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Politique

Malick Noël Seck : « Le Président de la République n’est que le fils de Wade»

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Malick Noël Seck : « Le Président de la République n’est que le fils de Wade»
«Le Front National de Salut Public/ Mom Sa Reew et Yoonu Askan Wi/ Mouvement pour l’Autonomie Populaire ont pris la décision d’œuvrer ensemble en faveur d’une candidature de la gauche aux élections présidentielles et législatives prochaines.

«Il s’agit d’un engagement devant le peuple Sénégalais et il faut le respecter. Il faut le respect de la parole donnée. Le Président de la République n’est que le fils de Wade. Le gouvernement ne tient par parole et ne travaille pas pour nous. Il travaille pour le Fmi (Fonds monétaire international) ou la Banque Mondiale. Faire des revirements ou des «Wax Waxét», cela ne m’étonnera pas. Il faut que le peuple sénégalais prenne ses responsabilités», déclare Malick Noël Seck.


«Si le président de la République, signataire de la charte de gouvernance démocratique des Assises Nationales, persiste dans sa position de refus d’une prise en compte substantielle des conclusions des Assises Nationales et des travaux de la CNRI (Commission nationale de réforme des institutions), il prend la grave responsabilité de risquer de plonger notre pays dans des incertitudes et des batailles populaires et citoyennes majeures qui vont jalonner la période 2016-2017-2019”, a ajouté Malick Noël Seck. C’est pour “mieux faire face, avec le peuple, aux différents périls qui menacent le Sénégal et l’Afrique toute entière, frayer la voie à un véritable Plan Sénégal Indépendant (PSI), favoriser les conditions de la conquête démocratique du pouvoir par le peuple» que les deux organisations ont décidé de s unir, dit-il. 


5 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (15:47 PM)
    Petro-Tim Sénégal S.A est dans la place. C’est la nouvelle société pétrolière fondée par notre confrère Aliou Sall, le frère présidentiel, qui réussit la prouesse de doubler la puissante société anglo-irlandaise Tullow Oil, implanté au Gabon et qui était au large de Dakar. Des démarches étaient d’ailleurs en cours pour l’installation de cette maxi firme au Sénégal.



    Depuis le 30 septembre dernier, la société pétrolière anglo-irlandaise Tullow Oil, dirigée par David Roux, a commencé des recherches au nord de Libreville. Ces recherches vont se développer sur les côtes du Cap Estérias, à une trentaine de kilomètres au nord de Libreville, grâce à une société pétrolière dénommée Kiarsseny Marin. Depuis 2009, Tullow Oil Gabon entreprend des campagnes sismiques au large des côtes de Libreville, allant du port d’Owendo au nord de Libreville, notamment dans la zone du Cap Estérias.



    Basée à Londres, Tullow Oil avait jusqu’en 2004 une position marginale au Gabon dans l’exploration du pétrole, date à laquelle elle avait racheté la société Energy Africa Gabon, qui elle en revanche avait une présence significative tant dans l’exploration que dans l’exploitation. Tullow Oil Gabon SA détient des participations dans 18 licences, dont 11 champs en production.



    Le Sénégal était également dans le viseur de Tullow Oil, mais le projet pourrait se heurter à la concurrence sérieuse du frère du président de la République, le journaliste Aliou Sall.



    Petro-Tim Sénégal S.A.U, qui vient de voir le jour, il y a quatre mois, a son siège social à Dakar sur la Vdn. Son objet social est l’exploration et la recherche pétrolière ; la prise de participation dans tous titres miniers et pétroliers, l’exploitation, la production, le stockage temporaire, le traitement, le transport, le raffinage, la distribution, le marketing et la commercialisation.



    Le capital social de la société est fixé à 20.000.000 FCFA à libérer en numéraires au moment de la constitution de la société. Avec son statut de Société anonyme unipersonnelle (S.A.U), Aliou Sall, frère du chef de l’Etat et ancien ministre-conseiller à l’Ambassade du Sénégal en Chine, étant le seul et unique actionnaire, les dispositions statutaires relatives à la constitution des réserves et à la répartition des bénéfices et du bon de liquidation, tout comme les conditions d’admission aux assemblées d’actionnaires et d’exercice du droit de vote, n’ont plus leur place dans les statuts de la société.



    Vous avez dit sévérité dans la gestion des contrats ?



