Lui, le musulman se perçoit comme le fils spirituel de Léopold Sédar Senghor, le catholique, premier président de la République du Sénégal, à qui il a succédé en 1981. Sa haute taille – certains l’ont surnommé « La Girafe » – n’est pas un obstacle à la rencontre de cet homme d’État qui a marqué au delà de son pays, notamment par sa façon de jouer au jeu démocratique lors de sa défaite à l’élection présidentielle de 2000. Ses nombreuses responsabilités internationales (il est aujourd’hui secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie) n’ont pas coupé en lui la racine spirituelle.
Monsieur le Président, vous avez fait le choix de quitter votre pays, en 2000 après dix-neuf ans à la tête de la République du Sénégal. Pourquoi ?
Le parti du Président Senghor, dont j’étais issu, avait gouverné le pays depuis son indépendance. L’alternance est survenue. Et je crois que le mieux pour moi était de me retirer. Pour laisser à mon successeur en pleine lumière mon successeur.
Cela a été difficile de quitter votre pays ?
Si j’avais dû quitter mon pays pour un autre pays que la France, cela aurait été difficile, mais j’avais beaucoup de liens avec la France. Je suis allé à l’école primaire française. Le Sénégal était partie intégrante de la République Française. J’avais mon Ernest Lavisse où était écrit : « Nos ancêtres les Gaulois… » Mais nos instituteurs étaient assez intelligents pour faire la part des choses. Et nous-mêmes savions bien que nous étions des Noirs et pas des Blancs. Mais nous avons été élevés dans la tradition française d’assimilation. Comme des petits Français, d’autant que Saint-Louis du Sénégal, la capitale où je grandissais, faisait partie des « quatre communes de plein exercice » de toute l’Afrique francophone.
Saint-Louis était une commune « de plein exercice » ?
Les communes de plein exercice avaient le même régime juridique qu’en France. J’ai été élevé dans ce climat là. Même si je ne connaissais pas encore le France, je vivais à son rythme. Dans les salles de cinéma sénégalaises, quand un film sortait, on affichait « en même temps qu’à Paris ». Je me sentais Sénégalais et Français. Enraciné dans ma terre sénégalaise, négro-africain, et en même temps ouvert au monde par la culture et la langue française. Nos professeurs au lycée Faidherbe, n’avaient aucun sentiment raciste vis-à-vis de nous. Dans nos classes, nous étions ensemble, Blancs et Noirs, enfants de hauts fonctionnaires et de Blancs travaillant là, et enfants du Sénégal, souvent de famille modeste, qui bénéficiions de bourses si nous étions méritants.
Qu’est-ce qui a construit l’homme que vous êtes aujourd’hui ?
Je suis né à Louga, à 70 km de Saint-Louis, mais j’ai surtout été élevé à Saint-Louis par ma grand-mère paternelle. Elle a été ma mère nourricière, dans un sens spirituel, humain. Je ne me suis jamais endormi sans qu’elle me dise des contes. C’était une littérature orale. Elle me portait sur son dos. Á sa mort, je me suis évanoui pour la première fois de ma vie. Sa petite sœur a immédiatement pris le relais. Et j’ai continué à Saint-Louis jusqu’à mon bac. Ce qui m’a construit, c’est d’abord la vie de cette famille avec ma grand-mère, sa jeune sœur, les enfants de sa nièce…
Il y avait des hommes dans cette famille ?
Oui, mais le rôle principal a été joué par des femmes. La nièce de ma grand-mère, la cousine de mon père, était la présidente du Comité de femmes du parti de Senghor à Saint-Louis. Moi je leur lisais les lettres que Senghor leur adressait, je rédigeais celle qu’elles lui envoyaient, leur lisais les journaux qui soutenaient la politique de Senghor et ceux de ses adversaires politiques. Elles étaient analphabètes. Elles m’appelaient le secrétaire de leur comité. J’étais l’enfant chéri.
Cela fait du bien d’être aimé… Cela donne de la confiance en soi, pour la vie !
Oui, bien entendu ! Ensuite, ma grand-mère m’a mis à l’école coranique pour y apprendre les versets des sourates du Coran. Elle était très croyante, pratiquante, et j’ai appris à prier à son exemple. J’étais ouvert à cet exercice…
Un exercice quotidien ?
Quotidien, rituel, c’est le culte. Quand je suis allé à l’école primaire, j’ai continué l’école coranique. Quand j’ai réussi l’examen d’entrée en sixième, j’ai considéré que je pouvais me consacrer uniquement au lycée.
Quelle trace a laissé cette étape de votre formation : l’école coranique, la prière avec votre grand-mère ?
Cela a fait de moi un homme pieux. Et puis, c’était un exercice de mémoire vraiment extraordinaire. Nous apprenions le Coran [Ndlr : en arabe classique] sans le comprendre. On avait une vague idée.
Votre grand-mère, votre tante, vous donnaient aussi une éducation religieuse ?
