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Sante

Audits Armp : Gabégie dans les hôpitaux, 295 millions disparaissent à l’Hoggy

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Audits Armp : Gabégie dans les hôpitaux, 295 millions disparaissent à l’Hoggy

Les auditeurs de l’Autorité de régulation des marchés publics ont découvert des faits extrêmement graves dans la gestion 2013 de certains hôpitaux sénégalais, relève Libération. Au centre hospitalier Amadou régional de Louga Sakhir Ndiaye, des commandes directes de 169,6 millions FCFA ont été découvertes. Celles-ci ont été passées en violation des principes de libre accès à la commande publique, d’économie, de transparence et d’équité et des dispositions de l’article 76 du décret numéro 2011-1048 du 27 juillet 2011 portant Code des Marchés publics. À l’Hôpital général de Grand Yoff à Dakar (Hoggy), un marché a été conclu en 2013 par appel restreint relatif à l’acquisition de matériel médical d’un montant de 295 430 000 FCFA. Le contrat relatif à ce marché a été enregistré après exécution et aucune garantie de bonne exécution n’a été versée dans le dossier. Pire, l’Hoggy a passé cinq Demandes de prix pour 69, 7 millions FCFA alors qu’elles ne figurent pas dans son Plan de passation de marchés.


Comme à Louga, des commandes directes, en violation flagrante des textes, sont relevées au Centre hospitalier national Matlaboul Fawzaini de Touba. Ici, les commandes directes présentent un solde de 204 millions, en violation des principes de libre accès à la commande publique, d’économie, de transparence et d’équité. Au centre hospitalier Amadou Sakhir Ndièguene de Thiès, des irrégularités notoires ont été mises en cause dans la passation des marchés. C’est un cas d’un marché attribué à 180 000 000 FCFA.


Le Centre hospitalier régional El Hadji Ibrahima Niass est un cas critique. La structure sanitaire a acheté directement auprès de fournisseurs sans conclure de contrats et sans mise en concurrence préalable, des médicaments, des produits essentiels, et divers services et prestations pour un montant global de 285 millions FCFA.



27 Commentaires

  1. Auteur

    Ins

    En Décembre, 2015 (08:56 AM)
    On écrit et lit "gabegie" et non "gabégie"
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  2. Auteur

    Bacoli

    En Décembre, 2015 (09:00 AM)
    Mane a raison à l'HOGGY c'est du n'importe quoi, on ne respecte pas les patients, ni les institutions de la République. Il y a plein de Médecins Etrangers qui font la loi envers les malades. Il faut les renvoyer dans leur JUNGLE et que vive le Sénégal
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2015 (09:01 AM)
    Le Centre hospitalier régional El Hadji Ibrahima Niass est un cas critique. La structure sanitaire a acheté directement auprès de fournisseurs sans conclure de contrats et sans mise en concurrence préalable, des médicaments, des produits essentiels, et divers services et prestations pour un montant global de 285 millions FCFA.



    Le trio (Le directeur, le Chef SAF et l'ACP) qui a géré cet hôpital durant cette période s'est retrouvé comme par extraordinaire à l'hôpital Abass NDAO avec les mêmes pratiques.

    Madame le Ministre Eva Marie COLL SECK est interpellée.

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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2015 (09:04 AM)
    C'est le directeur daff, cheikh seck a toujours décrié la gestion mafieuse de ce dernier mais le ministère n'a rien voulu entendre. ils ont même sanctionné cheikh seck.  :emoshoot: 
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2015 (09:13 AM)
    C est déjà bien de rendre public les résultats de l'audit.
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    Auteur

    Verite

    En Décembre, 2015 (09:14 AM)
    Qui disait que seule la verite est revolutionnaire. Cheikh seck merite ttes les felicitations du ministere a moins qu'il ne soit complice ds cette affaire a l'hoggy
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2015 (09:30 AM)
    Dit moi quel peuple tu a je te dirai quel dirigeant tu aura.Regarde moi encore ses insultes,ses scroquerie,triandage,vole,magouille dans les milieu les plus sensible du pays la ou le pauvre malade sans moyen se draine frustrer parfois le comportement de certans medecin envers leur patien,la chereté des medicament les hospitatisations une certaine bande se permettent de prendre leur propre interet des décision à l'encontre de la loi et pire ce qui le face se sont des à qui ethique et la deontologie ont été appris et cela sont ce qui réclame toujour une augmentation de leur budget à traver les medias.Que l'autorité publique prend des mesure ferme et condamne ses détracteur et usurpateur de nos biens nous somme fatigué nous autre classe (pauvre) le temps est qu'ils arret de vivre sur nous.
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2015 (09:34 AM)
    Que ARMP aille revoir les gestion du distric de birkelane
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    Auteur