    Dans un article publié dans le site leblogfinance.com, Elisabeth Studer, spécialiste du secteur, lançait cet avertissement, afin de faciliter la compréhension du marché de la prospection pétrolière.



    « Alors que nous indiquions ici-même après l’élection de Macky Sall à la présidence de la République que son arrivée au pouvoir pouvait être quelque peu liée à de très fortes odeurs de pétrole, les faits semblent nous donner raison aujourd’hui ». Le nouveau magazine «Gouvernances», paru lundi à Dakar et propriété du même Aliou Sall, indiquait pourtant que les autorités sénégalaises envisageaient des mesures de rigueur dans la gestion des permis attribués aux compagnies de recherches pétrolifères opérant dans les blocs du pays.



    Dans un entretien avec cette nouvelle revue sénégalaise d’analyses des politiques publiques, de l’économie et de la finance, Mamadou Faye, nouveau Directeur général de la Société des Pétroles du Sénégal (Petrosen) a ainsi indiqué que le nouveau gouvernement sera désormais « plus sévère » en « limitant les extensions ».



    Le directeur de Petrosen a, par ailleurs, précisé que si c’était nécessaire, les contrats et demandes de garanties bancaires déposées par les compagnies pourraient être stoppées. « Si au-delà du temps défini la société concernée ne réalise pas les travaux, nous allons récupérer nous-mêmes la garantie bancaire et faire les travaux ».



    «Se plaignant par ailleurs du fait que l’actuelle « gestion conciliante des contrats » ne permettait pas au Sénégal de rattraper son retard sur certains pays africains, alors même que beaucoup de compagnies opèrent dans les blocs sénégalais.



    En fait « la mise en évidence de petits gisements de pétrole et de gaz naturel produits depuis les années 1960 démontre l’existence d’un système pétrolier fonctionnel dans le bassin sédimentaire du Sénégal ». Mamadou Faye a par ailleurs souligné les découvertes de pétrole opérées dans l’offshore mauritanien, au Ghana et récemment en Sierra Leone, justifiaient – selon lui – les espoirs du Sénégal fondés sur « la similitude des pièges rencontrés dans ces bassins avec ceux identifiés dans l’offshore profond au Sénégal ».



    Pour rappel plusieurs travaux d’exploration avaient été menés aussi bien en offshore qu’en on-shore, entre les régions de Dakar et de Thiès.



    Ainsi en 2011 le Sénégal a enregistré, 26 manifestations d’intérêt et 11 demandes de permis émanant des compagnies pétrolières internationales. « Nous avons récemment annulé des permis de recherche d’or signés entre le 1er et le second tour de la Présidentielle par l’ancien régime. Nous avons pris ces décisions parce que certains actes étaient suspects » a révélé M. Faye.



    Discours un « tantinet simpliste et risible »… alors que le nouveau président, Macky Sall est très fortement lié à l’ancien régime de Wade et à l’odeur du pétrole, ne serait-ce qu’en tant qu’ancien ministre de l’Energie et des mines et ancien directeur de Petrosen.



    Le nouvel homme fort du pays, géologue de formation, est nécessairement lié au secteur pétrolier, son centre d’intérêt par excellence.



    Le site de Petrosen (Société des Pétroles du Sénégal), précise d’ailleurs qu’African Petroleum a signé avec l’Etat du Sénégal deux contrats portant sur les blocs de Rufisque Offshore profond et Sénégal Offshore Sud profond. En «fouillant» sur le site, nous apprenons également que Tullow Oil (Royaume-Uni), en partenariat avec Dana et Petrosen, a acquis 620 km² de données sismiques 3D, au large de Saint-Louis (ancienne capitale de l’AOF Afrique Occidentale Française), entre le mois de mars et mai 2008.



    Plus loin encore, nous apprenons, en analysant la carte du potentiel et des opportunités pétrolières au Sénégal, que sont déjà présentes sur les lieux : les sociétés Fortesa (basée à Houston USA) (permis de Thiès), Maurel et Prom, Energy Africa, Hunt Oil (USA), Edison, Al Tani et Kampac Oil, lesquelles détiennent des permis d’exploration.