Par exemple. De temps en temps, je demandais une explication. Elles me la donnaient, mais ce n’étaient des savantes religieuses. Je vivais dans cette atmosphère-là, mais j’avais un esprit critique développé pour mon âge, qui s’est épanoui en terminale philo. J’ai alors flirté avec l’athéisme.
Racontez…
J’ai eu un esprit très critique, non pas vis-à-vis de la vraie religion, mais de ses dérives. J’ai vu les « talibé », ces enfants que de petits chefs religieux envoyaient mendier dans la rue, la sébile à la main. J’ai vu l’utilisation de la religion pour la mystification des masses, quand on leur faisait croire que leur paradis dépendait des chefs religieux à qui il fallait obéir, bêtement. Á mon arrivée à l’école nationale de la France d’outre-mer, en octobre 1958, j’ai dû choisir un sujet de mémoire en urgence. Il fallait le déposer avant la fin des vacances de Noël. Je n’étais pas préparé. J’ai eu l’idée d’analyser le rapport de l’islam et de la société wolof.
Il s’agit de la principale composante de la société sénégalaise…
C’est la culture d’où je venais. J’ai fait un mémoire très dur, non pas contre la religion, mais contre ses dérives, que je condamnais. J’ai eu une très bonne note. Au moment où j’allais succéder au président Senghor, on a cherché à instrumentaliser mes écrits. Mes adversaires politiques ont reproduit certains passages particulièrement durs et les ont envoyés à tous les chefs religieux pour leur dire : « voyez le vrai visage de celui que vous allez avoir pour président de la République. Il n’aime pas l’islam, c’est un athée. » Je suis allé voir les califes des deux grandes confréries, Mourides et Tidjanes, et je leur ai dit : « J’avais 23 ans, j’étais athée, marxiste même. Mais si vous lisez bien, je n’ai pas attaqué la religion mais des dérives que vous-même condamnez. » Ils ont répondu : « Oui, nous savons que c’est de la politique politicienne. Ce qui est important, c’est le chemin que nous allons parcourir ensemble. »
La critique de la religion est souvent un moment important dans la maturation d’un homme. Est-elle facile à faire dans le monde musulman ?
Non, ce n’est pas facile, car il y a trop d’amalgames. Mais aujourd’hui, de plus en plus de personnes, d’intellectuels, sans toucher au dogme, remettent en cause une forme surannée de pratique de la religion.
Vous vous intéressez à ce mouvement ?
Non, je le constate, surtout ici en France où je vis. Dans les pays du monde arabe parfois aussi. Mais c’est beaucoup plus difficile. On a l’impression qu’il a une sorte de gangue, une chape de plomb. Normalement, c’est l’esprit qui doit primer sur la lettre. De plus en plus, des gens osent exprimer des opinions, essaient d’éclairer les masses sur ce qu’est vraiment la religion, ce qui est essentiel, ce qui est accessoire. C’est d’autant plus important que les tendances fondamentalistes qui existent dans la religion musulmane ne peuvent être vraiment combattues si des musulmans éclairés disent la vérité, osent affronter ceux qui veulent nous mener vers l’obscurantisme.
Au fond, la religion est instrumentalisée pour des buts politiques ?
Je suis à la tête d’une organisation qui prône la diversité des cultures, des religions, et qui insiste sur l’universalité des valeurs. Or, une des valeurs essentielles sur laquelle nous insistons, c’est la séparation de l’Église, des communautés religieuses et de l’État. Une société théocratique ne peut fonctionner dans le monde moderne. Il faut que la religion soit dans l’espace privé, peut être dans l’espace social, mais pas dans l’espace public. La laïcité doit être comprise non comme une laïcité de l’athéisme, mais comme une laïcité du dialogue et de l’enrichissement.
Les textes fondateurs de l’islam permettent d’avoir cette vision-là ?
Oui, parce que, encore une fois, c’est l’esprit qui vivifie, c’est la lettre qui tue. L’islam a été donné, a été révélé dans des conditions historiques précises, du VIIème siècle, dans la péninsule arabique. Le prophète est allé à Médine, il devait faire progresser la religion en ayant à la fois le gouvernement du temporel et du spirituel.
