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Politique

Rufisque : des manifestants saccagent le siège des FAL 2012

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Rufisque : des manifestants saccagent le siège des FAL 2012

Le siège de la coalition des Forces alliées pour la victoire (FAL 2012) de la section Rufisque-est au quartier Mérina a été saccagé par des manifestants sortis en masse, dimanche en début d’après midi, pour envahir la route nationale.

 

Les manifestants, qui scandent des slogans hostiles au régime en place, ont bloqué la circulation sur la route nationale.

 

IG/AD



11 Commentaires

  1. Auteur

    Iguess

    En Février, 2012 (19:28 PM)
    bien fait pour le PDS
  2. Auteur

    Tiky

    En Février, 2012 (19:28 PM)
    allez attaquer les maisons de lamine faye en sindou < barngy < mettez des casques pour proteger les tetes resistons sinon wade va nous imposer son putin de fils de gorgjiguène
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    Auteur

    Ggeneral

    En Février, 2012 (19:54 PM)
    SACCAGEZ BRULEZ TOUS CEUX QUI APPARTIENT AUX GARS DU P.D.S C'EST NOTRE ARGENT VOLER. LEVONS NOUS RESISTONS POUR DEFENDRE LE SENEGAL. BOUTONS WADE ET SA BANDE HORS DU POUVOIR
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    Auteur

    Seul L'armee Peut Nous Protege

    En Février, 2012 (21:48 PM)
    WADE ET TOUS LES MEMBRES DE SON RÉGIME SERONT JUGES ET ENFERMES SANS PITIE. WADE NE RESPECTE PAS LES SENEGALAIS ET N'A UN MOINDRE RESPECT POUR NOS VIES. L'ARMEE DOIT PRENDRE SES RESPONSABILITÉS ET RETIRER LE POUVOIR AUX WADE ET LEUR BANDE DE CRIMINEL.
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    Auteur

    Nina

    En Février, 2012 (00:34 AM)
    vue la situation actuelle du pays c desastreuse pour une seule personne notre pays est dactualite partout dans le monde , et les gens disent une seule chose il na qu a partir pour preserver la paix .

    Auteur

    Bon Senegalais :

    En Février, 2012 (04:31 AM)
    SI CES M23 PENSENT QUE NOUS ALLONS LAISSER NOTRE WADE PARTIR , CES MINORITÉS SE TROMPENT. ILS ESSAIENT DE FAIRE UN CHAOS ; MAIS NOUS SOMMES MAJORITAIRES ET, SI WADE NE NOUS AVAIT PAS RETENUS, CROYEZ-MOI, LE MONDE SERAIT SURPRIS DE CONSTATER COMBIEN LES MAJORITÉS DES SÉNÉGALAIS AIMENT WADE, ET VEULENT QU'IL RESTE !!!!!!

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    Auteur

    Les Pyromanes Du Senegal :

    En Février, 2012 (04:32 AM)
    LES PYROMANES DU SENEGAL :

    Barra GAYE PDS

    Ousmane sene walf

    birahim toure zik

    ndiaye doss zik

    maodo faye sud fm

    djamil sy marre a bout

    fadel barro yen a marre de lui

    serigne mbacke ndiaye porte malheur

    khalifa diakhate futur media

    pape ngagne futur media

    pape thiarre sud fm

    awa diop ndiaye walf

    dr correa mpcl

    khalifa sall ps

    bamba dieye n'importe ou n'importe koi

    al badara cisse n'importe kan

    tous les petits marabouts politiciens (na seny way diour wakh ak gnom waye)

    gadiop mpcl

    amath dansokho plus pres de sa tombe que du peuple

    YOUSSOU NDOUR SEYTANE MOKO NGEMB

    ALIOUNE TINE SEYETANE MOKO NGEMB

    SYDI LAMINE NIASS

    ABDOU LATIF COULIBALY

    Me ELHADJ DIOUF

    MAOUDO FAYE sud-fm

    AHMATH DANSOKHO

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    Auteur

    Solutions :

    En Février, 2012 (04:33 AM)
    SOLUTIONS : QUELQUES RECOMMANDATIONS DE SORTIE DE CRISE :

    1) IL FAUT FERMER WALF-FM-TV & RFM-TFM. SINON CE PAYS SERA A FEU & A SANG.

    2) OU BIEN ENVOYER DES EXPEDITIONS QUI LES DETRUISENT , LES BRÛLENT TOTALEMENT. SINON ……

    3) FAIRE ATTAQUER VIOLEMMENT LES CONVOIS M23 AUSSI , DE MANIERE A CE QU’ILS GOÛTTENT A CE QU’ILS ONT CREE

    4) FAITES BRÛLER LES MAISONS DES EMPLOYES DE WALF & RFM ! IL FAUT QUE CES JOURNALISTES REGRETTENT D’AVOIR CONTRIBUE A SEMER MORTS ET DESOLATIONS DANS CE PAYS !