    En juin 2010, l’ancien boss de Pétrosen Amadou Djibril Kanouté, avait déclaré en présentant le Plan stratégique 2008-2012, que les compagnies pétrolières présentes dans le bassin sédimentaire du Sénégal avaient globalement dépensé plus de 125 millions de dollars depuis 2000. Certaines compagnies comme Fortesa, Hunt Oil, Far, Edison ou Tullow Oïl ayant, à cette date, injecté chacun des montants variant entre 37 et 21 millions de dollars.

    Petro-Tim Sénégal S.A est dans la place. C’est la nouvelle société pétrolière fondée par notre confrère Aliou Sall, le frère présidentiel, qui réussit la prouesse de doubler la puissante société anglo-irlandaise Tullow Oil, implanté au Gabon et qui était au large de Dakar. Des démarches étaient d’ailleurs en cours pour l’installation de cette maxi firme au Sénégal.



    Depuis le 30 septembre dernier, la société pétrolière anglo-irlandaise Tullow Oil, dirigée par David Roux, a commencé des recherches au nord de Libreville. Ces recherches vont se développer sur les côtes du Cap Estérias, à une trentaine de kilomètres au nord de Libreville, grâce à une société pétrolière dénommée Kiarsseny Marin. Depuis 2009, Tullow Oil Gabon entreprend des campagnes sismiques au large des côtes de Libreville, allant du port d’Owendo au nord de Libreville, notamment dans la zone du Cap Estérias.



    Basée à Londres, Tullow Oil avait jusqu’en 2004 une position marginale au Gabon dans l’exploration du pétrole, date à laquelle elle avait racheté la société Energy Africa Gabon, qui elle en revanche avait une présence significative tant dans l’exploration que dans l’exploitation. Tullow Oil Gabon SA détient des participations dans 18 licences, dont 11 champs en production.



    Le Sénégal était également dans le viseur de Tullow Oil, mais le projet pourrait se heurter à la concurrence sérieuse du frère du président de la République, le journaliste Aliou Sall.



    Petro-Tim Sénégal S.A.U, qui vient de voir le jour, il y a quatre mois, a son siège social à Dakar sur la Vdn. Son objet social est l’exploration et la recherche pétrolière ; la prise de participation dans tous titres miniers et pétroliers, l’exploitation, la production, le stockage temporaire, le traitement, le transport, le raffinage, la distribution, le marketing et la commercialisation.



    Le capital social de la société est fixé à 20.000.000 FCFA à libérer en numéraires au moment de la constitution de la société. Avec son statut de Société anonyme unipersonnelle (S.A.U), Aliou Sall, frère du chef de l’Etat et ancien ministre-conseiller à l’Ambassade du Sénégal en Chine, étant le seul et unique actionnaire, les dispositions statutaires relatives à la constitution des réserves et à la répartition des bénéfices et du bon de liquidation, tout comme les conditions d’admission aux assemblées d’actionnaires et d’exercice du droit de vote, n’ont plus leur place dans les statuts de la société.



    Vous avez dit sévérité dans la gestion des contrats ?



    Dans un article publié dans le site leblogfinance.com, Elisabeth Studer, spécialiste du secteur, lançait cet avertissement, afin de faciliter la compréhension du marché de la prospection pétrolière.



    « Alors que nous indiquions ici-même après l’élection de Macky Sall à la présidence de la République que son arrivée au pouvoir pouvait être quelque peu liée à de très fortes odeurs de pétrole, les faits semblent nous donner raison aujourd’hui ». Le nouveau magazine «Gouvernances», paru lundi à Dakar et propriété du même Aliou Sall, indiquait pourtant que les autorités sénégalaises envisageaient des mesures de rigueur dans la gestion des permis attribués aux compagnies de recherches pétrolifères opérant dans les blocs du pays.



    Dans un entretien avec cette nouvelle revue sénégalaise d’analyses des politiques publiques, de l’économie et de la finance, Mamadou Faye, nouveau Directeur général de la Société des Pétroles du Sénégal (Petrosen) a ainsi indiqué que le nouveau gouvernement sera désormais « plus sévère » en « limitant les extensions ».



    Le directeur de Petrosen a, par ailleurs, précisé que si c’était nécessaire, les contrats et demandes de garanties bancaires déposées par les compagnies pourraient être stoppées. « Si au-delà du temps défini la société concernée ne réalise pas les travaux, nous allons récupérer nous-mêmes la garantie bancaire et faire les travaux ».