Le prophète était un chef politique…
C’est évident. Mais dans une bonne lecture, il faut séparer les éléments géographiques, sociaux, de l’esprit de la religion. L’esprit de la religion, c’est le rapport entre l’homme et Dieu, c’est aimer Dieu, croire en Dieu, lui faire confiance, aimer son prochain comme soi-même. Mais si les sociétés ne ce sont pas sécularisés dans la vie publique, nous courons à une catastrophe. Mettez-vous à ma place. Je suis musulman, marié à une chrétienne. Avec des enfants musulmans, des enfants chrétiens. Des petits enfants musulmans, des petits enfants chrétiens. De belles-filles chrétiennes, juives. Si nous étions tous dogmatiques, comment aurions nous pu construire cette famille ? Ce qui est valable pour la famille l’est encore plus au niveau de la cité, de la société universelle. Donc, il faut, au-delà de nos différences communes et universelles pour vivre ensemble. La religion met des gens en relation les uns avec les autres, et elle participe à la vie de la société. Elle ne peut être confinée à la vie privée… Elle est domaine social. Mais elle ne doit pas influer sur les institutions publiques citoyennes. J’avais un professeur d’histoire, au lycée Faidherbe, qui disait : « Mes enfants, aucune religion n’enseigne le mal. » Quand je dis « Aimer Dieu de tout son cœur et son prochain comme soi-même », quelle est religion qui refuse cela ? Donc, les différentes religions peuvent faire des pas ensemble. Même sur le plan spirituel. Rappelez-vous le Père Teilhard de Chardin, qui disait : « Tout ce qui monte converge ». À condition de ne pas toucher au dogme, au culte, aux rites. Enfin, dans la laïcité telle que nous la concevons, nous admettons qu’il y ait des gens qui ne croient pas.
C’est la question de la liberté religieuse. C’est un point qui fait difficulté avec l’islam…
Je le sais. Cela me fait de la peine quand je vois que dans certains pays on ne favorise pas la pratique d’autres religions.
Le mariage d’une femme musulmane avec un homme d’une autre religion n’est pas accepté par l’islam officiel…
(Silence) Vous savez, pour ma femme, catholique, cela a été difficile d’épouser un musulman ! Difficile pour sa famille, pour le clergé catholique. Ce sont des problèmes pratiques que l’on résout avec de la bonne volonté. Nous avons fait un mariage religieux musulman, puis un mariage civil bien sûr. Mais, quelques années après, grâce à l’intervention du Cardinal Thiandoum, archevêque de Dakar, auprès de Sa sainteté le Pape Jean Paul II, nous avions pu faire bénir notre mariage par l’Église catholique. Donc, ma femme aussi a porté ce poids. Ce mariage m’a permis d’avoir une beaucoup plus grande ouverture d’esprit par rapport à ces problèmes religieux. En distinguant toujours, c’est important, l’esprit et la lettre.
Vous êtes enrichi du contact proche avec une autre religion ?
À la vérité, je le dirais.
Mais à ce moment, vous risquez de prendre vos distances avec le dogme ?
Oui, dans le sens où Teilhard de Chardin disait : « Tout ce qui mont converge. » Cette idée m’est venue à la suite d’un dialogue avec le Président Senghor – il était catholique, élu dans un pays très majoritairement musulman -, au moment où il a voulu me confirmer qu’il allait quitter le pouvoir pour me le laisser. Je lui ai demandé : « Monsieur le Président, louis Massignon, qui a tant écrit sur l’islam, est-il devenu musulman sur la fin de sa vie ? » Il m’a dit : « Non, il n’est pas devenu musulman, mais tu sais Abdou, à ce niveau de spiritualité, on vit tous une sorte de syncrétisme… » et je comprenais qu’il disait cela pour lui-même.
Vous le diriez pour vous aujourd’hui ?
Oui. J’ai réfléchi. Depuis les débuts de mon mariage, tous les jours, mon épouse me lit la Bible. Je connais tout de la Bible. Je connais aussi le Coran, bien sûr. Je me suis fait une sorte de corpus… Ma racine, c’est le Coran. Je pratique ma religion. Je fais mes cinq prières quotidiennes, je fais même des prières facultatives. Mais quand on a des racines, on a des ailes !il faut essayer d’aller plus haut. Comme le disait le Président Senghor, qui aimait beaucoup citer le mythe d’Antée, le fils de Gaïa dans la mythologie grecque, dont les pieds reprenaient vigueur en touchant le sol. Je reconnais ma racine négro-africaine, ma racine musulmane, mais en même temps, je suis citoyen du monde. Je dois m’élever. Les valeurs universelles des droits de l’homme se sont forgées à travers les siècles à partir des théogonies, des philosophies, des religions. Les valeurs universelles viennent de la philosophie des Lumières, fécondées par la civilisation de l’universel chère à Léopold Sédar Senghor. Cela se résume par Liberté, Égalité, Fraternité. À cela, Senghor a ajouté : la civilisation de l’universel, c’es-à-dire la solidarité et la diversité.
Monsieur le président, comment votre conviction de foi a-t-elle imprégné votre action d’homme d’État ? Dans les moments où la responsabilité pesait sur vos épaules de chef d’État, avez-vous prié pour recevoir le secours de Dieu ?
