Vendredi 29 Mars, 2024 á Dakar
Vendredi 01 Juin, 2018 +33
Politique

Exclusif - Accord entre la CENA et les partis politiques : Pas de vote dans sept départements

Single Post
Exclusif - Accord entre la CENA et les partis politiques : Pas de vote dans sept départements

La Commission électorale nationale autonome (Cena) et les partis politiques et coalitions engagés dans la Présidentielle ont décidé d’un commun accord de la non ouverture de bureaux de vote dans sept départements, faute d’électeurs inscrits.

L’accord concerne les sept départements suivants : Koungheul, Malem Hodar, Salémata, Médina Yoro Foula, Goudiry, Koumpentoum et Saraya. Selon les termes de l’accord, il a été décidé de la non ouverture de bureaux de vote, faute d’électeurs inscrits dans ces localités.  Toutefois,  les électeurs en mission qui le désirent  devront être orientés vers les départements de Tambacounda et Bakel. Les ministères de tutelles concernés ont été saisis à cet effet.



17 Commentaires

  1. Auteur

    Sopargni

    En Février, 2012 (15:55 PM)
    sopargni ak macky sall

    sopargni ak macky sall

    sopargni ak mackysall

      <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">    <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">  
  2. Auteur

    Beuz

    En Février, 2012 (15:56 PM)
    les toucouleur seront prives de vote.

    merci beaucoup,des votes moins pour macky le traitre

      <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/jumpy.gif" alt=":jumpy:">  
    {comment_ads}
    Auteur

    W2q

    En Février, 2012 (16:05 PM)
    JE VEUX L'ADRESSE DU DOMICILE DE OUSMANE NGOM ET ARONA SY
    {comment_ads}
    Auteur

    Citoyensenagalais

    En Février, 2012 (16:06 PM)
    hier je me suis rendu au consulat du Sénégal à paris pour récupérer mes cartes d'identité et d’électeur vous savez quoi ils m'ont remis la pièce d'identité et m'ont dit que mon nom n'est pas sur la liste pour les cartes d’électeurs je ne comprends pas comment cela peut il être possible et je voudrais savoir si quelqu'un d'autre a eu le même problème car moi je veux récupérer ma carte et accomplir mon devoir de citoyen
    {comment_ads}
    Auteur

    Ahh

    En Février, 2012 (16:16 PM)
    le vote des senefs est presum2 defavorable au pds ne soyez pas surpris. dans toutes les zones defavorables les cartes ne seront pas distribu2e
    Auteur

    Antiwade

    En Février, 2012 (16:55 PM)


    IL FAUT FAIRE PASSER LE MESSAGE ET DIRE À TOUS LES SÉNÉGALAIS QUI VOTENT DE DÉCHIRER LE BULLETIN DE VOTE DE ABDOULAYE WADE DANS L´ISOLOIRE ET DE CHOISIR LEUR CANDIDAT.

    FRONT TOUT SAUF WADE



     :sn: 
    {comment_ads}
    Auteur

    Banékh

    En Février, 2012 (17:02 PM)
    Et pour ceux qui veulent voter M23, voici la procédure :

    1- prendre tous les bulletins des candidats du M23,

    2- les mettre dans la même enveloppe,

    3- glisser l'enveloppe dans l'urne

    Bon vote !
    {comment_ads}
    Auteur

    X

    En Février, 2012 (17:04 PM)
    bon cest pas la peine daller voter...Wade a decide de gagner a 53%X au premier...C pourquoi ils ont decide de refuser la candidature de Youssou, parceque ca allait bouleverser tous leurs magouilles! Regardez demain sur WALA a 12 heures lexpert ki etait au coeur du systeme en 2007...il vous dira comment il est impossible a lopposition de gagner avec un fichier truffe delecteurs virtuels...pendant ke le pays brûle, karim et son copain madicke niang sont en france pr essayer de vendre a la droite les 53% de WADE::::REVEILLONS NOUS!!! WADE VA VOLER COMME EN 2007!
    {comment_ads}
    Auteur

    Mig21

    En Février, 2012 (17:15 PM)
    Nous demandons a toute bonne volonte qui peut NOUS AIDER ET nous poster online les ADRESSES DE TOUT MEMBRE DU GANG A WADE......DES NERVIS JUSQU'AUX MINISTRES ET CONSEILLERS....MERCI D'AVANCE
    Auteur

    Gangder

    En Février, 2012 (17:37 PM)
    Merci de me fournir l'adresse de Arona SY
    {comment_ads}
    Auteur

    Css

    En Février, 2012 (19:35 PM)
    Je ne comprend pas c'est presque impossible qu' aucune personne ne soit inscrite sur ces 7 Departments. Est ce que cette situation concerne seulement le vote militaire.