    «Se plaignant par ailleurs du fait que l’actuelle « gestion conciliante des contrats » ne permettait pas au Sénégal de rattraper son retard sur certains pays africains, alors même que beaucoup de compagnies opèrent dans les blocs sénégalais.



    En fait « la mise en évidence de petits gisements de pétrole et de gaz naturel produits depuis les années 1960 démontre l’existence d’un système pétrolier fonctionnel dans le bassin sédimentaire du Sénégal ». Mamadou Faye a par ailleurs souligné les découvertes de pétrole opérées dans l’offshore mauritanien, au Ghana et récemment en Sierra Leone, justifiaient – selon lui – les espoirs du Sénégal fondés sur « la similitude des pièges rencontrés dans ces bassins avec ceux identifiés dans l’offshore profond au Sénégal ».



    Pour rappel plusieurs travaux d’exploration avaient été menés aussi bien en offshore qu’en on-shore, entre les régions de Dakar et de Thiès.



    Ainsi en 2011 le Sénégal a enregistré, 26 manifestations d’intérêt et 11 demandes de permis émanant des compagnies pétrolières internationales. « Nous avons récemment annulé des permis de recherche d’or signés entre le 1er et le second tour de la Présidentielle par l’ancien régime. Nous avons pris ces décisions parce que certains actes étaient suspects » a révélé M. Faye.



    Discours un « tantinet simpliste et risible »… alors que le nouveau président, Macky Sall est très fortement lié à l’ancien régime de Wade et à l’odeur du pétrole, ne serait-ce qu’en tant qu’ancien ministre de l’Energie et des mines et ancien directeur de Petrosen.



    Le nouvel homme fort du pays, géologue de formation, est nécessairement lié au secteur pétrolier, son centre d’intérêt par excellence.



    Le site de Petrosen (Société des Pétroles du Sénégal), précise d’ailleurs qu’African Petroleum a signé avec l’Etat du Sénégal deux contrats portant sur les blocs de Rufisque Offshore profond et Sénégal Offshore Sud profond. En «fouillant» sur le site, nous apprenons également que Tullow Oil (Royaume-Uni), en partenariat avec Dana et Petrosen, a acquis 620 km² de données sismiques 3D, au large de Saint-Louis (ancienne capitale de l’AOF Afrique Occidentale Française), entre le mois de mars et mai 2008.



    Plus loin encore, nous apprenons, en analysant la carte du potentiel et des opportunités pétrolières au Sénégal, que sont déjà présentes sur les lieux : les sociétés Fortesa (basée à Houston USA) (permis de Thiès), Maurel et Prom, Energy Africa, Hunt Oil (USA), Edison, Al Tani et Kampac Oil, lesquelles détiennent des permis d’exploration.



    En juin 2010, l’ancien boss de Pétrosen Amadou Djibril Kanouté, avait déclaré en présentant le Plan stratégique 2008-2012, que les compagnies pétrolières présentes dans le bassin sédimentaire du Sénégal avaient globalement dépensé plus de 125 millions de dollars depuis 2000. Certaines compagnies comme Fortesa, Hunt Oil, Far, Edison ou Tullow Oïl ayant, à cette date, injecté chacun des montants variant entre 37 et 21 millions de dollars.



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  2. Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (15:48 PM)
    C’est un euphémisme que de dire que Vincent Bolloré est courroucé contre les autorités sénégalaises, et particulièrement Karim Wade, qu’il tient pour responsable de la cession du terminal à conteneurs du Port de Dakar à la société Dubaï port World. Le patron du groupe Bolloré qui clame urbi et orbi avoir proposé plus de deux fois le montant mis sur la table par les Emiratis pour ce marché, jure de faire payer au fils du président Wade son forfait.



    Source : Le Quotidien (Article écrit par Madiambal Diagne)

    Le Premier ministre Cheikh Hadjibou Soumaré a-t-il transmis à Karim Wade le message bien spécial que lui avait confié Vincent Bolloré ? Rien n’est moins sûr, tant le patron du groupe Bolloré est remonté contre le fils aîné et par ailleurs, conseiller spécial du président Abdoulaye Wade, qu’il tient pour être la personne qui l’a privé du marché du terminal à conteneurs du Port de Dakar. L’homme d’affaires français a encore en travers de la gorge la cession du terminal à conteneurs du port de Dakar à Dubaï port World (Dpw) et continue de le faire savoir.