Je ne faisais que ça ! (rires) Quelquefois nous étions dans une situation telle que je me disais : « c’est une impasse. Je ne vois pas de solution. Comment sortir de là ? » Il n’y avait pas de secours humain. Je me tournais vers Dieu : « c’est vous qui pouvez. Trouvez la solution ! Que votre volonté soit faite. » Et je vous le dis franchement, une solution arrivait à laquelle ni moi ni mes collaborateurs n’avaient pensé, qui débloquait la situation. Je suis toujours en prière. Chaque acte que je pose, je le pose après avoir prié. Et après l’avoir posé, je suis en action de grâce. Je le dis en toute humilité : mes succès, je les attribue à Dieu. Tous. Pour les échecs, je considère que je n’ai pas été à la hauteur de la mission que Dieu m’a confiée. Je ne parle pas de la prière, assis sur une natte de prière, sans action ! J’agis ! Quand on est un responsable politique à un niveau national, international, on est toujours un citoyen du monde. Et il faut, dans chaque acte qu’on pose, envisager ses répercussions internationales. Il n’y a pas d’acte neutre.
De plus en plus, avec la mondialisation, vous voyez fonctionner ce gouvernement mondiale, cet échange entre les chefs d’État ?
Il est inachevé, imparfait, mais il s’ébauche. On l’a vu dans les évènements récents en Côte-d’Ivoire : la mobilisation internationale a permis le départ de Laurent Gbagbo, parce qu’il ne voulait pas accepter le verdict des urnes. Elle a permis également de stopper l’avancée de Kadhafi qui avait promis de noyer son peuple dans le sang à Benghazi. Le Conseil de sécurité des Nations Unies a pris ses responsabilités. Je ne dis pas qu’il faudra intervenir systématiquement, mais le cas libyen est un cas patent. De mon point de vue, cela doit devenir une jurisprudence, une doctrine des Nations Unies. Désormais, d’autres chefs d’État, tentés de faire violence à leur peuple, sauront qu’ils ne peuvent invoquer la souveraineté nationale pour couvrir leurs actes.
Comment analysez-vous ce qui se passe depuis plusieurs mois dans les pays arabes, le printemps arabe ?
C’est le progrès des valeurs universelles auxquelles nous croyons. Les jeunes manifestants, en Tunisie, en Égypte, disaient : « Nous manifestons au nom des valeurs que nous partageons tous ensemble. » Tout le monde, maintenant, se réclame des valeurs universelles. Il n’y a plus ce relativisme que nous avons déploré dans le passé : « Attention à la démocratie à l’occidentale… » Il n’y a pas de démocratie à l’occidentale, il y a la démocratie. Vous diriez que le citoyen occidental a droit au respect des droits de l’homme et que le citoyen arabe n’y a pas droit ? L’État de droit est universel. La liberté de conscience, de pensée, d’expression, est universelle. Je n’accepte jamais qu’on dise : « Vous nous imposez les valeurs de l’Occident. » Les particularismes concernant la culture, les traditions. C’est dû à l’histoire, à la géographie de chaque peuple, mais les valeurs universelles fondent notre humanité commune. Et nous devons les pratiquer tous ensemble.
Une gouvernance mondiale s’ébauche, mais la mondialisation est surtout sous la loi de l’économie. Comment voyez-vous l’avenir de l’Afrique ?
La mondialisation crée des richesses. Mais on l’impression que plus il y a la croissance, plus le fossé s’agrandit entre les plus riches et les plus pauvres. Les problèmes est de trouver les règles qui permettent de partager les fruits de la mondialisation inéluctable et nécessaire, non pas également, mais équitable, mais équitablement. Pour plus d’harmonie, plus de justice. La mondialisation doit de plus en plus intégrer les éléments culturels. Car ils apportent un plus d’harmonie, de paix et peut-être de lumière dans les échanges.
Les échanges culturels aident à reconnaître l’altérité, à se décentrer ?
L’enrichissement qu’on peut tirer du dialogue des cultures pourrait « réenchanter » le monde. Tout en termes matériels nous tue.
Vous avez de l’espérance pour ce monde ?
Je vis d’espérance ! Je dis souvent – tous ne comprennent pas cette formule – que je suis un pessimiste de la raison mais un optimiste de la volonté et de la foi. J’aime le triptyque que l’on trouve dans les textes chrétiens : la foi, l’espérance et la charité. Cela va ensemble. Tant que les hommes accepteront de s’entraider, de s’aimer, je pense le monde ira d’éclaircie en éclaircie, et qu’au bout du compte la lumière l’emportera sur les forces des ténèbres. Le professeur de philosophie qui m’avait amené vers l’athéisme disait : « dans la règle d’or de Jésus de Nazareth existe l’exemple le plus parfait d’une morale humaniste : aimer son prochain comme soi-même. » Et il le croyait. C’est comme ce cinéaste français incroyant mais grand admirateur de Thérèse de Lisieux…
Alain Cavalier…
Oui. Il a appelé son film « Thérèse », et non pas « Sainte Thérèse », mais il admirait ses vertus. Soit dit en passant, sainte Thérèse, c’est ma sainte aussi. Dans mon panthéon avec Abraham, le Christ, Mahomet et d’autres, il y a la vierge Marie et sainte Thérèse de Lisieux. Dans ma ville natale de Louga, l’église est dédiée à sainte Thérèse de Lisieux…
Source : Panorama, Mensuel chrétien de spiritualité
91 Commentaires
Al
En Juin, 2011 (22:09 PM)Golo
En Juin, 2011 (22:11 PM)Reply_author
En Mars, 2022 (00:35 AM)Toutane
En Juin, 2011 (22:11 PM)La gars semble etre perdu, a coup sur.