    S'il vous plait donner nous des informations concretes et verifiee
    {comment_ads}
    Auteur

    Se Defendre

    En Février, 2012 (19:37 PM)
    Un cocktail Molotov est une arme incendiaire artisanale dont le composant principal est une bouteille en verre en partie remplie de liquide inflammable, habituellement de l'essence ou de l'alcool PLUS goudron
    {comment_ads}
    Auteur

    Goudiry

    En Février, 2012 (21:04 PM)
    Mr tu es nul il faut précisé ce sont les électeurs militaire et paramilitaire

    Auteur

    Tanor Dieng

    En Février, 2012 (22:30 PM)
    MAM… NOUS DIS::

    Ne brulez pas notre pays, le conseil constitutionnel a tranché alors ........ au travail.

    Depuis la décision du conseil constitutionnel de valider la candidature de Wade chacun s'érige en constitutionnaliste et y va avec ses commentaires, certains en arrivent même à appeler à la violence – à l'insurrection et à la confrontation sur le terrain.



    Il faut dire que c'est quand même bien facile de caler ''ses fesses'' dans son fauteuil en occident, loin du Sénégal, et jouer au pyromane.



    Le perdant dans toute cette tragédie – cette comédie – cette mascarade n'est autre que le Sénégal et le peuple Sénégalais dans l'écrasante majorité, jusqu'à quand serons nous obligés de subir les caprices d'une part et la surenchère d'autre part des hommes politiques ?



    Posez vous la question à savoir, pourquoi aucun des partis politiques (pouvoir comme opposition) et autres mouvements de tout bord n'arrivent à mobiliser plus de 50 000 personnes dans une ville comme Dakar peuplée quand même de 3 000 000 d'habitants.



    Ça en dit long sur le ras le bol de la majorité des concitoyens d'être pris en otage.





    Aucun candidat à l'élection présidentielle ne peut être gagnant dans cette situation de tension et de chaos généralisé.



    Nous vivons dans une république et le conseil constitutionnel, seul organe habilité à trancher sur la question de la recevabilité des candidatures, a donné son verdict, alors que chacun se conforme à cette décision et commence dés à présent sa campagne.



    Apprenons à faire la différence entre notre souhait et la réalité, si nous avons été nombreux à souhaiter que le conseil constitutionnel invalide la candidature de Wade ou que ce dernier ait la sagesse de se retirer de son propre gré, il en a été décidé autrement.



    La faute à qui ?



    on ne peut pas reprocher au conseil constitutionnel d'avoir rejeté la candidature de Youssou Ndour , celui ci ne doit s'en prendre qu'à lui même car il existe plus de 150 partis politiques légalement constitués au Sénégal et c'était à porter de main que de demander à l'un d'entre eux de parrainer sa candidature.



    On ne peut pas non plus reprocher au conseil constitutionnel d'avoir donné sa propre interprétation de l'esprit de la constitution de 2001 sur le prince de ''non rétroactivité'', nous aurions dû être beaucoup plus regardant avant d'adopter par référendum la constitution de 2001 dans l'euphorie collective.



    Alors :



    que les pseudos intellectuels pyromanes arrêtent leurs analyses incendiaires

    que le pouvoir en place organise des élections transparentes

    que l'opposition se mette dés à présent au travail, qu'elle unisse ses forces pour avoir des représentants dans tous les bureaux de vote de Sénégal afin qu'aucune fraude ne puisse être réalisée : c'est bien possible et à portée de main !!



    En 2000 le parti socialiste, fort de 40ans de règne absolu sur le pays, était beaucoup plus puissant – plus organisé et plus implanté que le pouvoir en place et pourtant...et pourtant...et pourtant il a été déboulonné lorsque le peuple Sénégalais en a eu marre.

    Le seul combat qui vaille aujourd'hui :



    c'est de commencer dés à présent à parcourir toutes les régions – villes – villages et hameaux que compte le Sénégal afin de convaincre les électeurs de la nécessité d'un changement.



    C'est d'être vigilant et de mobiliser massivement des observateurs dans tous les bureaux de vote comme ce fut le cas en 2000.



    Wade ne pesait que 55% des voix en 2007, entre temps sa côte de popularité a drastiquement baissé et un second tour sera de fait obligatoire alors mettez vous au travail …....et maintenant !! ne remettons plus le boycott de 2007 qui a permis au pouvoir en place de rafler ''toutes'' les sièges à l'assemblée nationale ce qui par ailleurs a été à l'origine du passage sans obstacle de la loi de 2008 portant modification de la durée du mandat du président de la république...





