Les Sénatoriales prévues le 16 septembre prochain, ont la particularité de ne concerner que les collectivités locales et les Sénégalais de l’extérieur. D’après l’article 60-1 alinéa 5 du code électoral «Nul ne peut être élu ou nommé sénateur s’il n’est âgé de quarante (40) ans au moins au jour du scrutin ou de la nomination.»
Cette disposition fait jaser surtout du côté des jeunes qui se sentent exclus de ces élections. D’où la colère de Mamadou Dioum, conseiller municipal à Diourbel, élu sur la liste de la coalition And liggey senegaal. M. Dioum appelle, ainsi, tous les conseillers municipaux, ruraux et régionaux dont la tranche d’âge est comprise entre 18 et 35 ans, à boycotter ce scrutin. «Nous jeunes, nous ne sommes que des faire-valoir étant donné que ces élections ne nous concernent nullement», constate ce militant de Rewmi, la formation politique dirigée par Idrissa.
M. Dioum prône la révision de la loi portant création du Sénat. Il ne s’explique pas qu’un élu local de moins de 40 ans soit électeur et éligible pour les autres élections et qu’il soit seulement électeur mais non éligible pour les Sénatoriales. Dans la même veine, il dénonce aussi la nomination de la majorité des sénateurs par le chef de l’Etat. «C’est du jamais vu, du n’importe quoi», peste-t-il. Le prochain Sénat sera composé de 55 nommés par le président de la République et de 45 seulement élus, à raison d’un sénateur par département. L’élection des sénateurs se fait au suffrage universel indirect.
Cette disposition fait jaser surtout du côté des jeunes qui se sentent exclus de ces élections. D’où la colère de Mamadou Dioum, conseiller municipal à Diourbel, élu sur la liste de la coalition And liggey senegaal. M. Dioum appelle, ainsi, tous les conseillers municipaux, ruraux et régionaux dont la tranche d’âge est comprise entre 18 et 35 ans, à boycotter ce scrutin. «Nous jeunes, nous ne sommes que des faire-valoir étant donné que ces élections ne nous concernent nullement», constate ce militant de Rewmi, la formation politique dirigée par Idrissa.
M. Dioum prône la révision de la loi portant création du Sénat. Il ne s’explique pas qu’un élu local de moins de 40 ans soit électeur et éligible pour les autres élections et qu’il soit seulement électeur mais non éligible pour les Sénatoriales. Dans la même veine, il dénonce aussi la nomination de la majorité des sénateurs par le chef de l’Etat. «C’est du jamais vu, du n’importe quoi», peste-t-il. Le prochain Sénat sera composé de 55 nommés par le président de la République et de 45 seulement élus, à raison d’un sénateur par département. L’élection des sénateurs se fait au suffrage universel indirect.
8 Commentaires
Tef
En Août, 2012 (15:07 PM)Avis
En Août, 2012 (15:07 PM)Faux Pas Facher
En Août, 2012 (15:08 PM)FAUX PAS FACHER est contre le Sénat dans le contexte économique actuel du Sénégal est une pure institution relevant de la politique politicienne!
FAUX PAS FACHER est contre le Senat qui continue à sucer l’économie sénégalaise pour placer la clientèle politique dans l’attente d’une récompense.
FAUX PAS FACHER est contre le Senat qui est une institution aussi budgétivore qu’inutile: Les urgences sont ailleurs. L’argent qui entretient les sénateurs devrait pouvoir servir à alléger les souffrances des populations qui n’ont plus d’électricité, qui sont chassées de leurs maisons par les inondations!
Mia
En Août, 2012 (15:29 PM)Le Vieux
En Août, 2012 (15:44 PM)Deugdji
En Août, 2012 (18:17 PM)Francais
En Août, 2012 (19:29 PM)/......................................MERCI...............................DE RIEN
Diop
En Août, 2012 (17:45 PM)Participer à la Discussion