Undefined
En Juin, 2011 (22:15 PM)pas clair !
Lui-meme
En Juin, 2011 (22:15 PM)Bien vu tout, le reste vacarme, senaglais, musulman, senaglais chretein cela n'existe pas
Ximperatore
En Juin, 2011 (22:18 PM)Alar Ba
En Juin, 2011 (22:20 PM)James Nicolai
En Juin, 2011 (22:22 PM)doyna waaar
Bibs
En Juin, 2011 (22:23 PM)Waa Guet Nadar
En Juin, 2011 (22:23 PM)Zorro
En Juin, 2011 (22:31 PM)Ndourisme
En Juin, 2011 (22:32 PM)Nique Ta Mere.com
En Juin, 2011 (22:34 PM)qu'il musulman il fait ses 5prieres et mm ls prieres facultatifs
il etai athée quand il avait 23ans.....
Undefined
En Juin, 2011 (22:36 PM)Moussa76
En Juin, 2011 (22:36 PM)Reply_author
En Mars, 2022 (20:21 PM)Binladen
En Juin, 2011 (22:39 PM)il ya un monde d'écart entre ce que vous vivez et ce que vit le commun des sénégalais.
Spirituellement, vous êtes à faire. Confluence de la France, tu poursuivra je pense jusqu'à la tombe.
SENGHOR ET LA FRANCE ONT TA RECONNAISSANCE. QU4EN EST IL DE TON PEUPLE ? DE TA RELIGION ?
Ndaiwar
En Juin, 2011 (22:41 PM)Sambata...
En Juin, 2011 (22:42 PM)Comment ne pas aborder la question du regime de wade mais aborder le Printemps arabe?
Decevant!
Xxxxxxxxx
En Juin, 2011 (22:43 PM)Mpamara
En Juin, 2011 (22:45 PM)Yeet
En Juin, 2011 (22:47 PM)Wade, BAADOOLO
Undefined
En Juin, 2011 (22:48 PM)Gada
En Juin, 2011 (22:49 PM)hé Mesdames et monsieur permetter moi de vous dire ce ci n'est pas logique
s'il se dis croyant c'est faux il crois qu'a sa femme et a l'argent on le voyais souvent ivrre devant le petit ecran ici meme à la RTS
Edaw
En Juin, 2011 (22:51 PM)Mbeur Mi
En Juin, 2011 (22:53 PM)Lassdiou
En Juin, 2011 (22:53 PM)Beru72
En Juin, 2011 (23:11 PM)Undefined
En Juin, 2011 (23:16 PM)Birou
En Juin, 2011 (23:23 PM)Bizarre
En Juin, 2011 (23:32 PM)Tous des français à vrai dire !
M.....o
En Juin, 2011 (23:47 PM)Boursaaloum
En Juin, 2011 (00:03 AM)Undefined
En Juin, 2011 (00:07 AM)Undefined
En Juin, 2011 (00:20 AM)Ngarysow
En Juin, 2011 (00:25 AM)Alerte rouge
Le projet de loi de Wade en cours prévoit la suppression du second tour en instituant la possibilité d'être élu avec seulement 25 %. Et pourquoi donc 75% des Sénégalais se plieront par rapport à cette minorité???C juste illégal et illégitime.Cela s'appelle "INCITATION à la Révolution, la guerre civile et le coup d'état militaire."
Ce message s'adresse principalement aux jeunes Sénégalais,RÉSIDANT AU SÉNÉGAL.Il est temps de sortir des salons de thé! Wade a utilisé la dissuasion en faisant exécuter Malick Ba à Sangalkam.Ce meurtre voulait simplement dire qu'il n'hésiterait pas à tirer sur ceux qui entraveront son chemin.A notre tour d'être persuasif dans notre art de dissuasion. Comme nous l'avons fait avec Diouf c le moment de préparer des milices privées au cas où la nécessite d'agir se fera sentir!Des groupuscules sont déjà au top dans la banlieue parce que de sources sures 2012 ne sera pas digeste.. Des vidéos de jeunes gens encagoulés parmi lesquels étudiants,prolétaires,élevés,anciens mili ou paramilitaires,seront bientôt mises en ligne.Vous êtes partant,vraiment prêts,prêt à joindre le virtuel à la réalité rejoignez notre page de recrutement.Révolutionnaire de salon s'abstenir! Ceci n'est rien d'autre qu'une Guérilla Urbaine.
