suffisamment « débrouillards » pour décider que les derniers seront les premiers…le temps d’un pouvoir énivrant. Certains d’entre eux sont pourtant le fruit de la méritocratie. Mais ils ont oublié le difficile chemin. D’autres qui sifflent à l’oreille du chef, certainement moins outillés et moins méritocrates, n’auront d’autres intérêts que d’inverser la pyramide. Tes camarades d’école, du lycée et de l’université seront abasourdis par cette méthodique déconstruction programmée d’un projet de vie dont tu t’es donné les moyens de la réalisation.



    Ils ont fini par nous habituer, à notre corps défendant, à renverser la charge de la preuve si chère à nos traditions démocratiques, pour diriger les récalcitrants vers l’abattoir. Avant-hier, ils ont demandé à certains de prouver l’existence d’une fortune imaginaire. Hier encore, ils demandaient à un adversaire potentiel de prouver l’origine de fonds qui auraient servi à acquérir des immeubles et des sociétés …qui ne lui appartenaient pas. Aujourd’hui, c’est à ton tour. Il aurait fallu que tu déconnectes toi-même tes déclarations de ton statut de fonctionnaire. Travail trop laborieux qu’ils savent eux-mêmes ne pas pouvoir faire. Ils t’ont demandé l’impossible. Une aporie. C’était couru d’avance ! Comme d’habitude !



    Le Sénégal que nous voulons sera un conglomérat de talents, de convictions, de pépites, de patriotes, d’ascètes politiques et d’avant-gardistes, dont le terreau commun et fertile ira au-delà de nos structures partisanes classiques. L’impulsion sera celle de républicains qui oseront réinventer notre pays. Notre ambition commune pour le Sénégal doit nous insuffler, à nous tous, la puissance du don de soi et le sacerdoce du bien-être collectif.





    Très jeunes et assoiffés de savoir, nous avons appris, ensemble, de notre illustre professeur Babacar Kanté, que notre seule vraie honte serait d’être trouvés sur notre propre terrain et d’y être battus. Tu as échappé à cette honte, cher inspecteur. Il nous a appris à être des hommes d’honneur, travaillant à se parer d’un réel brio intellectuel fortement imprégné des règles d’éthique et d’équité nécessaires à la consolidation de notre jeune administration. Tu n’as pas failli sur ce terrain, cher inspecteur. Babacar Kanté nous a aussi appris à toujours avoir un plan B. J’espère que tu n’as pas négligé cette dernière leçon.



    Tu ne souffriras pas personnellement de cette décision que tu attendais. Mais ta famille en souffrira. Beaucoup de sénégalais en souffriront. Et ma modeste personne en est meurtrie.



    Vas jeune homme ! Nous ne te haïssons point ! Ton pays compte sur toi ! Les sénégalais, je l’espère, n’oublieront pas.



    The Best Is Yet To Come!



    Que Dieu te garde !



    Ton frère Dr El Hadji Abdourahmane DIOUF
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (13:21 PM)
    Merci à l'auteur pour ce résumé bien fait de beaucoup de faits et gestes de la gouvernance de notre pays. Cependant, j'aimerais que vous puissiez faire de sorte qu'on puisse partager cela pour que les citoyens sénégalais dans sa majorité ai accès à ces infos....J'ai essayé de partager sur Facebook mais ça ne passe pas.
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (13:22 PM)
    Avril 2019:

    Macky sale battu

    Aliou Sale prison Reubeuss en juillet 2019

    Mariéme Faye Sale Aout 2019 prison camp Pénal
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (13:33 PM)
    macky sale sall aye khérr nio koye dieulé palais beutieuk, naniou dém rék :emoshoot:  :fbhang:  :taz-smile:  :looney: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (14:01 PM)
    Saviez vous que Le sénégal a maintenant son propre réseau social