    5) IL FAUT QUE TOUS LES VA-T’EN-GUERRE COMPRENNENT QU’ILS NE PEUVENT TIRER LEUR EPINGLE DU FEU !

    6) FAITES DETRUIRE & BRÛLER LES DEMEURES DE TOUT M23

    7) QUE L’ON DISPERSE VIOLEMMENT TOUT MEETING OU MARCHE M23

    8) FAITES BRÛLER LES MAISONS DE SYDI LAMINE NIASS & YOUSSOU NDOUR . C’EST JUSTEMENT DE CE YOUSSOU NDOUR QU’AVAIT ETE DIT (ECRIT) : «Ils (ndlr : Me Wade et son gouvernement) m'ont cherché, et je vais réagir politiquement. Qu'ils sachent qu'en s'attaquant à moi, ils s'attaquent à un intouchable, et je ne vais pas rester les bras croisés», a fulminé M Ndour qui annonce de «terribles» dans les jours à venir, par rapport à ce qui s'est passé ces derniers jours dans le pays».

    9) BRÛLEZ ET DETRUISEZ LA MAISON DE IDRISSA SECK : IL A RECRUTE D’ANCIENS MILITAIRES QUI SEMENT LE BORDEL DE MANIERE ORGANISEE.

    10) ATTAQUEZ-VOUS A TOUS CES MAUVAIS SENEGALAIS !

    11) BRÛLEZ LA MAISON DE AMATH DANSOKHO

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    Auteur

    Diogg

    En Février, 2012 (07:29 AM)
    à partir d'aujourd'hui ce sont les maisons des membres du PDS qu'on va attaquer et bruler
    Auteur

    Anna

    En Février, 2012 (07:42 AM)
    cest nul...et triste
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    Auteur

    Orléans45

    En Février, 2012 (08:06 AM)
    1

    Manifeste de « Devoir de Résistance »

    « Lorsque la vérité est remplacée par le silence, le silence devient un mensonge » Yevgeny Yevtushenko

    Il est des moments dans la vie d’une nation où le silence est complice et l’inaction coupable. Le Sénégal est en face d’un coup de force sans précédent, qui prend les allures d’un coup d’Etat constitutionnel, prélude à un hold-up électoral.

    Il est nécessaire de revenir quelque peu sur le débat de la constitutionnalité de la candidature de l’actuel Président de la République. L’initiateur de la réforme constitutionnelle du 22 janvier 2001, Abdoulaye Wade lui-même, en avait précisé l’esprit et fixé la compréhension en déclarant publiquement, urbi et orbi, qu’il ne pouvait se présenter à la magistrature suprême plus de deux fois, car il avait lui-même verrouillé la Constitution et limité la consécution des mandats à deux. Plus tard, dira-t-il « j’avais dit, je me dédis… ». Soit, grand bien lui en prenne. Se dédirait-il que toute la nation sénégalaise comme un seul homme devrait le faire avec lui ?

    Toujours est-il que débats d’interprétations, arguties juridiques et joutes sibyllines ne feront rien devant cette idée simple que nous avions tous comprise : pour garantir la respiration démocratique, un président élu ne pouvait faire au maximum que deux mandats consécutifs et s’en aller. Il lui était même loisible, s’il le souhaitait, de revenir plus tard briguer les suffrages du peuple, après qu’un autre sénégalais eût à son tour occupé la fonction présidentielle. Cette idée, nous l’avons confiée au langage et à un texte dit fondamental, notre Constitution.

    Les institutions ne valent que par les hommes qui les incarnent. Si ces derniers les trahissent en les vidant de leur substance, elles perdent de fait leur légitimité, deviennent des formes creuses et ne doivent plus être obéies. Nous ne pouvons et ne devons accepter la décision d’un conseil constitutionnel aux ordres qui ne dit point le droit, ne préserve point les valeurs communes que nous nous sommes choisies, mais l’intérêt privé et la surdité à l’intérêt général. Ce sont à des valeurs que nous donnons forme en créant des institutions qui sont les cadres devant garantir leur expression et préserver leur partage commun. Lorsque ces cadres ne les expriment plus et que les hommes censés les incarner foulent au pied, en toute conscience, celles que nous nous sommes données, il n’est d’autre choix que le refus et la résistance. Les gardiens de notre Constitution et du sens de notre loi fondamentale, ont déserté le temple, la besace remplie de pièces d’or rapinées, la livrant à des pilleurs. Nous devons les chasser et rebâtir nos édifices.