Undefined
En Juin, 2011 (00:39 AM)Pinguouin
En Juin, 2011 (00:39 AM)Je pense que DIOUF est un grand intellectuel mais quand il décide de parler religion et surtout de religion musulmane, il faut qu'il sache qu'on ne peut pas mettre Allah, Elizabeth DIOUF, les grands penseurs qui sont ses références sur le même pied d'égalité. Peut-être que ces penseurs qui ne sont plus de ce monde sont en train de négocier leurs tickets d'entrée au paradis. Pour DIOUF, il n'est pas trop tard de rajouter aux prières (obligatoires et facultatives) des series de "Astakhfiroulayi wa toubou iley yi". Même si ça ne plaît pas à Elisabeth, ce n'est pas grave à votre âge. De plus, une petite disquette IBADOU ne lui ferait pas de mal après 19 ans de présidence bien méritées. Là, DIOUF n'aura pas besoin de citer des penseurs, il les oubliera tous.
Ba
En Juin, 2011 (01:14 AM)Gratos
En Juin, 2011 (01:15 AM)La chose la plus essentielle pour moi est le sénégal,tout le reste c'est du folklore.
Zzzz...
En Juin, 2011 (02:39 AM)Voila un "journaliste" qui ignore les aspects les plus elementaires de l'histoire coloniale du Senegal !
LOL !!!
Zzzz...
En Juin, 2011 (02:45 AM)La bonne note n'est pas surprenante : a l'epoque, tout ce qui pouvait depeindre les societes traditionnelles noires sous un mauvais angle etait hautement apprecie par les Occidentaux !
Pas de quoi etre fier
Misterjt
En Juin, 2011 (03:11 AM)Assalam
En Juin, 2011 (03:49 AM)Anonyme
En Mars, 2022 (05:48 AM)Boudos
En Juin, 2011 (03:50 AM)Gregg
En Juin, 2011 (05:44 AM)Sidharta
En Juin, 2011 (06:02 AM)Karamok Djanke
En Juin, 2011 (06:59 AM)Undefined
En Juin, 2011 (07:01 AM)Undefined
En Juin, 2011 (07:02 AM)Undefined
En Juin, 2011 (07:49 AM)Patati
En Juin, 2011 (07:52 AM)Madieumbe
En Juin, 2011 (07:54 AM)Latdeuguéne
En Juin, 2011 (08:01 AM)@ndongo Dara
En Juin, 2011 (08:14 AM)Deug
En Juin, 2011 (08:33 AM)Diouf ne parle jamais de Wade car il avait promis de ne jamais critiquer son successeur et il tient sa promesse jusqu'à preuve du contraire.Au moins il est du genre à faire ce qu'il dit.
Bref c'est tt le contraire de wade qui se dit ex franc maçon et faux musulman et mouride today, qui ne fait que mentir et manipuler, qui passe tt son tps à piller la richesse du senegal.
Quant à celui qui dit que Diouf à reçu 60 millards de Wade je pense que ce dernier en avez bcp + besoin que lui en 2000 car c t un pauvre badola qui n'etait meme pas en mesure de se payer sa campagne electorale.dont fau etre logique dans ce qu'on dit et arreter de mentir pour defendre l'indenfendable wade
Undefined
En Juin, 2011 (08:50 AM)Marylou
En Juin, 2011 (09:04 AM)D'habitude, je lis les commentaires intègralement avant de me mettre à commenter ou à apprécier les commentaires de certains des intervenants du forum.
J'avoue que je n'ai pas pu me retenir cette fois-ci de tout interrompre pour poster mon commentaire. J'ai l'habitude de lire très souvent ce que vous postez, je vous trouve intelligente, pondérée et d'une politesse qui n'est pas feinte!!! BRAVO, chère soeur, malgré le fait que vous êtes souvent très controversée, je pense que certains gagneraient plus à vous lire avec plus de DISCERNEMENT.
Je suis totalement d'accord avec vos sorties ICI et je vous exhorte à continuer à être celle que vous êtes!!! N'en déplaise à ceux qui se rabaissent tout le temps à employer l'argument du pauvre: LES INSULTES!!!!
Peut-être même que rien pour le fait que je me suis ralliée à vous dans vos propos ici, "ILS" vont m'abreuver d'injures mais, comme je dis, j'ai appris à avoir de la HAUTEUR par rapport à tout cela!!!
MERCI Mame Diarra.
être-dingne-de-soi
En Juin, 2011 (09:04 AM)je me dis monsieur le président que vous un musulman égaré,
je ne peux pas comprendre avec votre degré d'intelectuel vous n'avez pas pu achéver
votre formation en islam ,vous ne fetes jamais de référence en citant des versets coraniques,
et surtout si voulez vous refugier dans votre cas spécial d'avoir une famille qui comporte trois religions ou quoi
encore soulagez-vous même en prenant vos responsabilités mais l'islam elle reste ce qu'elle est :
vous en savez qulque chose magrés vos égarements les religieux que vous avez cotoyé vous ont
toujours toléré parceque eux ils savent le vrai message que l'islam recommande ,cette religion que vous ignorez tant est une religion de Paix de tolérence de clairvoyance de dialogue...
à vous entendre je sens pas le musulman qui parle :l'islam accepte toutes les religions révélées mais c'est la dernière lettre elle n'a rien laissé et nous formons tous une communauté univelle .