    1- ne brulez pas notre pays et ne sacrifiez pas les enfants d'autrui pendant que les vôtres sont vautrés dans vos salons.



    {comment_ads}
    Auteur

    Miracle

    En Février, 2012 (00:46 AM)
    madike est l amant de karim ce sont de gor jiggen

    {comment_ads}
    Auteur

    Orléans45

    En Février, 2012 (08:07 AM)
    1

    Manifeste de « Devoir de Résistance »

    « Lorsque la vérité est remplacée par le silence, le silence devient un mensonge » Yevgeny Yevtushenko

    Il est des moments dans la vie d’une nation où le silence est complice et l’inaction coupable. Le Sénégal est en face d’un coup de force sans précédent, qui prend les allures d’un coup d’Etat constitutionnel, prélude à un hold-up électoral.

    Il est nécessaire de revenir quelque peu sur le débat de la constitutionnalité de la candidature de l’actuel Président de la République. L’initiateur de la réforme constitutionnelle du 22 janvier 2001, Abdoulaye Wade lui-même, en avait précisé l’esprit et fixé la compréhension en déclarant publiquement, urbi et orbi, qu’il ne pouvait se présenter à la magistrature suprême plus de deux fois, car il avait lui-même verrouillé la Constitution et limité la consécution des mandats à deux. Plus tard, dira-t-il « j’avais dit, je me dédis… ». Soit, grand bien lui en prenne. Se dédirait-il que toute la nation sénégalaise comme un seul homme devrait le faire avec lui ?

    Toujours est-il que débats d’interprétations, arguties juridiques et joutes sibyllines ne feront rien devant cette idée simple que nous avions tous comprise : pour garantir la respiration démocratique, un président élu ne pouvait faire au maximum que deux mandats consécutifs et s’en aller. Il lui était même loisible, s’il le souhaitait, de revenir plus tard briguer les suffrages du peuple, après qu’un autre sénégalais eût à son tour occupé la fonction présidentielle. Cette idée, nous l’avons confiée au langage et à un texte dit fondamental, notre Constitution.

    Les institutions ne valent que par les hommes qui les incarnent. Si ces derniers les trahissent en les vidant de leur substance, elles perdent de fait leur légitimité, deviennent des formes creuses et ne doivent plus être obéies. Nous ne pouvons et ne devons accepter la décision d’un conseil constitutionnel aux ordres qui ne dit point le droit, ne préserve point les valeurs communes que nous nous sommes choisies, mais l’intérêt privé et la surdité à l’intérêt général. Ce sont à des valeurs que nous donnons forme en créant des institutions qui sont les cadres devant garantir leur expression et préserver leur partage commun. Lorsque ces cadres ne les expriment plus et que les hommes censés les incarner foulent au pied, en toute conscience, celles que nous nous sommes données, il n’est d’autre choix que le refus et la résistance. Les gardiens de notre Constitution et du sens de notre loi fondamentale, ont déserté le temple, la besace remplie de pièces d’or rapinées, la livrant à des pilleurs. Nous devons les chasser et rebâtir nos édifices.

    2

    Qu’un clan tente de violer notre constitution, voici un fait indéniable que nous ne pouvons que constater. Si cependant, par lassitude, par manque de conviction et de courage, par faiblesse devant l’inéluctabilité supposée d’un fait accompli, nous y consentions, nous partagerions avec lui la responsabilité d’avoir totalement délégitimé et désacralisé notre loi fondamentale et par conséquent de ne plus pouvoir en faire un horizon, une référence intouchable, une ultima linea.

    Le temps des indignations feutrées de salon, des petits calculs, de la préservation d’intérêts mineurs et privés, de la posture d’intellectuels prudents « sages et avisés » est révolu. Des jeunes gens souvent sans diplômes ni grades, ayant beaucoup à perdre et peu à espérer ont montré le seul chemin qui vaille. Devant ce crachat projeté à la figure de tous les sénégalais, toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté qui sentent quelque part en eux, parfois obscurément, la profondeur de cette ignominie, doivent se lever, s’engager, agir concrètement devant l’urgence de la situation pour rétablir la dignité des règles du vivre ensemble que notre nation s’est choisie. Une dictature rampe et ne s’installe que lorsque les citoyens sont atomisés, retardent le moment de l’action, laissent le soin à d’autres de prendre en charge le refus nécessaire qui préserve la liberté de tous. Dans un Etat de droit, lorsque les normes sont désertées de l’esprit de préservation contre l’arbitraire des gouvernants et des juges, elles cessent d’être légitimes. La régularité formelle apparente de la règle ne suffit alors guère à réparer le vice de son irrégularité substantielle, son illégitimité augurant son ineffectivité ! L’insoumission, dans ce cas, est un devoir civique, si tant est que le civisme traduise encore notre « amour des lois ». Le fait peut rétablir le droit et c’est à cela que nous appelons nos concitoyens : ne pas entériner un fait apparemment accompli. Plus que ce qui arrive, c’est la manière dont nous y faisons face qui importe.