    SNCONECT.COM une plateforme qui permet de Trouver une personne en quelques secondes , une plateforme qui vous permez de réster en contact avec vos amis , parents , collégues du sénégal  :sunugaal: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (14:51 PM)
    "le peuple senegalais a elu macky sall et lui fait confiance. un Etat ne se gere pas comme une gargote. le senegal est en de bonnes mains et les senegalais en sont conscients. et le peuple souverain reste vigilant face aux agiteurs politiciens"? Mais toi vit-on dans le même sénégal?
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (15:04 PM)
    MS, le pire président que le Sénégal ait eu et la plus grande déception de l'histoire de notre pays. La préférence ethnique est une réalité et Wade avait bien raison de nous mettre en garde, heureusement qu'il y aura des élections et espérons qu'on aura pas à élire un autre tocard par défaut.
    Auteur

    Teuss

    En Août, 2016 (15:59 PM)
    c l'africain et le pouvoir

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    Auteur

    Second Maitre

    En Août, 2016 (16:15 PM)
    Merci Président je croi k le sénégal a besoin de présent fort qui ne recule pas devant le chantages des médias qui pense trompé éternellement le peuple.Média pr cons arrêté vos conneri car les sénégalais son réveillé depuis 2000.
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    Auteur

    R Second

    En Août, 2016 (16:19 PM)
    Le Sénégal à besoin d1 président fort qui ne recule pas devant les chantages de cé médias corrompus qui ne cherche que profit et intérêt personnel. Merci Président je précise que je suis militaire donc je sui loin de c politiciens et télés à la con.  :emoshoot: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (16:31 PM)
    Bel article !
    Auteur

    Pipo

    En Août, 2016 (17:08 PM)
    votons idy en 2019 au moins lui il s'est imprégné des problemes du pays contraire a macky qui gere le pays selon son humeur ou celu Mme
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (17:27 PM)
    Très certainement Macky Sall n’aime pas les bavards. Il ressort très clairement qu’ils le dérangent.

    Nafy Ngom Keita a été débarquée de la tête de l’OFNAC , pour avoir trop communiqué, de l’avis du palais. Sa remplaçante Seynabou Ndiaye Diakhaté promet d’en faire peu, c’est comme si elle donnait un gage de fidélité par rapport à sa mission (celle de se taire).

    Auparavant Malick Ndiaye et Amsatou Sow Sidibé ont fait les frais de leur liberté de critiques. Les deux Ministres conseillers ont été tout simplement limogés.

    Ousmane Sonko est radié de la fonction publique pour avoir dit que l’Assemblée Nationale ne versait pas les impôts qu’elle prélevait auprès des Députés.

    Ce n’est pas tout, dés son accession à la magistrature suprême, Macky a enrôlé toutes « les grandes gueules » de la République pour mieux les faire taire. Les opposants qui ont osé élever la voix pour dénoncer sa manière de gouverner ont tous fait l’objet d’intimidation ou ont tout bonnement fait la prison.

    Une grande partie de la presse est à son service, dans ce contexte, on se demande s’il reste encore de la place pour s’exprimer.

    Taisez-vous ! Semble être le mot d’ordre.
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    Auteur

    Al Fousseyni Sall

    En Août, 2016 (17:33 PM)
    il est pire que wade et n a pas son intelligence. Les Sénégalais sont tres décus, mais demain fera jour. Ndégam wade mo danou, tu ne perds rien pour attendre.
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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (18:20 PM)
    Les courageux sur le net. Continuez à écrire et vous congratuler, Macky c'est le peuple qui le préoccupe, mais une centaine de marginaux abonnés à l'insulte sur seneweb. Vous avez adopté la même stratégie pendant le référendum et le résultat le peuple vous a envoyé paître.
    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (18:40 PM)
    PÈLERINAGE À LA MECQUE!

    PRIÈRE OU NAFILA À FAIRE AVANT DE QUITTER SA MAISON, POUR ALLER AU PÈLERINAGE À LA MECQUE OU EFFECTUER TOUT AUTRE VOYAGE!

    Cette prière va raffermir et renforcer votre foi et vous protéger contre les tentations de Satan. Il est recommandé pour votre protection et celle de votre famille durant tout votre séjour aux lieux saints de l’islam. Il est rapporté que le prophète saw le faisait à chaque fois qu’il voulait voyager.

