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Politique

Parrainage : "Les candidatures rejetées peuvent déposer un recours"

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Parrainage : "Les candidatures rejetées peuvent déposer un recours"

L'opposition a déclaré que le parrainage est un moyen pour le Président de la République d'éliminer des candidatures. Mais, le ministre de la Justice, qui répondait sur la question ce jeudi, face aux députés, a démenti ces propos. Il indique qu'un dispositif a été prévu pour permettre aux candidats de pouvoir contrôler les parrainages eux-mêmes. "Il faudrait aussi rassurer ceux qui formulent des griefs par rapport au parrainage. Un dispositif sera prévu pour que tous les candidats à la candidature soient représentés pour contrôler les parrainages. Tous les candidats à la candidature peuvent contrôler les parrainages. Ce ne sera pas le Conseil constitutionnel qui le fera exclusivement. Et deuxièmement, tout candidat disposera d'un droit de recours si sa candidature est rejetée, parce qu'il y a un problème par rapport à ses parrainages", a précisé le ministre de la Justice.



12 Commentaires

  1. Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2018 (18:40 PM)
    Honte à vous ! Quel que soit le candidat en face, macky va perdre
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  2. Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2018 (19:26 PM)
    le tailleur de macky sall des que macky passe en 2019 , 2 ans apres il va interprter sa constitution pour un 3eme mandat. pour regler ce probleme une fois pour toute voter contre macky sall. aller recuperer vos cartes
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    Auteur

    Anonymethiouth

    En Mars, 2018 (19:41 PM)
    Quelle sera sa composition prenez des professeurs de droit et des avocats pour valider les candidatures
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    Auteur

    M.sarr

    En Mars, 2018 (19:56 PM)
    C'est la pédagogie de la peur. Le fait de faire croire que Macky sollicitera un 3eme mandant au cas ou il remporterait les élections présidentielles de 2019. C'est un faux débat. Baissez les bras et dormez sur vos lauriers, il passera lettre à la poste; je defie quiconque qui dirait le contraire.
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    Auteur

    Momo

    En Mars, 2018 (20:27 PM)
    Depuis quand les décisions du Conseil constitutionnel sont susceptibles de recours?
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    Auteur

    Braise

    En Mars, 2018 (20:57 PM)
    OUI POUR LE PARRAINAGE ET NOUS APLAUDISSONS DES DEUX MAINS.1% DU FICHIER,C 'EST ABORDABLE,POUR CEUX QUI VISENT 50% DES SUFFRAGES EXPRIMÉS..MAINTENANT DISONS NOUS LA VERITÉ,RIEN QUE LE PUDC,PEUT GARANTIR LA VICTOIRE AU PRESIDENT MACKY SALL EN 2019.LES RESULTATS SONT PALPABLES.IL SUFFIT POUR S'EN RENDRE COMPTE, D'ALLER A L INTERIEUR DU PAYS....70% DES SENEGALAIS VIVENT DANS LE MONDE RURALE.ET PRENDRE EN CHARGE LEURS BESOINS, VOUS OFFRE UNE GARANTIE CERTAINE DE TRIOMPHER AU PROCHAINE ECHEANCE PRESIDENTIELLE DE 2019
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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2018 (22:01 PM)
    "Tout sauf un Wolof" voilà l'ethno-stratègie que Macky Sall et ses sbires veulent ériger en règle lors des prochaines élections présidentielles 2019. En emprisonnant un Wolof (Khalifa Sall), en bannissant un autre Wolof (Karim Wade), et en instaurant le parrainage pour éliminer les candidats Wolof (Idrissa Seck et Sonko), Macky Sall et ses sbires comptent "gagner" les élections en bousillant le vote Wolof comme on l'a vu pendant les législatives mais aussi offrir la nationalité sénégalaise à des peuls des pays frontaliers. Last but not least, le poularocentriste wolofphobe soit disant "député" Daouda Dia ne cache pas leur volonté de former un bloc anti-wolof qui s'intitule "les trois cousins" (à savoir le peul, le sérère, et le diola). Ce même Daouda Dia a fait voter des gamins de 13 ans dans son fier de KANEL.















    Soit une Republique digne de ce nom ou soit une république bananière foutankobe, il faut faire le choix.















    J'appelle à toutes les composantes plus particulièrement les Wolof-Lébous, les Mandingues, les Soninkes a sauver la République.
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    Auteur

    Lu Pour Vous

    En Mars, 2018 (23:05 PM)
    Election Présidentielle De 2019 : Le Spectre D’une Fraude Électorale « En Gestation »

    « Il existe un risque réel qu’il n’y ait plus d’élections libres, transparentes et démocratiques au Sénégal sous le magistère de Macky Sall »



    Il y a 16 ans, lors des élections locales de 2002, l’actuel Président de la République, Ministre des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique à l’époque avait défrayé la chronique, en décidant, urbi et orbi, de voter dans son fief, à Fatick, sans pièce d’identité. Foulant au pied les dispositions du code électoral. Cet acte impensable pour un homme d’Etat avait heurté la conscience de nombreux observateurs et républicains. Mais, il nous renseigne, en partie, sur l’état d’esprit du Président de l’APR ou du moins sur sa conception de l’usage de la force dans le champ politique.