    Devant l’urgence de la situation, nous avons décidés de quitter le silence de nos amphithéâtres et de nos laboratoires de recherche pour lutter et préserver notre Démocratie et notre République. Nous nous devons en tant qu’Universitaires et Citoyens d’incarner les valeurs que nous professons. Instruire, éduquer, éclairer peut-être, telles sont les missions que la nation nous confie, ce sacerdoce nous enjoint également, lorsque les valeurs que nous transmettons tous les jours sont en péril, de prendre position et de les défendre. Il s’agit aujourd’hui de se dresser, de faire front contre la tentative de nous déposséder de notre liberté de choix. Cet appel s’adresse à tous les citoyens sénégalais soucieux de préserver le bien commun le plus précieux dont nous disposons : notre République.

    La bataille doit se mener sur plusieurs fronts. Celui d’abord de la délégitimation de la candidature inconstitutionnelle de Wade, celui ensuite de la transparence des élections, et enfin celui du refus d’un hold-up électoral qui se profile.

    3

    1) D’abord continuer à Résister contre cette candidature illégitime et illégale dans l’esprit et dans la lettre. Le faire avec toute la mesure, la dignité, la force et la sérénité de la conviction qui nous anime. Manifester inlassablement notre refus dans toutes les places symboliques de toutes les villes et bourgades du Sénégal, tous les jours, pacifiquement, autant de temps qu’il le faudra. Essuyer la répression qui va s’afficher hardiment, l’endurer, revenir, se dresser à nouveau, jusqu’au bout. La tentative de confisquer notre liberté de choix et notre souveraineté mourra à la barricade que nous lui aurons choisie. Aujourd’hui, elle prend le visage d’une candidature illégitime qu’il faut combattre avec la dernière énergie. Il importe de résister et d’empêcher Abdoulaye Wade, par un front de refus sans concession de se présenter à un troisième mandat, car aller aux élections avec sa candidature, c’est accepter de jouer un jeu dont les dés sont déjà pipés. Comme lorsque vous acceptez de jouer un match de foot avec douze adversaires en face au lieu de onze et que vous reprochiez à cet intrus de marquer un but avec la main. C’est une pente glissante, dès que nous y consentons, l’abîme nous guette. Le refus doit être ici primal, originel, de principe, total.

    La campagne électorale d’un scrutin originellement entaché est enclenchée et le passage en force pourrait sembler déjà consommé et inéluctable. En réalité, il n’en est rien. Si nous devons gérer le paradoxe d’une élection avec un candidat illégitime entré dans le jeu par effraction, les solutions existent et demeurent. 1. Se mobiliser, aller voter et lui infliger une sévère défaite qui, par son ampleur, exprimera le rejet populaire et massif de son régime, de ses pratiques et de celles de son clan. 2. Continuer à informer et à sensibiliser l’opinion sur le fait que la candidature de Wade est inconstitutionnelle et qu’elle le demeure. 3. L’exclure car il ne doit pas faire partie du jeu. Puisqu’il y est entré frauduleusement, en considérant qu’il n’en fait pas partie, en ne l’y associant pas, en ignorant tout simplement son bulletin le jour du vote, nous rétablirons le droit par le fait. Bokku ci, bouleen ko ci boole : il n’en fait pas partie, ne l’y associez pas. Le refus de sa candidature s’exprimera ici par la mise en quarantaine symbolique de ce bulletin qui n’a pas droit de cité sur le présentoir des urnes.

    2) S’organiser pour éviter les fraudes, être présent dans tous les bureaux de vote au moment du dépouillement. Mettre sur pied des comités citoyens de vigilance pour la transparence du vote. Tenir une comptabilité en temps réel des voix, les transmettre à toutes les radios instantanément. Eviter que les urnes ne soient transportées nuitamment. Faire preuve d’imagination, réfléchir aux antidotes de tous les mécanismes de fraude connus, les anticiper, les contrecarrer. Votez et surveillez, votez et veillez, votez et demeurez vigilants, restez sur place jusqu’au dépouillement. Ma voix, mon bureau de vote, ma vigilance. Dans les bureaux de vote les plus reculés du Sénégal, s’organiser pour assister au

    4

    dépouillement et s’assurer que des correspondants de radios puissent communiquer les résultats en temps réel.