Je vous recommande d'aller apprendre convenablement le coran pendant qu'il est encore temps;il faut aussi avoir la chance de le comprendre,il y est dit :" yaa ouwlî lalbabi...3ceux qui sont doués d'intelligence...
Neverland
En Juin, 2011 (09:17 AM)Wekh Dounk
En Juin, 2011 (09:23 AM)Qqqqqqqqqqqqqqqq
En Juin, 2011 (09:33 AM)Anti-escros
En Juin, 2011 (10:00 AM)Sn
En Juin, 2011 (10:04 AM)Verité Absolue
En Juin, 2011 (10:20 AM)Undefined
En Juin, 2011 (10:52 AM)Laye
En Juin, 2011 (10:56 AM)il est difficile de sortir de l’athéisme .car on deviens athée après mure réélection
Thiessois
En Juin, 2011 (11:17 AM)Chacun récolltera ce qu´il a semé, c´est tout. Ne pensez surtout pas que seuls les croyants empestent ce monde. Tout le monde y est. Quant à mourir pour une religion par fanatisme, où en est la différence de mourir pour un morceau de tissu qu´on appelle Drapeau ? Quoi donc cette laicité qui veut interdir tout ce qui touche la pratique ouverte de l´Islam en France ? Oui, chacun a le droit de faire ce qu´il veut, mais ce que vous faites et comment vous le faites, pas ici ! Ecoutez, nous croyons à ces valeurs là, aussi, mais ceux qui s´égosillent à les proner sont et ont été les plus grands criminels de l´histoire de l´humanité. Alors on se méfie. Quant aux pauvres utopistes et naifs qui continuent à se tromper eux memes chaque jour que Dieu fait, eh bien ils en auront pour leur compte, et ca les regarde.
Madégueun
En Juin, 2011 (11:41 AM)Ce sont ces qualités qui lui permettent de rallier Musulmans et Chrétiens.
Une interdépendance entre les religions, entre les pays etc..., doit se développer. La compétition s'installera sans aucun doute mais elle doit être pacifique et constructive.
Si Chacun reconnaît les aspirations et les intérêts légitimes de l'autre, s'il agit sur la base du respect mutuel et de la confiance, alors les Sénégalais traduiront leur rêve en réalité.
Bien cordialement
Kiki
En Juin, 2011 (11:58 AM)DIEU et le Prophete Mahomet savent qu'ils en existent dans le CORAN. Citez nous en quelques uns???, à moins que vous ne maitrisiez uniquement et seulement les versets qui poussent le musulman à vivre en AUTARCIE et replié sur soi meme. Que vous le vouliez ou pas un musulman ne peut pas vivre sur ce bas monde sans le juif ou le Chretien ou L'Athée. D'ailleurs d'où proviennet les multiples Aides et Dons ke notre cher senegal reçoit chaque année??????????????? Si ce n'etait pas les bienfaissances des Juifs, Chretiens et athés, alors je me demande comment seraient la population africaine, alors un peu de RECONNAISSANCE et de RESPECT ne tuent point.
Dilos
En Juin, 2011 (13:12 PM)Primi
En Juin, 2011 (13:14 PM)Tricheur
En Juin, 2011 (13:17 PM)Undefined
En Juin, 2011 (13:29 PM)La France N Est Pas Laïque
En Juin, 2011 (14:00 PM)Yaye Fall
En Juin, 2011 (14:10 PM)Non Athée
En Juin, 2011 (14:45 PM)Kharyala
En Juin, 2011 (15:20 PM)Cd
En Juin, 2011 (15:30 PM)Toute ces religions (islam, christianisme, judaisme, etc) ne sont que des PLAGIATS et des COPIES, de la religion africaine monotheiste antique.
Et cheikh anta diop la amplement prouver.
Retournons a nos valeurs spirituelles propres.
Undefined
En Juin, 2011 (17:05 PM)wade dolligniou ke ta victoire en 2012 soit eclatante .....
kou merr bokkoul
Pereira De Carvalho
En Juin, 2011 (17:22 PM)Ki
En Juin, 2011 (17:38 PM)Undefined
En Juin, 2011 (17:42 PM)Croyez vous que si l'école privée catholique imposait le port de la croix à tous les élèves, ou le cathèchisme à tout le monde, il y aurait plus d'élèves de confession musulmane que de chrètiens? Imaginez un peu ce que serait la religion d'un enfant chrèten s'il fréquentait l' école franco- arabe.
L'amour du prochain chez le chrètien ou la tolèrance chez le musulman ne devraient ils pas correspondre à une rèelle liberté de l'autre d'évoluer dans la socièté sans toujours être pointé du doigt comme un enfant de l' enfer.
Dieu a créé le monde par amour, ce n'est pas l'homme qui l'a découvert mais Lui-Meme s'est choisi un peuple pour l'adorer et étendre son régne. Son dessien ultime c'est de ramener L'homme dans ce qu'il avait perdu: Le Paradis.
