Pour engager la bataille des élections locales qui le mettra aux prises avec les apéristes de Dakar, Khalifa Ababacar Sall va s’entourer des responsables politiques venues de différentes chapelles.
Moussa Sy (maire des Parcelles Assainies), Diopsy, Mamadou Lamine Diallo (du mouvement Tekki), Docteur Malick Diop (député-maire de Point E-Amitié), Mbacké Seck (Rewmi), Babacar Ndao (Parti démocratique Sénégalais), Wally Fall … font partie de la dream team hétéroclite du maire de la capitale qui entend batailler ferme pour conserver son fauteuil.
37 Commentaires
Dxb
En Avril, 2014 (11:58 AM)Honoris Causa
En Avril, 2014 (11:58 AM)Dof Bi
En Avril, 2014 (11:59 AM)Mme Cisse
En Avril, 2014 (12:01 PM)Hhh
En Avril, 2014 (12:03 PM)Moïse André Sambou
En Avril, 2014 (12:10 PM)Edaw
En Avril, 2014 (12:22 PM)Erreur Bou Graaaw!!! Mo Xew!!!
En Avril, 2014 (12:30 PM)Thezou
En Avril, 2014 (12:43 PM)M Loum
En Avril, 2014 (13:57 PM)Famille Ndiaye
En Avril, 2014 (14:07 PM)Wanar
En Avril, 2014 (14:34 PM)Que dieu vous,assiste
Dado
En Avril, 2014 (14:46 PM)Dalaldiam
En Avril, 2014 (15:00 PM)IL EST L UN DES CANDIDATS LES PLUS EN VUE POUR 2022.
Ojjoi
En Avril, 2014 (15:23 PM)Nourou Sy
En Avril, 2014 (15:26 PM)Bbb
En Avril, 2014 (15:54 PM)Thiouks
En Avril, 2014 (16:19 PM)Asphyxié, Sénégal Airlines sera-t-il cédé au franc symbolique ?
18-04-2014
La jeune compagnie aérienne, Sénégal Airlines, née au lendemain de la liquidation en 2009 de Air Sénégal International, fruit d’un partenariat maroco-sénégalais, a franchi un niveau d’endettement insupportable. Factures faramineuses de ses contrats leasing impayées contractées auprès des loueurs privés, récurrentes pannes de ses appareils immobilisés, personnel navigant sous-motivé, partenaire stratégique et technique presque introuvable, plan de recapitalisation gelé, Sénégal Airlines vit les derniers jours du précipice volant. Que se passe-t-il ?
Sénégal Airlines carbure dans le noir. Ses jours sont comptés. Ses ailes brûlent, sa situation financière désastreuse (plus de 8,3 milliards de f CFA de passif cumulé) et si les autorités sénégalaises n’y font rien avant fin juillet 2014, la compagnie aérienne, qui avait suscité l’espoir après la liquidation au forceps d’Air Sénégal International, devra disparaître du ciel africain. Selon des informations en notre possession, recoupées auprès de hauts cadres de la compagnie, l’endettement a atteint un niveau insupportable. «Si l’Etat ne réagit pas d’ici fin juillet prochain, c’est la mort de Sénégal Airlines, qui malgré ce qu’elle endure tient les ailes en sauvant la face», confessent avec peine nos interlocuteurs. Presque la mort dans l’âme, l’espoir envolé de voir grandir un pavillon dans le ciel ouest-africain, ces hauts responsables de Sénégal Airlines ont révélé à Les Afriques, que les actionnaires du capital de Sénégal Airlines sont très en retard par rapport à la nouvelle donne du marché de l’industrie de l’aéronautique. «Ils ont voulu faire des placements sans connaître les enjeux du marché. Maintenant, ils s’en moquent de notre situation», pestent-ils. En réalité, tout se savait dans les couloirs surtout en ce qui concerne le portefeuille financier dégradant à une vitesse de croisière (de la compagnie) mais personne ne voulait «griller l’embargo» afin de ne pas s’attirer les foudres du cabinet shadow du directeur général.
À l’évidence, depuis le démarrage des activités de Sénégal Airlines, le corps de SAL s’apparente à un corps en métastase. La compagnie aérienne croule sous le poids d’un endettement cumulé estimé à plus de 8,3 milliards de f CFA.
Tentatives infructueuses de trouver repreneur
La douloureuse et désagréable parenthèse d’Air Sénégal International a poussé les banques privées de la place financière dakaroise à apporter du cru à la nouvelle jeune compagnie Sénégal Airlines. Selon des informations parvenues à Les Afriques, un pool de banques locales avait été approché par les nouvelles autorités sénégalaises pour perfuser la compagnie sous forme d’un crédit syndiqué. Sans succès. Les raisons de refus des banques privées de mettre la main à la poche s’expliquent par la non-rentabilité financière de la compagnie désagrégée par la facture salée de ses contrats leasing auprès des compagnies loueurs. La compagnie Mauritania Airlines et un loueur français dont l’identité n’a pas été révélée sont les principaux affréteurs d’appareils à Sénégal Airlines. Les prestations du leasing sont faramineuses. On parle de 5,800 milliards de f CFA à la date du 25 janvier 2014. À cela s’ajoutent les intermittentes pannes de ses deux appareils immobilisés sur les tarmacs, provoquant des chamboulements de son planning de vols sur les lignes Dakar-Bamako-Ouagadougou-Niamey. Le vol DN 03 du 10 avril 2014 devant assurer la desserte Niamey-Dakar a dû être différé pour le 11 avril 2014 au finish. La compagnie Sénégal Airlines n’attire plus personne, perd sa crédibilité, se brûle les ailes et s’éloigne de plus en plus de ses ambitions. Révélé en exclusivité par Les Afriques à l’époque, Sénégal Airlines avait dû casquer en juillet 2011 la bagatelle de 800 millions de f CFA aux techniciens de Lufthansa, pour sortir un de ses appareils cloués dans la boue à l’Aéroport international Bamako-Sénou.