    Oui

    En Décembre, 2015 (10:00 AM)
    je suis ne pas un gestionnaire ni un defenseur des administrateurs des centres hospitaliers mais je pense qu'on ne peut pas eviter les commandes directes du fait que les fourniseurs qui gagnent les contrats de fournitures de produits essentiels sont souvent en rupture d'stock et que l'hopital ne peut pas arreter ses activités pas simple raison que son fournisseur est en rupture. Ils sont obligiés pour la continuité du service d'aller commander chez un autre fournisseur souvent qui double voir meme triplé le prix du marché. Je pense qu'il faut essayer maintenant d'encadrer les hopitaux et de doter suffissement de moyens à la PNA pour qu'elle n'ait plus de rupture de produits surtout pharmaceutique et renforcer la PNA la disponibilité de l"essentiel des produits et medicaments. je sais aussi que l'Etat a fait beaucoup d'efforts pour la PNA et les hopitaux
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    Auteur

    @2

    En Décembre, 2015 (10:12 AM)
    Bédard de m..rde !!

    Personne ne dénonce ces écrits ?

    Le SN est un tas de fumier qui se remplit de racistes....
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2015 (10:25 AM)
    L'audit ne fait que confirmer ce qui se passe dans les hôpitaux depuis belle lurette.

    Les hôpitaux ne sont pas au service des malades.

    Les recettes servent aux administratifs pour acheter de 4X4, construire des bâtiments inutiles pour les malades, créer des dettes fictifs en dépensant plus que les recettes.

    Quand aux malades nada, pas de médicaments pas de matériel adéquat, quand ils sont achetés ils sont surfacturés exemple HOGi un équipement qui doit couter i million est facturé 30 millions.

    Il faut simplement fermer les hôpitaux et développer et équiper les centres de santé de proximités qui s'occupent encore des malades

    L'état a une grande responsabilité sur ce désordre en n'assumant pas ses responsabilités.

    L'état doit exiger des hôpitaux qu'ils budgétisent en fonction des recettes des 3 dernieres années exiger un budget d'investissement à respecter pour les équipements médicaux, renvoyer tout directeur qui ne respecte pas les règles budgétaires. Fermer les hôpitaux déficitaires comme le font les pays organisés et respectant ses contribuabls
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    Auteur

    Justicier

    En Décembre, 2015 (10:43 AM)
    je félicite l'ARMP de se travaille de titan qu'elle a abattue. Cependant je propose à cette structure de d'auditer l'EPS1 de Sédhiou surtout le Chef du Service Administratif et Financier Mr BARRY qui a installé un réseau de bandits entre la caisse et la pharmacie. Mais que l'ARMP publie dans les plus brefs délais les résultats de tous les audits de 2013 dans toutes les institutions de la République.

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    Auteur

    Justicier

    En Décembre, 2015 (10:45 AM)
    je félicite l'ARMP de ce travaille de titan qu'elle a abattue. Cependant je propose à cette structure d'auditer l'EPS1 de Sédhiou surtout le Chef du Service Administratif et Financier Mr BARRY qui a installé un réseau de bandits entre la caisse et la pharmacie. Mais que l'ARMP publie dans les plus brefs délais les résultats de tous les audits de 2013 dans toutes les institutions de la République.

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    Auteur

    Otarcie

    En Décembre, 2015 (10:55 AM)
    C'est franchement désolant; pendant ce temps les hopitaux crient au manque de ressources pour payer l'électricité. Les malades paient cher leurs consultations et cet argent est destiné à un partage entre agents de la structure sanitaire. Les recettes des hopitaux doivent servir aux hopitaux et non à des médecins et autres personnels vachement payés. La gabégie d'abord par cet état de fait qu'il urge de reconsidérer. Aucun humanisme dans les hopitaux. :nono: 
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    Auteur

    Anonyme Thieyacine Fall

    En Décembre, 2015 (11:18 AM)
    Perdez pas votre temps rien ne s'en suivra dara touss, fofou laye yeme , les marabouts vont demander des interventions c'est tout. c'est le noire qui est maudit je pense , pardonnez moi , mais , a y regarder clairement ou est la solution de nos problemes ? A L'opital de kaolack , les infirmiers et infirmieres vendent les medicaments aux malades .Les dirigeants de notre pays sont faibles , et de sucroit leurs complices . tous des voleurs .  :fbhang: 
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    Auteur

    Manaame

    En Décembre, 2015 (11:44 AM)




    L’OBS – Moussa Daff quitte avec une dette de 3 milliards



    Le personnel de l’Hôpital général de Grand Yoff (Hoggy) a rendu un vibrant hommage à son ancien directeur général, Moussa Sam Daff. Ce dernier, remplacé par Mme Khadidiatou Sarr, atterrit à l’hôpital Dallal Diamm de Guédiawaye. Au cours de la cérémonie de passation de service, tenue, hier, l’ancienne directrice de l’hôpital de Pikine a révélé qu’elle hérite d’une dette de 3 milliards.