La religion ne peut, sous cet aspect, être considéré comme un syndicat ou un parti politique auquel l'individu choisi d'adhérer. C'est par orgueil que l'homme refuse de se remettre à son Créateur et son Sauveur. Ce faisant il se construit de fausses croyances qui l'éloignent de la vraie volonté divine. S'il ne s'agissait que de pardon, Dieu l'aurait accordé à Adam et Eve, Il ne les aurait pas exclu du Paradis.
Soyons humbles dans nos rapports, essayons de nous instruire mutuellement, adoptons une attitude de commune volonté de vie, et Dieu nous fera voir son Salut qu'il n'est donné à aucun homme de s'accorder.
Il a parlé aux hommes de bonne volonté, sa Volonté est transcrite dans la Thora, l'Ancien Testament, les Evangiles...De quoi avons nous peur pour ne pas y puiser la VERITE.
Surtout ne nous cachons pas derrière notre doigt pour dire qu'Ils ont été changés et même dans ce cas que leurs détracteurs nous montrent les ORIGINAUX.
Si l'homme connaissait mieux son Seigneur et plaçait sa confiance en Lui, sûrement le monde serait meilleur. En le ne le faisant pas, il constuit le règne, sur terre, du Malin vers qui il se tourne et qui le perdra pour l'éternité.
DIEU NE PEUT NI SE TROMPER, NI NOUS TROMPER.
Arissoi
En Juin, 2011 (17:48 PM)Emigre
En Juin, 2011 (18:58 PM)S'il avait mis en grace un Mbow ou Keba Mbaye ou tout simplement Ibrahima Fall , de la societe civile on aurait ete mieux gouverne
En outre le cheminement dans une religion monotheiste est tres long et complexe pour en tirer l'essentiel c'est a dire la foi.
De ce fait on ne peut pas etre a la fois musulman,chretien ou juif. Bien qu'un bon musulman respectera toujours la foi reelle du juif et le bon chretien ou juif ,la foi du musulman.
Ceci dit il nous aurait fallu avoir le desastre personnifie en Wade,c'est a dire un fou delirant qui se croit profondement malin pour ne pas utiliser le mot intelligent qui ne pourrait jamais etre adjoint a son nom, pour que le Senegal se reveille de sa torpeur injustifiee puisque deja Valdiodio avait deja le jour historique de sa rencontre avec le general Degaulle montre qu'on avait assez de maturite historique pour nous engager dans la voie de la souverainete et de la dignite puisque tout simplement c'est de cela qu'il s'agit sans, devoir tomber dans l'autre extreme de Cheikhou Toure.
L'avantage aurait ete de servir d'exemple aux autres pays freres qui continuent comme nous a etre victimes d'un systeme d'exploitation et de mepris complexe .
Les conneries de Wade pousseront tres prochainement les senegalais a se soulever ,a se remettre profondement en question; apprehender que le sacrifice de Mame Bamba ne devrait pas aboutir a l'emergence d'un Bethio Thioune, que le Grand Maitre ou Maodo ,mame Malick nous avait deja designe l'education , la culture et la moderation de la sagesse comme salut imparable et cles qui menent a l'EMERGENCE.
EMERGENCE puisque c'est de cela qu'il est question dans le concert des nations qui se respectent.
Emigre
En Juin, 2011 (19:04 PM)Les conneries de Wade pousseront tres prochainement les senegalais a se soulever ,a se remettre profondement en question; apprehender que le sacrifice de Mame Bamba ne devrait pas aboutir a l'emergence d'un Bethio Thioune, que le Grand Maitre ou Maodo ,mame Malick nous avait deja designe l'education , la culture et la moderation de la sagesse comme salut imparable et cles qui menent a l'EMERGENCE. EMERGENCE puisque c'est de cela qu'il est question dans le concert des nations qui se respectent.
Fall
En Juin, 2011 (20:50 PM)Fanta99
En Juin, 2011 (21:06 PM)Jojo Begue
En Juin, 2011 (09:43 AM)Dalimad
En Juin, 2011 (13:17 PM)Et aussi il faut se dire qu'il ne s'agit pas seulement de lire les textes religieuses que sa soit dans la Bible, le Coran ou la Tora, il sagit d'essayer de les mediter, les comprendre et ensuite les mettre en pratique autant que possible.Toute religion de bonne foie enseigne le bien et il n'a pas de plus noble et plus grand acte de bien faisance que d'aimer son prochain comme soi meme. Donc cher parent musulman, essaye de comprendre de mediter et de comprendre cette phrase du Jesus. " Aime ton prochain comme toi meme"
Dieu est AMOUR et quiconque cherche DIEU ne peut que trouver que cet AMOUR. AMOUR a vivre et a partager.
Undefined
En Juin, 2011 (10:51 AM)Pour moi, vous êtes musulman, vous devez marier une musulmane un point, un trait. C'est tout.
Fan Diouf
En Juin, 2011 (08:57 AM)Participer à la Discussion