La hausse notée sur le prix du riz et celui du sucre hante le sommeil du chef de l’Etat. En conseil des ministres ce jeudi, Macky Sall a fait deux constats pour déplorer fortement ce fait.
Le prix du sucre dépasse anormalement de 63,3 FCFA le prix de référence retenu en contrepartie d’une subvention de 08 milliards de FCFA dégagée par l’Etat, signale le président de la République avant de noter également que le prix du kilogramme de riz brisé ordinaire connait, depuis le mois de mai dernier, une lente et progressive remontée qui a fait passer son prix de 291 FCFA le kilo à 303 FCFA en fin septembre 2012.
Des remarques faites par le chef de l’Etat lui-même, et qui l’ont incité à demander au premier ministre d’étudier les raisons de ces écarts constatés au niveau de ces prix.
Macky Sall, ajoute le journal « L’observateur », a toutefois réaffirmé son attachement à la bataille contre la cherté de la vie.
9 Commentaires
Boursine
En Novembre, 2012 (17:09 PM)Nos sœurs, nos amies, nos parentes sont sur Facebook et tant d’autres réseaux sociaux donc ne laisser jamais cela se produire.
Xeme
En Novembre, 2012 (17:13 PM)Borniche
En Novembre, 2012 (18:17 PM)Coopdiop
En Novembre, 2012 (18:40 PM)La Francaise
En Novembre, 2012 (18:57 PM)Bachir Diop
En Novembre, 2012 (19:18 PM)Catholique
En Novembre, 2012 (12:36 PM)Jalo
En Novembre, 2012 (02:58 AM)Peacedaddy
En Novembre, 2012 (16:10 PM)En adoptant la posture de la menace et de la surenchère publiques, le Parti Démocratique Sénégalais et son Secrétaire Général sont manifestement dans une perspective de défiance systématique du droit et de l’autorité publique. Une telle attitude de nature à menacer l’ordre public, n’est en réalité que le reflet de la « peur bleue » qui s’est emparée du camp des brigands, maintenant convaincu de la volonté inébranlable de la justice de notre pays à faire la lumière sur les milliers de milliards du contribuable sénégalais détournés et planqués dans des paradis fiscaux.
L’agitation et les vitupérations médiatiques à outrance ne suffisent pas pour faire l’impasse sur une reddition des comptes plus qu’obligatoire du fait que le peuple souverain a le droit de savoir la destination des ressources qu’il a bien voulu confier aux hommes et aux femmes qu’il s’est choisis.
Par devoir de transparence, la lumière doit être faite sur :
- Les milliards annuellement alloués depuis 2009 à une Vice-présidence qui n’a jamais vu le jour,
- Les Onze tonnes d’or de Sabodola d’une valeur de 25 milliards de FCFA qui n’ont jamais profité au citoyen Sénégalais,
- Les 12 décrets d’avance d’un montant de 64 milliards FCFA, signés sans vergogne par Abdoulaye WADE, dans une période où il avait déjà perdu le pouvoir,
- Les centaines de licences de pêches concédées à des compagnies étrangères dans des conditions absolument très obscures,
- Les centaines de milliards engloutis dans les chantiers de l’ANOCI dont les responsables d’alors ont catégoriquement refusé de se soumettre à un quelconque examen de bilan,
- La concession des terres de l’aéroport et d’autres du domaine national, dans une opacité à nul autre pareil etc.
La liste des faits de délinquance ne peut être épuisée.
Pire, parce que son fils a été invité à s’expliquer sur sa gestion, Abdoulaye WADE, toute honte bue, vocifère et brandit une plainte contre le Président Macky SALL. Pour un ancien Président de la République, ne réagir que quand sa progéniture est en conflit avec la justice est un comportement digne de la monarchie. Monsieur Karim WADE devra rendre compte comme tout dirigeant ayant eu à gérer les deniers publics.
Partant de tout ce qui précède, la Convergence des Cadres Républicains :
- Invite les Sénégalais à comprendre le jeu de Abdoulaye WADE et du Parti Démocratique Sénégalais qui ne font que dans la victimisation et la diversion.
- Demande aux parlementaires de la majorité de se mettre en ordre de bataille pour traduire Abdoulaye WADE et ses acolytes devant la Haute Cour de Justice pour avoir abominablement pillé les ressources nationales.
- Encourage et soutient la justice Sénégalaise dans sa volonté de traquer sans relâche ceux ont plongé notre économie dans une situation de quasi banqueroute.
- Exhorte les autorités publiques à être fermes dans la préservation de l’ordre et de la discipline dans le pays.
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