    3) Dernier temps de cette bataille décisive ; se mobiliser pour que les vrais résultats des urnes soient proclamés et se dresser si, d’aventure, ce clan poussait la forfaiture jusqu’à confisquer les suffrages des sénégalais en proclamant de faux résultats. Nous pêcherions par une coupable naïveté, si nous songeons un instant que ce régime compte naturellement respecter les suffrages des Sénégalais. Il ne le fera que s’il y est forcé et contraint, cerné, empêché de manoeuvrer. Le rejet massif du coeur des sénégalais de ce système, largement exprimé, démontre qu’Abdoulaye Wade ne peut gagner ni au premier tour, ni au second tour. Il faudra dans le cas fort probable de la diffusion de faux résultats, qu’un conseil constitutionnel aux ordres se hâtera de proclamer, se battre résolument et reconquérir la souveraineté du Sénégal, car soyons en sûrs, ce régime qui ne recule devant rien, même pas devant le meurtre de citoyens honnêtes réclamant leur droit à choisir qui va les diriger, poussant l’indécence jusqu’à comparer cette tragédie à une brise, reculera qu’il le veuille ou non devant plus fort que lui, c’est-à-dire, le Peuple sénégalais.

    Pr Felwine Sarr, Maitre de Conférences Agrégé, Doyen de la Faculté de Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Ibrahima Silla, Enseignant-Chercheur en Sciences Politiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr François Joseph Cabral, Maitre de Conférences Agrégé, Enseignant-Chercheur en Economie, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

    Dr Mohamadou Boye, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Adrien Dioh, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Dr Mohamed Moro Koïta, Chef du Département de Gestion, Université Gaston Berger, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr Abdou Sène, Doyen de la Faculté des Sciences Agronomiques d’Aquaculture et de Technologie Alimentaire de l’Université Gaston Berger, de Saint-Louis

    Dr Abdoul Alpha Dia, Enseignant-Chercheur en Economie, Université de Bambey

    5

    Dr Aziz Diouf, Enseignant-Chercheur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Dr Seydina Ndiaye, Enseignant-Chercheur en Informatique, Université Gaston Berger de Saint-Louis,

    Dr Omar Mbodj, Enseignant-Chercheur à l’UFR SAT, Université Gaston Berger

    Dr Benjamin Ndong, Chef du Département d’Economie, Université Gaston Berger

    Dr Ousmane Thiaré, Maitre de Conférence en Informatique, Université Gaston Berger

    Dr Boubacar Diallo, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger

    Dr Amadou Ka, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger

    Dr Mouhamadou Moustapha Ly, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Lina Husseini, Libraire, Dakar

    Mamadou Sarr, Colonel à la retraite

    Dr Moussa Zaki, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Dr Khadidiatou Diallo, Enseignant-Chercheur, UFR LSH, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Xavier Correa, Juriste, New-York

    Nayé Bathily, Banque Mondiale, Paris

    Dr Babacar Sène, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Pr Ousmane Kane, Columbia University, New-York
    {comment_ads}
    Auteur

    Un Citoyen

    En Février, 2012 (08:47 AM)
    Allons tous voter. Ne vous faites pas décourager par ceux vous incite de ne pas voter parce que Wade va gagner avec 53%. C'est des gens du pouvoir. TOUS AU VOTE POUR LA PLUS GRANDE DÉSILLUSION DE WADE ET DE SES SBIRES.

Participer à la Discussion

  • Nous vous prions d'etre courtois.
  • N'envoyez pas de message ayant un ton agressif ou insultant.
  • N'envoyez pas de message inutile.
  • Pas de messages répétitifs, ou de hors sujéts.
  • Attaques personnelles. Vous pouvez critiquer une idée, mais pas d'attaques personnelles SVP. Ceci inclut tout message à contenu diffamatoire, vulgaire, violent, ne respectant pas la vie privée, sexuel ou en violation avec la loi. Ces messages seront supprimés.
  • Pas de publicité. Ce forum n'est pas un espace publicitaire gratuit.
  • Pas de majuscules. Tout message inscrit entièrement en majuscule sera supprimé.
Auteur: Commentaire : Poster mon commentaire

Repondre á un commentaire...

Auteur Commentaire : Poster ma reponse

ON EN PARLE

Banner 01

Seneweb Radio

  • RFM Radio
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • SUD FM
    Ecoutez le meilleur de la radio
  • Zik-FM
    Ecoutez le meilleur de la radio

Newsletter Subscribe

Get the Latest Posts & Articles in Your Email