    2

    Qu’un clan tente de violer notre constitution, voici un fait indéniable que nous ne pouvons que constater. Si cependant, par lassitude, par manque de conviction et de courage, par faiblesse devant l’inéluctabilité supposée d’un fait accompli, nous y consentions, nous partagerions avec lui la responsabilité d’avoir totalement délégitimé et désacralisé notre loi fondamentale et par conséquent de ne plus pouvoir en faire un horizon, une référence intouchable, une ultima linea.

    Le temps des indignations feutrées de salon, des petits calculs, de la préservation d’intérêts mineurs et privés, de la posture d’intellectuels prudents « sages et avisés » est révolu. Des jeunes gens souvent sans diplômes ni grades, ayant beaucoup à perdre et peu à espérer ont montré le seul chemin qui vaille. Devant ce crachat projeté à la figure de tous les sénégalais, toutes les femmes et tous les hommes de bonne volonté qui sentent quelque part en eux, parfois obscurément, la profondeur de cette ignominie, doivent se lever, s’engager, agir concrètement devant l’urgence de la situation pour rétablir la dignité des règles du vivre ensemble que notre nation s’est choisie. Une dictature rampe et ne s’installe que lorsque les citoyens sont atomisés, retardent le moment de l’action, laissent le soin à d’autres de prendre en charge le refus nécessaire qui préserve la liberté de tous. Dans un Etat de droit, lorsque les normes sont désertées de l’esprit de préservation contre l’arbitraire des gouvernants et des juges, elles cessent d’être légitimes. La régularité formelle apparente de la règle ne suffit alors guère à réparer le vice de son irrégularité substantielle, son illégitimité augurant son ineffectivité ! L’insoumission, dans ce cas, est un devoir civique, si tant est que le civisme traduise encore notre « amour des lois ». Le fait peut rétablir le droit et c’est à cela que nous appelons nos concitoyens : ne pas entériner un fait apparemment accompli. Plus que ce qui arrive, c’est la manière dont nous y faisons face qui importe.

    Devant l’urgence de la situation, nous avons décidés de quitter le silence de nos amphithéâtres et de nos laboratoires de recherche pour lutter et préserver notre Démocratie et notre République. Nous nous devons en tant qu’Universitaires et Citoyens d’incarner les valeurs que nous professons. Instruire, éduquer, éclairer peut-être, telles sont les missions que la nation nous confie, ce sacerdoce nous enjoint également, lorsque les valeurs que nous transmettons tous les jours sont en péril, de prendre position et de les défendre. Il s’agit aujourd’hui de se dresser, de faire front contre la tentative de nous déposséder de notre liberté de choix. Cet appel s’adresse à tous les citoyens sénégalais soucieux de préserver le bien commun le plus précieux dont nous disposons : notre République.

    La bataille doit se mener sur plusieurs fronts. Celui d’abord de la délégitimation de la candidature inconstitutionnelle de Wade, celui ensuite de la transparence des élections, et enfin celui du refus d’un hold-up électoral qui se profile.

    3

    1) D’abord continuer à Résister contre cette candidature illégitime et illégale dans l’esprit et dans la lettre. Le faire avec toute la mesure, la dignité, la force et la sérénité de la conviction qui nous anime. Manifester inlassablement notre refus dans toutes les places symboliques de toutes les villes et bourgades du Sénégal, tous les jours, pacifiquement, autant de temps qu’il le faudra. Essuyer la répression qui va s’afficher hardiment, l’endurer, revenir, se dresser à nouveau, jusqu’au bout. La tentative de confisquer notre liberté de choix et notre souveraineté mourra à la barricade que nous lui aurons choisie. Aujourd’hui, elle prend le visage d’une candidature illégitime qu’il faut combattre avec la dernière énergie. Il importe de résister et d’empêcher Abdoulaye Wade, par un front de refus sans concession de se présenter à un troisième mandat, car aller aux élections avec sa candidature, c’est accepter de jouer un jeu dont les dés sont déjà pipés. Comme lorsque vous acceptez de jouer un match de foot avec douze adversaires en face au lieu de onze et que vous reprochiez à cet intrus de marquer un but avec la main. C’est une pente glissante, dès que nous y consentons, l’abîme nous guette. Le refus doit être ici primal, originel, de principe, total.

    La campagne électorale d’un scrutin originellement entaché est enclenchée et le passage en force pourrait sembler déjà consommé et inéluctable. En réalité, il n’en est rien. Si nous devons gérer le paradoxe d’une élection avec un candidat illégitime entré dans le jeu par effraction, les solutions existent et demeurent. 1. Se mobiliser, aller voter et lui infliger une sévère défaite qui, par son ampleur, exprimera le rejet populaire et massif de son régime, de ses pratiques et de celles de son clan. 2. Continuer à informer et à sensibiliser l’opinion sur le fait que la candidature de Wade est inconstitutionnelle et qu’elle le demeure. 3. L’exclure car il ne doit pas faire partie du jeu. Puisqu’il y est entré frauduleusement, en considérant qu’il n’en fait pas partie, en ne l’y associant pas, en ignorant tout simplement son bulletin le jour du vote, nous rétablirons le droit par le fait. Bokku ci, bouleen ko ci boole : il n’en fait pas partie, ne l’y associez pas. Le refus de sa candidature s’exprimera ici par la mise en quarantaine symbolique de ce bulletin qui n’a pas droit de cité sur le présentoir des urnes.