    Le déploiement démesuré des forces de l’ordre à Saint Louis avant la proclamation des résultats lors des élections locales de 2014 ; le recours à la Justice (Cour d’appel de Saint Louis) pour jouer les prolongations et valider l’élection tronquée de Mansour Faye ; l’irruption surprise de 1213 bureaux de vote « fictifs » à la veille du référendum de 2016 afin de modifier la trajectoire de ladite consultation ; la privation des droits civiques de millions de citoyens sénégalais lors du scrutin faussé du 30 juillet 2017 suivant un processus d’empêchement parfaitement planifié et exécuté par les autorités administratives (rétention des cartes d’électeurs résultant d’une pagaille sciemment organisée), la modification du sens du scrutin dans la localité de Dakar à 2 heures du matin alors que toutes les tendances donnaient une avance nette et confortable au Maire de Dakar (phénomène inédit des ordres de missions déversés par milliers aux Parcelles Assainies ) nous donnent d’ores et déjà un avant-gout du déroulement des élections présidentielles de 2019.



    Il ne faut point se faire d’illusion : Macky Sall n’est ni un démocrate, ni un fervent défenseur de l’Etat de Droit. A quelques encablures de 2019, sa détermination de briguer, vaille que vaille un second mandat fait ressurgir le spectre d’une fraude électorale et avive les craintes d’une crise postélectorale au Sénégal. La sortie maladroite du Ministre de l’Intérieur Aly N’Gouille N’Diaye (juge et partie d’un scrutin dont les dés seront pipés) révèle les intentions cachées du camp présidentiel de valider l’élection de Macky Sall dès le 1er tour, par le biais d’un passage en force (un scénario impossible au vu de la cartographie électorale, de l’émiettement des forces politiques et de la profonde déception d’une majorité de sénégalais à l’égard du régime actuel). La multiplication des sorties du camp présidentiel sur le thème « Macky Sall sera élu dès le 1er tour » prouve que les éléments de langage sont relayés sans aucun discernement.



    La neutralisation des corps intermédiaires, la multiplication des interdictions de manifester en violation totale de l’article 8 de de la Constitution, la répression brutale des mouvements sociaux, l’embastillement des opposants grâce au concours d’une partie de la Justice aux ordres, la corruption de certaines élites, la mise sous tutelle de nombreux médias appelés communément « la presse du palais », le maintien de Badio Camara à la tête de la Cour suprême malgré la limite d’âge, les nominations et affectations suspectes de certains magistrats, le contrôle par le pouvoir exécutif de tous les corps de contrôle (non publication des rapports soumis avant toute diffusion, à la censure du Prince), l’assujettissement de la CENA dont la neutralité a été sérieusement altérée lors des législatives du 30 juillet 2017, l’immixtion de la Direction de l’Automatisation des fichiers dans le déroulement du scrutin au profit du régime en place, la partialité de certains Préfets et gouverneurs, les retards considérables notés dans les bureaux de vote considérés comme des bastions de l’opposition préfigurent de manière nette, les contours de la fraude à venir.



    De fait, la nature du régime de Macky Sall fait penser étrangement à l’ouvrage intitulé « 1984 » de Georges ORWELL qui peint un univers où l’équilibre des pouvoirs est bancal, et où l’Etat de Droit est totalement inexistant, le tout dans un contexte de restriction sans précèdent des libertés individuelles et collectives. La marque des Etats « totalitaires ».



    En vérité la Démocratie sénégalaise, sous le magistère de Macky Sall, n’est ni plus ni moins, qu’une démocratie de papier. Il est illusoire de croire que les élections présidentielles seront libres, transparentes et démocratiques au Sénégal. Celui qui a privé des millions de citoyens sénégalais d’un Droit fondamental, le Droit de Vote lors du scrutin du 30 juillet 2017, ne reculera devant rien pour se maintenir au pouvoir.



    C’est pourquoi, plus qu’une alerte, la sortie du magistrat Ibrahima DEME est une invite pour que tous les Démocrates de ce pays, tous les mouvements de la société, toutes les forces progressistes, tous les républicains et tous les magistrats intègres épris de Droit, de Justice, et animés par la seule volonté de rendre la justice au nom du peuple sénégalais, soient unis dans un même mouvement pour éviter l’irréparable. Ce qui se joue en 2019, dépasse le stade d’une simple élection présidentielle.



    C’est le sort de la démocratie sénégalaise qui en en jeu, et au-delà la possibilité pour les citoyens sénégalais de choisir librement, et sans aucune entrave leurs gouvernants. Parce que le risque est énorme que les sénégalais se réveillent le lendemain des présidentielles de 2019, avec la gueule de bois, du fait d’une énième forfaiture d’un régime en perdition, mais dont les capacités de fraude sont intactes.



    Nota bene : le soit disant système de parrainage est une grossière manœuvre de diversion (un leurre) ; l’objectif étant de focaliser l’attention des citoyens sénégalais sur ce thème, pour mieux préparer le « coup d’après ».
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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2018 (23:43 PM)
    Salut !

    Pourquoi sur le titre le mot ''candidature'' ne s'accorde pas en genre?

    Si quelqu'un pourrait me rassurer par une réponse pertinente voire valable je lui serais reconnaissant !
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    Auteur

    Anonyme Poli

    En Mars, 2018 (23:50 PM)
    N'insultez pas notre intelligence, Mr le Ministre. L'unique objectif des parrainages c'est de réduire les candidatures pour faire passer Macky dès le 1er tour. Aux dernières législatives, l'objectif était d'éclater l'électorat avec beaucoup de candidats (financements de listes fantaisistes). Nous avons compris le jeu, votre jeu: un parti qui a fait ses preuves en rapportant des postes de députés ou conseillers ne doit pas être traité aux mêmes loges qu'un indépendant.
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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2018 (11:56 AM)
    We need only 3 candidats for the presidency we spent to much money for nothing Senegalese wiehcup please
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    Auteur

    Anonyme

    En Mars, 2018 (11:56 AM)
    We need only 3 candidats for the presidency we spent to much money for nothing Senegalese wiehcup please
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