    L’héritage est lourd. La nouvelle directrice de l’Hôpital général de Grand Yoff (Hoggy), Khadidiatou Kébé Sarr, devra serrer la ceinture pour éponger l’énorme ardoise de la structure. Plus de 3 milliards de francs. Ce passif constitue une tâche noire dans le bilan élogieux, dressé, hier, par les membres du personnel, à l’endroit de leur désormais ex-patron, Moussa Sam Daff. L’ancienne directrice de l’hôpital de Pikine, connue pour sa rigueur, en est consciente. Elle promet de tout faire pour l’effacer. «Il faut tout faire pour effacer la dette de l’hôpital. C’est notre défi majeur», déclare-t-elle après les honneurs rendus à son prédécesseur qui va atterrir à l’hôpital Dallal Diamm. Pour M. Daff, c’est grâce à lui que les fournisseurs ont recommencé à faire confiance à Hoggy. Ils avaient tous cessé de travailler avec la boite, à cause de la dette colossale. Le directeur sortant affirme avoir payé 574 millions de la dette laissée par ses devanciers. Il a, en outre, contribué à améliorer sensiblement la situation financière de l’établissement. L’autre grand défi de Mme Sarr, c’est la gestion d’un personnel très exigeant pour pérenniser le climat de paix qui règne dans la structure. En effet, Moussa Sam Daff a réussi tant bien que mal à apaiser le climat social au sein de cette boite, ce qui a joué dans sa longévité à l’ex-Centre de traumatologie (Cto). Selon Mame Sokhna Diop Thiam, qui a parlé au nom des travailleurs, la nouvelle directrice doit faire comme M. Daff pour ne pas avoir des problèmes. «Si vous cherchez des hommes de paix, des travailleurs chevronnés ou un savoir-faire avéré, il faut venir ici. Mais si vous cherchez aussi des travailleurs prêts à en découdre également, il faut venir à Hoggy», prévient-elle, conseillant à l’ancienne directrice de l’hôpital de Pikine de ne pas se laisser enfermer entre quatre mûrs par certains responsables «Si vous le faites, vous ne réussirez pas votre mission.» Pour Mme Thiam, la considération du personnel est la clé du succès à Hoggy. «Ceux qui ont cherché des problèmes aux travailleurs ne sont même pas sortis par la petite porte. Ils ont pris la fenêtre», tempête-t-elle. Pour un climat apaisé, la directrice entrante mise sur l’adoption d’un projet d’établissement de seconde génération.
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    Anonyme

    En Décembre, 2015 (12:56 PM)
    Cette gabégie dans nos hôpitaux risque de perdurer si les autorités étatiques ne prennent pas les mesures idoines pour arrêter la saignée.

    A mon sens, la résolution du problème (les commandes publiques) réside sur l'arrimage du Codes des Marchés Publics sur la réalité intrinsèque de l'activité hospitalière qui est particulière. C'est une machine lourde qui, une fois mise en marche ne peut pas se soumettre au respect strict des procédures actuelles de passation des marchés publics.A titre illustratif, un marché public passé en mars (période de confirmation des allocations budgétaires) trouve son aboutissement (phase exécutoire ) vers le mois d'octobre:

    1- Cette commande ne pourra servir que 3 mois pour l'année budgétaire pour laquelle elle est rattachée;

    2- Une épreuve d'alchimie se dresse devant le gestionnaire qui doit faire face à ses bailleurs, à son personnel soignant quand on sait qu'à cette periode de l'année (tension de trésorerie oblige), ce qui manque le plus ce sont des fonds disponibles, pour des budgets au départ non réalistes. L'idée était lancée naguère pour un Code des Marchés Publics en faveur des hôpitaux. Alors Messieurs les DECIDEURS, vivement, concertez vous, travaillez dans ce sens pour arrêter cette forte et puante hémorragie constatée dans nos hôpitaux.
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    Auteur