    Vous pouvez également l’effectuer pour tout autre voyage afin qu’Allah (swt) vous facilite votre séjour!

    VOUS POUVEZ VISIONNER LA VIDÉO À PARTIR DU LIEN CI-DESSOUS. N'OUBLIEZ PAS DE VOUS ABONNER POUR ÊTRE INFORMÉ DES NOUVELLES VIDÉOS À VENIR!!!

    youtu.be/PsfYeP_QRXU

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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (18:52 PM)
    Referendum vous avez volé

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    Auteur

    Anonyme

    En Août, 2016 (19:05 PM)
    MACKY A CESSE DE TRAVAILLER DEPUIS QU'IL A AFFIRME VOULOIR UN 2EME MANDANT A PARIS. IL A ENSUITE LIMOGE ABDOUL MBAYE. PUIS NOMME MIMI TOURE POUR METTRE UN TERME A LA TRAQUE DES BIENS MAL-ACQUIS.AUJOURD'HUI, NON SEULEMENT IL NE TRAVAILLE PLUS MAIS PROFITE DE CE QUI LUI RESTE POUR VOLER NOS RESSOURCES ENERGETIQUES A SAVOIR LE GAZ ET LE PETROLE. MAINTENANT C'EST AU PEUPLE SENEGALAIS DE SE REVEILLER...
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    Auteur

    Blain

    En Août, 2016 (19:32 PM)
    Youssouf sane en reclamant justice par rapport à des soient disant promesses du president de la republique et en listant à sa maniere ce qu il considere comme promesse non tenues ne navigue pas lui aussi dans la justice et l equite.L objectivite de ce texte aurait ete de faire aussi à cotes toutes les prommesses tenues par le president .Ce qui aurait donner la liberte aux senegalais d etre seuls juges.Une analyse sans objectivte en politique n est que de la politique politicienne.
    Auteur

    En Août, 2016 (22:34 PM)
    Macky a un plan pouir régenter le peuple sénégalais.Pour ce faire,il faut réussir à amadouer les chefs religieux en construisant des infrastructures jamais imaginées par ces derniers dans les capitales religieuses.Ensuite,les grands patrons de presse ont été nommés à des postes qui leur imposent l'obligation de réserve.En outre,les dinausaures poiltiques de la coalition Benno bokk yaakar,sont neutralisés avec des postes juteux à eux offerts.La justice non indépendante,l'Assemblée nationale(la plus décevante depuis l'indépendance de notre pays),aggrave la situation.Il peut alors dérouler une politique dangereuse pour les Sénégalais:trahison des promesses qui lui ont valu d'être élu à la tête de l'Etat,politique népoptiste à souhait, tendance à des nominations ethnicistes, frilosité envers la transparence, et la sobriété dans la gestion des biens de la République.La liste est longue.Il faut que les gens notent dans leurs agendas tous les actes de trahison commis par Macky Sall dans son régime,depuis 2012 ,en attendant les prochaines échéances électorales de 2017 et 2019 pour qu'il sache entre lui et le peuple sénégalais qui est le vrai lion?
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    Auteur

    Anonyme

    En Septembre, 2016 (10:42 AM)
    Aujoud'hui nos assistons a de nouveaux dirigeants tel que le rwanda , le benin , la tanzanie , le kenya et la ghana. le senegal est le pays actuellement le plus nul en matiere de democratie car la dictature fait son entree pour la premiere fois dans l'histoire.

    l'actuel president a manque a tous ses promesse et accentuer la corruption de par sa famille et ses amis.

    2019 sera une election dangereuse ou le president de par son ministre de l'interieur envisage un bourrage des urnes et emporter les elections au premiere tour.

    La grande question est que fera le peuple senegalais? si c'est un peuple de moutons , le coup de force passera et si le peuple refuse alors ce sera la victoire , et une lecon aux futures dirigeants qui viendront apres.  :emoshoot: 
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