    2) S’organiser pour éviter les fraudes, être présent dans tous les bureaux de vote au moment du dépouillement. Mettre sur pied des comités citoyens de vigilance pour la transparence du vote. Tenir une comptabilité en temps réel des voix, les transmettre à toutes les radios instantanément. Eviter que les urnes ne soient transportées nuitamment. Faire preuve d’imagination, réfléchir aux antidotes de tous les mécanismes de fraude connus, les anticiper, les contrecarrer. Votez et surveillez, votez et veillez, votez et demeurez vigilants, restez sur place jusqu’au dépouillement. Ma voix, mon bureau de vote, ma vigilance. Dans les bureaux de vote les plus reculés du Sénégal, s’organiser pour assister au

    4

    dépouillement et s’assurer que des correspondants de radios puissent communiquer les résultats en temps réel.

    3) Dernier temps de cette bataille décisive ; se mobiliser pour que les vrais résultats des urnes soient proclamés et se dresser si, d’aventure, ce clan poussait la forfaiture jusqu’à confisquer les suffrages des sénégalais en proclamant de faux résultats. Nous pêcherions par une coupable naïveté, si nous songeons un instant que ce régime compte naturellement respecter les suffrages des Sénégalais. Il ne le fera que s’il y est forcé et contraint, cerné, empêché de manoeuvrer. Le rejet massif du coeur des sénégalais de ce système, largement exprimé, démontre qu’Abdoulaye Wade ne peut gagner ni au premier tour, ni au second tour. Il faudra dans le cas fort probable de la diffusion de faux résultats, qu’un conseil constitutionnel aux ordres se hâtera de proclamer, se battre résolument et reconquérir la souveraineté du Sénégal, car soyons en sûrs, ce régime qui ne recule devant rien, même pas devant le meurtre de citoyens honnêtes réclamant leur droit à choisir qui va les diriger, poussant l’indécence jusqu’à comparer cette tragédie à une brise, reculera qu’il le veuille ou non devant plus fort que lui, c’est-à-dire, le Peuple sénégalais.

    Pr Felwine Sarr, Maitre de Conférences Agrégé, Doyen de la Faculté de Sciences Economiques et de Gestion de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Ibrahima Silla, Enseignant-Chercheur en Sciences Politiques, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr François Joseph Cabral, Maitre de Conférences Agrégé, Enseignant-Chercheur en Economie, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

    Dr Mohamadou Boye, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger de Saint-Louis.

    Dr Adrien Dioh, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Dr Mohamed Moro Koïta, Chef du Département de Gestion, Université Gaston Berger, Université Gaston Berger de Saint-Louis

    Pr Abdou Sène, Doyen de la Faculté des Sciences Agronomiques d’Aquaculture et de Technologie Alimentaire de l’Université Gaston Berger, de Saint-Louis

    Dr Abdoul Alpha Dia, Enseignant-Chercheur en Economie, Université de Bambey

    5

    Dr Aziz Diouf, Enseignant-Chercheur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Dr Seydina Ndiaye, Enseignant-Chercheur en Informatique, Université Gaston Berger de Saint-Louis,

    Dr Omar Mbodj, Enseignant-Chercheur à l’UFR SAT, Université Gaston Berger

    Dr Benjamin Ndong, Chef du Département d’Economie, Université Gaston Berger

    Dr Ousmane Thiaré, Maitre de Conférence en Informatique, Université Gaston Berger

    Dr Boubacar Diallo, Enseignant-Chercheur en Droit Privé, Université Gaston Berger

    Dr Amadou Ka, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger

    Dr Mouhamadou Moustapha Ly, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Lina Husseini, Libraire, Dakar

    Mamadou Sarr, Colonel à la retraite

    Dr Moussa Zaki, Enseignant-Chercheur en Droit Public, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Dr Khadidiatou Diallo, Enseignant-Chercheur, UFR LSH, Université Gaston Berger, Saint-Louis

    Xavier Correa, Juriste, New-York

    Nayé Bathily, Banque Mondiale, Paris

    Dr Babacar Sène, Enseignant-Chercheur en Economie, Université Cheikh Anta Diop de Dakar

    Pr Ousmane Kane, Columbia University, New-York
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