    C’est ainsi qu’au cours de l’audience que le chef du gouvernement sénégalais lui avait accordée le 5 octobre 2007 à 17 heures, au 9e étage de l’hôtel Méridien Porte de Maillot à Paris, il lui a exprimé dans le blanc des yeux, son mécontentement, avec, à la clé, une menace claire et ferme à l’endroit de Karim Wade : «Dites à Karim Wade qu’après tout cela, nous réglerons nos comptes.» (Sic !) L’histoire ne dit pas si le Premier ministre Soumaré a transmis le message, mais Vincent Bolloré continue de fourbir ses armes. Déjà, certains de ses proches indiquent qu’il va beaucoup gêner les autorités sénégalaises et leurs nouveaux clients de Dpw.



    Dans cette optique, le groupe Bolloré qui a déjà commencé à réduire fortement le personnel de ses affaires concentrées au niveau du Port de Dakar, envisage de se déployer vers d’autres pays de la sous-région. La Guinée Bissau et les Îles du Cap Vert vont servir de réceptacle aux nouveaux investissements du Groupe Bolloré. «Bolloré va se redéployer vers ces pays pour ses installations portuaires. Il va y aménager des terminaux qui vont concurrencer très sérieusement le Port de Dakar», affirme-t-on dans les milieux d’affaires français au Sénégal. Déjà, le groupe du milliardaire français gère le terminal du Port autonome d’Abidjan, qui reste, malgré les années de crise que la Côte d’Ivoire a traversées, le premier de l’Afrique de l’Ouest.



    Le courroux de Vincent Bolloré, dont les fortes relations avec le nouveau président français Nicolas Sarkozy sont de notoriété publique, contre les autorités sénégalaises s’explique notamment par le fait que, l’offre soumise par le groupe Bolloré pour le terminal à conteneurs du Port de Dakar n’avait même pas été examinée. Le dossier de sa succursale locale à été disqualifié alors que son offre financière était très largement supérieure à celle de Dubaï port World. Là où Dpw a décroché le marché avec une mise de 200 milliards de francs, Bolloré proposait plus de deux fois le montant, exactement un montant cumulé de 585 milliards de francs Cfa. Et la frustration du milliardaire français, et de son personnel de Dakar a crû du fait que personne, ni au Port de Dakar, ni dans les instances gouvernementales, n’a jamais jugé utile de leur fournir une quelconque explication quant à la disqualification de leur dossier.



    De toute façon, les entreprises françaises au Sénégal se prépareraient toutes à entamer des redéploiements ailleurs en Afrique, du fait «de l’option d’arabisation de l’économie sénégalaise conduite par le gouvernement», comme il se susurre dans le milieu. On apprend d’ailleurs qu’une concertation avait été initiée il y a quelques semaines à Paris, sous l’égide des ministères français de la Coopération et de l’Economie, pour discuter de l’avenir des investissements français au Sénégal. Les milieux d’affaires français au Sénégal s’inquiètent sérieusement de l’arrivée massive de concurrents venus des pays du Golfe arabo-persique, du Maroc, d’Iran, de Chine et d’Inde. Par ailleurs, certaines décisions de justice défavorables à des entreprises à capitaux français installées au Sénégal semblent renforcer l’amertume du patronat français.

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    Auteur

    Xeme

    En Février, 2016 (17:33 PM)
    Que Dieu préserve Wade d'avoir un pareil fils.
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    Auteur

    Seydina

    En Février, 2016 (17:44 PM)


    Un fils aussi nullard et rancunier, il ne faut pas insulter Abdoulaye Wade !!!
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    Auteur

    Anonyme

    En Février, 2016 (18:10 PM)
    MACKY N'EST PAS LE FILS DE WADE AU CONTRAIRE IL EST L'ENNEMI DE WADE. SANS WADE MACKY SALL N'EXISTERAIT PAS ALORS IL FAUT DIRE LES CHOSES COMMES ELLES SONT. CE QUI FAIT MAL DANS TOUS CES BLABLAS POURQUOI CETTE ACHARNEMENT SUR UN INDIVIDU ET TOUT LE MONDE SAIT ILS ONT TOUS LES MAINS IMPROPRES.
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