    Peuls

    En Décembre, 2015 (13:13 PM)
    Il s'agit de certains-es-certainisés-es du funeste axe de tous les maux-affluents!!! Aucune surprise que des saloperies salopes soient à l'ordre du jour dans un environnement où ils sont en pôle position! Yoff - Louga - Kaolack!!! C'est dans la nature naturellement naturelle des souillées naturellement naturelles des natures naturelles de certains-es-certainisés-es: voler-violer-détourner-saccager-brader-piller-détouner-magouiller-combiner-comploter-pactiser-mentir-trahir-falsifier-déguiser-truquer-camoufler-dénigrer-diffamer-calominier-hair pour des sous-terres-ressources-pouvoirs, pour imposer-s'imposer, ne sont qu'une des abjects aspects du CERTAINISME cruellement HANDICAPANT! Cette mentalité abjecte doit être déracinée, sinon le Sénégal ne sortira jamais des HONTES. Pauvre & triste Sénégal! Peuls.
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2015 (13:58 PM)
    arretez vos commentaires debiles. vous ne connaissez rien du fonctionnement des hopitaux. vous y venez seulement a l'occasion d'une maladie ou pour rendre visite a un parent hospitalisé. taisez vous . vous avez peur de la mort. les hospitaliers affrontent ce risque tous les jours. ils sont obligés de prendre leur responsabilité de temps en temps lorsque les fournisseurs detenteurs de marchés ont de la peine pour s'executer. faut il attendre dans ce cas que celui ci honorent ses engagement dans une ou plusieurs semaines avant d'operer un patient dout la prise en charge est urgente ? c4EST DES CONNERIES. En tout cas tous les marchés conclus a l'hopital de grand yoff ²ont ete respectueux des procedures.

    puis faut cesser de considerer l'hopital comme un service quelconque. je rappelle qu'il est le lieu ou se nogocie chaque jour ce que nous avons de plus precieux. la sante.
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2015 (14:34 PM)
    vraiment il faut élire cheikh sek qui ne dit et ne connaît que la vérité MBALLO DIA thiam est à la retraite il ne fait que lécher les cus des autorités
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2015 (14:35 PM)
    Gabegie
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    Auteur

    Fra

    En Décembre, 2015 (15:28 PM)
    FAITES ATTENTION LES CABINETS D'audit recrutés par l 'ARMP ne maitrisent ni le code ni la procedure de passation des marchés ils ne font que reproduire les recommadation de la DCMP Je travail avec eux mais ils ne connaissent rien de la reglementation des MP
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    Auteur

    Anoki

    En Décembre, 2015 (16:34 PM)
    tout ces hopitaux ne font rien pour aider le president Maky Sall à régler les problèmes de santé des sénégalais.Le ministre de la santé lorgne le fauteuil de l'oms, son ancien directeur de cabinet a mis ses hommes en place pour mieux se servir. Il faut voir du coté des projets Pnt, Pnlp,sida c'est par le biais de voyages, seminaires sur tout qu'on bouffe. En gros au ministere de la santé chacun a son bouffoir du conseiller à la com Mbaye Diouf jusqu'au coordonnateur de projet chacun trouve un alibi pour rogner nos pauvres ressources confinant Eva Marie Coll au statut de lecteur de discours. Dernier exemple cesont les ambulances, alors OFNAC , CREI qu'attendez vous?

    Le président a fait son devoir, avous de dénicher les voleurs
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    Auteur

    Anonyme Debeusse

    En Décembre, 2015 (17:30 PM)
    L'ARMP ne maitrise pas le code des marchés et le fonctionnement des hôpitaux. Les procédures sont extrêmement longues, les fournisseurs ne sont pads payés à temps, la PNA est en rupture et j'en passe. Si pendant tout ce temps là les malades doivent attendre, ils vont crever et le directeur risquer d'être traduit pour homicide. aussi devant les situations d'urgence, il agir vite.,
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    Auteur

    Anonyme

    En Décembre, 2015 (04:14 AM)
    ON N A QU A FERMER TOUS CES HOPITAUX ET NOUS LAISSER MOURIR. GOLLO DI BEYE BABOUNE DI DOUNDÈ DA NÈKHOUL.SEUL LE CONTRIBUABLE EST PERDANT.
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    Auteur

    Hospitalier

    En Décembre, 2015 (16:22 PM)
    moi je ne parle pas de ces gens despoliticiens qu on nous forcent et qui gerent comme commpe macky sall c a dire nul. je parle des agents qui se tuent a la tache qui font des nuits et certains qui se levent tot pour aller dans les hopitaux et qui se font agresser parfois et le president et son ministre des finances nul qui ne peuvent meme pas payer les heures sup de ces agents. comment verser 30.000 f pour toute l annee a ces travailleurs ils ne respectent pas les travailleurs qui se sacrifient pour les malades.monsieur le president respecter les travailleurs. on a droit a une vie decente a un toit a une education de nos enfants. nous ne voulons pas etre comme ces gerants vereux qu on nous parachute dans les hopitaux et qui bouffent l argent. revoyez votre copie pour le renouveau des travailleurs de la sante.
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    Auteur

    Thiey

    En Décembre, 2015 (19:33 PM)
    Maintenant quel sera le comportement de l'état vis a vis ce fait aussi grave. La CREI n'a qu'à faire son rôle.

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