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25 ans de l'UGB - Le Saes boycotte et refuse de cautionner un «gaspillage»

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25 ans de l'UGB - Le Saes boycotte et refuse de cautionner un «gaspillage»

«Nous ne pouvons pas cautionner être dans des festivités, alors que la pédagogie ne fonctionne pas». Telle est la position du Saes, le Syndicat autonome des enseignants du supérieur qui a tout bonnement boycotté la célébration des 25 ans de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (Ugb), qu’il qualifie de bamboula, de gaspillage alors que l’université peine à payer ses dettes, dont les heures supplémentaires selon toujours ces enseignants, qui ont brillé par leur absence à ces festivités.

David Célestin Ndiaye, le coordonnateur du Saes à l’Ugb, de formuler quelques regrets: «L’université a fêté ses 20 ans, il n’y a pas longtemps. Cinq ans après, on reprend les festivités, alors que l’Ugb est dans une situation d’endettement chronique. Il y a environ trois milliards de dettes impayées. Les budgets sont insuffisants», critique-t-il, persuadé que cette célébration, est juste une tribune pour une visibilité politique.

«Des cars sont venus déverser des militants. Personne n’a travaillé pendant trois jours. Le recteur a décrété 72 heures, trois jours chômés et payés, cela coûte à l’université du temps et de l’argent», déplore le syndicaliste dans le quotidien L'Observateur de ce samedi 23 avril 2016.



10 Commentaires

  1. Auteur

    En Avril, 2016 (12:30 PM)
    Toujours argent argent ces profs de merde
  2. Auteur

    Peuple Maudit

    En Avril, 2016 (12:49 PM)
    je suis tout à fait fait en accord avec les positions de la SAES à propos du gaspillage inutile de ressources rares pour célébrer les 25 de l'UGB. Au lieu de décréter 72 heures chômées et payées, on pourrait les travailler mais autrement en restant dans l'esprit des 25 ans.
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    Auteur

    Yero Ball

    En Avril, 2016 (13:11 PM)
    Vraiment il faut arrêté cette hypocrisie à quand nous allons manifesté pour nos frères Mauritaniens.

    27 ans après avoir été déportés vers le Sénégal et le Mali, les réfugiés mauritaniens, par le biais de la Coordination des Organisations des Réfugiés Mauritaniens commémorent dans la désolation, ces douloureux événements sénégalo-mauritaniens.



    Après 27 ans d'asile au Sénégal et au Mali, la situation de la communauté des réfugiés mauritaniens n'a jamais connu une amélioration. Et devient insupportable depuis 2015, coïncidant avec la fin de l'assistance sociale.



    Dans un communiqué transmis à la rédaction de Igfm, la coordination des organisations des réfugiés mauritaniens dénonce le manque de considération et le dénuement total qui rythme le quotidien de ses membres. « Lâchés par le haut-commissariat aux réfugiés (HCR), l'unique organisation qui leur portait assistance et protection, c'est le sauve qui peut.



    Les réfugies mauritaniens qui vivent certes en parfaite harmonie et entente avec les populations sénégalaises et maliennes (pays d'asile) sont confrontés à de sérieux problèmes pour survivre (nourriture, santé, éducation, état civil, déclaration de naissance des enfants, identification, logement, emploi, manque de lopins de terres arables dans les 216 camps de réfugiés mauritaniens le long de la vallée du fleuve Sénégal ainsi qu'au Mali etc.…)



    Ne pouvant plus vivre cette situation, les réfugiés mauritaniens crient leur ras le bol. « Trop c'est trop ! Nous sollicitons un retour organisé, car nul n'ignore que le gouvernement mauritanien continue à nier l'existence des réfugiés mauritaniens au Sénégal et au Mali ».



    Les réfugiés mauritaniens qui ont eu la chance de retourner au pays restent toujours des réfugiés parce qu'ils sont privés de nationalité et d'indemnisation conformément à l'accord tripartite signé en 2007.



    Dans ce communiqué, les réfugiés mauritaniens dénoncent le silence de la communauté internationale face à leur situation. « Par ailleurs, nous sollicitons l'application des autres solutions durables prévues par les Nations Unis.



    Nous déplorons, le silence mondial suite au véritable génocide commis contre les populations négro- mauritaniennes sous le règne de Maouiya Ould Sid'Ahmed Taya, des arrestations arbitraires des cadres et intellectuels, l'instauration d'un état de siège dans les territoires du sud de la Mauritanie, habités essentiellement par des negro-mauritaniens.



    Exécutions et pendaisons d'officiers et soldats negro-mauritaniens, victimes des massacres amnistiés, laissant ainsi de malheureux veuves et orphelins vivre une injustice sans pareille ».



    La coordination des organisations des réfugiés mauritaniens déportés vers le Sénégal et le Mali, réclame justice : « Qu'ils soient enfin jugés et condamnés (pour rétablir la vérité sur la question). Que l'abolition de l'esclavage soit enfin une réalité, nous disons plus jamais ça) ».
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2016 (16:22 PM)
    A voir Mary Teuw avec ses sirènes pour se frayer un chemin dans la trés calme route reliant la ville de Saint-Louis et l'Université Gaston Berger, il est difficile de ne pas croire que le pouvoir rend fou et arrogant. Et pourtant il fut d'une sobriété...
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2016 (16:46 PM)
    fêté les 20 ans



    fêté les 25 ans



    Les 30 ans seront fêtés ????



    Quelle bande de cons, d'irresponsables, d'idiots......
    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2016 (21:47 PM)
    politique rek tout au nom de quoi un homme peut rester des mois sans travailler et percevoir chaque son salaire. bounou kéne sono yéne gneupe yame

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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2016 (01:10 AM)
    les profs restent des mois sans travailler, encaissent leurs salaires,passent tout leur temps sur les plateaux des télévisions et nous parlent de gaspillage de deniers publics.
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2016 (07:55 AM)
    David borom langage c bou saf bi
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    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2016 (08:53 AM)
    ORIENTE PAR MALCHANCE A L UVS DE SAINT-LOUIS, APRES AVOIR REUSSI AU BAC EN JUILLET DERNIER,J ATTENDS LA RECEPTION DE MON ORDINATEUR ET LE DEMARRAGE EFFECTIF DES COURS. SIX MOIS SANS COURS. ET DIRE QUE NOUS

    N ETIONS QUE 30 o/o A AVOIR EU LE SESAME
    Auteur

    Anonyme

    En Avril, 2016 (09:06 AM)
    je suis d'accord avec le SAES, on a gaspillé de l'argent,le recteur a décrété 72 H pour que les étudiants puissent participer à la bamboula c’était inutile; de l 'argent liquide entre les mains de la chargée de mission et du directeur de communication omniprésents activistes et tireurs de ficelles.....l' UGB va mal.
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