Les autorités dakaroises ont engagé il y a quelques mois des discussions avec le géant South Africa Airlines pour une prise de participation au capital de Sénégal Airlines. Nos sources qui sont formelles affirment que l’offre de Dakar n’agrée pas les Sud-africains. Mieux, nous a confié une source, les ponts entre Dakar et South Africa Airlines sont coupés. Pour l’instant, la page semble être fermée. La seule option qui s’impose pour les autorités du régime Macky Sall, à défaut de trouver vite un repreneur stratégique technique, est de vendre Sénégal Airlines au franc symbolique. Comme par le passé avec Air Sénégal International qui a filé l’oiseau volant au franc symbolique.
PAR ISMAEL AIDARA ( Les Afriques )
Kha
En Avril, 2014 (16:29 PM)Tout Le Monde Sauf Malick Diop
En Avril, 2014 (16:50 PM)Mames
En Avril, 2014 (17:57 PM)K
En Avril, 2014 (18:58 PM)Kaghan
En Avril, 2014 (19:01 PM)Progres
En Avril, 2014 (19:07 PM)Adja
En Avril, 2014 (19:51 PM)Ddiopes
En Avril, 2014 (20:00 PM)He
En Avril, 2014 (20:03 PM)Rimka
En Avril, 2014 (21:32 PM)Hier, Mes El Hadji Amadou Sall, Ciré Clédor Ly, Demba Ciré Bathily et Mohamed Seydou Diagne ont adressé une lettre à Jim Yong Kim, président du groupe de la Banque Mondiale s/c de Madame Véra Songwé, représentant Résident de la Banque mondiale au Sénégal. Une correspondance dans laquelle les avocats de Karim Wade sollicite la collaboration de la Banque mondiale pour prouver l’innocence de leur client. «Les plus hautes autorités du Sénégal en complicité avec le Procureur spécial et la Commission d’instruction introduisent
une nouvelle accusation fantaisiste et mensongère selon laquelle le ministre d’Etat Karim Wade posséderait un compte à Singapour auprès de la Banque ‘Industrial and Commercial Bank of China’ disposant d’un solde de quarante cinq milliards de Francs Cfa (45 000 000 000 F cfa) à savoir 93 726 204 millions de dollars Us», écrivent les avocats de Karim Wade. «En tant que chef de file des bailleurs de fonds au Sénégal qui a adhéré à votre programme Star (Stolen Asset Recovery- Récupération des actifs/avoirs volés), nous vous demandons de bien vouloir saisir immédiatement les autorités de Singapour pour rapatrier au Sénégal, ces prétendues sommes d’argent qui existeraient sur ce prétendu compte», ordonnent Mes Ciré Clédor Ly, El Hadji Amadou Sall et consorts. «Nous vous demandons au nom de notre client de bien vouloir demander aux autorités de Singapour de procéder à l’identification, à la saisine et au rapatriement au Sénégal de toute somme qui pourrait être logée sur tout compte appartenant de manière directe ou indirecte à Monsieur Karim Wade», ajoutent les avocats. «Nous vous demandons également, au nom de la transparence, de bien vouloir édifier l’opinion sénégalaise et internationale, sur les résultats de vos investigations lesquelles ne feront que confirmer que cette accusation d’un prétendu compte de notre client à Singapour n’est qu’une manipulation grotesque de plus, des nouvelles autorités sénégalaises pour empêcher ce dernier de se présenter à l’élection présidentielle de 2017 et qu’il est un otage politique du Président Macky Sall», écrivent Mes El Hadji Amadou Sall, Ciré Clédor Ly et consorts dans cette correspondance adressée également à l’Union européenne, à l’Agence française de développement (Afd), à l’Usaid, au Millenium challenge account (Mca), à la Banque islamique de développement (Bid), à la Banque africaine de développement, à la Banque ouest africaine de développement (Boad), au Fonds koweitien, au Fonds saoudien de développement, au ministre de la Justice et des Finances de Singapour et au ministre des Finances du Sénégal.
Les avocats de Karim Wade soulignent qu’à «quelques heures de la clôture du dossier d’instruction par la Commission d’Instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), suite à deux (02) ans d’enquêtes au Sénégal et à l’étranger, les résultats démontrent l’inexistence de charges et de preuves contre notre client pour les délits d’enrichissement illicite et de corruption. Les résultats des commissions rogatoires internationales (France, Luxembourg, Monaco et autres) blanchissent complètement notre client». Mieux, précisent-ils, «l’Etat du Sénégal est à ce jour, incapable de produire le moindre rapport d’enquête ou d’audit démontrant des faits de corruption ou de détournements de derniers publics»,
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Abilan
En Avril, 2014 (21:44 PM)Liop
En Avril, 2014 (22:24 PM)Baron Ps
En Avril, 2014 (23:22 PM)Bby
En Avril, 2014 (01:53 AM)Kocc
En Avril, 2014 (10:11 AM)Pipo
En Avril, 2014 (11:15 AM)F Paye
En Avril, 2014 (12:05 PM)Tous nos parents qui ont fait de ce quartier une havre de paix méritent celà......
KHALIFA ou RIEN......;
Khalifa For EVER
Aminata Faye
En Avril, 2014 (16:25 PM)Tapha Sonko
En Mai, 2014 (01:09 AM)Participer à la Discussion